• Refine Query
  • Source
  • Publication year
  • to
  • Language
  • 8
  • 4
  • 2
  • 1
  • Tagged with
  • 13
  • 13
  • 13
  • 10
  • 7
  • 5
  • 4
  • 4
  • 4
  • 4
  • 3
  • 3
  • 3
  • 3
  • 3
  • About
  • The Global ETD Search service is a free service for researchers to find electronic theses and dissertations. This service is provided by the Networked Digital Library of Theses and Dissertations.
    Our metadata is collected from universities around the world. If you manage a university/consortium/country archive and want to be added, details can be found on the NDLTD website.
11

A comparison of treatment response in two cohorts of once daily HAART and twice daily HAART in a sample population in Gaborone, Botswana

Seleke, Rachel 12 1900 (has links)
Thesis (MFamMed) -- Stellenbosch University, 2012. / ENGLISH ABSTRACT: Background Sub-Saharan Africa has been hard hit by the HIV/AIDS epidemic with an estimated 22.9 million adults infected in 2010. The advent of antiretroviral therapy (ART) has seen significant reduction in mortality from AIDS related illnesses. With the reduction of mortality and the indisputable positive results seen from the use of Anti-retroviral Treatment (ART), the demand both from people living with HIV and health care providers to phase in less toxic ARVs while maintaining simplified fixed-dose combinations has increased considerably. Botswana like most low-resource countries has adapted the WHO recommendation of daily ART as opposed to the previous twice daily HAART. No evidence from resource limited settings has been found that clearly indicates the superiority of regimens based on AZT, d4T or TDF. Aim The primary aim was to compare treatment response between two cohorts. The secondary aim was to compare any association of regimen to age or gender. Objectives To comparatively determine treatment response at 3 months based on immunological response (shown by an increase in CD4 above pre-therapy levels) and viral load response. Methods The study is a retrospective comparative cohort study. Three ART sites were selected from a total of 6 sites. A sample size of 263 was required to achieve a 90% effect power. An equal number of patient records were reviewed per site and each arm had an equal number of reviewed records. A total of 286 patient record files which fit the inclusion criteria were retrospectively analysed and data entered in Excel before being analysed using Statistica Version 10. A p <0.05 represents statistical significance whilst a 95% confidence interval was used for estimation of unknown variables. Results n=263. The overall sample was predominantly male (75.19%). An overwhelming majority (95.88%) of patients in both arms had undetectable viral loads (VL<400). A significant association was found between the regimen and viral load (p=0.0315-Pearson Chi Test). The difference in CD4 between the two arms was not statistically significant (p=0.655890-ANOVA). A positive association was found between the regimen and gender (p=0.03190-Pearson Chi Test). This was possibly owing to the high numbers of males and no statistical adjustment to gender made. No association was found in the difference in CD4 cell counts for regimen and gender (p=0.612191-Anova). Conclusion Treatment response at 3 months post initiation between once daily and twice daily HAART in Gaborone Botswana by use of virologic and immunologic response has been shown to be comparable. The use of one regimen over the other as first line as recommended by WHO and the subsequent adoption of the current first line regimen by the Botswana Ministry of Health may be justified. This study has therefore reinforced the applicability of previous findings in other settings of this recommendation. As part of the targeted audience and indeed as a partner in the care and management of HIV, the responsibility to ensure applicability of the recommendations set out for resource limited areas has been achieved through this study. However, bigger randomized trials in resource limited settings are needed to justify and accredit these findings as well as add to the evidence obtained in developed countries.
12

Determinants of excellent and poor adherence to antiretroviral therapy in Barberton

Chikoka, Tariro 10 1900 (has links)
Background: South Africa has a generalised HIV epidemic which is managed through free Antiretroviral Therapy (ART). Adherence to ART has emerged as a crucial issue in HIV/AIDS therapeutics. Purpose: The aim of the study was to explore determining factors for poor and excellent adherence to ART for HIV positive patients residing in Barberton, a mining town in Mpumalanga Province. Methodology: A generic qualitative research design was undertaken. Data was collected through in-depth qualitative interviews from a purposive sample of 13 ART patients. Qualitative interpretive analysis was employed. Findings: The study found that excellent adherence to ART is significantly associated with the availability, effectiveness and comprehensiveness of HIV services, psychological support and medical advances. Side effects of ART, opportunistic infections and alcohol and drug use hinder adherence. However, longer duration on ART enhanced self-efficacy and facilitated adherence. Successful ART is dependent on taking ARVs as prescribed and executing necessary lifestyle changes. / Health Studies / M.P.H.
13

Prévention de la transmission du VIH-1 par le lait maternel au Rwanda et dépistage précoce des enfants infectés

Peltier, Cécile 22 November 2012 (has links)
Ce travail est réparti en deux parties différentes issues de deux études différentes.<p>La première partie décrit l’étude AMATA conçue en 2005 au Rwanda, étude prospective basée sur le suivi d’une cohorte répartie en deux groupes d’intervention postnatale. Cette étude avait pour objectif de tester l’hypothèse que l’allaitement maternel (AM) sous trithérapie antirétrovirale maternelle (HAART) pouvait être une prévention aussi efficace que le lait artificiel (LA) afin de réduire drastiquement la transmission du virus VIH de la mère à l’enfant avec une moindre mortalité infantile. Cette intervention permettait de préserver les avantages de l’AM, connue pour offrir une prévention naturelle minimisant les infections graves, en particulier les gastro-entérites et diminuant le taux de malnutrition protéino-énergétique (MPE). Dans la cohorte « AMATA », un groupe d’enfants était allaité exclusivement durant six mois, les mères étant sous trithérapie antirétrovirale systématique et un autre groupe d’enfants était nourri au LA durant les six premiers mois de vie. L’intervention débutait durant la grossesse à partir de la 28ème semaine d’âge gestationnel, une trithérapie antirétrovirale étaient donnée à toutes ces femmes enceintes infectées par le VIH participant à l’étude, quel que soit leur stade immunitaire ou clinique. Cette trithérapie était poursuivie à vie pour les femmes nécessitant cette combinaison de traitements antirétroviraux pour des raisons cliniques et/ou immunitaires et non poursuivie pour les autres femmes, avec un schéma d’interruption minimisant les résistances aux ARVs. <p>Les critères d’évaluation de comparaison des deux interventions postnatales étaient la survie à 9 mois des enfants non infectés, le taux d’infection par le VIH et la mortalité des enfants dans chaque groupe. La présence de facteurs confondants a été recherchée en effectuant une analyse de variance car la randomisation était impossible pour des raisons éthiques. <p> Dans l’étude AMATA, parmi les 532 enfants inclus, 227 (43%) étaient allaités et 305 (57%) recevaient du LA, 7 enfants furent infectés par le VIH (1,3%) dont 6 in utero (3 enfants par groupe). Un enfant fut infecté par l’AM correspondant à un risque cumulatif postnatal de 0,5% [IC95% 0,1–3,4%; P 0,24]. Ce taux de transmission reste parmi les plus bas dans un pays à ressources limitées même en comparant avec d’autres études où la trithérapie fut aussi utilisée durant l’AM. Ces études furent publiées après le début de l’enrôlement des patientes dans l’étude rwandaise AMATA en 2005. <p>La différence de mortalité à 9 mois n’était pas statistiquement différente dans les 2 groupes avec 3,3% (95% IC 1,6–6,9%) pour les enfants allaités et 5,7% (95% IC 3,6–9,2%) pour les enfants recevant du LA (P= 0,20). <p>Cette étude renforce la notion que l’AM sous trithérapie antirétrovirale (HAART) reste une approche à recommander dans les contextes où la mortalité infantile est élevée. Cette prévention postnatale permet non seulement de réduire très efficacement la transmission du VIH de la mère à l’enfant en préservant les avantages de l’AM et en évitant les risques du LA distribué dans des contextes d’hygiène précaire où un accès à l’eau potable est difficile. <p>Dans cette étude, l’efficacité de ces 2 interventions postnatales était comparable avec des taux de transmission et de mortalité semblables statistiquement.<p> <p> <p> La deuxième partie de ce travail, basée sur les résultats d’une cohorte d’enfants âgés de moins de 18 mois nés de mères infectées par le VIH permettait d’évaluer les signes cliniques présomptifs proposés par l’OMS en 2005. Ces signes <p>étaient créés afin de pouvoir effectuer le diagnostic clinique d’infection par le VIH chez les enfants exposés au virus VIH <p>dans les pays où les techniques moléculaires de PCR n’étaient pas accessibles. Les enfants nés de mères infectées par le <p>VIH gardent parfois des anticorps anti-VIH maternels jusqu’à l’âge de 18 mois sans être pourtant contaminés par le VIH/SIDA. Avant cet âge, la confirmation de l’infection par le VIH repose sur la démonstration de la présence d’ADN proviral ou ARN par la technique PCR. La mortalité précoce des nourrissons infectés par le VIH est élevée, il est important de pouvoir bénéficier d’ARVs dès le diagnostic précoce de l’infection.<p>Les signes cliniques de présomption d’infection par le VIH chez l’enfant exposé (sérologie VIH +) de moins de 18 mois ont été proposés en 2005 par l’OMS et modifiés en 2006 mais ne furent jamais évalués. <p>Cette étude transversale comprenant 236 enfants de moins de 18 mois ayant une sérologie VIH positive consistait à évaluer la sensibilité (76,6%) et la spécificité (52,7%) de ces signes cliniques en confirmant leur statut infectieux réel par le test PCR pour le VIH, test de référence. <p>Cette spécificité basse inquiétante était liée aux enfants présentant des signes cliniques similaires bien que non infectés par le VIH mais souvent carencés par manque d’apport calorique et/ou souffrant d’une forme avancée de tuberculose extra pulmonaire ou d’autres affections chroniques. Ces enfants cachectiques pouvaient présenter les mêmes signes cliniques que les enfants infectés par le VIH car ils avaient une baisse de leur immunité cellulaire due à la MPE. <p><p> Dans la première partie de ce travail, l’étude AMATA a montré 2 façons efficaces de diminuer la transmission du VIH de la mère à l’enfant.<p> Dans la deuxième partie, on a évalué une méthode de diagnostic clinique précoce proposé par l’OMS afin de détecter les enfants infectés par le VIH en l’absence de test virologique PCR mais la basse spécificité indique la nécessité d’améliorer cette méthode diagnostique.<p> / Doctorat en Sciences médicales / info:eu-repo/semantics/nonPublished

Page generated in 0.07 seconds