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Walkthrough : videogames and technocultural form

Giddings, Seth January 2006 (has links)
No description available.
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From lifestyle media to lived practice : an ethnography of class, gender and ordinary gardening

Taylor, Lisa January 2004 (has links)
No description available.
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Ludologie : jeu, discours, complexité / Ludology : play, rethoric, complexity

Solinski, Boris 19 October 2015 (has links)
Considérer le jeu comme un acte, c’est lui prêter une intention et une finalité. Sa problématique est donc moins son identification en tant que jeu, évidente à chacun, que la communication de l’idée de ce qui se joue : « Qu’est-ce donc que le jeu ? Si personne ne me demande, je le sais ; mais que je veuille l’expliquer quand on me demande, et je ne sais plus. » (L. Wittgenstein). Plus que le jeu, c’est son discours qui est l’objet de notre étude, c’est-à-dire cette dynamique qui implique l’acte de jouer et fait de l’homme un joueur, et qui se situe dans l’aire intermédiaire d’expérience (D. Winnicott). Un discours à l’interface du discours de l’homme sur le jeu et du discours du jeu sur l’homme, autrement dit un discours du ludique : une ludologie. Approcher le jeu tel qu’il se dit, depuis l’implicite de la mythologie à l’explicite de la littérature ou de la pensée épistémique du jeu, c’est mettre l’accent sur les valeurs qu’il véhicule et par lesquelles on le reconnaît, puisque le jeu n’est pas une forme mais une modalisation : « ce qui pour nous est en train de se passer » (E. Goffman).A partir des fonctions du jeu, il est possible d’organiser le discours du ludique et de dépasser ainsi le simple champ d’étude pour mettre en place un cadre de compréhension ludologique. Ce cadre n’est pas plus la sélection d’un discours par rapport à un autre que la création d’un nouveau discours, mais bien l’articulation des discours du jeu et sur le jeu, pour dégager moins des éléments constitutifs que la cohérence de leur dialogue (S. Genvo), reflet de la dynamique du jeu qu’est le ludique. En effet, dans une perspective complexe (E. Morin), tous ces discours du jeu se contredisent moins qu’ils ne se complètent et se fécondent, à condition de les envisager potentiellement, c’est-à-dire dans ce que chacun est susceptible de « dire » des autres. En tant que discours du discours du jeu, la ludologie est donc l’homothétique de celui-ci, à l’interface de l’homme et de son jeu, de la narration et de la simulation, du temps et de l’espace où la potentialité qu’ouvre le jeu à l’homme se réalise dans le choix qui n’appartient ni tout à fait à l’un ni tout à fait à l’autre, mais dont l’interaction rend enfin possible « l’exercice d[es] possible[s] » (J. Henriot), offrant au jeu, par l’accomplissement de l’homme, sa condition comme sa finalité : son caractère ludique en tant que synonyme de plaisir.Ainsi, en entreprenant le jeu humain d’un point de vue communicationnel et sémiotique, il est possible d’en dégager la spécificité et la portée qu’incarne le ludique, et plus encore du discours de celui-ci qu’est la ludologie en tant que mode de connaissance prospectif, projectif, créatif et expérientiel à même d’enrichir les sciences humaines et sociales. / Considering play as an act is assigning it intent and purpose. Its problem is less its identification as play, obvious to everyone, that a problem of communicating the idea of what is being played: « So, what is play ? If no one asks me, I know; but if I want to explain when people ask me, I do not know anymore. » (L. Wittgenstein). More than play, this is a rethoric which is the topic of our research, that is to say this dynamics that involves the act of playing and makes human a player belongs to the intermediate area of experience (D. Winnicott). A rethoric at the interface between human rethoric of play and play rethoric about human, a playful rethoric of the ludic way : a ludology.Approaching play as it express itself, from implicit to explicit, from mythology to literature or epistemic thought about play, leads to focus on the values that play conveys and through it can be recognized, since play is not a form but a modalization: « what we believe is happening » (E. Goffman).From the functions of play, it is possible to organize the playful rethoric and, beyond the simple field of study, to develop a framework of ludologic understanding. This framework no more favours a rethoric over another nor the creation of a new rethoric, but definitely the articulation of the rethorics of play, not emphasizing components but the consistency of their dialogue (S. Genvo), consequence of the dynamics of the ludic way. Indeed, from a complex perspective (E. Morin), all theses rethorics of play do not contradict but complement and fertilize each other, provided we consider them potentially, for what each is likely to point out from the other.As rethoric of play rethoric, ludology is its homothetic, at the interface of human and his play, narration and simulation, time and space where the potentiality that play opens to human is realized in the choice that does not belong entirely to one or to the other, but whose interaction finally makes possible « the exercise of possibilities » (J. Henriot), providing the play, with the accomplishment of human, its condition as its purpose: its playful feature as synonymous with fun.So, undertaking play from a communicational and semiotic point of view makes possible to identify the specificity and scope of human play that embodies the ludic way. Ludology is this rethoric of the rethoric of play as a prospective, projective, creative and experiential way of knowledge that enriches human and social sciences.
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Des jardinier.e.s partagé.e.s entre discours et pratiques : du lien social à l'entre-soi / Gardeners and shared gardens, a theoritical and practical view : social tying or in-grouping ?

Mestdagh, Léa 20 November 2015 (has links)
Centrée sur l’étude de plusieurs jardins partagés parisiens et de proche banlieue, cette thèse se propose de questionner les discours – institutionnels, associatifs, et des jardinier.e.s eux.elles-mêmes – présentant ces jardins comme des lieux de création de lien social. L’enquête de terrain, mêlant observation participante, questionnaires et entretiens semi-directifs, révèle que ces jardins constituent des espaces d’entre-soi, fréquentés par des acteur.rice.s proches, en particulier en termes de positions sociales, de niveaux de diplômes et de pratiques culturelles et de loisirs. Si des liens peuvent émerger dans et par ces jardins, leur portée reste ainsi limitée par le fait qu’ils se créent presque exclusivement entre les membres des collectifs, sélectionné.e.s socialement. L’enjeu de cette thèse est donc de mettre à l’épreuve du terrain l’inadéquation entre les éléments de discours recueillis et les pratiques effectives des acteur.rice.s. Ce travail se situe dans une réflexion plus large à propos du lien social contemporain caractérisé par sa nature élective. Il soulève aussi la participation des collectifs associatifs aux stratégies d’appropriation de l’espace et aux processus ségrégatifs en jeu dans les territoires urbains, en particulier la gentrification en cours à Paris et dans les communes de proche banlieue. / The aim of this thesis is to question the statement - given by Institutions, associations and gardeners themselves - of shared gardens being a source of social ties building. Built upon a field study of both parisian and suburbian shared gardens, this thesis intends to underline the contradiction that exists between what is claimed by gardeners and what the observation of their actual practices tends to reveal. Mixing participant observations, questionnairs and semi-structured interviews, this social survey reveals shared gardens to be in fact ingroup spaces visited by people rather close in terms of social status, education level and cultural practices. If social ties undeniably find their origin from these gardens, they extend only to socially selected members within local associations. From a more global perspective, this work aims to caracterise contemporary social ties as elective in their nature. It also stresses the role of local associations in both public space appropriation and segregation processes within urban territories – the growing gentrification of Paris and its suburbian area being a significant outcome of it.

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