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Incertitude, risque et handicap<BR />Jalons d'analyse culturelle

Calvez, Marcel 11 June 2004 (has links) (PDF)
Le mémoire d'habilitation à diriger des recherches prend appui sur les recherches menées par l'auteur sur la prévention du sida et sur l'intégration sociale des handicapés mentaux pour montrer la pertinence de l'analyse culturelle développée par l'anthropologue Mary Douglas à construire une approche sociologique de la diversité des représentations et des pratiques face au sida ou à la déficience mentale. Après avoir présenté de façon systématique cette approche, il montre en quoi les catégories de risque et de handicap sont des constructions sociales et culturelles que les individus élaborent dans des situations d'incertitude issues des politiques publiques. Il expose comment le modèle « grid-group » de l'analyse culturelle permet d'en expliquer les variations en les rapportant à des modes différenciés d'organisation des relations sociales. A partir de ces analyses, alimentées à des travaux de terrain référencés en bibliographie, il engager une discussion critiques des analyses de Beck et de Giddens sur le risques. Il montre en quoi ces approches se cantonnent à une analyse du risque comme catégorie publique et qu'ils délaissent les opérations de réinterprétation sociale et culturelle des usagers qui sont au cœur des usages de l'analyse culturelle développée dans le mémoire..
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L'hypothétique construction des lieux ordinaires entre agriculteurs et non-agriculteurs en Dordogne : de l'idéologie patrimoniale à la recherche des échappés du territoire

Banos, Vincent 10 December 2008 (has links) (PDF)
Ce travail de recherche prend sa source dans l'actuelle renégociation du lien social entre les agriculteurs et le reste de la société civile mais l'aborde sous l'angle plus précis de l'ouverture des espaces ruraux au nom, notamment, d'un intérêt patrimonial et environnemental. Nous avons fait l'hypothèse que ce processus de publicisation des campagnes ne saurait se résumer à l'irruption d'une diversité d'usages, mais constituerait également l'occasion de construire la campagne comme espace public, c'est-à-dire un espace politique où pourrait s'élaborer de nouvelles légitimités d'action. En nous appuyant sur une lecture pragmatique et interactionniste du lien social, nous avons alors proposé une grille analytique composée de trois topiques de l'urbanité (espace ouvert, lieu et espace public) afin de saisir comment les spatialités sociales ordinaires participent de manière différenciée à la redéfinition des modalités du « vivre ensemble ». Cette inventivité normative graduelle des interactions sociales serait notamment fonction du caractère inter-individuel des investissements conjoints et de la visibilité des espaces d'énonciation. L'étude de multiples situations de coprésence entre agriculteurs et non-agriculteurs en Dordogne ainsi que l'analyse contextuelle des processus de requalification à l'oeuvre sur ce département ont permis de confirmer l'opérationnalité de la notion d'espace ouvert et de faire ressortir le rôle ambigu joué par le faisceau normatif de la patrimonialisation dans la mise en ordre des territoires. Cependant, nous avons également trouvé la trace de moments de lieux et de « mondes communs », prémisses potentielles à l'avènement d'un espace public. À l'heure de l'accentuation de la pluralité culturelle, y compris à l'échelle locale, cette réflexion vise donc à affiner la compréhension de la dimension spatiale des processus normatifs en mettant l'accent sur les relations sociales ordinaires et sur un espace conçu comme contexte d'action.
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Analyse des pratiques d’évaluation des apprentissages dans les disciplines de l’ingénierie dans le contexte de l’enseignement supérieur en Tunisie

Messaoud, Ali 08 1900 (has links)
L’évaluation des apprentissages occupe une place importante dans les dispositifs de formation. Les décisions évaluatives peuvent avoir un impact majeur sur l’avenir professionnel de l’apprenant. Les enjeux peuvent être également élevés pour toute la société. Par ailleurs, bien que l’enseignant soit le premier responsable de l’évaluation, d’autres acteurs internes et externes y participent : les évalués, les acteurs institutionnels, les décideurs du ministère, les organismes accréditeurs, etc. L’évaluation semble bien plus complexe qu’elle n’y paraît. Dans le contexte de l’enseignement supérieur tunisien, il y a un manque de recherche dans le champ de l’éducation et plus particulièrement en lien avec la question de l’évaluation des apprentissages. C’est pourquoi cette étude se propose de tenter de dissiper le flou qui entoure les pratiques évaluatives, qui, à notre connaissance, n’ont pas été traitées comme objet de recherche dans le contexte de l’université tunisienne. Dans la présente étude, le concept de « culture d’évaluation » est central. L’analyse culturelle réalisée s’appuie sur la forte ressemblance entre les concepts de culture et celui de pratique. Cela nous a conduit à adopter un cadre d’analyse inspiré de la théorie des architectures de la pratique (Kemmis, 2009; Kemmis et al., 2014b). Les objectifs spécifiques consistent d’abord à décrire en détail les pratiques d’évaluation des apprentissages des enseignants ciblés et, ensuite, à identifier les patrons culturels associés à ces pratiques. L’ethnographie est la méthodologie retenue pour cette recherche. Elle implique de mener une étude de terrain auprès d’un groupe social de « natifs ». Il s’agit d’un groupe d’enseignants appartenant aux disciplines de l’ingénierie œuvrant à l’université de Gafsa. Les données ont été recueillies à l’aide des méthodes de l’entrevue individuelle semi-dirigée, de l’observation participante et de l’étude de documents. L’analyse des pratiques évaluatives dans le cadre de cette étude a permis de dégager quelques constats généraux. D’abord, l’évaluation est avant tout un dispositif technique. Il s’agit en outre d’une activité plurielle où des pratiques singulières se développent. Néanmoins, les enseignants tendent à suivre un processus officiel générique. Un autre constat concerne le caractère solitaire de l’activité d’évaluation qui se manifeste dans le manque de collaboration et l’existence de pratiques de « bricolage ». Il apparaît aussi que les enseignants sont insatisfaits des pratiques évaluatives existantes et tentent par de multiples moyens de les améliorer, mais sans impact réel. Le système évaluatif officiel est trop rigide pour permettre de vrais changements dans les pratiques. Cela contribue à renforcer la logique du devoir qui consiste à répondre aux exigences administratives en matière d’évaluation. Paradoxalement, les prescriptions officielles ne sont pas toujours respectées. Les résultats montrent également l’existence de conflits dans les activités d’évaluation collaboratives. Tous ces éléments conduisent à un manque de transparence dans l’évaluation. Finalement, les résultats suggèrent une certaine prévalence de la tolérance dans la culture d’évaluation. À travers cette étude, nous présentons une ethnographie assez détaillée en tant que contribution importante pour la recherche en évaluation. Les acteurs du terrain pourraient s’y référer pour développer des dispositifs de formation plus efficaces en ingénierie. / Assessment of learning occupies a central position in training structures. Assessment decisions can have a major impact on the learner professional future. The stakes can be high for all the society as well. In addition, although the teacher has the lead responsibility for assessment, other internal and external actors are involved: the students, the institutional actors, the decision-makers at ministry level, accreditation bodies, etc. Assessment seems much more complex than it looks. In the context of Tunisian higher education, there is a lack of research in the field of education, especially regarding the issue of assessment of learning. Consequently, this study proposes to dispel the lack of clarity that surrounds assessment practices, which, to our knowledge, have not been considered as a research topic in the context of the Tunisian university. In this study, the concept of "culture of assessment" is central. The cultural analysis undertaken is based on the strong similarity between the concepts of culture and that of practice. This led us to adopt an analytical framework inspired by the theory of architectures of practice (Kemmis, 2009; Kemmis et al., 2014b). This research had two specific research objectives: first, to provide a detailed description of the targeted teachers assessment practices and, secondly, to identify the cultural patterns related to these practices. We have chosen ethnography as a research methodology in this study. It involves conducting field research with a social group of "natives". It’s a group of engineering teachers working at the University of Gafsa. Data were collected using the following methods: semi-structured individual interview, participant observation and documents. In this study, the analysis of assessment practices allowed us to form few overall observations. First of all, assessment is primarily a technical process. It is also a plural activity where unique practices develop. However, teachers tend to follow a generic formal process. Another conclusion concerns the solitary nature of the assessment activity which manifests itself in the lack of collaboration and the existence of improvisation practices. In addition, it appears that teachers express dissatisfaction with existing assessment practices and try in many ways to improve them but with no real impact. The official assessment system is too rigid to allow real changes in practices. This contributes in reinforcing the logic of duty which consists in trying to meet the administrative requirements for assessment. Paradoxically, official requirements are not always respected. The results also show the existence of conflicts in collaborative assessment activities. We also concluded that assessment lacks transparency. Finally, the results suggest a certain prevalence of tolerance in the assessment culture. In this study, we present a quite detailed ethnography as an important contribution to research on assessment. Actors in the field could use it as a reference in order to develop more effective training systems in the field of engineering.
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Investigating why dissemination of scientific evidence fails to persuade antivaxxers : a transdisciplinary review

Champagne, Clara 02 1900 (has links)
La plupart des Américains ne sont pas préoccupés par les vaccins. Cependant, minorité petite mais vocale l’est, et un nombre croissant de parents américains reçoivent des exemptions de vaccination pour leurs enfants sur la base de la religion ou de «convictions personnelles». Le refus vaccinal peut avoir des conséquences désastreuses: dans certaines communautés, la couverture vaccinale infantile a plongé bien en deçà du seuil requis pour «l'immunité collective», permettant à des maladies comme la rougeole d'opérer un retour en force. L'hésitation vaccinale et le refus vaccinal sont souvent attribués au manque de connaissances ou de compréhension des « faits » scientifiques des anti-vaccins. La plupart des interventions de santé publique qui visent à promouvoir la vaccination reposent sur la simple diffusion de connaissances scientifiques fiables; la communication scientifique est perçue comme un processus à sens unique de diffusion des connaissances scientifiques. La théorie est la suivante : si les anti-vaccins savaient à quel point les vaccins sont sécuritaires, efficaces et nécessaires, ils vaccineraient davantage. Malheureusement, la littérature dans plusieurs disciplines suggère que de telles interventions d'éducation passive à l'échelle de la communauté sont généralement inefficaces pour persuader les anti-vaccins d'adopter des attitudes et des comportements pro-vaccination. Pourquoi? En m'inspirant des principes de transdisciplinarité d'Edgar Morin, de la théorie des révolutions scientifiques de Thomas Kuhn et de la méthodologie de revue méta-narrative de Trisha Greenhalgh, j'examine les publications de différents auteurs phares de différentes disciplines qui fournissent directement ou indirectement une réponse à cette question. Je distingue trois approches principales, qui diffèrent quant à leur explication générale des raisons pour lesquelles les interventions basées sur la simple diffusion de preuves scientifiques échouent. La première explication est que les anti-vaccins n'ont pas les connaissances scientifiques nécessaires pour comprendre les preuves scientifiques qui leur sont présentées. La deuxième est que la résistance des anti-vaccins aux preuves scientifiques peut s’expliquer par de nombreux biais cognitifs qui anènent les individus à faire des erreurs systématiques de jugement et à s'écarter ainsi de l’idéal décisionnel de la théorie du choix rationnel. Le troisième narratif sur les anti-vaccins met l'accent sur les influences socioculturelles. Selon la théorie de la cognition culturelle, la culture influence les perceptions du risque à travers des biais cognitifs. Ces trois narratifs sur l'hésitation et le refus de la vaccination sont examinés en profondeur afin de fournir une synthèse interdisciplinaire des facteurs qui peuvent expliquer l'échec des interventions de santé publique basées sur l'éducation à persuader les anti-vaccins. / Most Americans are not concerned about vaccines. However, a small but vocal minority is, and a growing number of parents are receiving vaccine mandate exemptions for their children on the basis of religion or “personal belief.” Vaccine refusal can have disastrous consequences: in some communities, childhood vaccination coverage has dived well below the threshold required for “herd immunity,” allowing diseases like measles to stage a forceful comeback. Vaccine hesitancy and refusal are often attributed to a lack of knowledge or lack of understanding of scientific “facts” on the part of antivaxxers. Most public health interventions that aim to promote vaccination rely on disseminating trustworthy scientific knowledge and see science communication as a one-way process of diffusion of scientific evidence. If antivaxxers knew how safe, effective, and necessary vaccines are, the theory goes, they would vaccinate more. Unfortunately, literature across disciplines suggests that such passive, community-wide education interventions are mostly ineffective at persuading antivaxxers to adopt pro-vaccination attitudes and behaviours. Why? Inspired by Edgar Morin’s principles of transdisciplinarity, Thomas Kuhn’s theory of scientific revolutions, and Trisha Greenhalgh’s meta-narrative review methodology, I examine the publications of different seminal authors across disciplines that directly or indirectly provide an answer to this question. I distinguish three main approaches, which differ as to their general explanation of why interventions based on simple dissemination of scientific evidence fail. The first explanation is that antivaxxers lack the scientific literacy that is necessary to understand the scientific evidence that is presented to them. The second is that antivaxxers’ resistance to scientific evidence can be explained by the numerous cognitive biases and “rules of thumb” that lead individuals to make systematic errors in judgment and thus deviate from the rational choice theory decision-making ideal. The third narrative stresses sociocultural influences. According to cultural cognition theory, culture influences risk perceptions through the mechanisms of cognitive biases and heuristics. These three narratives about vaccine hesitancy and refusal are thoroughly examined in order to provide a cross-disciplinary synthesis of factors that may explain the failure of education-based public health interventions to persuade antivaxxers.

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