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La poésie russe d'avant-garde des années 1920 / Russian Avant-Garde Poetry In the 1920s

Krasovec, Alexandra 13 December 2012 (has links)
Au lendemain de la Révolution, on observe en Russie l’apparition de nombreux groupes d’avant-garde qui, d’une certaine manière, prolongent tous les groupes antérieurs. Les jeunes poètes qui perpétuent alors le paradigme avant-gardiste forment certains des groupes qui sont au cœur de cette recherche: les expressionnistes (dont Ippolit Sokolov, Boris Zemenkov, Sergej Spasskij, Gurij Sidorov), le Parnasse de Moscou (dont Boris Lapin, Evgenij Gabrilovič), les fouistes (dont Boris Perelešin, Boris Nesmelov, Nikolai Lepok), les émotionnalistes (dont Mixail Kuzmin, Anna Radlova, Konstantin Vaginov), les rienistes (dont Rjurik Rok, Sergej Sadikov, Susanna Mar, Aècij Ranov, Oleg Èrberg), et les biocosmistes (dont Aleksandr Svjatogor, Aleksandr Jaroslavskij). Ce travail cerne leur activité théorique, philosophique et poétique, suit leurs pas dans la vie artistique de l'époque, reconstitue le contexte intellectuel et culturel. Les années 1920 sont, de manière générale, la période où les cultures russe et allemande se témoignent le plus d'intérêt réciproque et un nombre important de contacts s'établit entre les artistes. L'analyse de leur poésie et de leurs manifestes permet de cerner le phénomène de l'expressionnisme russe, comme mouvement indépendant, et de montrer leur proximité typologique. Quant aux rienistes, on peut les rapprocher des dadaïstes européens. Enfin, les biocosmistes prolongent les idées du cosmisme russe dans une perspective révolutionnaire et utopique. Longtemps négligés, ces groupes apportent la preuve de l'unité vaste et complexe de l'avant-garde russe. Pourtant, leur apport ne fait aucun doute. / Just after the Revolution, in Russia there emerged numerous avant-garde groups that, in a way, continue all previous groups. Young poets who then perpetuate the avant-garde paradigm form certain groups that are at the heart of this research: the Expressionists (including Ippolit Sokolov, Boris Zemenkov, Sergei Spassky, Gury Sidorov), Parnassus of Moscow (including Boris Lapin, Yevgeny Gabrilovich), the Fouists (including Pereleshin Boris, Boris Nesmelov, Nikolai Lepok), the Emotionalists (including Mikhail Kuzmin, Anna Radlova, Konstantin Vaginov), the Nichevoki (including Ryurik Rok, Sergei Sadikov, Susanna Mar, Aetsy Ranov, Oleg Erberg), and Biocosmists (including Alexander Svyatogor, Alexander Yaroslavsky). This work identifies their theoretical, philosophical and poetic activities, following their steps in the artistic life of that time and reconstructs the intellectual and cultural context. The 1920s are, generally, the period when Russian and German cultures reflect greater mutual interest and a large number of contacts is established among artists. The analysis of their poetry and their manifests identifies the phenomenon of Russian Expressionism as independent movement and shows their typological affinities. As regards the Nichevoki, they can be compared to the European Dadaists. Finally, the Biocosmists continue the ideas of Russian Cosmism in a revolutionary and utopian perspective. Long neglected, these groups provide evidence of large and complex body of the Russian avant-garde. Nevertheless, their contribution is certain.
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Les laboratoires de l’architecture : enquête épistémologique sur un paradigme historique

Helal, Bechara 08 1900 (has links)
Si les lieux et les pratiques de l’architecture sont communément décrits par des termes empruntés aux arts (atelier, création, œuvre), la discipline a recours de façon croissante à des termes scientifiques (laboratoire, expérimentation, recherche). Cet intérêt contemporain pour des activités liées à la recherche scientifique se cristallise autour du « laboratoire architectural », une notion aujourd’hui courante dont les premières matérialisations remontent à la fin du XIXe siècle et dont la présence se renforce avec le récent « tournant numérique ». Or ce terme reste aujourd’hui sans définition claire. Qu’est‐ce qu’un « laboratoire architectural »? Quels éléments en constituent‐ils le modèle théorique? Quels sont les enjeux liés à l’émergence de la figure du laboratoire en architecture ? Pourquoi et pour quoi les architectes ont-ils recours à la figure du laboratoire ? La thèse s’organise en deux grandes parties, chacune structurée autour d’une série de questions complémentaires dans le but de rendre compte de la façon la plus complète de la nature du laboratoire architectural. La première partie apporte un éclairage historique sur la création de la figure du laboratoire architectural et se conclut sur une explicitation des grands éléments constitutifs d’un modèle du laboratoire architectural. Les cas étudiés sont le Architectural Laboratory du Massachusetts Institute of Technology (MIT), les nombreux laboratoires architecturaux des avant-gardes russes des années 1920, et le cas remarquable qu’est le Laboratory for Design Correlation fondé et dirigé par Frederick Kiesler à l’Université Columbia (1937–1942). Cette étude de cas se conclut sur la formulation des trois grands éléments constitutifs d’un modèle du laboratoire architectural qui sont 1. l’instrumentation matérielle, 2. la méthode de travail, et 3. les échanges sociaux. La seconde partie explicite chacun de ces trois axes en montrant de quelle manière ils ont structuré trois grandes catégories de laboratoires architecturaux, soit 1. le laboratoire comme ensemble d’instruments, 2. le laboratoire comme application d’une méthode et 3. le laboratoire comme flux d’échanges sociaux. La conclusion de la thèse traite des multiples enjeux que soulève le laboratoire architectural en abordant celui-ci dans sa relation à la discipline et hors de la discipline et se clôt sur la formulation d’un modèle théorique du laboratoire architectural. A travers l’explicitation de ce qui apparait comme un « paradigme du laboratoire », cette recherche épistémologique se veut une contribution à la théorisation de l’architecture contemporaine. / Architectural sites and practices are commonly described in terms borrowed from the arts (studio, creation, masterpiece) and yet, the architectural field relies increasingly on scientific terms (laboratory experimentation, research). This contemporary interest in activities related to scientific research appears to coalesce around the now common notion of "architectural laboratory". Its first materialization dates back to the late nineteenth century and its presence has greatly increased since the recent "digital turn", although this term remains, to this day, still not properly defined. What is an "architectural laboratory"? What elements form its theoretical model? What are the issues related to the emergence of the figure of the "architectural laboratory"? Why and for what purpose do architects refer to the figure of the laboratory? The thesis is organized into two parts, each part being structured around a series of additional questions in order to access the complex nature of the architectural laboratory. The first section provides a historical perspective on the appearance of the figure of the architectural laboratory and concludes with an analysis of the major components of the architectural laboratory model. The case studies are the Architectural Laboratory of the Massachusetts Institute of Technology (MIT), the numerous architectural laboratories of the 1920s Russian avant-gardes and the remarkable case that is the Laboratory for Design Correlation founded and directed by Frederick J. Kiesler at Columbia University (1937–1942). This case study results in the formulation of the three major components of a model of architectural laboratory: 1. the material instrumentation, 2. the working method, and 3. the social exchanges. The second part will clarify each of these three axes, showing how they have structured three major categories of architectural laboratories, being 1. the laboratory as a set of instruments, 2. the laboratory as application of a method, and 3. the laboratory as social exchange flows. The conclusion of the thesis tackles the multiple issues raised by the architectural laboratory by considering the impact of this notion both within the discipline of architecture and outside of its limits. The thesis concludes with the formulation of a theoretical model of the architectural laboratory. Through the clarification of what appears to be a "paradigm of the laboratory", this epistemological research is a contribution to the theory of contemporary architecture.

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