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La perception de la menace nucléaire soviétique par l'Office of Reports & Estimates, 1946-1950 : pourquoi ont-ils raté la bombe?

Demers, Marc 11 April 2018 (has links)
En 1950, la Central Intelligence Agency (CIA) fut le théâtre d'une profonde réorganisation, trois années seulement après son implantation. L'origine de cette tourmente s'appelait Joe-1, la première bombe atomique soviétique. La victime qui paya le prix pour ce manque d'efficacité fut l’Office of Reports and Estimates (ORE). Responsable d'estimer - entre autres - l'avancement de l'Union soviétique en matière d'armement nucléaire, l'ORE fut rapidement démantelé et condamné sans réserve par la communauté américaine du renseignement. Pourtant, l'ORE était un des fleurons des services secrets américains par la qualité de son personnel issu des grandes universités et des prestigieuses académies militaires. Que s'est-il passé? Où l'ORE a-t-il commis une faute? Que savait-il exactement sur le programme atomique soviétique? Quelle était sa perception de la menace stratégique soviétique? Pour répondre à ces questions, il nous faut retourner aux sources et analyser les estimations d'intérêt national (NIE) que l'ORE produisait à un rythme quasi industriel. C'est alors que nous verrons que l'ORE a péché par excès de confiance; par triomphalisme. Pour l'ORE, nul ne pouvait surpasser les Etats-Unis dans sa marche vers le progrès, il se trompa. / When the CIA's Office of Reports and Estimates (ORE) was dismantled in 1950; many were eager - in the U.S. Intelligence Community - to condemn its performance without reservation. Although many reasons were cited for reorganizing the CIA'S analytical structure, the failure to accurately predict the explosion of Joe-1, the first Soviet atomic bomb in 1949 was the foremost point. But ORE was the brainchild of highly trained militaries and recognized scholars. It was one of the «state of the art» agencies of the American secret services. What went wrong? What exactly did ORE say about the Soviet atomic energy program9 What evidence was available, and how did ORE make use of this material9 What was ORE's perception of the Soviet nuclear threat9 To answer those questions, we must go back in time, back to the roots of this dilemma that lies in the national interest estimates (NIE), which ORE produced at an industrial rate. It is then that we will see ORE's own mistake, its excessive confidence in the American way of life: its triumphalism. Because for ORE, nothing can surpass America in any domain, time will tell differently. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2014
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The Atomic Confederacy : europe’s Quest for Nuclear Weapons and the Making of the New World Order / La souveraineté en débat : experts en stratégie, politiques de non prolifération nucléaire, et organisations supranationales

Mallard, Grégoire 20 June 2008 (has links)
Ma thèse mêle analyse les effets de la mondialisation des sciences sur la façon dont les Etats-nations modifient leur façon de concevoir leur souveraineté et leurs intérêts nationaux. Partant du cas de la mondialisation de la science nucléaire d’après-guerre, j’explique la genèse de communautés supranationales dans le domaine nucléaire proposées par les gouvernements américain et européens des années quarante aux années soixante-dix. A partir d’une démarche socio-historique, ma recherche donne des réponses aux questions suivantes : comment les Etats-nations ont-ils été convaincus de déléguer leur souveraineté sur le contrôle des risques nucléaires à des organisations internationales ? Quel rôle les réseaux transnationaux ont-ils joué dans ce processus ? Pour répondre à cette question, je compare le rôle de deux réseaux transatlantiques – tenants du cosmopolitisme et du libéralisme internationale pour le premier, et du fédéralisme européen pour le second – dont les savoirs experts, le capital social et l’accès aux élites politiques divergent. Comme je le montre, ces deux réseaux réussirent à atteindre leurs buts comme entrepreneurs de normes, entrepreneurs de politiques publiques, et traducteurs de politiques publiques / My dissertation examines how the globalization of modern science and technology has redefined the power and legitimacy of modern nation-states. Taking the transatlantic history of postwar nuclear science as a case in point, I focus on proposals to establish international organizations and/or supranational nuclear communities, formulated by the US government and West European governments between the 1940s and the 1970s. Drawing and expanding on the literature in historical sociology and political science, I ask: How were national governments persuaded to delegate control over the regulation of nuclear activities to international organizations? How did informal transatlantic networks successfully convince national political leaders, bureaucracies and experts to support their plans? To answer these questions, I compare the role of two transatlantic networks of nuclear scientists and policymakers whose expert skills, social capital, and access to political elites varied—liberal and cosmopolitan internationalists as opposed to European federalists. As I show, these two transatlantic networks succeeded in achieving their goals, as norm entrepreneurs, as policy entrepreneurs, as policy translators

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