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Prevalencia de Rinovirus en pacientes pediátricos con diagnóstico clínico de infección respiratoria aguda en Lima-PerúCastañeda Ribeyro, Ariana Marilia 10 December 2021 (has links)
Introducción: Las infecciones agudas del tracto respiratorio (IRA) son muy prevalentes, las IRAs bajas constituyen la cuarta causa de muerte a nivel mundial. Los agentes causales más comunes en niños son el Rinovirus (RV) y el Virus sincitial respiratorio (VSR). Existen tres especies de RV (A, B, C), estudios recientes han demostrado que la sintomatología y severidad de la enfermedad varía dependiendo de la especie de RV por la que hayan sido infectados los pacientes. Objetivo: Evaluar la prevalencia de Rinovirus en muestras de hisopado nasofaríngeo de niños con diagnóstico clínico de IRA en Lima, Perú durante el periodo 2009-2010. Materiales y métodos: Estudio retrospectivo de muestras de hisopado nasofaríngeo en niños, procesadas por la técnica RT-PCR para identificación de RV y sus especies. La población está compuesta por pacientes pediátricos en el Hospital Nacional Cayetano Heredia. Se analizó las variables por medio de la prueba de Chi cuadrado y Fischer. Resultados: RVA se detectó en 10.26%, RVB en 16.67%, RVC 73.9%. Grupo etario más prevalente fue de 0-5 meses. Signos y síntomas más comunes fueron tos, fiebre, rinorrea y dificultad respiratoria. Se encontró asociación entre sibilancias y RVA; tos, sibilancias e inyección conjuntival con RVC. Se halló pico de casos por RVC durante marzo, junio y noviembre. Conclusión: Se encontró alta prevalencia de infección por RVC en pacientes pediátricos, principalmente en pacientes de 0-5 meses. Distribución mensual muestra aumento de casos en marzo y junio. Se sugiere realizar vigilancia epidemiológica y estudios longitudinales para el estudio de este patógeno. / Introduction: Acute respiratory tract infections (ARTI) are a very prevalent group of diseases, lower ARTI represent the fourth cause of death worldwide. In children, the two most usual agents are Rhinovirus (RV) and Syncytial respiratory virus (SRV). RV is responsible for most is related with lower respiratory tract infections. Scientists have identified three RV species (A, B, C), recent studies have reported that symptomatology and severity vary within RV species. Objective: Asses the prevalence of Rhinovirus on nasopharyngeal swab samples of children with clinical diagnosis of ARTI in Lima, Peru during 2009-2010. Materials and method: Retrospective study about nasopharyngeal swab on children, which were processed through RT-PCR technique to identify RV and its species. The study population was pediatric patients, with clinical diagnosis of ARTI, at Hospital Nacional Cayetano Heredia. This investigation project will be revised by the ethics committee from Universidad Peruana de Ciencias Aplicadas. Results: RVA was detected in 10.26% of cases, RVB 16-67% and RVC in 73.9%. The most prevalent age group was the 0-5 months old. The most common signs and symptoms were cough, fever, rhinorrhea, and respiratory distress. The study found association between wheezing and RVA infection, cough, wheezing and conjunctival injection and RVC infection. There was a peak in RVC cases during the March, June, and November. Conclusion: We found a high prevalence for RVC infection, mainly in children between 0-5 months old. Monthly distribution showed an increase of RVC cases during March and June; epidemiological surveillance and longitudinal studies should be encouraged. / Tesis
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Etude des Caractéristiques Virologiques, Cliniques et de la Réponse Inflammatoire au Cours de l’Infection de l’Arbre Respiratoire par les Entérovirus Humains / "Study of Virological and Clinical Features and Inflammatory Response during Respiratory Tract Infection by Human Enterovirus"Renois, Fanny 21 December 2012 (has links)
Le genre Entérovirus (EV) (famille des picornaviridae) est composé de petits virus à ARN non enveloppées classés en 12 espèces dont 7 sont pathogènes pour l'homme : 4 espèces (A-D) d'enterovirus humains (HEV) et trois espèces (A-C) de rhinovirus humains (HRV). Dans le genre enterovirus, les HRV et HEV sont reconnus comme des pathogènes respiratoires fréquemment responsables d'infections des voies aériennes supérieures et inférieures chez l'enfant et l'adulte. Entre 2009 et 2012, de nouveaux génotypes d'HEV à tropisme respiratoire (HEV-68, 104, 109, et le CVA-21) ont été décrits dans des cas isolés ou épidémiques démontrant la capacité des espèces A à D à induire des infections respiratoires basses humaines.La première phase de ce travail de thèse a eu pour objectifs de préciser le rôle étiologique des infections à EVs; d'identifier les génotypes potentiellement responsables des pathologies respiratoires pédiatriques nécessitant une hospitalisation, mais aussi d'analyser et de comparer les caractéristiques cliniques et épidémiologiques entre les différents groupes de génotypes identifiés. Nous avons réalisé une étude rétrospective sur une cohorte de 309 enfants hospitalisés au CHU de Reims entre septembre 2009 et juin 2010 pour une infection respiratoire aiguë non documentée microbiologiquement par la réalisation des tests virologiques et bactériologiques conventionnels. Nos résultats montrent que le génome des EVs (HEV et HRV) est retrouvé dans 60,5% (187/309) des aspirations naso-pharyngées des enfants hospitalisés, distinguant 15 infections à HEV (dont 10 souches HEV-68) et 172 à HRV. Les cas de bronchiolite et d'exacerbation de l'asthme (133/187) positifs pour la détection des souches HEV (12/133) étaient plus âgés (P=0,003) et plus fréquemment associés avec une détresse respiratoire (P=0,01) et un besoin en oxygénothérapie au moment de leur hospitalisation (P=0,01) que les cas infectés par un HRV. De plus, nous avons mis en évidence pour la première fois en France la circulation épidémique de souches d'HEV-68 (10/15 des souches d'HEV détectées) isolées au cours de l'automne 2009 chez des enfants hospitalisés pour une infection respiratoire aiguë. Nos résultats fournissent de nouvelles informations sur ce génotype ré-émergent qui semble présenter un tropisme respiratoire spécifique des voies respiratoires inférieures.La seconde phase de ce travail de thèse s'est intéressée à étudier les mécanismes liés au développent des processus inflammatoires de la muqueuse au cours de l'infection des voies respiratoires basses par HEV. A l'aide d'un modèle in vitro de cellules respiratoires humaines (A549) infectées par HEV-B (CVB5, Mitchell), nous avons observé que l'infection réplicative des HEV dans les cellules A549 induisait une augmentation dose et temps-dépendante des ARNm, et des protéines IL-8, MCP-1 et RANTES.En conclusion, nos résultats obtenus à partir de prélèvements respiratoires dans le cadre de notre étude de cohorte suggèrent que les EVs représentent une cause étiologique fréquente d'infections respiratoires basses chez l'enfant avec une pathogénicité supérieure des HEVs (principalement dans notre étude HEV-68) par rapport aux souches HRVs. De plus, nos résultats obtenus à partir d'expérimentation in vitro démontrent que les HEVs du groupe B sont capables d'induire au cours de l'infection des cellules épithéliales alvéolaires humaines (A459) une sécrétion spécifique d'IL-8, MCP-1 et RANTES. La production de ces chimiokines correspond à une réponse innée de la cellule épithéliale humaine infectée par les HEVs: nous avons montré pour la première fois que ce mécanisme était en partie régulé par l'activation de la voie non canonique de NF-kB via la protéine NIK dans la cellule épithéliale respiratoire humaine. / The Enterovirus (EV) genus (picornaviridae family) consists of small non-enveloped positive RNA viruses classified in 12 species of which 7 are pathogenic for humans: four species (A-D) of human enterovirus (HEV) and three species (A-C) of human rhinovirus (HRV). Among the EV genus, HEV and HRV are recognized as leading causes of acute respiratory tract infections (ARTIs) in human. Between 2009 and 2012, new HEV respiratory genotypes (e. g. HEV-68, 104, 109, 117 and CVA-21) have been described in isolated cases or outbreaks supporting the ability HEV species A to D to induce lower respiratory tract infections. This supports the hypothesis of an underestimation of the prevalence and etiological role of EVs in pediatric acute respiratory tract infections (ARTIs) (more specifically bronchitis, bronchiolitis and asthma exacerbation).To assess the etiological role and the clinical characteristics of HRV and HEV infections in pediatric patients hospitalized for ARTIs, we conducted a retrospective study of 309 hospitalized pediatric patients in University Hospital Centre of Reims with microbiologically unexplained ARTIs from September 2009 to June 2010. Among the 309 ARTIs, 15 HEV and 172 HRV strains were identified. Among bronchiolitis and asthma exacerbation cases (n=133), HEV infected cases were older (P=0.003) and were more frequently associated with a respiratory distress (P=0.01) and a need for oxygen therapy at the time of admission (P=0.01) than cases infected by HRV strains. Interestingly, during this retrospective study, we provided evidence that during the fall 2009 in France, HEV-D68 strains were responsible for a low proportion of pediatric cases hospitalized for acute airway diseases including bronchiolitis and asthma exacerbation.To identify the mechanisms that can regulate the development of airway mucosa inflammation during HEV respiratory lower tract infections, we investigated the production of chemokines by HEV infected human alveolar epithelial cells (A549). Using in vitro model A549 cells infected by HEV-B (CVB5, Mitchell), we demonstrated that HEV-B strains isolated from upper respiratory tract of child with bronchiolitis could actively replicate in various human airway epithelial cells, and that this replicative infection induced specific dose and time-dependent increases in mRNA and protein secretion of IL-8, MCP-1 and RANTES, but not of all other CC and CXC human chemokines tested. The protein secretion of these chemokines appeared to be significantly increased at 48 and 72 hours post-infection in culture treated by low-doses of IFN-γ in comparison with mock-infected cells (P <0.001), and was correlated to the viral replication activity. In second time, we explore the pathogenic mechanisms that can regulate inflammatory responses to HEV in lower respiratory airways. We show that HEV infection induced a time-dependent increase of NIK protein accumulation that peaks at 16 hours post-infection (H P-I). NIK protein accumulation mediated the processing of p100 in p52, which association with Rel B was evidenced in nuclear compartment between 16 and 48 H P-I.In conclusion, our findings indicate that EVs are a common cause of lower respiratory tract infections in pediatric patients with a potential higher pathogenicity of HEV strains (mainly HEV-68) by comparison to HRV strains. Moreover, our in vitro results demonstrated that HEV are capable to induce the release of specific chemokines (IL -8, MCP-1 and RANTES) by alveolar epithelial cells during a replicative infection. Finally, we demonstrated for the first time that this innate airway epithelial cell response against HEV infection was partly regulated by the activation of the non-canonical NF-kB via NIK protein.
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