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Défavorisation matérielle, environnement alimentaire et qualité de l’alimentation selon le statut d’immigration

Chassé, Gabrielle 12 1900 (has links)
Objectifs : Les inégalités sociales de l’alimentation sont vécues différemment parmi les populations vulnérables. Cette étude examine la relation entre le statut d’immigration, l’insécurité alimentaire (IA) et la fréquence de consommation de fruits et légumes (F/L) et de boissons sucrées (BS) dans les ménages à faible revenu pendant la pandémie de COVID-19. Méthodes : Étude transversale auprès de 467 adultes (231 immigrants, 236 personnes nées au Canada) dans quatre quartiers défavorisés de Montréal (Québec). La fréquence de consommation de F/L et de BS a été modélisée selon l’IA et l’environnement alimentaire (densité des commerces d’alimentation, perceptions d’accès physique aux aliments sains et utilisation des ressources alimentaires communautaires) pour l’échantillon total et selon le statut d’immigration. Résultats : Les immigrants consommaient plus fréquemment des F/L (3,19 ± 1,64/jour) et moins de BS (0,22 ± 0,39/jour) que ceux nés au Canada (respectivement 2,80 ± 1,78 et 0,43 ± 0,88/jour). L’IA grave était fortement associée à une fréquence de consommation moindre de F/L. L’utilisation de kiosques de F/L chez les Canadiens natifs et des perceptions positives d’accès aux aliments dans les commerces chez les immigrants étaient associées à une fréquence de consommation plus élevée de FL. L’IA modérée était associée à un rapport de cotes plus élevé de consommer plus fréquemment des BS chez les natifs du Canada tandis qu’on observe l’inverse chez les immigrants en IA grave. Conclusion : Les inégalités sociales liées à l’alimentation sont vécues différemment chez les populations à faible revenu selon leur statut d’immigration / Objectives: Social inequalities in diet exist among vulnerable populations. This study assessed relationships between immigrant status, food insecurity (FI), frequency of fruit, and vegetable (F/V), and sugary drinks intake among urban low-income households during COVID-19 pandemic. Method: Cross-sectional analysis among 467 adults in 2021 (231 immigrants and 236 Canadianborn individuals) in 4 disadvantaged neighborhoods in Montreal (Quebec). Frequency of F/V and sugary drinks intakes were modeled using multivariate linear regression and logistic regression respectively, including variables of food security status, the density of food stores, perceptions of physical access to healthy foods, and usage of community food resources using multivariate linear regression and logistic regression respectively, for the entire sample then stratified by immigrant status. Results: Immigrants consumed F/V (3.19 ± 1.64/day) more frequently and sugary drinks (0.22 ± 0.39/day) less regularly than Canadian-born individuals (respectively 2.80 ± 1.78 and 0.43 ± 0,88/day). Severe FI was strongly associated with lower frequency of F/V intake. When stratifying by immigrant status, using F/V kiosks was associated with higher frequency of F/V consumption among Canadian-born individuals (β=0.49 times/day, CI= [0.04, 0.94]), and positive perceptions of food access were associated with higher frequency of F/V intake among immigrants. For sugary drinks, moderate FI was associated with higher odds of consuming more frequently sugary drinks among Canadian-born individuals (OR= 4.52; CI= [1.42, 14.35]) and with lower odds among immigrants with severe FI (OR=0.19, CI= [0.05, 0.76]). Conclusion: Social inequalities associated with diet are experienced differently among lowincome populations according to their immigrant status.
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Caractérisation de l'attirance des enfants pour la saveur sucrée : rôles des expériences alimentaires et apport de l'imagerie cérébrale / Characterization of children's sweetness attraction : role of dietary experiences and contribution of brain imaging

Divert-Henin, Camille 14 December 2015 (has links)
Il a été largement démontré que la saveur sucrée était la saveur la plus appréciée chez les nouveau-nés et que cette attirance demeurait élevée tout au long de l’enfance et de l’adolescence. Il semble primordial de mieux caractériser le comportement alimentaire des enfants pour cette saveur en s’intéressant au rôle joué par les expériences alimentaires et aux apprentissages qui en découlent dans la mise en place de l’attirance pour les aliments et boissons sucrés. Pour répondre à cette problématique nous avons allié une approche comportementale et une approche en imagerie cérébrale (IRMf) chez les enfants de 7-12 ans afin de caractériser leur comportement alimentaire envers la saveur sucrée. Les résultats montrent peu de liens entre expositions à la saveur sucrée et attirance pour la saveur sucrée. Cependant, l’attirance pour la saveur sucrée est fortement associée à la quantité de glucides simples consommés en situation de libre choix. De plus, les sucres caloriques jouent un rôle renforçateur dans l’apprentissage de l’appréciation d’une flaveur nouvelle et l’exposition répétée à des boissons sucrées et édulcorées permet aux enfants d’apprendre à compenser l’énergie consommée aux repas suivants l’ingestion des boissons. La compensation n’est cependant que partielle. Enfin, les analyses en IRMf suggèrent que plus les enfants sont exposés aux boissons sucrées moins il y a d’activation en réponse aux sucres au niveau de régions du circuit de la récompense. Par une approche originale, ces travaux ont permis de mieux caractériser l’attirance des enfants pour la saveur sucrée et soulignent le rôle des apprentissages dans la mise en place des préférences alimentaires. / It has been widely demonstrated that infants have a higher preference for sweetness than for any other tastes and that sweetness attraction remain high throughout childhood and adolescence. Therefore, better characterizing children’s eating behavior toward sweetness by evaluating the role of food experiences and learning in the development of children’s attraction toward sweet foods and drinks seems essential. To better address this issue behavioral and brain imaging (fMRI) protocols were combined in 7 to 12 year-old children in order to characterize in different ways their eating behavior toward sweetness. Results showed few links between early and current sweetness exposure and attraction toward sweet taste. However, attraction toward sweet taste is strongly associated with simple carbohydrate intake in a free choice buffet. Moreover, nutritive carbohydrates play a reinforcing role in food learning in terms of children’s food liking. Children’s capacities to compensate the calories consumed in a preload drink are learned after repeated exposures to caloric and non-caloric drinks. However, caloric compensation remains uncomplete. Furthermore, fMRI data suggest that sweet drink exposure could lead to decreased activations in regions involved in food reward. Using an original methodological approach, the present work resulted in a better characterization of children’s attraction toward sweetness. Moreover, these results give an interesting insight regarding the role of experiences with sweet foods and drinks during childhood in the development of children’s food preferences.

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