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Que restera-t-il de nous? /

Chapleau, Danielle. January 2007 (has links) (PDF)
Thèse (M. A.)--Université Laval, 2007. / Bibliogr.: f. [66]-74. Publié aussi en version électronique dans la Collection Mémoires et thèses électroniques.
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Que restera-t-il de nous?

Chapleau, Danielle 12 April 2018 (has links)
Teotihuacan, octobre 2005. Une petite tête de terre cuite à demi ensablée. De l'époque précolombienne jusqu'à moi, ce minuscule objet a été emmuré dans le silence de la matière. Ce surgissement de mémoire, cette émotion esthétique sont à l'origine de ce projet questionnant les temporalités ré-associées et la matière comme vecteur de mémoire. Ce précipité singulier a généré un univers d'interrelations construit autour de trois pôles induisant des effets d'écho et de polysémie. Métaphore géographique, Lithosphère, polyptyque posé à même le sol, évoque la croûte terrestre, la matière originelle. Céphalopodes décline une iconographie d'archétypes et de signifiants symboliques. Cent quatre-vingts têtes de terre cuite montées sur des tiges d'acier rouillé. Une tête, un pied, représentation minimaliste du corps humain. Noosphère, à l'orée du monde onirique et de l'immatérialité, lieu d'interconnexions spatio-temporelles, de stratification, de confrontation d'images fixes et d'images vidéographiques, crée une aire de dématérialisation insolite, toute d'ombre et de lumière.
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Les expositions d’art mexicain dans l’espace transnational : circulations, médiations et réceptions (1938 – 1952 – 2000) / Mexican Art Exhibitions in the Transnational Space : Circulations, Mediations and Receptions (1938 – 1952 – 2000)

Ortega Orozco, Adriana 08 January 2016 (has links)
S’inscrivant à la croisée de l’histoire des expositions et des relations culturelles internationales, la thèse a pour principal objectif l’étude de la construction d’une certaine image de la nation mexicaine à l’étranger à travers l’art et de la manière dont celle-ci a été perçue par des audiences diverses dans différentes contrées. Pour ce faire, la thèse propose une étude de la présence de l’art mexicain dans l’espace transnational analysant des phénomènes de circulation, médiation et réception autour de la première grande exposition d’art mexicain itinérante en Europe. Entre 1952 et 1953, l’exposition Art mexicain du précolombien à nos jours a été présentée successivement à Paris, Stockholm, Londres et Mexico. Cette manifestation culturelle participe d’une longue génèse qui remonte aux années 1920. Après plusieurs tentatives échouées, l’idée de présenter une exposition d’art mexicain en Europe émerge à nouveau dans le monde de l’après-guerre, impulsée par le gouvernement mexicain et une constellation d’acteurs européens étatiques et non-étatiques qui ont fait que le projet se concretise en 1952. La thèse étudie les enjeux que cette manifestation a répresentés pour ses promoteurs, ainsi que la manière dont son discours curatorial consacre une certaine rhétorique nationaliste qui insiste sur la continuité du génie artistique mexicain à travers les époques. L’étude des réceptions et des va-et-vient au sein de l’espace euro-américain est alors menée à travers l’analyse des diverses représentations autour du Mexique exprimées par les publics européens, ainsi que par les manières dont la société mexicaine resignifie les réactions européennes vis-à-vis de l’art mexicain afin de les adapter au contexte local. Ensuite, ce travail se concentre sur les adhésions et les rejets exprimés au Mexique par rapport à ce portrait de lo mexicano impulsé depuis l’État. La thèse démontre comment cette exposition est devenue par la suite un modèle pour la présentation de l’art mexicain à l’étranger, décliné à plusieurs reprises dans les décennies suivantes comme le fer de lance de la diplomatie culturelle mexicaine. / Located in the intersection of the fields of History of Exhibitions and History of International Cultural Relations, this thesis studies the construction of a particular image of the Mexican nation abroad through the medium of art, and the ways in which this image was perceived by diverse audiences in different countries. The thesis analyzes the circulation, mediation and reception of Mexican art in a transnational context for the first major traveling exhibition of Mexican art in Europe.Between 1952 and 1953, the exhibition Art mexicain du précolombien à nos jours (Mexican art from pre-Columbian times to the present day) was successively presented in Paris, Stockholm, London and Mexico City. This cultural event draws upon a long prehistory that dates back to the 1920s. After several failed attempts, the idea of presenting an exhibition of Mexican art in Europe reemerges in the postwar period driven by the Mexican government and a constellation of European state and non-state actors, leading up to the opening of the exhibition in Paris on May 20, 1952.The thesis studies the stakes that various promoters had in the exhibition as well as the ways in which its curatorial discourse crystallized a nationalist rhetoric that stresses the continuity of the mexican artistic genius through the ages. It further investigates the different receptions and interactions within the Euro-American space by analyzing the various representations of Mexico articulated by the European publics; conversely, it examines the ways in which Mexican society resignifies the European reactions vis-à-vis Mexican art and adapts them to the local context. Moreover, this work scrutinizes the approvals and rejections expressed by the Mexican public with regard to the particular image of lo mexicano promoted by the state. The thesis demonstrates how this exhibition became a model for the display of Mexican art abroad, reappearing several times in various declensions over the following decades as a trademark of Mexican cultural diplomacy.

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