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The Effect of Active Workstation Use on Measures of Cognition, Attention and Motor Skill

Ohlinger, Christina M. 16 July 2009 (has links)
No description available.
2

Using the Active Workstation: Effects on Typing Speed and Walking Mechanics

Funk, Rachel E. 20 August 2009 (has links)
No description available.
3

A new user's perceptions and experiences of the active workstation at work: A case study

Zylstra, Amanda Joy January 2010 (has links)
No description available.
4

Acute & Chronic Physical Activity Influences On Cognitive Function: A Five-Week, Low-Intensity Intervention

Parks, Andrew Carl 09 August 2012 (has links)
No description available.
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Le temps sédentaire au travail et les bureaux actifs : compréhension des différences entre les bureaux actifs

Dupont, François 10 1900 (has links)
Dans nos pays industrialisés, les comportements sédentaires entrainent des enjeux de santé pour de nombreux travailleurs, les exigences physiques de leur travail étant désormais insuffisantes. Afin de répondre à cette problématique, la recherche s’intéresse aux bureaux actifs (poste de travail debout, avec pédalier ou avec tapis roulant) qui comparativement au poste de travail conventionnel permettent aux travailleurs d’augmenter l’apport d’activité physique au travail et ainsi, réduire le temps sédentaire quotidien. Lorsqu’ils sont comparés au poste conventionnel (assis), les bureaux actifs ont des effets sur des biomarqueurs physiologiques et biomécaniques liés à l’amélioration de la santé. En plus, ils offrent quelques avantages sur la productivité et le bien-être au travail des travailleurs. Malgré l’accumulation des connaissances sur les bureaux actifs, les différences entre bureaux actifs sont toujours méconnues. Ce mémoire s’adresse donc à la compréhension et à la comparaison entre les types de bureaux actifs, plus précisément à leurs impacts sur le temps sédentaire au travail, leurs effets sur les biomarqueurs physiologiques et biomécaniques et à leurs effets sur la productivité et le bien-être au travail. Pour ce faire, les résultats et la discussion sont développés autour d’un article de revue systématique (Dupont et al., 2019) et d’un article issu d’une recherche expérimentale soumis en octobre 2019. Dans un premier temps, les avantages associés à chaque type de poste de travail actif (debout, avec pédalier ou avec tapis roulant) ne sont pas équivalents. En effet, les postes avec pédalier et avec tapis roulant semblent apporter de plus grands changements physiologiques à court terme que les postes de travail debout et pourraient potentiellement améliorer la santé. De plus, les postes debout, avec pédalier et avec tapis roulants semblent tous présenter des avantages de productivité à court terme, toutefois les postes avec tapis roulants réduisent les performances des tâches faites à l’aide de clavier et de souris d’ordinateur. Dans un deuxième temps, à court terme (2 semaines), l’introduction d’un poste debout et d’un poste à pédalier dans leur bureau permet aux travailleurs d’accumuler en moyenne 132 minutes de temps actif (ex. travail fait avec poste debout et/ou avec poste avec pédalier) par jour, ce qui représente 46 % du temps total passé dans leur espace de travail personnel. Ce faisant, les travailleurs réduisent de moitié leur temps assis au travail en fractionnant le temps assis en courtes périodes de 30 minutes. Basé sur nos résultats, l’ajout de deux postes de travail actif à même le bureau d’un travailleur permet de diminuer le temps sédentaire au travail. / In our industrialized countries, sedentary behaviours lead to health issues for many workers, as the physical demands of their work are now insufficient. To answer this problem, the research focuses on active workstations (standing, with pedals or treadmill workstations) which compared to the conventional workstation allow workers to increase physical load at work and thus, reduce daily sedentary time. When compared to the conventional (sit) workstation, active workstations have effects on physiological and biomechanical biomarkers related to better health. Also, they offer some advantages over workers’ productivity and wellbeing at work. Despite the accumulation of knowledge about active workstations, the differences between active workstations are still unknown. This thesis is aimed at understanding and comparison between active workstation types, specifically their impacts on sedentary time at work, their effects on physiological and biomechanical biomarkers and their effects on productivity and well-being at work. The results and the discussion are developed around a systematic review article (Dupont et al., 2019) and an article from an experimental research submitted in October 2019. First of all, the benefits associated with each type of active workstation (i.e. standing, cycling, treadmill) may not be equivalent. Cycling and treadmill workstations appear to provide greater short-term physiologic changes than standing workstations that could potentially lead to better health. Cycling, treadmill and standing workstations appear to show short-term productivity benefits, while treadmill workstations reduce the performance of computer-related work. Secondly, in the short term (2 weeks), the introduction of a standing workstation and a pedal workstation in their office allows workers to accumulate an average of 132 minutes of active time (i.e. work done with standing and/or cycling workstations) per day, which represents 46% of the total time spent in their personal workspace. As a result, workers reduce their total desk-sitting time by half and sat on average 30 minutes per sedentary bout. Based on our findings, adding two active workstations to an office worker’s helps reduce sedentary time at work.
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Effets de l'activité physique sur l'appétit, l'ingestion alimentaire, l'olfaction et la gustation

Josaphat, Kapria-Jad 03 1900 (has links)
Introduction : La suralimentation, le manque d’exercice et la sédentarité représentent des causes modifiables et importantes dans le développement de l’obésité et des troubles de santé qui y sont associés. Il est connu qu’en plus d’avoir des effets bénéfiques pour le métabolisme, l’exercice permet d’augmenter la dépense énergétique et aide au maintien de la balance énergétique. Des études récentes ont révélé que l’exercice pourrait également causer une diminution de l’ingestion calorique, ce qui mènerait à un meilleur contrôle de la balance énergétique et pourrait avoir des effets bénéfiques pour la santé et ce, même lorsque pratiqué à faible intensité. Les objectifs de cette thèse sont d’explorer les effets de paramètres de l’exercice sous-étudiés en contrôle pondéral en 1) documentant l’impact de tâches de faible à très faible intensité (i.e. postes de travail actifs) chez les personnes en surplus pondéral et sur l’ingestion alimentaire et 2) en déterminant comment les facteurs chimiosensoriels liés au contrôle de l’appétit sont affectés par la pratique d’exercice par rapport au repos et en réponse à divers positionnements de la séance d’exercice dans le temps (timing). Méthodes et résultats : Pour répondre au premier objectif de recherche, une revue systématique a été effectuée afin de documenter l’impact de l’usage des postes de travail actifs chez les personnes en surplus pondéral (article 1). Dix-neuf études ont été inclues, dont 12 portant sur les postes de travail debout, 9 sur les postes avec tapis-roulant, 3 sur les postes avec ergocycle et un sur un poste avec marcheur. Les résultats indiquent que ces postes de travail sont efficaces pour l’augmentation de la dépense énergétique et la réduction de la sédentarité au travail. Une étude expérimentale a été menée afin de déterminer quel est l’impact d’un poste de travail debout, comparé à un poste conventionnel assis, sur l’ingestion alimentaire. Trente-six hommes et femmes ont été assignés de façon randomisée à un poste de travail debout ou un poste assis (article 2). Ils ont pris part à des tâches cognitives pendant environ 1 h 30 min sur le poste de travail attitré et une collation ad libitum leur était ensuite servie. Les résultats indiquent qu’il n’y a pas de différence significative dans l’ingestion alimentaire entre les participants qui ont pris part à la condition assise (427,8 ± 301,8 kcal) et ceux qui étaient debout (461,2 ± 272,8 kcal; p = 0,472). Pour répondre au second objectif, nous avons tout d’abord observé quel était l’effet de l’exercice de haute intensité sur les perceptions chimiosensorielles liées à l’ingestion alimentaire (article 3). Quatorze hommes ont pris part à deux visites dans un ordre aléatoire consistant en A) une longue pause sédentaire et B) une courte pause sédentaire suivie d’une séance d’exercice (course à pied à 70 % du VO2 max). À leur arrivée (8 : 30), ainsi qu’immédiatement avant le diner (11:40), ils étaient soumis à des tests olfactifs et gustatifs. Puis, un buffet ad libitum leur était servi à midi. Les résultats n’ont révélé aucune différence significative dans l’ingestion alimentaire entre la condition sédentaire et la condition exercice (p=0,888). Ces résultats concordent avec l’absence de différence dans les perceptions olfactives et gustatives entre les conditions (tous les p >0,05). Le concept de timing est relativement nouveau au domaine de l’activité physique et plus particulièrement pour le contrôle de la balance énergétique. L’objectif du dernier projet (article 4) était d’observer si le positionnement de l’exercice dans le temps représente un paramètre d’intérêt pouvant optimiser l’effet coupe-faim via les perceptions chimiosensorielles. Dans un protocole similaire à l’article 3, douze hommes ont été soumis à deux conditions dans un ordre aléatoire : A) une séance d’exercice (30 min à 70% du VO2 max) suivie d’une pause sédentaire (90 minutes) ou B) la pause sédentaire suivie de la séance d’exercice. Ils prenaient part à des tests olfactifs et gustatifs à leur arrivée ainsi qu’avant le diner ad libitum. Les résultats indiquent que le positionnement de la séance d’exercice n’a eu aucun impact sur les perceptions olfactives (tous les p >0,05) et gustatives (tous les p >0,05), ainsi que sur l’ingestion alimentaire totale (p=0,459). Conclusion : Nos travaux sont les premiers à montrer qu’en situation aigüe l’utilisation d’un poste de travail debout n’augmente pas la consommation alimentaire lors d’un repas subséquent. De plus, l’exercice d’intensité élevée n’a pas suscité de compensation alimentaire au repas subséquent, et ce peu importe le positionnement de la séance. Par ailleurs, contrairement aux hypothèses émises, l’exercice seul ou le positionnement de la séance n’ont pas modifié les perceptions olfactives et gustatives. / Introduction: Overeating, sedentary behaviour and physical inactivity are modifiable and important causes in the development of obesity and related health disorders. It is known that in addition to having beneficial effects on metabolism, exercise increases energy expenditure and helps to maintain the energy balance. Recent studies have shown that exercise may also cause a decrease in caloric intake, leading to better control of the energy balance and may have beneficial health effects, even when practised at low intensity. The objectives of this thesis are to explore the effects of under-studied exercise parameters in weight control by 1) documenting the impact of low to very low intensity tasks (i.e., active workstations) in individuals with excess body weight and on food intake and 2) determining how chemosensory factors related to appetite control are affected by exercise practice relative to rest and in response to various timings of the exercise session. Methods and results: To address the first research objective, a systematic review was conducted to document the impact of the use of active workstations in individuals with excess body weight (article 1). Nineteen studies were included, of which 12 involved standing workstations, 9 involved treadmill workstations, 3 involved a cycle device, and one involved a stepping device. The results indicate that these workstations are effective in increasing work-hour energy expenditure and reducing sedentary behaviour. An experimental study was conducted to determine the impact of a standing workstation, compared to a conventional sitting workstation, on dietary intake. Thirty-six men and women were randomly assigned to a standing or seated workstation (article 2). They took part in cognitive tasks for about 1h30min on the assigned workstation and were then served an ad libitum snack. The results of the study indicate that there is no significant difference in dietary intake between participants who took part in the sitting condition (427.8 ± 301.8 kcal) and those who were standing (461.2 ± 272.8 kcal; p=0.472). To meet the second objective, we first observed the effect of high-intensity exercise on chemosensory perceptions related to food intake (article 3). Fourteen men took part in random order in two visits consisting of A) a long sedentary break and B) a short sedentary break followed by an exercise session (running at 70% of VO2 max). Upon arrival (8:30), as well as immediately before dinner (11:40), they were subjected to olfactory and taste tests. Then, an ad libitum buffet was served to them at noon. The results showed no significant difference in dietary intake between sedentary and exercise conditions (p=0.888). These results are consistent with the lack of difference in olfactory and gustatory perceptions between conditions (all p >0.05). The concept of timing is relatively new to the field of physical activity and more particularly to the control of the energy balance. The objective of the last project (article 4) was to observe whether the timing of exercise represents a parameter of interest that can optimize the appetite-suppressing effect via chemosensory perceptions. In a protocol similar to article 3, twelve men were subjected in random order to two conditions: A) an exercise session (30 min at 70% of VO2 max) followed by a sedentary break (90 minutes) or B) the sedentary break followed by the exercise session. They took part in olfactory and taste tests upon arrival (8:30 AM) and before the ad libitum dinner (11:40 AM). The results indicate that the timing of the exercise had no impact on olfactory (all p >0.05) and gustatory (all p >0.05) perceptions, or total dietary intake (p=0.459). Conclusion: In conclusion, our work is the first to show that in acute situations the use of a standing workstation does not increase food consumption during a subsequent meal. Moreover, the high-intensity exercise did not result in acute food compensation at the subsequent meal, regardless of the timing of the session. Contrary to the hypotheses put forward, the exercise alone or the timing of the session did not modify olfactory and gustatory perceptions.

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