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Pratiques et stratégies d'appropriation spatiale des groupes de femmes montréalais

Béchard, Clotilde January 2008 (has links) (PDF)
La présente recherche vise à mettre en lumière les pratiques et les stratégies d'appropriation spatiale des groupes de femmes montréalais dans les dimensions matérielle, idéelle et sociopolitique du territoire urbain. Partant de la prémisse voulant que les femmes aient un rapport différencié à l'espace, suscitant des besoins et des intérêts spécifiques, est avancée l'idée que les groupes de femmes investissent de plus en plus la sphère municipale. Perçue comme espace de pouvoir crucial dans l'amélioration des conditions de vie des femmes et dans l'atteinte de l'égalité entre les femmes et les hommes, la ville serait un territoire à l'intérieur duquel les groupes de femmes et les femmes participent à sa définition. Une dizaine d'entretiens ont été menés avec des répondantes provenant des groupes de femmes, de leurs instances de concertation et des institutions féministes. Ainsi, quelques-unes des pratiques et stratégies mises de l'avant par les groupes de femmes afin de s'approprier la ville dans ses dimensions idéelle, matérielle et sociopolitique, ont été dévoilées. Par ailleurs, la question de l'adaptation des actions des groupes de femmes au nouveau contexte découlant de la réorganisation municipale, procédant d'une reconfiguration des institutions aux différentes échelles, est soulevée. Préconisant le développement d'alliances et d'une concertation au sein du mouvement des femmes montréalais, les groupes de femmes misent sur des stratégies de représentation aux échelles locales et municipales, favorisant une plus grande. implication dans leur quartier et leur arrondissement. Néanmoins, les nombreux obstacles rencontrés par les groupes de femmes lèvent le voile sur la persistance d'une discrimination systémique à l'égard des besoins et des intérêts des femmes par leurs interlocuteurs locaux et municipaux. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Groupes de femmes, Appropriation spatiale, Discrimination systémique, Rapport différencié à l'espace, Réforme municipale, Montréal.
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Les liens associatifs des femmes chiliennes

Grabowiecka, Marie-Sophia January 2007 (has links) (PDF)
Ce mémoire porte sur des femmes chiliennes de Montréal et les liens associatifs qu'elles forment. Nous nous penchons sur la nature des liens associatifs « ethnicospécifiques » et les raisons explicites qui encouragent le regroupement de femmes immigrantes pour comprendre le rôle que joue la vie associative dans l'intégration de ces dernières. Nous chercherons, en interviewant ces femmes originaires du Chili et membres de l'association des Chiliens de Montréal, à saisir leurs représentations de leur place et de leurs rôles de femmes et de citoyennes ici au Québec, et à explorer l'importance de l'implication sociopolitique dans leur vie à Montréal. Dans le paysage urbain multiculturel de Montréal, les Chiliens et Chiliennes représentent une communauté culturelle parmi d'autres dont le parcours de l'exil, pour plusieurs, a poussé à un engagement sociopolitique dès l'arrivée; un engagement qui perdure toujours après les années pour les femmes chiliennes rencontrées. Cette implication continue au niveau associatif ne représente pas un repli sur soi et sa communauté mais est plutôt l'expression d'une conscience sociale beaucoup plus développée résultant du déplacement forcé (Doring, 2002), ainsi qu'un moyen d'adopter les affaires de la ville d'accueil et de s'intégrer à la collectivité montréalaise. Nous aborderons l'intégration sociale de ces femmes à travers leurs activités professionnelles, leurs expériences interpersonnelles et leur implication sociopolitique, tout en explorant leurs perceptions de l'identité féminine dans le contexte de leur parcours de vie. Le but de cette recherche est d'analyser, d'une part, comment la réalité de femmes immigrantes opère dans l'élaboration de leurs stratégies identitaires, leurs représentations des rôles de la femme et, d'autre part, les fonctions et l'impact de leur vie associative relativement à leur intégration dans le pays d'accueil.
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La violence faite aux femmes en Haïti : entre le réseau (inter)national d'assistance et la représentation des organisations féministes haïtiennes (1991-2008)

Longtin, David 12 1900 (has links) (PDF)
À partir des années 1990, un savoir sur la violence faite aux femmes est apparu en Haïti avec le développement d'un réseau d'assistance aux victimes du coup d'État de 1991 qui mit sur pied des programmes de réhabilitation après le retour à l'ordre constitutionnel. Les organisations de femmes et/ou féministes haïtiennes participèrent aux activités de ce réseau. Or, les études sur le sujet, produites dans le cadre de ces interventions, ne permettent pas de saisir l'enjeu politique entourant le développement de ce savoir. Ce mémoire a pour objectif d'analyser cet enjeu de pouvoir, notamment en étudiant l'impact du réseau (inter)national d'assistance sur la résurgence des organisations de femmes et/ou féministes comme actrices de la scène politique haïtienne. Pour ce faire, une revue de la littérature scientifique et des publications émises par les organisations de ce réseau ainsi qu'une analyse du discours du journal féministe Ayiti Fanm ont été effectuées. Les organisations de femmes et/ou féministes haïtiennes resurgirent lors des mobilisations contre la dictature de Jean-Claude Duvalier, les gouvernements civilo-militaires des années 1986-1990 et la campagne électorale ayant mené à la présidence Jean-Bertrand Aristide. À la suite du coup d'État de 1991, la junte militaire mit en œuvre une campagne de répression à l'encontre de ses partisans, perpétrant notamment des viols. La diaspora, les ONGs des droits humains et le cabinet d'Aristide exerçant des pressions pour son retour mirent alors en circulation un discours sur le viol comme arme politique afin de dénoncer les militaires et la politique américaine envers les réfugiés. Ce discours donna une visibilité aux organisations de femmes haïtiennes, qui déplacèrent alors l'enjeu sur la reconnaissance des droits des femmes dans lutte contre la violence faite aux femmes. Ceci fut rendu possible grâce à leur institutionnalisation dans l'assistance aux femmes victimes de violence. Entre autres, ces organisations collaborèrent avec les organisations de droits humains, les agences de développement, voire l'État haïtien afin de mettre en place des dispositifs incitant les victimes à témoigner de leur souffrance, témoignages médiatisés à travers leur discours d'expertise en matière de droits humains. De plus, elles ouvrirent des programmes de réhabilitation, incitant à la multiplication des groupes de victimes - notamment de femmes - et récoltant leurs confidences. Elles acquirent ainsi un savoir et une expertise en intervention sur la violence faite aux femmes, leur permettant d'émettre un discours sur la souffrance des femmes accueillies. À partir de ce discours, les militantes tentaient de s'instituer en porte-parole des femmes victimes sur la base du partage de leur souffrance, émettant des revendications pour l'obtention de la justice et la reconnaissance des droits des femmes. Elles menèrent diverses actions, notamment des plaidoyers en vue de modifier le droit, développant leur opposition à l'État, accusé d'inaction. Après l'élection d'Aristide en 2000, certaines organisations de femmes et/ou féministes, regroupées au sein de la CONAP, se radicalisèrent face au gouvernement, appelant à son renversement. Ces organisations mirent en circulation un discours sur l'insécurité, réactivant la mémoire du coup d'État, notamment en attribuant le retour du viol comme arme politique aux chimères, lançant des appels au renversement du gouvernement, déclaré « hors la loi ». Sous le gouvernement de transition, elles appelèrent à la refondation de la nation sur le droit, ce qui leur permit de reprendre les négociations avec l'État, obtenant certaines revendications, notamment en matière de droit. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Haïti, histoire, politique, violence faite aux femmes, organisations féministes, souffrance, savoir, discours

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