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Kant's justification of moralityDiehl, Christiane January 2006 (has links)
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Origin and becoming : anticipation, orientation and creatureliness in the work of Walter Benjamin, Hermann Cohen, Franz Rosenzweig and Hugo von HofmannsthalLambrianou, Nickolas Alexander January 2006 (has links)
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Kant's theory of progressMcCloughan, Meade Jonathan Bruce January 2004 (has links)
My topic is Kant’s theory of historical progress. My approach is primarily textual and contextual. I analyse in some detail Kant’s three most important essays on the topic: ‘Idea for a Universal History’, the third part of ‘Theory and Practice’ and the second part of The Conflict of the Faculties. I devote particular attention to the Kant-Herder debate about progress, but also discuss Rousseau, Mendelssohn, Hegel and others. In presenting, on Kant’s behalf, a strong case for his theory of progress, I address the main objections which have been put to it. These are: (i) historical teleology is incoherent (history can’t have a goal because there is no intentional actor functioning at the historical level); (ii) historical teleology undermines morality (if things are getting better anyway, why do I have to try to make them better?); (iii) progress involves ‘chronological unfairness’ (if things are getting better, doesn’t this mean that earlier generations get a raw deal?); (iv) progress consigns the species to ‘spurious infinity’ (isn’t endless improvement endlessly unsatisfactory?); (v) progress amounts to pernicious homogenization (doesn’t the elimination of traditional practices and values impoverish our world?); (vi) the idea of progress is just ‘secularized’ religion (and should be rejected accordingly). In relation to (vi), I consider the Löwith-Blumenberg debate, and draw some general conclusions about the issue of ‘secularization’. In relating these to Kant, I argue for the following position: (a) his theory of progress is more than merely secularized religion; (b) to the extent that it can be described in terms of the secularization thesis, this reflects his ‘critical’ endeavour to rationalize Christianity; (c) in any case, the idea of progress by no means exhausts the rational potential of religion, and so should not be seen as intended to replace the latter.
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Kant, philosophe français du XIXe siècle : entre science, philosophie et épistémologie / Kant, French philosopher of the 19th century : between science, philosophy and epistemologyBraverman, Charles 30 November 2017 (has links)
Les études kantiennes peuvent se pencher sur l’œuvre de Kant, mais aussi sur sa réception et la manière dont le kantisme a contribué à faire surgir des réflexions philosophiques originales. Cette thèse explore cette deuxième voie, à travers le prisme particulier des circulations entre science, philosophie et épistémologie. Il s’agit de rendre compte de la manière dont des savants ont compris et utilisé Kant, au XIXe siècle en France. Ampère, Brunschvicg, Comte, Couturat, Gergonne, Lacroix, Léchalas, Littré, Milhaud, Poincaré, Renouvier, Rey, Ribot, Paul Tannery, Wronski et Wyrouboff sont quelques exemples de penseurs plus ou moins connus ayant une formation scientifique et faisant usage de Kant. Toutefois, plutôt que de proposer une suite rhapsodique d’études consacrées à ces savants, cette thèse suit les principaux réseaux de circulations des images et usages du kantisme tout au long du XIXe siècle en France. De l’Académie de Berlin aux revues francophones de la fin du siècle, une institutionnalisation des références à Kant se met progressivement en place et elle implique de nombreuses interfaces entre science, philosophie et épistémologie. Kant est utilisé notamment pour souligner l’activité du sujet dans la constitution de la connaissance et pour poser le problème épistémologique de la correspondance des représentations avec la réalité. Ainsi, le réalisme est mis en tension. Plusieurs savants s’emparent du kantisme pour construire des options philosophiques originales repensant les liens et les oppositions entre empirisme, idéalisme et scepticisme. Par exemple, un réalisme structural associé à une réflexion sur la croyance et sur les probabilités émerge dès le début du XIXe siècle. On le retrouve, sous des formes variées, chez Ampère, Cournot ou encore Tannery. Par ailleurs, le kantisme sert de creuset philosophique pour penser le fondement des sciences. La géométrie et l’arithmétique sont au centre des débats. C’est particulièrement vrai à la fin du siècle, avec la renaissance des géométries non-euclidiennes et le développement des liens entre mathématiques et logique. Ces problématiques ont des racines plus anciennes et les matrices des usages de Kant émergent dès le début du siècle. Enfin, il n’est pas rare d’observer que les savants utilisent Kant dans des analyses portant sur la mécanique rationnelle ou encore sur la cosmologie. De manière générale, la présente étude rend compte de la manière dont les références à Kant fonctionnent pour penser ces sciences. En définitive, il s’agit de manifester que Kant est un acteur français décisif de l’épistémologie et de la philosophie des sciences de tout le XIXe siècle / Kantian studies can look at Kant’s body of work, as well as the way it was received and how it has contributed to the emergence of original philosophical reflections. This thesis examines the latter path, through the peculiar prism of circulation between science, philosophy and epistemology. The goal is therefore to show how scholars understood and used Kant. Ampère, Brunschvicg, Comte, Couturat, Gergonne, Lacroix, Léchalas, Littré, Milhaud, Poincaré, Renouvier, Rey, Ribot, Paul Tannery, Wronski and Wyrouboff are but a few examples of more or less renowned thinkers with a scientific education who used Kant. However, rather than offering a litany of studies dedicated to these scholars, this thesis follows the main circulation networks of pictures and uses of Kantianism all through the XIX century in France. From the Prussian Academy of Sciences to the Francophone reviews at the end of the century, references to Kant were being more and more institutionalized, which implied many interactions between science, philosophy and epistemology. However, Kant was notably used to acknowledge the importance of the subject’s activity in constituting knowledge and to raise the epistemological issue of correspondence between representations and reality. The concept of realism was then given a bit of a stretch. Several scholars seized Kantianism to build up original philosophical options, which rethought the connections and oppositions between empiricism, idealism and skepticism. For instance, a form of structural realism associated with a reflection on belief and probabilities appeared as soon as the beginning of the XIX century. It can be found, for example, under various forms in Ampère, Cournot or even Tannery. Moreover, Kantianism was used as a philosophical melting pot to think out the founding principles of sciences. Geometry and arithmetic were at the heart of the debates. It was especially the case at the end of the century, thanks to the rebirth of Non-Euclidian geometries and the development of links between mathematics and logic. However, these problematics had roots that were older and the matrices of Kant’s uses emerged as soon as the beginning of the century. Finally, it is not uncommon to observe that scholars used Kant to think out rational mechanics or even cosmology. As such, this study reports how references to Kant worked to think out these sciences. According to these perspectives, Kant is indeed an influential actor in epistemology and philosophy of science in the XIX century in France
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L'actualité de l'héritage philosophique de Kant dans la construction d'une paix durable pour le développement de l'Afrique des Grands Lacs / The currency of Kant's philosophical legacy in building a lasting peace for the development of Africa Great LakesNabirire, Musa 24 September 2013 (has links)
La pacification de l’Afrique des Grands Lacs mise à feu et à sang au cours de ces deux dernières décennies est le but ultime de cette thèse. Face au revers qu’ont connu plusieurs initiatives visant à mettre fin aux violences dans cette région, notre préoccupation a été de chercher dans le kantisme une nouvelle raison d’espérer. Ainsi, ce travail tente de montrer comment l’héritage philosophique de Kant peut contribuer au rétablissement de la paix et au développement au Rwanda, au Burundi et en République Démocratique du Congo, trois pays de cette région, meurtris par des guerres. Notre démarche a été d’examiner la pensée morale et politique de Kant dans laquelle nous avons trouvé les fondements de son modèle, élaboré dans un contexte de guerres en Europe. La discussion sur sa réception et la montée du nationalisme stigmatisant le cosmopolitisme kantien, nous a conduit à établir un lien entre la promotion, par le régime nazi, de la race aryenne supposée être supérieure à d’autres et considérée comme modèle d’organisation sociale, et la propagation des préjugés similaires par l’administration coloniale en Afrique des Grands Lacs postulant la suprématie des Tutsi « faits pour régner » sur les Hutu et les Twa, simples nègres voués à la servitude. Instrumentalisé par les politiques soucieux de conquérir le pouvoir, ce « jugement raciste », sans fondement, sera une des causes de l’hécatombe génocidaire dans laquelle seront engouffrés le Rwanda et le Burundi avant d’étendre ses effets sur le Congo où les conflits prendront une dimension économique et impliqueront plusieurs pays africains et d’autres acteurs non africains. Cependant, capitalisant la réémergence du cosmopolitisme reprise par les fondateurs de la SDN et ceux de l’ONU, nous avons souligné la pertinence de la coopération et l’articulation des différences comme préalable à une paix durable. Avec Ricœur et Arendt, deux post-kantiens, nous avons lancé les jalons de réconciliation dans les trois pays, en nous référant à l’expérience franco-allemande et sud-africaine. Nous avons souligné l’importance de la réforme des institutions onusiennes et celles des États de la région pour qu’à travers le républicanisme naisse l’état de droit. L’hospitalité exprimée par le cosmopolitisme et le commerce international dans la pensée kantienne, se traduirait par la coopération interétatique et la fusion des organisations régionales en une union économique et monétaire qui poserait les bases d’une fédération d’États africains et garantirait une paix durable sur le continent et dans la région des Grands Lacs. / The pacification of the African Great Lakes plagued by violence during these last two decades is the ultimate goal of this thesis. After the failure of several initiatives to end violence in the region, our concern was to look in the Kantism a new reason to hope. Thus, this work attempts to show how the philosophical legacy of Kant can contribute to peace and development in Rwanda, Burundi and the Democratic Republic of Congo, three countries of the region ravaged by wars. Our approach has been to consider the moral and political thought of Kant in which we found the foundations of this theory of peace developed in the context of wars in Europe. The discussion of its receipt and the rise of nationalism stigmatizing the Kantian cosmopolitanism, has led us to establish a connection between the promotion by the Nazi regime of the aryan race supposed to be superior than others and considered as a model of the social organization, with the spread of similar prejudices by the colonial administration in the African Great Lakes applicant Tutsi supremacy "created to rule " the Hutu and Twa, simple doomed to slavery negroes. Exploited by politicians anxious to gain power, this "racist judgment," unfounded, will be one of the causes of the genocidal massacre in which will be engulfed Rwanda and Burundi before extending its effects on the Congo, where conflicts will take an economic dimension and involve a number of African countries and other non-African actors. However, capitalizing the reemergence of cosmopolitanism recovery by the founders of the League of Nations and those of the UN, we have stressed the relevance of cooperation and articulation of differences as a precondition for lasting peace. With Ricœur and Arendt, two post-Kantians, we launched the foundation for reconciliation in the three countries, referring to the Franco-German and South African experience. We stressed the importance of the reform of the UN institutions and states of the region so that through the republicanism the state of law should be promoted. The hospitality expressed by cosmopolitanism and international trade in the kantian thought, would result states’ cooperation and the gathering of regional organizations in an economic and monetary union which would lay the foundation of a federation of African states and ensure a lasting peace on the continent and in the Great Lakes region.
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