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Présence de pathogènes opportunistes dans la plaque bactérienne des prothèses dentaires

Silva, Soraya January 2003 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Relation entre la commutation phénotypique de Candida albicans et la stomatite prothétique

Emami, Elham January 2005 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
3

Étude comparative entre la quantité de Candida spp. présente sur le palais et sur la pièce prothétique chez les patients porteurs d'une prothèse complète au maxillaire supérieur

Lam, Mélissa Phuong January 2006 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Candida species and inflammation mediators in denture stomatitis : detection in biological samples

Saadat, Mahshid 01 1900 (has links)
Introduction: La stomatite prothétique (SP) est une des conditions inflammatoires communes affectant la muqeuse du palais dur en contact avec une prothèse partielle ou complète. Les étiologiques les plus probable de la SP sont l’infection fongique, la présence de biofilm sur la prothèse, et les traumatismes. Objectifs de notre étude: 1) détection des cytokines dans les échantillons congelés provenant de patients sains et affectés par la SP; 2) verification de la capacité de Candida albicans de croître sur des milieux sélectifs après une congelation prolongée; 3) évaluation de la relation entre Candida sp. et la SP; 4) evaluation de la prévalence de Streptococcus mutans chez les patients atteints ar la SP. Méthode: Un total de 115 échantillons cliniques, conservés à -80°C depuis 2008 ont été utilisés pour cette étude. La présence de C. albicans et C. tropicalis, et S. mutans a été évaluée par PCR et par culture. Un ELISA en sandwich a été utilisé pour la détection et le dosage de l'IL-1β, IL-6 et le TNF. La présence de Candida sp. a été testé à l'aide de milieux de culture sélectifs pour tous les échantillons (n = 115) dans les 24 heures suivant le prélèvement et avant et après congélation 7 ans plus tard. Résultats: La culture microbiologique sur les échantillons frais de 2008 a démontré que C. albicans était présent dans 21.7% de tous les échantillons. Cependant, après décongélation, la détection de C. albicans ne peut être considérée comme fiable (4.35%). L’utilisation de la PCR nous a permi de détecter la presence de C. albicans, C. tropicalis, S. mutans dans SP, sauf chez les patients sains. C. tropicalis est toutefois plus frequents que C. albicans, un résultat qui contraste avec la culture lorsque l’échantillon était frais. Conclusion: Ces résultats montrent que la conservation à long terme à -80°C altère la capacité de détecter les microorganismes par culture (80%) et par PCR. En outre, nous ne pouvions détecter les cytokines dans les échantillons. Cependant, une association entre Candida sp, S. mutans et SP est probable. / Introduction: Denture stomatitis (DS) is a common inflammatory condition affecting the hard palate of mucosal tissue in contact with complete or partial denture. The most likely etiological factors of DS are fungal infection, denture biofilm, and trauma. Objectives: 1) To investigate the ability of Candida sp. to grow in specific media after long term storage 2) To investigate the relationship of Candida sp. and denture stomatitis 3) To test the prevalence of S. mutans in DS patients 4) To detect the value of IL1-β ,IFN-γ ,IL-6, and TNF-α in samples after long term storage Method: A total of 115 clinical sonicate samples, taken from individuals over 63 years old, kept frozen at -80°C from 2008 were used for this study. The presence of C. albicans and C. tropicalis, and S. mutans was evaluated by PCR and culture. A sandwich ELISA was used for the detection and assay of IL-1β, IL6 and TNFα. Presence of Candida sp was tested by using specific media for all samples (n=115) within 24 hours of collection and before and after freezing 7 years later. Results: Microbiological cultures on fresh samples in 2008 showed that C. albicans was present in 21.74% of all samples. However, after thawing, detection of C. albicans cannot be considered reliable (4.35%). The use of PCR allowed us to detect the presence of C. albicans, C. tropicalis, S. mutans in DS, except in healthy patients. However, C. tropicalis is more frequent than C. albicans, a result that contrasts with the culture when the sample was fresh Conclusion: Our results show that the capacity to detect microbial cells by culture after long term storage at -80°C was decreased about 80%. In addition cytokines might be degraded, rinsed off or below our detection level. However, association between Candida sp., S. mutans and DS was found.
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Phase-I clinical trial on the effect of palatal brushing on denture stomatitis

Kabawat, Marla 08 1900 (has links)
Introduction: La stomatite prothétique est une condition inflammatoire chronique de la muqueuse buccale recouverte par une prothèse. Cette maladie est considérée comme la lésion buccale la plus fréquente chez les porteurs de prothèses amovibles. Des études récentes sur l'étiologie de la stomatite prothétique suggèrent que des traitements basés sur la réduction de l'inflammation seraient efficaces dans le traitement de cette maladie. Objectifs: Évaluer l'efficacité du brossage du palais dans le traitement de la stomatite prothétique. Méthodes: Quarante-huit participants (âge moyen : 66,0 ± 11,2 ans) avec un diagnostic de stomatite prothétique, ont été sélectionnés à partir d’un examen préalable de 143 individus, afin de participer à cet essai clinique de phase I à deux centres, réalisé selon un devis de type pré-test/post-test à un seul groupe. L'intervention a consisté en un brossage du palais avec une brosse manuelle après chaque repas et avant le coucher. Des examens cliniques et microbiologiques ont été effectués avant le traitement, et à 1 mois et 3 mois de suivi. Des données supplémentaires ont été obtenues par l'utilisation d'un questionnaire validé. Les résultats primaires et secondaires étaient, respectivement, la rémission de stomatite prothétique et la diminution du nombre de colonies de Candida. Des tests statistiques descriptifs et non paramétriques ont été menés pour analyser les données. Résultats: À 3 mois de suivi, 10,4 % des participants ont été guéris et 70,8 % ont eu une amélioration clinique de la stomatite prothétique grâce au brossage du palais. Une réduction statistiquement significative de la surface et de l’intensité de l’inflammation après 3 mois de brossage du palais a été démontrée (p < 0,0001). L’ampleur de l’effet a varié d’un effet modéré à important (0,34 à 0,54) selon la classification utilisée pour le diagnostique de la stomatite prothétique. De plus, le nombre de colonies de Candida, recueillies par sonication des prothèses et par échantillonnage du palais, a diminué de manière statistiquement significative après 3 mois de brossage (p ≤ 0,05). Conclusion: Les résultats de cette étude suggèrent que le brossage du palais est efficace comme traitement de la stomatite prothétique. / Introduction: Denture-related erythematous stomatitis (denture stomatitis) is a chronic inflammation of the oral mucosa covered by a removable prosthesis. This disease is considered the most prevalent mucosal lesion associated with prosthesis use. Recent research on the etiology of denture stomatitis suggests that treatments based on the reduction of the inflammation are effective in the management of this disease. Objectives: To assess the efficacy of palatal brushing in the treatment of denture stomatitis. Methods: After screening 143 individuals with a potential diagnosis of denture stomatitis, 48 (mean age: 66.0 ± 11.2 years) were enrolled in a phase-I two-center clinical trial with one-group pre-test/post-test design. The intervention of interest was manual palatal brushing after each meal and before bedtime. Clinical and microbiological examinations were performed at baseline, 1 month and 3 months post-intervention. Additional data were obtained by the use of a validated questionnaire. The primary and secondary outcomes were the remission of denture stomatitis and the diminution of Candida Colony-Forming Units (CFUs), respectively. Descriptive and non-parametric statistical tests were conducted to analyze the data. Results: At 3-month follow-up, denture stomatitis was completely cured in 10.4 % of the study participants, and 70.8 % of denture wearers showed improvement in the clinical signs of denture stomatitis. There was a significant reduction in the area and severity of the palatal inflammation at 3-month follow-up (p < 0.0001). The effect size ranged from medium to large (0.34 to 0.54), depending on the classification used for the diagnosis of denture stomatitis. Furthermore, a significant reduction in the number of Candida CFUs isolated from the palatal mucosa and dentures was observed (p ≤ 0.05). Conclusion: The results of this study suggest that palatal brushing is effective in the treatment of denture stomatitis.
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Phase-I clinical trial on the effect of palatal brushing on denture stomatitis

Kabawat, Marla 08 1900 (has links)
Introduction: La stomatite prothétique est une condition inflammatoire chronique de la muqueuse buccale recouverte par une prothèse. Cette maladie est considérée comme la lésion buccale la plus fréquente chez les porteurs de prothèses amovibles. Des études récentes sur l'étiologie de la stomatite prothétique suggèrent que des traitements basés sur la réduction de l'inflammation seraient efficaces dans le traitement de cette maladie. Objectifs: Évaluer l'efficacité du brossage du palais dans le traitement de la stomatite prothétique. Méthodes: Quarante-huit participants (âge moyen : 66,0 ± 11,2 ans) avec un diagnostic de stomatite prothétique, ont été sélectionnés à partir d’un examen préalable de 143 individus, afin de participer à cet essai clinique de phase I à deux centres, réalisé selon un devis de type pré-test/post-test à un seul groupe. L'intervention a consisté en un brossage du palais avec une brosse manuelle après chaque repas et avant le coucher. Des examens cliniques et microbiologiques ont été effectués avant le traitement, et à 1 mois et 3 mois de suivi. Des données supplémentaires ont été obtenues par l'utilisation d'un questionnaire validé. Les résultats primaires et secondaires étaient, respectivement, la rémission de stomatite prothétique et la diminution du nombre de colonies de Candida. Des tests statistiques descriptifs et non paramétriques ont été menés pour analyser les données. Résultats: À 3 mois de suivi, 10,4 % des participants ont été guéris et 70,8 % ont eu une amélioration clinique de la stomatite prothétique grâce au brossage du palais. Une réduction statistiquement significative de la surface et de l’intensité de l’inflammation après 3 mois de brossage du palais a été démontrée (p < 0,0001). L’ampleur de l’effet a varié d’un effet modéré à important (0,34 à 0,54) selon la classification utilisée pour le diagnostique de la stomatite prothétique. De plus, le nombre de colonies de Candida, recueillies par sonication des prothèses et par échantillonnage du palais, a diminué de manière statistiquement significative après 3 mois de brossage (p ≤ 0,05). Conclusion: Les résultats de cette étude suggèrent que le brossage du palais est efficace comme traitement de la stomatite prothétique. / Introduction: Denture-related erythematous stomatitis (denture stomatitis) is a chronic inflammation of the oral mucosa covered by a removable prosthesis. This disease is considered the most prevalent mucosal lesion associated with prosthesis use. Recent research on the etiology of denture stomatitis suggests that treatments based on the reduction of the inflammation are effective in the management of this disease. Objectives: To assess the efficacy of palatal brushing in the treatment of denture stomatitis. Methods: After screening 143 individuals with a potential diagnosis of denture stomatitis, 48 (mean age: 66.0 ± 11.2 years) were enrolled in a phase-I two-center clinical trial with one-group pre-test/post-test design. The intervention of interest was manual palatal brushing after each meal and before bedtime. Clinical and microbiological examinations were performed at baseline, 1 month and 3 months post-intervention. Additional data were obtained by the use of a validated questionnaire. The primary and secondary outcomes were the remission of denture stomatitis and the diminution of Candida Colony-Forming Units (CFUs), respectively. Descriptive and non-parametric statistical tests were conducted to analyze the data. Results: At 3-month follow-up, denture stomatitis was completely cured in 10.4 % of the study participants, and 70.8 % of denture wearers showed improvement in the clinical signs of denture stomatitis. There was a significant reduction in the area and severity of the palatal inflammation at 3-month follow-up (p < 0.0001). The effect size ranged from medium to large (0.34 to 0.54), depending on the classification used for the diagnosis of denture stomatitis. Furthermore, a significant reduction in the number of Candida CFUs isolated from the palatal mucosa and dentures was observed (p ≤ 0.05). Conclusion: The results of this study suggest that palatal brushing is effective in the treatment of denture stomatitis.
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A randomized follow-up study of the general health and quality of life of an elderly edentulous population wearing either mandibular two-implant overdentures or conventional dentures

Emami, Elham 12 1900 (has links)
L’augmentation de la population âgée dans la société indique que les systèmes de soins de la santé font face à de nouveaux défis. Les hauts niveaux d’incapacité qui en résultent peuvent être réduits par les nouvelles technologies, la promotion de la santé ainsi que des stratégies de prévention. Les écrits scientifiques récents soulignent la supériorité des prothèses dentaires implanto-portées par rapport aux prothèses conventionnelles en termes de satisfaction et de qualité de la vie des patients. Cependant, il n'est toujours pas clair si ces avantages ont des effets positifs à long terme sur la santé orale et générale ainsi que sur la qualité de vie des populations âgées. Objectifs, Hypothèses : Notre but était de mesurer l’impact des prothèses mandibulaires retenues par 2 implants sur la qualité de vie associée à la santé bucco-dentaire et générale ainsi que sur la santé orale et la qualité du sommeil des aînés édentés. Nous avons évalué les hypothèses nulles suivantes : il n'y a aucune différence entre les individus portants des prothèses mandibulaires retenues par 2 implants (IODs) et ceux qui portent des prothèses conventionnelles (CDs), par rapport à la qualité de vie reliée à la santé bucco-dentaire et générale, la santé orale et la qualité du sommeil, un an après avoir reçu leurs nouvelles prothèses. Méthodes : Dans cette étude randomisée contrôlée, 255 aînés ont reçu au hasard IODs ou les CDs, les deux types de prothèses étant opposés à des prothèses maxillaires conventionnelles. La qualité de la vie reliée à la santé bucco-dentaire (OHRQoL) et la santé générale subjective ont été mesurées avec les questionnaires Oral Health Impact Profile (OHIP-20) et Short Form-36 (SF-36) en condition pré-traitement et après un an. La qualité du sommeil et la somnolence diurne ont été mesurées à l’aide du questionnaire Qualité de Sommeil de Pittsburg et de l'Échelle de Somnolence Epworth. La santé orale a été évaluée par un examen clinique. Les variables indépendantes étaient le sens de cohérence et le type de prosthèse, ainsi que des variables socio-démographiques. En utilisant des analyses statistiques bi et multi-factorielles, des comparaisons à l’intérieur d’un même groupe et entre deux groupes ont été effectuées. Résultats : Les différences pré et post traitement pour les cotes OHIP étaient significativement plus grandes pour le groupe IOD que le groupe CD (p<0.05). Le type de traitement et la cote pré-traitement étaient des facteurs significatifs à OHRQoL (p < 0.0001). Dans le groupe CD, il y avait une diminution significative par rapport aux cotes de «Physical Component Scores (PCS)», le fonctionnement physique, le rôle physique et la douleur physique entre les données pré-traitement et un an après le traitement, ce qui indique une diminution au niveau de la santé générale subjective. Dans le groupe IOD, une diminution statistiquement non significative a été remarquée par rapport à toutes les cotes des sous-échelles de SF-36, sauf pour la douleur physique. Le modèle final de régression a démontré qu’après ajustement pour les variables âge, sexe, statut marital et type de traitement, la cote totale finale d’OHIP et les données de bases de PCS prédisaient la cote finale de PCS (p < 0.0001). Aucune corrélation significative entre sens de cohérence et OHRQoL n'a été détectée (r =-0.1; p > 0.05). Les aînés porteurs des prothèses conventionnelles avaient presque 5 fois plus de chance d’avoir une stomatite prothétique que ceux portant des prothèses mandibulaires hybrides retenues par 2 implants (p < 0.0001). Les aînés ayant subjectivement une mauvaise santé générale avaient une qualité de sommeil moins bonne que ceux avec une meilleure santé générale subjective (p < 0.05). Les personnes qui avaient une OHRQoL moins bonne étaient presque 4 fois plus somnolentes pendant le jour que celles avec une meilleure OHRQoL (p=0.003, χ2; OR =3.8 CI 1.5 to 9.8). L'analyse de régression a montré que la santé générale subjective et OHRQoL prévoient la qualité du sommeil (p=0.022 et p=0.001, respectivement) et la somnolence diurne (p=0.017 et p=0.005, respectivement). Conclusions: Les résultats de cette étude suggèrent que, chez les aînés édentés, des prothèses mandibulaires hybrides retenues par deux implants amènent une amélioration significative de la qualité de vie reliée à la santé bucco-dentaire et maintiennent la sensation d’une meilleure santé physique. Des prothèses hybrides implanto-portées peuvent contribuer à la santé orale en réduisant les traumatismes infligés à la muqueuse orale et en contrôlant la stomatite prothétique. Les aînés édentés dont le niveau de qualité de vie reliée à la santé bucco-dentaire est bas, peuvent aussi avoir des troubles de qualité du sommeil. / The global greying of society indicates that health care systems face new challenges. High levels of disability can be reduced through new technologies, health promotion and preventive strategies. Recent literature has underlined the superiority of mandibular implant overdentures over conventional dentures for patient satisfaction and quality of life. However, it is still not clear whether this benefit has any long-term positive effects on oral and general health, as well as on the quality of life of elderly populations. Objectives, Hypotheses: We aimed to measure the impact of mandibular two-implant overdentures on the general and oral health quality of life, as well as on oral health and sleep quality of edentulous elders. We tested the null hypothesis that there is no difference in the general and oral health quality of life, as well as, on oral health and sleep quality of those wearing mandibular two-implant overdentures (IODs) and those who wear conventional dentures (CDs), one year following prosthesis delivery. Methods: In this randomized controlled trial, 255 elders randomly received IODs or CDs, both opposed by conventional maxillary dentures. OHRQoL and perceived general health were measured with the Oral Health Impact Profile (OHIP-20) and the Short Form-36 (SF-36) at baseline and after one year. Sleep quality and daytime sleepiness were measured with the Pittsburg Sleep Quality global score and the Epworth Sleepiness Scale. Clinical exams were conducted to evaluate oral health. Independent variables included sense of coherence and prosthesis type, as well as socio-demographic variables. Between and within group comparisons were performed using bivariate and multivariate statistical tests. Results: Pre/post treatment differences in OHIP scores were significantly greater for the IOD than the CD group (p<0.05). Type of treatment and pre-treatment scores were significant contributors to OHRQoL (p<0.0001). In the CD group, there was a statistically significant decrease in physical component scores (PCS), physical functioning, role physical and bodily pain from baseline to one year follow up, indicating decreased perceived general health. In the IOD group, no statistically significant decrease was seen in SF-36 subscale scores from baseline to one year, except for bodily pain. The final regression model demonstrated that, after controlling for age, sex, marital status and type of treatment, the OHIP total final and the PCS baseline scores predict PCS final scores (p<0.0001). No significant correlation between sense of coherence and OHRQoL was detected (r= -0.1; p> 0.05). Elders wearing conventional dentures were almost 5 times more likely to have denture stomatitis than those wearing mandibular two-implant retained overdentures (p < 0.0001). Elders with low perceived general health had poorer sleep than those with high perceived general health (p<0.05). Those with low oral health related quality of life were almost 4 times sleepier during the day than those with high OHRQoL (p=0.003, χ2; OR =3.8 CI 1.5 to 9.8). Regression analysis showed that perceived general health and OHRQoL predict sleep quality (p=0.022 and p=0.001, respectively) and daytime sleepiness (p=0.017 and p=0.005, respectively). Conclusions: The results of this study suggest that, in edentulous elders, mandibular two-implant overdentures provide significant improvement in oral health related quality of life and maintain perceived physical health. Implant overdentures may contribute to oral health by reducing oral mucosa trauma and control denture stomatitis. Edentulous elders whose oral health related quality of life is low may also have poor sleep quality.
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Stomatite prothétique, candidose orale et leur évolution dans le temps

Savignac, Katia 07 1900 (has links)
Objectifs: Observer l’évolution de la stomatite prothétique dans le temps quant à la fréquence et la sévérité ainsi que son association avec de potentiels facteurs de risque au cours d’un suivi longitudinal de 2 ans. Matériels et méthodes : Cent trente-cinq patients âgés complètement édentés et en bonne santé ont été sélectionnés pour participer à cette étude et ont été divisés de façon randomisée en deux groupes. Ils ont tous reçu une prothèse dentaire amovible totale conventionnelle au maxillaire supérieur. La moitié d’entre eux a reçu une prothèse totale mandibulaire implanto-portée retenue par deux attachements boule et l’autre moitié une prothèse conventionnelle. Ils ont été suivis sur une période de deux ans. Les données sociodémographiques, d’habitudes de vie, d’hygiène et de satisfaction des prothèses ont été amassées à l’aide de questionnaires. Les patients ont aussi subi un examen oral complet lors duquel une évaluation de la stomatite prothétique, basée sur la classification de Newton, a été effectuée ainsi qu’un prélèvement de la plaque prothétique. Les analyses microbiologiques pertinentes afin de détecter la présence de Candida ont ensuite été effectuées. Des tests Chi-carré de Pearson et McNemar ont été utilisés pour analyser la fréquence de la stomatite, son association avec de possibles facteurs de risque ainsi que son évolution dans le temps. Des rapports de cotes (odds ratio) et leurs intervalles de confiance (95%) ont été effectués afin de déterminer la force d’association entre les facteurs de risque et la stomatite prothétique. Résultats : La prévalence de la stomatite a augmenté entre la première (63,6%) et la deuxième année de suivi (88,7%) avec une incidence de 78,8%. Les patients souffrant d’une stomatite de type 2 ou 3 et qui brossent leur palais ont environ 6 fois plus de chance de voir la sévérité de leur stomatite diminuer [p = 0,04 OR 5,88 CI (1,1-32,2)]. Il n’y a pas d’association statistiquement significative entre la fréquence de la stomatite et les facteurs de risque investigués. La prévalence de la candidose est demeurée stable dans le temps (45,8% et 49,2% à la première et deuxième année de suivi respectivement, p > 0,05). Il n’y a pas d’association entre la présence d’une candidose orale, la stomatite prothétique et les facteurs de risque étudiés. Conclusion : Les résultats de cette étude suggèrent que la stomatite prothétique progresse dans le temps indépendamment de la présence d’une candidose. Le brossage du palais pourrait être une approche simple à conseiller aux patients souffrant d’une stomatite prothétique de type 2 ou 3. / Objectives: To assess the evolution of denture stomatitis in term of frequency and severity and its association with potential risk factors over a two-year period. Methods: One hundred thirty five healthy edentulous elders who were randomly rehabilitated with a maxillary complete denture opposed by a conventional denture or an implant-supported overdenture retained by two ball attachments were followed over two years. Demographic and clinical data concerning oral and general health, smoking, denture status and hygienic habits were obtained from oral examination and standard questionnaires. Denture stomatitis was evaluated according to Newton’s classification. Microbiological analyses consist of detection of Candida species in denture plaque and inoculation in selective growth medium. Pearson Chi-square and McNemar tests were used to analyse the frequency of denture stomatitis, its association with potential risk factors and it’s evolution over time. Odds ratios and their 95% confidence intervals were calculated to determine the strength of association between risk factors and denture stomatitis. Results: The prevalence of denture stomatitis increased between the first (63.6%) and second year follow-up (88.7%) with an incidence rate of 78.8%. Those individuals suffering from type 2 or type 3 denture stomatitis and who brushed their palate had approximately 6 times more chance of observing a decrease in the severity of their condition [p=0.04 OR 5.88 CI (1.1-32.2)]. There was no statistically significant association between the frequency of denture stomatitis and classical risk factors at both follow-ups. The carriage rate of Candida species remained stable over time (45.8% and 49.2% first and second year of follow-up consecutively, p > 0.05). There was no association between the presence of oral candidiosis and denture stomatitis or its potential risk factors. Conclusion: The results of this study suggest that denture stomatitis progresses overtime independent of Candida carriage. Palatal brushing could be a preventive approach to minimise the inflammation in individuals suffering from type 2 or type 3 denture stomatitis.
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A randomized follow-up study of the general health and quality of life of an elderly edentulous population wearing either mandibular two-implant overdentures or conventional dentures

Emami, Elham 12 1900 (has links)
L’augmentation de la population âgée dans la société indique que les systèmes de soins de la santé font face à de nouveaux défis. Les hauts niveaux d’incapacité qui en résultent peuvent être réduits par les nouvelles technologies, la promotion de la santé ainsi que des stratégies de prévention. Les écrits scientifiques récents soulignent la supériorité des prothèses dentaires implanto-portées par rapport aux prothèses conventionnelles en termes de satisfaction et de qualité de la vie des patients. Cependant, il n'est toujours pas clair si ces avantages ont des effets positifs à long terme sur la santé orale et générale ainsi que sur la qualité de vie des populations âgées. Objectifs, Hypothèses : Notre but était de mesurer l’impact des prothèses mandibulaires retenues par 2 implants sur la qualité de vie associée à la santé bucco-dentaire et générale ainsi que sur la santé orale et la qualité du sommeil des aînés édentés. Nous avons évalué les hypothèses nulles suivantes : il n'y a aucune différence entre les individus portants des prothèses mandibulaires retenues par 2 implants (IODs) et ceux qui portent des prothèses conventionnelles (CDs), par rapport à la qualité de vie reliée à la santé bucco-dentaire et générale, la santé orale et la qualité du sommeil, un an après avoir reçu leurs nouvelles prothèses. Méthodes : Dans cette étude randomisée contrôlée, 255 aînés ont reçu au hasard IODs ou les CDs, les deux types de prothèses étant opposés à des prothèses maxillaires conventionnelles. La qualité de la vie reliée à la santé bucco-dentaire (OHRQoL) et la santé générale subjective ont été mesurées avec les questionnaires Oral Health Impact Profile (OHIP-20) et Short Form-36 (SF-36) en condition pré-traitement et après un an. La qualité du sommeil et la somnolence diurne ont été mesurées à l’aide du questionnaire Qualité de Sommeil de Pittsburg et de l'Échelle de Somnolence Epworth. La santé orale a été évaluée par un examen clinique. Les variables indépendantes étaient le sens de cohérence et le type de prosthèse, ainsi que des variables socio-démographiques. En utilisant des analyses statistiques bi et multi-factorielles, des comparaisons à l’intérieur d’un même groupe et entre deux groupes ont été effectuées. Résultats : Les différences pré et post traitement pour les cotes OHIP étaient significativement plus grandes pour le groupe IOD que le groupe CD (p<0.05). Le type de traitement et la cote pré-traitement étaient des facteurs significatifs à OHRQoL (p < 0.0001). Dans le groupe CD, il y avait une diminution significative par rapport aux cotes de «Physical Component Scores (PCS)», le fonctionnement physique, le rôle physique et la douleur physique entre les données pré-traitement et un an après le traitement, ce qui indique une diminution au niveau de la santé générale subjective. Dans le groupe IOD, une diminution statistiquement non significative a été remarquée par rapport à toutes les cotes des sous-échelles de SF-36, sauf pour la douleur physique. Le modèle final de régression a démontré qu’après ajustement pour les variables âge, sexe, statut marital et type de traitement, la cote totale finale d’OHIP et les données de bases de PCS prédisaient la cote finale de PCS (p < 0.0001). Aucune corrélation significative entre sens de cohérence et OHRQoL n'a été détectée (r =-0.1; p > 0.05). Les aînés porteurs des prothèses conventionnelles avaient presque 5 fois plus de chance d’avoir une stomatite prothétique que ceux portant des prothèses mandibulaires hybrides retenues par 2 implants (p < 0.0001). Les aînés ayant subjectivement une mauvaise santé générale avaient une qualité de sommeil moins bonne que ceux avec une meilleure santé générale subjective (p < 0.05). Les personnes qui avaient une OHRQoL moins bonne étaient presque 4 fois plus somnolentes pendant le jour que celles avec une meilleure OHRQoL (p=0.003, χ2; OR =3.8 CI 1.5 to 9.8). L'analyse de régression a montré que la santé générale subjective et OHRQoL prévoient la qualité du sommeil (p=0.022 et p=0.001, respectivement) et la somnolence diurne (p=0.017 et p=0.005, respectivement). Conclusions: Les résultats de cette étude suggèrent que, chez les aînés édentés, des prothèses mandibulaires hybrides retenues par deux implants amènent une amélioration significative de la qualité de vie reliée à la santé bucco-dentaire et maintiennent la sensation d’une meilleure santé physique. Des prothèses hybrides implanto-portées peuvent contribuer à la santé orale en réduisant les traumatismes infligés à la muqueuse orale et en contrôlant la stomatite prothétique. Les aînés édentés dont le niveau de qualité de vie reliée à la santé bucco-dentaire est bas, peuvent aussi avoir des troubles de qualité du sommeil. / The global greying of society indicates that health care systems face new challenges. High levels of disability can be reduced through new technologies, health promotion and preventive strategies. Recent literature has underlined the superiority of mandibular implant overdentures over conventional dentures for patient satisfaction and quality of life. However, it is still not clear whether this benefit has any long-term positive effects on oral and general health, as well as on the quality of life of elderly populations. Objectives, Hypotheses: We aimed to measure the impact of mandibular two-implant overdentures on the general and oral health quality of life, as well as on oral health and sleep quality of edentulous elders. We tested the null hypothesis that there is no difference in the general and oral health quality of life, as well as, on oral health and sleep quality of those wearing mandibular two-implant overdentures (IODs) and those who wear conventional dentures (CDs), one year following prosthesis delivery. Methods: In this randomized controlled trial, 255 elders randomly received IODs or CDs, both opposed by conventional maxillary dentures. OHRQoL and perceived general health were measured with the Oral Health Impact Profile (OHIP-20) and the Short Form-36 (SF-36) at baseline and after one year. Sleep quality and daytime sleepiness were measured with the Pittsburg Sleep Quality global score and the Epworth Sleepiness Scale. Clinical exams were conducted to evaluate oral health. Independent variables included sense of coherence and prosthesis type, as well as socio-demographic variables. Between and within group comparisons were performed using bivariate and multivariate statistical tests. Results: Pre/post treatment differences in OHIP scores were significantly greater for the IOD than the CD group (p<0.05). Type of treatment and pre-treatment scores were significant contributors to OHRQoL (p<0.0001). In the CD group, there was a statistically significant decrease in physical component scores (PCS), physical functioning, role physical and bodily pain from baseline to one year follow up, indicating decreased perceived general health. In the IOD group, no statistically significant decrease was seen in SF-36 subscale scores from baseline to one year, except for bodily pain. The final regression model demonstrated that, after controlling for age, sex, marital status and type of treatment, the OHIP total final and the PCS baseline scores predict PCS final scores (p<0.0001). No significant correlation between sense of coherence and OHRQoL was detected (r= -0.1; p> 0.05). Elders wearing conventional dentures were almost 5 times more likely to have denture stomatitis than those wearing mandibular two-implant retained overdentures (p < 0.0001). Elders with low perceived general health had poorer sleep than those with high perceived general health (p<0.05). Those with low oral health related quality of life were almost 4 times sleepier during the day than those with high OHRQoL (p=0.003, χ2; OR =3.8 CI 1.5 to 9.8). Regression analysis showed that perceived general health and OHRQoL predict sleep quality (p=0.022 and p=0.001, respectively) and daytime sleepiness (p=0.017 and p=0.005, respectively). Conclusions: The results of this study suggest that, in edentulous elders, mandibular two-implant overdentures provide significant improvement in oral health related quality of life and maintain perceived physical health. Implant overdentures may contribute to oral health by reducing oral mucosa trauma and control denture stomatitis. Edentulous elders whose oral health related quality of life is low may also have poor sleep quality.
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Stomatite prothétique, candidose orale et leur évolution dans le temps

Savignac, Katia 07 1900 (has links)
Objectifs: Observer l’évolution de la stomatite prothétique dans le temps quant à la fréquence et la sévérité ainsi que son association avec de potentiels facteurs de risque au cours d’un suivi longitudinal de 2 ans. Matériels et méthodes : Cent trente-cinq patients âgés complètement édentés et en bonne santé ont été sélectionnés pour participer à cette étude et ont été divisés de façon randomisée en deux groupes. Ils ont tous reçu une prothèse dentaire amovible totale conventionnelle au maxillaire supérieur. La moitié d’entre eux a reçu une prothèse totale mandibulaire implanto-portée retenue par deux attachements boule et l’autre moitié une prothèse conventionnelle. Ils ont été suivis sur une période de deux ans. Les données sociodémographiques, d’habitudes de vie, d’hygiène et de satisfaction des prothèses ont été amassées à l’aide de questionnaires. Les patients ont aussi subi un examen oral complet lors duquel une évaluation de la stomatite prothétique, basée sur la classification de Newton, a été effectuée ainsi qu’un prélèvement de la plaque prothétique. Les analyses microbiologiques pertinentes afin de détecter la présence de Candida ont ensuite été effectuées. Des tests Chi-carré de Pearson et McNemar ont été utilisés pour analyser la fréquence de la stomatite, son association avec de possibles facteurs de risque ainsi que son évolution dans le temps. Des rapports de cotes (odds ratio) et leurs intervalles de confiance (95%) ont été effectués afin de déterminer la force d’association entre les facteurs de risque et la stomatite prothétique. Résultats : La prévalence de la stomatite a augmenté entre la première (63,6%) et la deuxième année de suivi (88,7%) avec une incidence de 78,8%. Les patients souffrant d’une stomatite de type 2 ou 3 et qui brossent leur palais ont environ 6 fois plus de chance de voir la sévérité de leur stomatite diminuer [p = 0,04 OR 5,88 CI (1,1-32,2)]. Il n’y a pas d’association statistiquement significative entre la fréquence de la stomatite et les facteurs de risque investigués. La prévalence de la candidose est demeurée stable dans le temps (45,8% et 49,2% à la première et deuxième année de suivi respectivement, p > 0,05). Il n’y a pas d’association entre la présence d’une candidose orale, la stomatite prothétique et les facteurs de risque étudiés. Conclusion : Les résultats de cette étude suggèrent que la stomatite prothétique progresse dans le temps indépendamment de la présence d’une candidose. Le brossage du palais pourrait être une approche simple à conseiller aux patients souffrant d’une stomatite prothétique de type 2 ou 3. / Objectives: To assess the evolution of denture stomatitis in term of frequency and severity and its association with potential risk factors over a two-year period. Methods: One hundred thirty five healthy edentulous elders who were randomly rehabilitated with a maxillary complete denture opposed by a conventional denture or an implant-supported overdenture retained by two ball attachments were followed over two years. Demographic and clinical data concerning oral and general health, smoking, denture status and hygienic habits were obtained from oral examination and standard questionnaires. Denture stomatitis was evaluated according to Newton’s classification. Microbiological analyses consist of detection of Candida species in denture plaque and inoculation in selective growth medium. Pearson Chi-square and McNemar tests were used to analyse the frequency of denture stomatitis, its association with potential risk factors and it’s evolution over time. Odds ratios and their 95% confidence intervals were calculated to determine the strength of association between risk factors and denture stomatitis. Results: The prevalence of denture stomatitis increased between the first (63.6%) and second year follow-up (88.7%) with an incidence rate of 78.8%. Those individuals suffering from type 2 or type 3 denture stomatitis and who brushed their palate had approximately 6 times more chance of observing a decrease in the severity of their condition [p=0.04 OR 5.88 CI (1.1-32.2)]. There was no statistically significant association between the frequency of denture stomatitis and classical risk factors at both follow-ups. The carriage rate of Candida species remained stable over time (45.8% and 49.2% first and second year of follow-up consecutively, p > 0.05). There was no association between the presence of oral candidiosis and denture stomatitis or its potential risk factors. Conclusion: The results of this study suggest that denture stomatitis progresses overtime independent of Candida carriage. Palatal brushing could be a preventive approach to minimise the inflammation in individuals suffering from type 2 or type 3 denture stomatitis.

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