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Stomatite prothétique, candidose orale et leur évolution dans le temps

Savignac, Katia 07 1900 (has links)
Objectifs: Observer l’évolution de la stomatite prothétique dans le temps quant à la fréquence et la sévérité ainsi que son association avec de potentiels facteurs de risque au cours d’un suivi longitudinal de 2 ans. Matériels et méthodes : Cent trente-cinq patients âgés complètement édentés et en bonne santé ont été sélectionnés pour participer à cette étude et ont été divisés de façon randomisée en deux groupes. Ils ont tous reçu une prothèse dentaire amovible totale conventionnelle au maxillaire supérieur. La moitié d’entre eux a reçu une prothèse totale mandibulaire implanto-portée retenue par deux attachements boule et l’autre moitié une prothèse conventionnelle. Ils ont été suivis sur une période de deux ans. Les données sociodémographiques, d’habitudes de vie, d’hygiène et de satisfaction des prothèses ont été amassées à l’aide de questionnaires. Les patients ont aussi subi un examen oral complet lors duquel une évaluation de la stomatite prothétique, basée sur la classification de Newton, a été effectuée ainsi qu’un prélèvement de la plaque prothétique. Les analyses microbiologiques pertinentes afin de détecter la présence de Candida ont ensuite été effectuées. Des tests Chi-carré de Pearson et McNemar ont été utilisés pour analyser la fréquence de la stomatite, son association avec de possibles facteurs de risque ainsi que son évolution dans le temps. Des rapports de cotes (odds ratio) et leurs intervalles de confiance (95%) ont été effectués afin de déterminer la force d’association entre les facteurs de risque et la stomatite prothétique. Résultats : La prévalence de la stomatite a augmenté entre la première (63,6%) et la deuxième année de suivi (88,7%) avec une incidence de 78,8%. Les patients souffrant d’une stomatite de type 2 ou 3 et qui brossent leur palais ont environ 6 fois plus de chance de voir la sévérité de leur stomatite diminuer [p = 0,04 OR 5,88 CI (1,1-32,2)]. Il n’y a pas d’association statistiquement significative entre la fréquence de la stomatite et les facteurs de risque investigués. La prévalence de la candidose est demeurée stable dans le temps (45,8% et 49,2% à la première et deuxième année de suivi respectivement, p > 0,05). Il n’y a pas d’association entre la présence d’une candidose orale, la stomatite prothétique et les facteurs de risque étudiés. Conclusion : Les résultats de cette étude suggèrent que la stomatite prothétique progresse dans le temps indépendamment de la présence d’une candidose. Le brossage du palais pourrait être une approche simple à conseiller aux patients souffrant d’une stomatite prothétique de type 2 ou 3. / Objectives: To assess the evolution of denture stomatitis in term of frequency and severity and its association with potential risk factors over a two-year period. Methods: One hundred thirty five healthy edentulous elders who were randomly rehabilitated with a maxillary complete denture opposed by a conventional denture or an implant-supported overdenture retained by two ball attachments were followed over two years. Demographic and clinical data concerning oral and general health, smoking, denture status and hygienic habits were obtained from oral examination and standard questionnaires. Denture stomatitis was evaluated according to Newton’s classification. Microbiological analyses consist of detection of Candida species in denture plaque and inoculation in selective growth medium. Pearson Chi-square and McNemar tests were used to analyse the frequency of denture stomatitis, its association with potential risk factors and it’s evolution over time. Odds ratios and their 95% confidence intervals were calculated to determine the strength of association between risk factors and denture stomatitis. Results: The prevalence of denture stomatitis increased between the first (63.6%) and second year follow-up (88.7%) with an incidence rate of 78.8%. Those individuals suffering from type 2 or type 3 denture stomatitis and who brushed their palate had approximately 6 times more chance of observing a decrease in the severity of their condition [p=0.04 OR 5.88 CI (1.1-32.2)]. There was no statistically significant association between the frequency of denture stomatitis and classical risk factors at both follow-ups. The carriage rate of Candida species remained stable over time (45.8% and 49.2% first and second year of follow-up consecutively, p > 0.05). There was no association between the presence of oral candidiosis and denture stomatitis or its potential risk factors. Conclusion: The results of this study suggest that denture stomatitis progresses overtime independent of Candida carriage. Palatal brushing could be a preventive approach to minimise the inflammation in individuals suffering from type 2 or type 3 denture stomatitis.
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Étude d’impact de l’alimentation entérale précoce sur la durée de séjour hospitalier pour la chirurgie colique

Bendavid, Yves 12 1900 (has links)
Introduction: La réinstitution de l’alimentation entérale en deçà de 24h après une chirurgie digestive semble a priori conférer une diminution du risque d’infections de plaie, de pneumonies et de la durée de séjour. Le but de cette étude est de vérifier l’effet de la reprise précoce de l’alimentation entérale sur la durée de séjour hospitalier suite à une chirurgie colique. Méthodes: Il s’agit d’une étude prospective randomisée dans laquelle 95 patients ont été divisés aléatoirement en deux groupes. Dans le groupe contrôle, la diète est réintroduite lorsque le patient passe des gaz ou des selles per rectum, et qu’en plus il n’est ni nauséeux ni ballonné. Les patients du groupe expérimental reçoivent pour leur part une diète liquide dans les 12 heures suivant la chirurgie, puis une diète normale aux repas subséquents. L’objectif primaire de cette étude est de déterminer si la réinstitution précoce de l'alimentation entérale post chirurgie colique diminue la durée de séjour hospitalier lorsque comparée au régime traditionnel de réintroduction de l’alimentation. Les objectifs secondaires sont de quantifier l’effet de la réintroduction précoce de la diète sur les morbidités periopératoires et sur la reprise du transit digestif. Résultats: La durée de séjour hospitalier a semblé être légèrement diminuée dans le groupe expérimental (8,78±3,85 versus 9,41±5,22), mais cette difference n’était pas statistiquement significative. Des nausées ou des vomissements furent rapportés chez 24 (51%) patients du bras experimental et chez 30 (62.5%) patients du groupe contrôle. Un tube nasogastrique a du être installé chez un seul patient du groupe experimental. La morbidité périopératoire fut faible dans les deux groupes. Conclusion: Il semble sécuritaire de nourrir précocément les patients suite à une chirurgie colique. Cependant cette étude n’a pu démontrer un impact significatif de la reintroduction précoce de l alimentation per os sur la durée de séjour hospitalier. / Introduction: of early feeding within 24 hours of intestinal surgery seems advantageous in terms of reduction of wound infection, pneumonia and length of hospital stay. The aim of the study is to evaluate the impact of early enteral nutrition in length of hospital stay in comparison to traditional postoperative feeding regimen. Method: This prospective study enrolled 95 patients randomized in two groups: control group patients receive enteral feeding in absence of nausea or vomiting, abdominal distension and after passage of flatus or stools, while patients in experimental group were fed a liquid diet within 12 hours of surgery, followed by a regular diet at the next meal. The primary endpoint was the impact of early oral feeding on hospital length of stay. The secondary endpoint was to measure the impact of the diet reintroduction modality on the incidence of early postoperative morbidity and return of bowel function. Result: Length of hospital stay was slightly diminished in the experimental group compared to control (8,78±3,85 versus 9,41±5,22), but the difference was not statistically significant. Postoperative nausea and vomiting were reported in 24 (51,0%) patients in experimental group and 30 (62,5%) in control group. Only one patient required nasogastric tube insertion. The majority of patients did not demonstrate any postoperative morbidity in both groups. Conclusion: Early enteral nutrition is safe after intestinal surgery. However we did not demonstrate that early enteral feeding diminished length of hospital stay or hastened the return of bowel function.
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Étude d’impact de l’alimentation entérale précoce sur la durée de séjour hospitalier pour la chirurgie colique

Bendavid, Yves 12 1900 (has links)
Introduction: La réinstitution de l’alimentation entérale en deçà de 24h après une chirurgie digestive semble a priori conférer une diminution du risque d’infections de plaie, de pneumonies et de la durée de séjour. Le but de cette étude est de vérifier l’effet de la reprise précoce de l’alimentation entérale sur la durée de séjour hospitalier suite à une chirurgie colique. Méthodes: Il s’agit d’une étude prospective randomisée dans laquelle 95 patients ont été divisés aléatoirement en deux groupes. Dans le groupe contrôle, la diète est réintroduite lorsque le patient passe des gaz ou des selles per rectum, et qu’en plus il n’est ni nauséeux ni ballonné. Les patients du groupe expérimental reçoivent pour leur part une diète liquide dans les 12 heures suivant la chirurgie, puis une diète normale aux repas subséquents. L’objectif primaire de cette étude est de déterminer si la réinstitution précoce de l'alimentation entérale post chirurgie colique diminue la durée de séjour hospitalier lorsque comparée au régime traditionnel de réintroduction de l’alimentation. Les objectifs secondaires sont de quantifier l’effet de la réintroduction précoce de la diète sur les morbidités periopératoires et sur la reprise du transit digestif. Résultats: La durée de séjour hospitalier a semblé être légèrement diminuée dans le groupe expérimental (8,78±3,85 versus 9,41±5,22), mais cette difference n’était pas statistiquement significative. Des nausées ou des vomissements furent rapportés chez 24 (51%) patients du bras experimental et chez 30 (62.5%) patients du groupe contrôle. Un tube nasogastrique a du être installé chez un seul patient du groupe experimental. La morbidité périopératoire fut faible dans les deux groupes. Conclusion: Il semble sécuritaire de nourrir précocément les patients suite à une chirurgie colique. Cependant cette étude n’a pu démontrer un impact significatif de la reintroduction précoce de l alimentation per os sur la durée de séjour hospitalier. / Introduction: of early feeding within 24 hours of intestinal surgery seems advantageous in terms of reduction of wound infection, pneumonia and length of hospital stay. The aim of the study is to evaluate the impact of early enteral nutrition in length of hospital stay in comparison to traditional postoperative feeding regimen. Method: This prospective study enrolled 95 patients randomized in two groups: control group patients receive enteral feeding in absence of nausea or vomiting, abdominal distension and after passage of flatus or stools, while patients in experimental group were fed a liquid diet within 12 hours of surgery, followed by a regular diet at the next meal. The primary endpoint was the impact of early oral feeding on hospital length of stay. The secondary endpoint was to measure the impact of the diet reintroduction modality on the incidence of early postoperative morbidity and return of bowel function. Result: Length of hospital stay was slightly diminished in the experimental group compared to control (8,78±3,85 versus 9,41±5,22), but the difference was not statistically significant. Postoperative nausea and vomiting were reported in 24 (51,0%) patients in experimental group and 30 (62,5%) in control group. Only one patient required nasogastric tube insertion. The majority of patients did not demonstrate any postoperative morbidity in both groups. Conclusion: Early enteral nutrition is safe after intestinal surgery. However we did not demonstrate that early enteral feeding diminished length of hospital stay or hastened the return of bowel function.
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Stomatite prothétique, candidose orale et leur évolution dans le temps

Savignac, Katia 07 1900 (has links)
Objectifs: Observer l’évolution de la stomatite prothétique dans le temps quant à la fréquence et la sévérité ainsi que son association avec de potentiels facteurs de risque au cours d’un suivi longitudinal de 2 ans. Matériels et méthodes : Cent trente-cinq patients âgés complètement édentés et en bonne santé ont été sélectionnés pour participer à cette étude et ont été divisés de façon randomisée en deux groupes. Ils ont tous reçu une prothèse dentaire amovible totale conventionnelle au maxillaire supérieur. La moitié d’entre eux a reçu une prothèse totale mandibulaire implanto-portée retenue par deux attachements boule et l’autre moitié une prothèse conventionnelle. Ils ont été suivis sur une période de deux ans. Les données sociodémographiques, d’habitudes de vie, d’hygiène et de satisfaction des prothèses ont été amassées à l’aide de questionnaires. Les patients ont aussi subi un examen oral complet lors duquel une évaluation de la stomatite prothétique, basée sur la classification de Newton, a été effectuée ainsi qu’un prélèvement de la plaque prothétique. Les analyses microbiologiques pertinentes afin de détecter la présence de Candida ont ensuite été effectuées. Des tests Chi-carré de Pearson et McNemar ont été utilisés pour analyser la fréquence de la stomatite, son association avec de possibles facteurs de risque ainsi que son évolution dans le temps. Des rapports de cotes (odds ratio) et leurs intervalles de confiance (95%) ont été effectués afin de déterminer la force d’association entre les facteurs de risque et la stomatite prothétique. Résultats : La prévalence de la stomatite a augmenté entre la première (63,6%) et la deuxième année de suivi (88,7%) avec une incidence de 78,8%. Les patients souffrant d’une stomatite de type 2 ou 3 et qui brossent leur palais ont environ 6 fois plus de chance de voir la sévérité de leur stomatite diminuer [p = 0,04 OR 5,88 CI (1,1-32,2)]. Il n’y a pas d’association statistiquement significative entre la fréquence de la stomatite et les facteurs de risque investigués. La prévalence de la candidose est demeurée stable dans le temps (45,8% et 49,2% à la première et deuxième année de suivi respectivement, p > 0,05). Il n’y a pas d’association entre la présence d’une candidose orale, la stomatite prothétique et les facteurs de risque étudiés. Conclusion : Les résultats de cette étude suggèrent que la stomatite prothétique progresse dans le temps indépendamment de la présence d’une candidose. Le brossage du palais pourrait être une approche simple à conseiller aux patients souffrant d’une stomatite prothétique de type 2 ou 3. / Objectives: To assess the evolution of denture stomatitis in term of frequency and severity and its association with potential risk factors over a two-year period. Methods: One hundred thirty five healthy edentulous elders who were randomly rehabilitated with a maxillary complete denture opposed by a conventional denture or an implant-supported overdenture retained by two ball attachments were followed over two years. Demographic and clinical data concerning oral and general health, smoking, denture status and hygienic habits were obtained from oral examination and standard questionnaires. Denture stomatitis was evaluated according to Newton’s classification. Microbiological analyses consist of detection of Candida species in denture plaque and inoculation in selective growth medium. Pearson Chi-square and McNemar tests were used to analyse the frequency of denture stomatitis, its association with potential risk factors and it’s evolution over time. Odds ratios and their 95% confidence intervals were calculated to determine the strength of association between risk factors and denture stomatitis. Results: The prevalence of denture stomatitis increased between the first (63.6%) and second year follow-up (88.7%) with an incidence rate of 78.8%. Those individuals suffering from type 2 or type 3 denture stomatitis and who brushed their palate had approximately 6 times more chance of observing a decrease in the severity of their condition [p=0.04 OR 5.88 CI (1.1-32.2)]. There was no statistically significant association between the frequency of denture stomatitis and classical risk factors at both follow-ups. The carriage rate of Candida species remained stable over time (45.8% and 49.2% first and second year of follow-up consecutively, p > 0.05). There was no association between the presence of oral candidiosis and denture stomatitis or its potential risk factors. Conclusion: The results of this study suggest that denture stomatitis progresses overtime independent of Candida carriage. Palatal brushing could be a preventive approach to minimise the inflammation in individuals suffering from type 2 or type 3 denture stomatitis.

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