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La peinture baladeuse : manufacture esthétique et provocation théorique latino-américaine /Rodríguez-Plaza, Patricio. January 2004 (has links)
Texte remanié: Th. doct.--Art et archéol.--Paris 1, 1999.
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Graffiti in Potsdam : aus der Sicht von Sprayern und jugendlichen Rezipienten im Land Brandenburg /Stahnke-Jungheim, Dorothea, January 1900 (has links)
Diss.--Berlin, 2000. / Bibliogr. p. 215-230.
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Haus und Weide : eine Ethnographie von Orgosolo /Bruttel, Till Roswitha. January 1900 (has links)
Diss.--Berlin--Freie Universität, 1991. / Bibliogr. p. 112-114.
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Murs inscrits de la ville : de la rue à l'atelier du peintre /Billereau, Sébastien. January 2001 (has links)
Mém. de maîtrise--Arts plastiques--Paris 1, 2001.
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Quand le Street art met le droit au pied du murPerrot, Maxence 10 February 2024 (has links)
Si le « Street art » constitue aujourd’hui un élément indissociable du paysage urbain, et si sa reconnaissance du point de vue artistique ne fait aucun doute, son appréhension et son traitement par le droit demeure problématique et soulève de nombreux questionnements. Dès lors que cette forme d’expression répond aux critères du droit d’auteur, l’œuvre est protégée et bénéficie des mêmes droits et prérogatives que d’autres œuvres plus classiques dirons-nous, telles que des peintures de Maîtres, des œuvres littéraires des plus belles plumes de ce monde… Toutefois, lorsque leur créateur décide de mettre en scène son art sans considération pour le propriétaire du support sur lequel il s’inscrit, cette protection même si légitime est remise en cause. Le droit pénal ou encore le droit des biens par exemple se hissent face au droit d’auteur, et des compromis doivent être trouvés pour apaiser les tensions découlant d’une telle pratique. Propriétaire ou auteur, doit-on forcément n’en favoriser qu’un ? / Although « Street art » is today an inseparable part of the urban landscape, and its artistic recognition is beyond doubt, its apprehension and treatment by law remains problematic and raises many questions. As long as this form of expression meets the criteria of copyright, the work is protected and enjoys the same rights and prerogatives as other more classical works, we shall say, such as paintings of Masters, literary works of the most beautiful feathers of this world... However, when their creator decides to stage his art without consideration for the owner of the medium on which he fits, this protection even if legitimate is called into question. Criminal law and property law, for example, rise up to copyright, and compromises must be found to ease tensions arising from such a practice. Owner or author, do we necessarily have to favour only one?
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