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La pire des défaites : identité et litost chez Sophocle, Shakespeare et GoetheBouchard, Sylvie January 2006 (has links) (PDF)
Les fondations de ce mémoire reposent sur l'examen de trois figures de la littérature universelle : Lear, OEdipe et Werther. Fruits du génie de Shakespeare, de Sophocle et de Goethe, ces personnages, confrontés à une force qui leur est supérieure, entrent dans un processus d'autodestruction qui ne semble avoir pour fin que l'assouvissement d'une vengeance. En effet, que penser de ce vieux monarque respecté de ses sujets, qui, après avoir donné les clés de son royaume en héritage puis s'être fait spolier par ses filles aînées, persiste à vouloir se dépouiller et s'enfonce dans la folie? Que dire de cet autre vieillard aveugle, roi jadis vénéré, que le désaveu de ses fils a poussé à l'errance et dont l'ultime volonté est d'offrir à Athènes sa dépouille, en guise de rempart et de protection aux assauts éventuels de sa Thèbes natale, cité où gouverne sa descendance? Ou encore de cet amoureux qui se suicide avec le pistolet de l'époux de sa bien-aimée après s'être repu de la douleur et de la culpabilité que son geste causera inévitablement à cette dernière? L'objectif principal de cette recherche est de démontrer que le phénomène d'autodestruction remarqué dans ces oeuvres est fondamentalement lié à un concept élaboré par Milan Kundera, la litost. Clochardisation, héroïsme et suicide ne seraient, du moins dans ces textes, que trois personnifications d'une seule et même chose ; la pire des défaites, une vengeance que l'on s'inflige à soi-même dans le dessein inavoué d'atteindre et de détruire l'autre, celui par qui souffrances et humiliation sont advenues. Par ailleurs, et ceci constitue la seconde visée de la démarche, il s'agit d'établir que l'autodestruction ravageant Lear, OEdipe et Werther n'est en fait que la conséquence d'une crise d'identité subie par chacun d'eux. S'ils réagissent aussi fortement, c'est qu'ils ont été atteints dans ce qui représente pour eux le souverain bien de la vie. C'est que, selon Charles Taylor, à qui est empruntée la notion d'identité, il existe un lien indéfectible entre identité et orientation éthique. Pour le héros shakespearien, le Droit divin des rois, discours faisant du roi l'égal de Dieu, constitue l'assise éthique de son individualité. Le concept prémoderne des vertus d'Âlasdair Maclntyre permet d'établir le cadre moral d'OEdipe et donc de discriminer les valeurs à la base de la société héroïque, tels le courage et la ruse, de celles qui prévalent au sein de la société athénienne du présent de l'auteur, sa créature chevauchant l'un et l'autre monde. Pour Werther, l'un des dignes précurseurs du discours romantique, le bien suprême se résume à être aimé par celle qu'il a choisi d'aimer. L'atteinte des objectifs formulés et les constats qui en découlent - les nuances dans la manière de gérer ce désir de vengeance et le questionnement relatif à la légitimité d'une cause présumant de la sagesse ou de l'immaturité des protagonistes - viennent reconnaître la pertinence d'appliquer et d'étendre à d'autres grands auteurs cette stratégie de lecture novatrice, amalgame des concepts de litost et d'identité et à l'origine élaborée par Mustapha Fahmi pour la critique de titans shakespeariens.
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La pire des défaites : identité et litost chez Sophocle, Shakespeare et GoetheBouchard, Sylvie January 2006 (has links) (PDF)
Les fondations de ce mémoire reposent sur l'examen de trois figures de la littérature universelle : Lear, OEdipe et Werther. Fruits du génie de Shakespeare, de Sophocle et de Goethe, ces personnages, confrontés à une force qui leur est supérieure, entrent dans un processus d'autodestruction qui ne semble avoir pour fin que l'assouvissement d'une vengeance. En effet, que penser de ce vieux monarque respecté de ses sujets, qui, après avoir donné les clés de son royaume en héritage puis s'être fait spolier par ses filles aînées, persiste à vouloir se dépouiller et s'enfonce dans la folie? Que dire de cet autre vieillard aveugle, roi jadis vénéré, que le désaveu de ses fils a poussé à l'errance et dont l'ultime volonté est d'offrir à Athènes sa dépouille, en guise de rempart et de protection aux assauts éventuels de sa Thèbes natale, cité où gouverne sa descendance? Ou encore de cet amoureux qui se suicide avec le pistolet de l'époux de sa bien-aimée après s'être repu de la douleur et de la culpabilité que son geste causera inévitablement à cette dernière? L'objectif principal de cette recherche est de démontrer que le phénomène d'autodestruction remarqué dans ces oeuvres est fondamentalement lié à un concept élaboré par Milan Kundera, la litost. Clochardisation, héroïsme et suicide ne seraient, du moins dans ces textes, que trois personnifications d'une seule et même chose ; la pire des défaites, une vengeance que l'on s'inflige à soi-même dans le dessein inavoué d'atteindre et de détruire l'autre, celui par qui souffrances et humiliation sont advenues. Par ailleurs, et ceci constitue la seconde visée de la démarche, il s'agit d'établir que l'autodestruction ravageant Lear, OEdipe et Werther n'est en fait que la conséquence d'une crise d'identité subie par chacun d'eux. S'ils réagissent aussi fortement, c'est qu'ils ont été atteints dans ce qui représente pour eux le souverain bien de la vie. C'est que, selon Charles Taylor, à qui est empruntée la notion d'identité, il existe un lien indéfectible entre identité et orientation éthique. Pour le héros shakespearien, le Droit divin des rois, discours faisant du roi l'égal de Dieu, constitue l'assise éthique de son individualité. Le concept prémoderne des vertus d'Âlasdair Maclntyre permet d'établir le cadre moral d'OEdipe et donc de discriminer les valeurs à la base de la société héroïque, tels le courage et la ruse, de celles qui prévalent au sein de la société athénienne du présent de l'auteur, sa créature chevauchant l'un et l'autre monde. Pour Werther, l'un des dignes précurseurs du discours romantique, le bien suprême se résume à être aimé par celle qu'il a choisi d'aimer. L'atteinte des objectifs formulés et les constats qui en découlent - les nuances dans la manière de gérer ce désir de vengeance et le questionnement relatif à la légitimité d'une cause présumant de la sagesse ou de l'immaturité des protagonistes - viennent reconnaître la pertinence d'appliquer et d'étendre à d'autres grands auteurs cette stratégie de lecture novatrice, amalgame des concepts de litost et d'identité et à l'origine élaborée par Mustapha Fahmi pour la critique de titans shakespeariens.
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Nation and its configuration : the (mis)representation of the Orient in the literary imagination of MelvilleRabhi, Wadia January 2005 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Kurtz in fact and fiction : an intertextual study of Heart of DarknessLagab, Zehra January 2003 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Arab Canadian writing : remapping homeBahri, Najla January 2003 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Automata and men : the shift towards a human ideal in the fiction of Wyndham LewisAmara, Ahmed January 2003 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Texte et péritexte dans le roman historique sur l'AntiquitéHélie, Monique January 2003 (has links)
Thèse numérisée par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Roland, chevalier du Christ : herméneutique chrétienne dans La chanson de RolandLapointe, Mélissa January 2004 (has links) (PDF)
Le présent mémoire a pour objet les relations citationnelles qu'entretiennent la Chanson de Roland et la Bible dans la perspective herméneutique d'une lecture à quatre niveaux de sens, telle que développée par les exégètes chrétiens du Moyen Âge. L'analyse est précédée d'une étude des circonstances entourant la composition du poème qui vise à mettre en lumière son inscription dans l'idéologie chrétienne et sa visée propagandiste. Il semble en effet que la Chanson puise son inspiration dans les légendes carolingiennes et les récits bibliques qu'elle renouvelle et modifie pour se construire à son tour. Le premier chapitre se veut une recherche sur les influences féodales, littéraires, mystiques et intellectuelles qui ont déterminé la composition de cette ?uvre unique aux origines énigmatiques. Il vise à démontrer que le poème de Roncevaux est le véhicule idéal pour servir l'idéologie chrétienne des Xle et Xlle siècles sous le couvert d'une chanson épique. Ainsi, le système féodal régit les faits et gestes des personnages de la Chanson. Charlemagne et ses chevaliers évoluent dans le décor du XIIe siècle. La littérature et l'histoire deviennent des sources inépuisables de contes, de légendes, de chansons et d'exploits qui parviennent à exciter de nouveau les passions et à ranimer le sentiment patriotique. Si le texte divertit les foules et soulève la classe chevaleresque, il sert aussi, de façon voilée, les intérêts des papes de l'époque. L'appel à la croisade se fait sous le patronage du roi-croisé Charlemagne. Suite aux discours religieux, une véritable renaissance carolingienne et le désir d'un salut assuré entraînent toute l'Europe dans une effervescence mystique. La Chanson de Roland fait miroiter les honneurs que les croisés peuvent acquérir en combattant en Terre sainte et en mourant en martyrs pour la gloire de Dieu.
Le deuxième chapitre s'applique à montrer que, derrière la trame anecdotique de la bataille de Roncevaux, plusieurs motifs bibliques sont interpellés. Lorsque des passages de la Chanson de Roland sont rapprochés de certains passages de l'Ancien et du Nouveau Testament, on s'aperçoit qu'ils agissent comme des citations et dissimulent dans le poème un message chrétien qui vise à diffuser un enseignement catéchétique et un appel à la croisade. Mais ces relations citationnelles doivent être envisagées non pas comme celles que définit l'intertextualité contemporaine, mais comme la citation telle que pratiquée au Moyen Âge et caractérisée par une plasticité extrême. Dans le poème, la citation se nourrit du discours chrétien de l'époque de la première croisade et de la Bible. Ces réminiscences ou récritures bibliques dévoilent un message évangélique très fort. Elles citent, mais elles réactualisent aussi, dans un contexte de croisades et de chevalerie, les passages bibliques, principalement ceux en lien avec les évangiles. Jésus et ses douze apôtres deviennent Charlemagne et ses douze pairs, Jérusalem devient Saragosse, etc. L'utilisation de citations bibliques et de réminiscences religieuses incontournables fait de la Chanson de Roland une ?uvre d'enseignement religieux et de renforcement catéchétique.
Le troisième chapitre élargit la perspective biblique et chrétienne de la Chanson de Roland et analyse le poème selon une autre pratique médiévale qui fut privilégiée par les exégètes du temps : la théorie des quatre sens de l'Écriture. Cette pratique, instaurée par les Docteurs et les Pères de l'Église, permet une compréhension du texte en fonction de quatre sens (littéral, allégorique, tropologique et anagogique). Le lecteur peut accéder à une lecture enrichie de différents niveaux de sens qui deviennent de plus en plus complexes à mesure qu'ils sont franchis. Même si la théorie des quatre sens favorise l'analyse de l'Écriture sainte, elle ne se limite pas exclusivement aux textes bibliques. Elle peut être appliquée à des textes laïques et dévoiler un horizon herméneutique beaucoup plus large que ce à quoi on pourrait s'attendre initialement. Cette théorie permet également de se pencher sur la question des différents publics au Moyen Âge. La hiérarchie des sens ouvre sur la possibilité de faire correspondre à chaque niveau un auditoire précis et de mieux comprendre la diversité des publics de cette époque. Finalement, la théorie des quatre sens met en évidence une herméneutique chrétienne très développée et lève le voile sur un poème résolument rassembleur et obstinément chrétien.
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L'objet du récitBrassard, Sarah-Emmanuelle January 2004 (has links) (PDF)
Nous sommes à l'aube d'un paradigme humaniste où la volonté sera de créer des objets à préoccupation sociale. Des objets où l'harmonie, le plaisir, le mieux-être et l'accomplissement de soi prennent une place importante. Le récit de l'objet participe à cette tradition humaniste du design par la volonté d'apporter un mieux-être à la condition humaine. Mes principales préoccupations sont : la perte de qualité des objets de design ; la perte de la durabilité esthétique des objets due à la surconsommation des biens ; le design orienté uniquement vers la consommation et enfin, la mise au rebut d'objets. Pour diminuer ces phénomènes, j'ai recherché et expérimenté différents moyens pour amener l'utilisateur de l'objet à développer une relation particulière avec celui-ci.
Ce qui est le plus présent dans ma démarche de création, c'est la recherche d'un moyen de faire surgir la sensibilité de l'individu à travers une conception de nature utilitaire (un système d'objets, un environnement, une architecture, un processus, etc.) en m'efforçant de trouver les meilleurs outils pour me diriger vers la compréhension de l'autre, et de sélectionner les critères de création qui en découlent. Les objets que je conçois ont comme principale caractéristique d'être des outils conçus pour l'accomplissement personnel de l'individu qui les utilise.
Toujours dans l'espoir d'apporter un mieux-être à l'utilisateur de l'objet, la problématique qui m'intéressait à la maîtrise était de répondre à la quête fondamentale d'un individu, c'est-à-dire le projet personnel pouvant être présent depuis l'enfance, par la conception d'un objet de nature utilitaire. La méthodologie utilisée pour ce projet est l'analyse phénoménologie structurale. Cette méthode stipule que notre essence est, de façon spontanée et inconsciente, imprégnée dans chacun des gestes ayant transformé de façon intentionnelle la matière. Pour moi, il s'agissait de saisir cette essence et possiblement de cibler ce qui la motive pour concevoir des objets près de l'identité de leur utilisateur.
Ce travail se dresse à partir d'un projet fondamental d'un individu, mais je souhaite qu'il se développe dans d'autres dimensions en utilisant le même procédé : il peut s'élargir vers une analyse d'objets appartenant à des individus issus d'une même société dans le but de comprendre leur identité culturelle et personnelle et d'élaborer des outils de développement durable de leur identité culturelle.
L'objet est l'interlocuteur idéal, il est un langage, c'est celui de la magie de l'individu mais aussi celui des civilisations. L'objet est un médiateur entre tous les acteurs d'une société où l'art du beau est d'abord constitué de l'art de vivre au quotidien. L'expérience sensible de l'objet est non seulement une médiation entre l'objet et son utilisateur, mais aussi entre l'utilisateur et son environnement. L'objet démontre la complexité des relations entre l'être humain et entre les influences multiples qu'ont ces derniers. L'histoire d'une joie, d'une souffrance, d'une carence, d'une nouvelle dimension, d'un pan de mémoire personnelle ou sociale. Pour la société, cette nouvelle dimension est la poésie, et l'objet poétique est un récit, il raconte une histoire au monde.
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Les mondes possibles du Nom de la rose / : mémoire présenté à l'Université du Québec à Chicoutimi comme exigence partielle de la maîtrise en études littéraires par Lyne Girard.Girard, Lyne January 2004 (has links) (PDF)
Ce mémoire propose une lecture du roman le Nom de la rose (1982), d'Umberto Eco, déployée sur quatre lectures complémentaires. Ces lectures sont balisées par une double articulation, soit, d'une part, en fonction d'un relais de lecteurs (personnage, narrateur ou auteur supposé), et, d'autre part, en fonction des quatre sens proposés par l'exégèse biblique pour la lecture des textes sacrés au Moyen Age (sens littéral, sens allégorique, sens moral et sens anagogique).
Le relais de lecteurs est une caractéristique fondamentale du récit, puisque chacun de ces lecteurs portera un regard différent sur les événements racontés dans le roman. D'abord, Guillaume de Baskerville, franciscain et empiriste, s'étant rendu dans une célèbre abbaye italienne pour servir l'empereur, se voit confier par l'abbé de l'abbaye en question la mission de résoudre une sombre affaire de meurtre. Il s'emploiera à lire les traces laissées par les victimes et le meurtrier présumé, sur le parchemin du monde, pour trouver réponses à ses interrogations. Son second, un jeune novice du nom d'Adso de Melk, s'efforcera de suivre les raisonnements de son maître. Cependant, sa lecture des événements sera d'un tout autre ordre et il vivra des expériences contradictoires qui le lanceront dans une quête d'identité et de vérité. C'est par l'entremise de la vision, de l'hallucination et du rêve qu'il organisera son interprétation des événements et résoudra en partie sa quête. L'ensemble des événements est rendu par Adso de Melk (donc le narrateur), alors âgé de 80 ans. Il a pris du recul et porte un nouveau regard sur les événements passés. C'est à l'approche de la mort qu'il se sent enfin prêt à rendre témoignage des expériences vécues lors de son passage dans l'abbaye bénédictine. Finalement, à notre époque, une traduction française du manuscrit de Dom Adso de Melk tombe entre les mains d'un jeune écrivain féru du Moyen Age qui, après s'être questionné sur l'authenticité des événements racontés, décide de publier sa traduction italienne du récit sous la forme du roman le Nom de la rose.
Ces lectures ont respectivement été jumelées aux quatre sens de l'exégèse biblique : Guillaume de Baskerville à la lecture littérale; le jeune Adso à la lecture allégorique; le vieil Adso à la lecture morale; le jeune écrivain à la lecture anagogique. La succession des lecteurs est illustrée à l'aide de la théorie de la coopération textuelle proposée par Eco dans Lector in Fabula (1985), coopération s'instituant entre le lecteur et le texte (ou les événements) et conduisant le lecteur à assumer sa lecture en traversant une sorte de point limite, qu'Eco nomme le lecteur-sur-le-seuil {les Limites de l'interprétation, 1992), pour devenir auteur et être lu à son tour.
L'addition de ces lectures conduit à une vision différente du roman le Nom de la rose. Elle permet de percevoir le récit comme une représentation romanesque de la problématique de l'écriture d'un livre.
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