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Communication financière volontaire des sociétés françaises sur l'actif immatériel et sa perception par le marché / Financial communication and market perception of french companies communicating on intangible assetsGuyot, Malgorzata 07 April 2010 (has links)
Cette étude a pour objectif d'explorer et de mieux comprendre cette communication financière volontaire de sociétés françaises sur l'actf immatériel. Tout d'abord, à travers une analyse de contenu, nous découvrons les thèmes abordés par les entreprises. Nous nous interrogeons également sur l'intensité du contenu quantitatif, qui malheureusement s'avère relativement faible. Ensuite, l'analyse factorielle des correspondances nous permet de constater que les sociétés adaptent leur communication en fonction de leur taille et de leur secteur d'activité. Les grandes sociétés semblent mettre l'accent sur leur réputation et leur position sur le marché tandis que les plus petites soulignent leurs compétences et leur savoir-faire. Par ailleurs, les thèmes de communication restent cohérents avec la nature de l'activité des sociétés. Enfin, dans l'objectif de confronter cette communication avec la perception du marché, nous menons une observation participante au sein d'un bureau d'analystes financiers. Cette dernière étude nous permet de remarquer que les analystes sont effectivement à la recherche de données chiffrées et qu'ils doivent souvent faire face à l'absence de ce type de données. Cependant, ils sont également capables d'intégrer dans leurs analyses les données qualitatives. Mais elles sont intégrées de manière plus intuitive. Une meilleure prise en compte de l'actif immatériel dans les méthodes de mesure permettrait aux entreprise de mieux répondre aux besoins du marché et ainsi d'augmenter la rentabilité des actions de communication financière qui sont souvent coûteuses / The purpose of this study is to explore and to better understand how French companies manage their voluntary communication on intangible assets. First of all, we peform a content analysis in order to discover the most frequent themes of this communication. We also examine the intensity of quantitative data which appears to remain quite limited. The second study is based on a factor analysis. This part of our research finds that companies adapt their communication depending on their market capitalisation and business sector. Big firms underline their reputation and market shares while small companies are more tempted to communicate on their skills and know-how. There is also a coherence between the themes of communication and the nature of company business. Finally, an observant participation performed in a team of financial analysts aims at comparing provided communication with market needs. On the basis of the results of this study, we can confirm that financial analysts are looking for quantitative data. Unfortunately, they are frequently obliged to deal with the absence of this type of information. In the face of this situation, they are able to include qualitative data in their analysis. But this task requires a lot of good intuition. More developed measure methods of intangible assets would let companies more easily meet market informational needs and consequently increase the profitability of financial communication which frequently remains expensive
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Communication financière volontaire des sociétés françaises sur l'actif immatériel et sa perception par le marchéGuyot, Malgorzata 07 April 2010 (has links) (PDF)
Cette étude a pour objectif d'explorer et de mieux comprendre cette communication financière volontaire de sociétés françaises sur l'actf immatériel. Tout d'abord, à travers une analyse de contenu, nous découvrons les thèmes abordés par les entreprises. Nous nous interrogeons également sur l'intensité du contenu quantitatif, qui malheureusement s'avère relativement faible. Ensuite, l'analyse factorielle des correspondances nous permet de constater que les sociétés adaptent leur communication en fonction de leur taille et de leur secteur d'activité. Les grandes sociétés semblent mettre l'accent sur leur réputation et leur position sur le marché tandis que les plus petites soulignent leurs compétences et leur savoir-faire. Par ailleurs, les thèmes de communication restent cohérents avec la nature de l'activité des sociétés. Enfin, dans l'objectif de confronter cette communication avec la perception du marché, nous menons une observation participante au sein d'un bureau d'analystes financiers. Cette dernière étude nous permet de remarquer que les analystes sont effectivement à la recherche de données chiffrées et qu'ils doivent souvent faire face à l'absence de ce type de données. Cependant, ils sont également capables d'intégrer dans leurs analyses les données qualitatives. Mais elles sont intégrées de manière plus intuitive. Une meilleure prise en compte de l'actif immatériel dans les méthodes de mesure permettrait aux entreprise de mieux répondre aux besoins du marché et ainsi d'augmenter la rentabilité des actions de communication financière qui sont souvent coûteuses
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Le patrimoine immatériel des collectivités territoriales : Protection et réservation / Immaterial property of local authorities : protection and reservationValerian, Benjamin 04 July 2017 (has links)
Le patrimoine immatériel des collectivités territoriales pose des questions particulières, qui ne sauraient se réduire à celles qui se posent pour le patrimoine immatériel de l’Etat. Il oblige à s’interroger sur la redéfinition de certains concepts centraux du droit administratif des biens, que la doctrine croyait acquis et que tout le monde pensait connaître. Par exemple, la notion d’actif immatériel révèle très clairement les limites matérielles de la propriété publique. Mais plus encore, l’approche immatérielle révèle aussi les limites de la notion de patrimoine public elle-même. Ce patrimoine, n’est plus simplement composé de ce que possèdent les collectivités territoriales, mais aussi de ce qui les constitue. Dès lors, il accueille en son sein des thèmes liés au nom des collectivités, ou encore, à la protection de leurs savoir-faire. Très vite se pose à leur sujet la question des mécanismes de réservation : la propriété publique suffit-elle à cette réservation ? Avec des problématiques liées au patrimoine linguistique ou culturel, le sujet invite à se placer sur un terrain encore inconnu en droit public qui va bien au-delà du seul aspect patrimonial. S’il semble encore trop tôt pour parler en la matière d’approche extrapatrimoniale, force est de constater qu’une réflexion sur des mécanismes de réservation en dehors de la propriété publique s’impose. Par conséquent, avec l’évolution du droit de propriété publique vers l’immatériel et la question sous-jacente d’un « droit public de la propriété intellectuelle », de même qu’avec la question d’un droit des personnes publiques, sommes-nous en train d’assister à la construction discrète et encore hésitante d’un droit de l’immatériel public ? / The immaterial property of local authorities is specific and cannot be reduce to the immaterial property of the State. Some notions of public property law of goods must be define again, whereas the doctrine thought about it, that everything is acquired, and everybody thought to know. For instance, the notion of immaterial good reveals limitations of public property law. Furthermore, immaterial approach reveals also the limitations of the notion of property itself. This property is not simply made anymore that local authorities have, but also, which identify them. Immaterial property understands immaterial goods like local authorities’ name or their know-how. Therefore, the question of the reservation of these “goods” must be asked: property law is it adapted? With the “linguistic or cultural property”, the subject reveals unknown difficulties in public law, beyond of only question of property. If it seems to be too early to talk about an approach apart from property, it is clear that a reflection about the process of reservation without property is necessary. In consequence, with the evolution of public property law to an immaterial approach, and the underlying question of a “public intellectual property law”, in the same way, the question of a law about public authorities, are we attending to a prudent and reserved construction of public immaterial property law?
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