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Utilisation du seigle d'automne (Secale cereale) comme culture de couverture dans la lutte contre les mauvaises herbes dans la citrouille (Cucurbita pepo) au Québec

Buhler, Susanne. January 1900 (has links) (PDF)
Thèse (M.Sc.)--Université Laval, 2009. / Titre de l'écran-titre (visionné le 13 janvier 2010). Bibliogr.
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Étude biosystématique de la section Conyzopsis du genre Aster (Asteraceae)

Houle, Francine 02 1900 (has links)
Thèse numérisée par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal. / Cette étude biosystématique a pour but de déterminer la composition, la nomenclature et l évolution de la section Conyzopsis. Les diverses hypothèses rapportées dans la documentation mentionnent la présence de deux, quatre ou cinq taxons reliés aux genres Aster, Erigeron, Conyza ou Brachyaçtis selon les auteurs consultés. Notre démarche expérimentale consiste à établir la morphologie, la distribution, l écologie, le nombre chromosomique, le mode de reproduction, la possibilité d'hybridation artificielle et les électrophorégrammes des taxons afin de connaître la distance génétique et les facteurs d'isolement entre les espèces. Nos travaux de recherche ont contribué largement à la connaissance de la biologie du groupe. Nos études taxonomiques traditionnelles nous ont permis d'établir la présence de trois taxons dans la section: Aster frondosus, A. brachyactis et A. Laurentianus. Ces trois espèces se caractérisent par des différenées morphologiques ténues mais nettes et des préférences écologiques distinctes. La culture de ces espèces dans des conditions uniformes, a confirmé la stabilité des caractères diagnostiques et révélé des différences dans le développement et la floraison de l'A. laurentianus. Cependant, les variétés de l A. laurentianus et les sous-espèces de l A. brachyactis ne sont pas reconnues. La cytologie nous a informés que la section Conyzopsis est composée d'espèces diploides à 2n = 14 chromosomes. L'étude de la reproduction nous a révélé que le groupe est autocompatible. L'A. brachyactis et l'A. laurentianus sont des espèces fortement autofécondes alors que l A. frondosus peut aussi se reproduire par fécondation croisée. Nos expériences d'hybridation artificielle ont démontré une interfécondité unididirectionnelle entre les espèces (A. brachyactis (♀) x A. frondosus (♂); A. laurentianus (♀) x A. frondosus (♂); A. laurentianus (♀) x A. brachyactis (♂)). Quoique des hybrides fertiles puissent être produits expérimentalement, l'isolement des espèces en nature est assuré par l'autofécondation de l A. brachyactis et de l'A. laurentianus. La production d'hybrides A. frondosus (♀) x A. modestus (♂) a confirmé les relations étroites du groupe étudie avec le genre Aster. Les analyses électrophorétiques ont mis en évidence une grande similarité génétique entre l'A. brachyactis et l'A. laurentianus et une distance plus considérable de l A. frondosus. L ensemble de nos résultats suggère une lignée évolutive caractérisée par deux spéciations rapides et successives: A. frondosus → A. brachyactis → A. laurentianus. La position ancestrale de l A. frondosus reflète une origine nord-américaine pour la section Conyzopsis.
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Individuation et philosophie du végétal

Hiernaux, Quentin 23 April 2018 (has links) (PDF)
Résumé de la thèse :Individuation et philosophie du végétalQu’est-ce qu’un individu végétal ?Comment définir cette notion et pourquoi poser une telle question ?Tout d’abord, d’un point de vue très général, l’individualité a trait autant à la philosophie qu’à la biologie. On peut donc se demander si l’acception traditionnelle de l’individu en philosophie est différente de celle(s) des biologistes. Ensuite, c’est une question dont on peut suivre l’évolution historique à travers les avancées scientifiques (non sans son lot de nouvelles questions philosophiques). La conception antique de l’individualité de la plante n’est pas la même que celle de la botanique de la Renaissance, du XIXe siècle ou de la biologie néoévolutionniste. Des approches spécifiques à la botanique existent au sein de la problématique de l’individualité biologique. Elles croisent à de nombreuses reprises la philosophie. De même, des philosophes contemporains du végétal ne sont-ils pas influencés par les avancées récentes de l’écologie et des sciences environnementales ?Les idées de certains philosophes de la tradition sont ainsi parfois convoquées en dialogue avec les découvertes scientifiques de leur temps. Du point de vue méthodologique, notre enquête philosophique sur l’individualité végétale repose sur un dialogue avec les sciences biologiques contemporaines. Pour commencer, nous introduisons les concepts, définitions et critères de départ à partir desquels nous pouvons comprendre ce que sont un végétal et un individu du point de vue des sciences biologiques. Cette entrée en matière est mise en perspective et problématisée avec les définitions philosophiques traditionnelles de l’individualité et les conceptions habituellement occupées par les plantes dans la philosophie occidentale. Dans ce cadre, nous introduisons la pensée de Simondon qui nous sera utile au fil de la réflexion. Sur un plan formel, nous élaborons une tripartition des critères de l’individualité biologique afin de structurer l’enquête. L’individualité végétale est ainsi investiguée dans un premier temps selon un axe morphologique et spatio-temporel. Celui-ci nous permet de résumer plusieurs grandes positions de l’histoire de la botanique sur la question qui nous occupe. Nous étudions aussi dans quelle mesure la botanique contemporaine peut nous instruire à ce sujet selon différents points de vue et échelles. Ensuite, nous abordons la question de l’individualité selon un axe évolutionniste et génétique. Nous montrons plus en détail comment la question de l’individualité est liée à des concepts comme le génome, l’espèce ou la sexualité et quelles implications bien particulières le végétal leur fait subir au sein de ce contexte. Enfin, une troisième partie est dédiée à l’étude de l’individualité selon une perspective physiologique et fonctionnelle. Outre le contraste que cette approche permet d’introduire à propos de certains des concepts susmentionnés, elle pose de façon plus générale la question des limites de l’individu végétal à travers la problématique des symbioses, du système immunitaire ou du système nerveux. Ces points nous conduisent à interroger l’individu végétal en le mettant à l’épreuve d’une possible unité comportementale. Il n’est en effet a priori pas certain que l’on puisse lui appliquer un tel concept avec son cortège de conséquences (la sensibilité, la mémoire, l’intelligence…).Ces questions épistémologiques ne manquent pas de soulever des problèmes et enjeux proprement philosophiques comme le lien de l’individualité à la subjectivité, la place des vivants non-animaux en philosophie ou le rapport essentiel du végétal à l’environnement. Finalement, nous nous demandons, dans une perspective plus simondonnienne, dans quelle mesure poser la question de l’individualité végétale en termes de processus d’individuation avec son milieu pourrait déplacer la problématique et apporter ou non quelque chose à la compréhension du végétal dans ses rapports aux sciences biologiques contemporaines. À cet effet, nous sommes amenés à nous positionner vis-à-vis de plusieurs thèses contemporaines d’auteurs, que l’on peut qualifier de façon très libérale de philosophes de la nature (Marder, Coccia…), pour en tirer des conclusions originales sur le statut de l’individu végétal.De manière plus transversale, l’une des spécificités de notre enquête consiste à partir de problèmes concrets et situés posés par l’individualité végétale. Nous montrons comment ceux-ci entrent en tension ou induisent des décalages et ambigüités avec les modèles théoriques préalablement proposés. La perspective végétale, par les résistances qu’elle suscite, se révèle un formidable moteur de la réflexion philosophique. Elle nous amène ainsi à remettre en question de nombreux points de vue sur l’individualité et sur les plantes. Sur cette base, cette thèse ouvre ainsi des perspectives philosophiques novatrices, parfois contre-intuitives au regard des préjugés dont le végétal a été victime dans notre tradition moderne occidentale. / Doctorat en Philosophie / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Toxicité des végétaux d'intérieur.

Guth, Fabienne, January 1900 (has links)
Th. Méd.--Nancy 1, 1983. N°: 90.
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Étude floristique des Îles des Rapides de Lachine

Ranger, Jacques L. 01 1900 (has links)
No description available.
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Une Contribution Logicielle dédiée la simulation de l'architecture et de la croissance des plantes

Barczi, Jean-François 05 December 2008 (has links) (PDF)
La modélisation et la simulation de la croissance des plantes peut être abordée selon plusieurs aspects tant pour ce qui concerne la connaissance que les moyens mis en œuvre. Ce champ d'étude se trouve à la croisée de diverses expertises telles que botanique, agronomie, physiologie, mathématique ou informatique. Beaucoup de travaux ont été proposés dans ce domaine dont la plupart sont fortement colorés par une seule de ces spécialités. Nous proposons une approche qui nous semble généraliste et qui s'appuie sur des connaissances provenant conjointement des champs de l'agronomie, des mathématiques et du génie logiciel. Cette étude se décompose en trois étapes : - Proposition d'un modèle purement structural de description de l'architecture des plantes (AmapSim). Ce modèle utilise des processus stochastique pour représenter les distributions de branches, de pousses et d'entre-nœuds observées sur des plantes réelles . Ces processus sont organisés autour d'un automate à états finis dont la variable d'état est l'âge physiologique et qui simule l'évolution de la vigueur des bourgeons de la plante au cours de leur vie. - Définition d'un ensemble d'outils logiciels propres à accueillir des simulateurs de croissance de plante (Vitis). Cette librairie offre des services pour la gestion de la description de plante en cours de simulation, pour la gestion des paramètres des modèles qui édifient la plante et pour la synchronisation et l'échange d'information entre les blocs fonctionnels qui constituent le simulateur. - Développement d'un simulateur d'AmapSim dans Vitis puis de quelques exemples d'applications. Cette étape a pour but de démontrer le bien fondé des choix effectués lors des étapes précedentes. On y montre des résultats de simulation d'AmapSim puis d'applications basées sur AmapSim et agrémentées dynamiquement de connaissances additionnelle grâce aux fonctionnalités de Vitis. On y montre notamment comment ajouter de la connaissance issue du domaine de la physiologie pour créer de applications de type structure-fonction. Ce travail ouvre des perspectives concernant l'utilisation d'AmapSim et le développement de nouveaux plugins ; l'introduction de nouveaux modeles dans Vitis ; la formalisation de la notion de simulateur de plante à l'usage des futurs modélisateurs
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Impact de la machinerie forestière sur la croissance des racines fines de l'érable à sucre suite à une coupe jardinatoire

Malo, Catherine January 2009 (has links) (PDF)
La foresterie tente de plus en plus de reproduire les perturbations naturelles. Dans des peuplements régis par des perturbations de faible intensité, les coupes partielles sont de plus en plus proposées, notamment la coupe de jardinage qui représente le traitement sylvicole le plus utilisé dans la forêt feuillue publique au Québec. Des inquiétudes ont été soulevées quant à la possibilité que l'utilisation de la machinerie lourde pour récolter les arbres crée une perturbation du sol qui affecte négativement la croissance et la survie des arbres résiduels. Ceci pourrait particulièrement affecter la survie des racines fines étant donné que la majorité de leur biomasse est située dans la couche d'humus et l'horizon A du sol. L'objectif de cette étude est de déterminer si la machinerie forestière affecte la croissance, la morphologie et l'architecture des racines fines de l'érable à sucre (Acer saccharum Marsh.) sur les sentiers, ainsi que près des sentiers, créés par la machinerie lors de la coupe jardinatoire au cours de la première année suivant la coupe. Pour étudier cette problématique, une érablière ayant subi une coupe jardinatoire à la fin de l'été 2006 a été sélectionnée près de Saint-Ludger en Estrie sur des terrains appartenant à Domtar. Le site a été divisé en un possible gradient de perturbation, issu de la création de sentiers principaux et secondaires par la machinerie forestière. Des sacs de croissance et des carottes de sol ont été utilisés afin d'évaluer l'effet d'un gradient de perturbation causé par la coupe sur la croissance et l'architecture racinaire. Les résultats démontrent une diminution significative de la croissance au centre du sentier principal et secondaire, mais aucun changement significatif de la croissance sur le pourtour du sentier. La croissance est grandement diminuée au centre des sentiers autant dans le sentier principal que dans le sentier secondaire bien que la machinerie circule à plusieurs reprises dans le sentier principal et seulement deux fois dans le sentier secondaire. Le diamètre moyen des racines est le plus faible au centre des sentiers. Ceci est probablement dû à une forte mortalité des racines suite au passage de la machinerie. Nous avons estimé que la coupe jardinatoire produit environ 15 à 25 % de sentier primaire et secondaire. Cette étude nous permet donc d'affirmer que la machinerie lourde utilisée en foresterie, lors de la coupe jardinatoire, peut affecter dramatiquement le potentiel de croissance des racines fines des 30 premiers centimètres du sol et cela autant dans les chemins primaires que secondaires. Il est donc essentiel de réduire le plus possible la circulation de la machinerie dans les forêts sujettes aux coupes partielles. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Érable à sucre, Coupe jardinatoire, Racine fine, Sac de croissance.
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Impact physiologique des liens racinaires chez le peuplier faux-tremble (Populus tremuloides Michx.)

Baret, Matthieu January 2009 (has links) (PDF)
Chez certaines espèces telles que le peuplier faux-tremble (Populus tremuloides Michx.), les arbres sont reliés entre eux par une racine mère due à leur mode de propagation par drageonnement. Ces liens racinaires remettent en question les notions classiques d'individualité des arbres pour l'accès aux ressources et pour la compétition, puisqu'ils permettent les échanges d'eau, de minéraux ou encore d'hydrates de carbone. Le but de cette étude était de démontrer qu'un arbre pouvait influencer la physiologie d'un autre arbre grâce au lien racinaire qui les unit. Pendant les étés 2007 et 2008, des couples de peuplier faux-tremble issus du drageonnement (i.e. 2 ramets reliés par une racine parentale) répartis en trois classes de hauteur (dominante, codominante et supprimée) ont été sélectionnés, puis les ramets situés en position distale par rapport à la racine parentale ont été manuellement défoliés. L'effet de la défoliation sur la photosynthèse, la conductance stomatique, la surface foliaire spécifique (SFS) et la concentration en sucres des feuilles a été mesuré sur les ramets non défoliés. Les résultats montrent que la défoliation d'un arbre a causé une réponse physiologique chez un autre arbre relié par la racine. A l'été 2007, l'effet de la défoliation a été plus important sur les ramets de la classe supprimée, dont la photosynthèse avait augmenté de 17% par rapport aux témoins non défoliés. L'effet était moins important sur les ramets codominants (augmentation de 14%) et dominants (12%). A l'été 2007, la SFS était plus importante pour les ramets supprimés, l'effet de la défoliation étant décroissant pour les classes codominante et dominante. Ce résultat suggère une augmentation plus importante des compétences photosynthétiques des ramets supprimés par rapport à ceux des autres classes de hauteur. À l'été 2008, aucun effet de la défoliation n'a été observé, probablement dû à des conditions d'humidité élevées résultant en des valeurs de conductance stomatique beaucoup plus élevées qu'en 2007 (+55%). Sous de fortes conditions d'humidité, la conductance hydrique foliaire ne limite pas la conductance stomatique, donc le taux d'assimilation du CO₂ était probablement à son maximum d'où l'absence d'augmentation du taux de photosynthèse. La concentration en sucres était identique pour les trois classes par rapport aux témoins pour les 2 années d'étude. Ce résultat indique que l'effet de la défoliation interviendrait surtout au niveau des compétences photosynthétiques des feuilles et non au niveau énergétique. Cette étude montre que les arbres peuvent interagir physiologiquement à travers les liens racinaires. La présence de liens racinaires devrait ainsi être considérée dans la dynamique de tels peuplements. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Défoliation, Drageons, Peuplier faux-tremble, Photosynthèse, Lien racinaire, Surface foliaire spécifique.
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La représentation des Cévennes dans la collection photographique de l'Institut de botanique de Montpellier /

Denhez, Anne-Dominique. Foucart, Bruno, Aubenas, Sylvie, January 2004 (has links)
DEA--Hist. de l'art--Paris IV, 2004. / Bibliogr. p. 683-689.
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Science and poetry in medieval Persia : the botany of Nizami's Khamsa /

Van Ruymbeke, Christine. January 2007 (has links)
Texte remanié de: Doctoral Thesis--Bruxelles--Université libre, 1997. / Traduit du français. Bibliogr. p. [219]-226.

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