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Effet de l’environnement alimentaire bâti autour des écoles sur les comportements d’achat alimentaire des jeunes du secondaire

Boulanger, Amélie January 2016 (has links)
Le nombre de jeunes avec un surplus de poids est en hausse au Canada (Roberts, Shields, de Groh, Aziz et Gilbert, 2012). Les conséquences négatives de cette condition sont multiples pour le jeune, actuellement et pour son avenir. La recherche visant à comprendre les raisons de cette augmentation cible, entre autres, les environnements alimentaires dont le paysage scolaire. Des restaurants rapides et des dépanneurs sont dénombrés dans l’environnement alimentaire bâti en milieu scolaire (Lalonde et Robitaille, 2014). La présence et la concentration de commerces alimentaires dans le voisinage des écoles favorisent l’achat d’aliments et de boissons par les jeunes (He, Tucker, Gilliland, Irwin, Larsen, et Hess, 2012a; Robitaille, Paquette, Cutumisu, Lalonde, Cazale, Traoré et Camirand, 2015; Seliske, Pickett, Rosu et Janssen, 2013; Virtanen, Kivimäki, Ervasti, Oksanen, Pentti, Kouvonen, Halonen, Kivimäki, Vahtera, 2015). Pourtant, le lien causal entre le paysage alimentaire scolaire et les achats des jeunes n’est pas soutenu par la littérature scientifique actuelle. À Sherbrooke, un changement dans l’environnement alimentaire bâti est survenu en 2012 suite à l’implantation de commerces alimentaires en périphérie d’une école secondaire. Ce projet était une occasion exceptionnelle de valider si la modification naturelle de la densité alimentaire autour d’une école avait un effet sur les comportements d’achat des jeunes dans cet environnement. L’objectif de ce travail de maîtrise était de mesurer le lien entre les comportements d’achat des jeunes du secondaire dans l’environnement alimentaire bâti en milieu scolaire et la densité de certains commerces alimentaires circonscrite autour de leur école. L’hypothèse émise était que les jeunes dont l’école était entourée d’une densité plus élevée de commerces alimentaires étaient plus nombreux à acheter des aliments et des boissons dans ces commerces que les autres adolescents. Pour ce faire, un questionnaire auto-administré a été rempli en classe par des élèves de trois écoles secondaires sherbrookoises. Les données obtenues ont permis de documenter les comportements d’achat de près de 3 000 jeunes en 2013. Ces comportements d’achat ont été comparés à ceux collectés dans le Portrait des jeunes sherbrookois de 4 à 17 ans en matière d’alimentation et d’activité physique et sportive réalisé en 2008 (n = 3 867) (Morin et al., 2009a). Parallèlement, une cartographie des environnements alimentaires autour de chaque école participante à chaque temps a permis de décrire les densités alimentaires scolaires. Au regard de l’environnement alimentaire bâti en milieu scolaire, peu de liens existent entre la prévalence d’acheteurs le midi et la densité de restaurants rapides autour des écoles, selon nos résultats. Seul l’effet défavorable d’une très forte concentration en restaurants rapides (soit plus d’une douzaine) a émergé de nos résultats. De plus, aucune tendance n’a été décelée entre l’évolution du paysage alimentaire autour des écoles entre les deux temps et les changements dans les prévalences d’acheteurs. Ainsi, les efforts fournis pour diminuer la densité alimentaire en périphérie des écoles doivent être remis en question considérant le faible effet mesuré sur les comportements d’achat des jeunes dans notre étude. En ce qui trait aux comportements d’achat des jeunes, nos résultats ont montré que seule une faible proportion de jeunes était des consommateurs dans les environnements alimentaires scolaires. En effet, moins d’un jeune sur dix a acheté un aliment ou une boisson sur l’heure du midi dans un restaurant rapide dans la semaine sondée. Cette pratique ne semblait donc pas caractériser le régime alimentaire global des jeunes et ainsi, son influence réelle sur la hausse des taux d’obésité est incertaine (Macdiarmid, Wills, Masson, Craig, Bromley et McNeill, 2015). De plus, selon nos résultats, la prévalence des acheteurs au restaurant rapide durant une semaine typique a diminué entre les deux temps. D’un autre côté, la qualité nutritive des achats dans ces commerces durant une semaine s’était améliorée entre les deux temps. Cependant, les choix moins nutritifs étaient toujours achetés par plus de jeunes que les aliments et les boissons nutritifs. Les quantités achetées à chaque visite dans un restaurant rapide étant inconnues dans notre étude, il était difficile de statuer sur l’effet réel des achats sur les prévalences d’obésité. En conclusion, il demeure essentiel d’améliorer les habitudes alimentaires des jeunes, entre autres, dans les restaurants rapides lors d’une journée scolaire (Macdiarmid et al., 2015). Par conséquent, l’offre alimentaire dans l’environnement alimentaire bâti en milieu scolaire doit être bonifiée, par exemple en collaborant avec les commerçants alimentaires déjà établis. Il faut également maintenir les efforts déployés pour améliorer l’environnement alimentaire dans l’école et élaborer des stratégies pour que les jeunes mangent à la cafétéria de l’école.
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Environnement alimentaire et consommation de fruits et légumes à Hochelaga-Maisonneuve

Plascencia, Erika Nayeli 08 1900 (has links)
Depuis maintenant plusieurs années la recherche en santé met l’accent sur le rôle de l’environnement alimentaire pour mieux comprendre les mécanismes qui influencent les comportements alimentaires, notamment en milieu urbain défavorisé. La littérature scientifique sur le sujet pour le Canada et le Québec est encore relativement peu fournie, en particulier sur le sujet de l’impact de l’environnement alimentaire du consommateur. Cette étude vise à analyser les associations entre certaines caractéristiques de l’environnement alimentaire incluant l’environnement alimentaire communautaire et du consommateur sur la consommation de fruits et légumes dans un quartier défavorisé de Montréal. L’étude se focalise sur Hochelaga-Maisonneuve, quartier pour lequel il existe de données détaillées sur la consommation de fruits et légumes d’un échantillon de 381 individus ainsi que sur les caractéristiques à l’intérieur de 17 supermarchés du territoire. Un indicateur composite de l’environnement alimentaire communautaire et du consommateur a été créé et utilisé dans des modèles de régression linéaire afin d’estimer l’effet de l’environnement alimentaire sur la consommation de fruits et légumes auprès de 381 individus, en contrôlant pour les facteurs sociodémographiques. Les résultats suggèrent que le fait de fréquenter un marché ou une fruiterie est la seule variable ayant un effet statistiquement significatif sur la consommation de fruits et légumes. Cependant, la grande majorité de l’échantillon s’approvisionne dans quatre supermarchés du quartier. Cette limite est probablement la raison pour laquelle nous ne mesurons pas d’effet significatif du prix et de l’environnement du consommateur en général. D’autres variables explicatives telles que la densité des commerces et la distance parcourue par les individus n’ont pas été observées comme ayant un effet significatif. / For several years now, research has emphasized the role of food environments in influencing eating behaviors, especially in underprivileged urban areas. As for Canada and Quebec, the scientific literature is still relatively limited, especially concerning the impact of the consumer environment. This study strives to analyze the impact of the food environment including both community and consumer food environment on fruits and vegetables consumption in a disadvantaged neighborhood of Montreal. The study includes a sample of 381 individuals living in Hochelaga-Maisonneuve and the characteristics of 17 supermarkets in the neighborhood. After creating a composite indicator of the community and consumer food environment and using linear regression models, these data provide an estimate on the effect of the food environment and of each factor, after controlling for the socio demographic variables, on the fruit and vegetable consumption of 381 individuals. Data shows that attending a market or a fruit store is the only variable having a statistically significant effect on the consumption of fruits and vegetables in this sample. However, the vast majority of participants acquire their supplies from only four supermarkets. This limit is probably the reason why we do not observe an effect of price and of the general consumer environment. Others explicative variables as the density of healthy shops and the distance travels by the participants had not a significant effect.
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Défavorisation matérielle, environnement alimentaire et qualité de l’alimentation selon le statut d’immigration

Chassé, Gabrielle 12 1900 (has links)
Objectifs : Les inégalités sociales de l’alimentation sont vécues différemment parmi les populations vulnérables. Cette étude examine la relation entre le statut d’immigration, l’insécurité alimentaire (IA) et la fréquence de consommation de fruits et légumes (F/L) et de boissons sucrées (BS) dans les ménages à faible revenu pendant la pandémie de COVID-19. Méthodes : Étude transversale auprès de 467 adultes (231 immigrants, 236 personnes nées au Canada) dans quatre quartiers défavorisés de Montréal (Québec). La fréquence de consommation de F/L et de BS a été modélisée selon l’IA et l’environnement alimentaire (densité des commerces d’alimentation, perceptions d’accès physique aux aliments sains et utilisation des ressources alimentaires communautaires) pour l’échantillon total et selon le statut d’immigration. Résultats : Les immigrants consommaient plus fréquemment des F/L (3,19 ± 1,64/jour) et moins de BS (0,22 ± 0,39/jour) que ceux nés au Canada (respectivement 2,80 ± 1,78 et 0,43 ± 0,88/jour). L’IA grave était fortement associée à une fréquence de consommation moindre de F/L. L’utilisation de kiosques de F/L chez les Canadiens natifs et des perceptions positives d’accès aux aliments dans les commerces chez les immigrants étaient associées à une fréquence de consommation plus élevée de FL. L’IA modérée était associée à un rapport de cotes plus élevé de consommer plus fréquemment des BS chez les natifs du Canada tandis qu’on observe l’inverse chez les immigrants en IA grave. Conclusion : Les inégalités sociales liées à l’alimentation sont vécues différemment chez les populations à faible revenu selon leur statut d’immigration / Objectives: Social inequalities in diet exist among vulnerable populations. This study assessed relationships between immigrant status, food insecurity (FI), frequency of fruit, and vegetable (F/V), and sugary drinks intake among urban low-income households during COVID-19 pandemic. Method: Cross-sectional analysis among 467 adults in 2021 (231 immigrants and 236 Canadianborn individuals) in 4 disadvantaged neighborhoods in Montreal (Quebec). Frequency of F/V and sugary drinks intakes were modeled using multivariate linear regression and logistic regression respectively, including variables of food security status, the density of food stores, perceptions of physical access to healthy foods, and usage of community food resources using multivariate linear regression and logistic regression respectively, for the entire sample then stratified by immigrant status. Results: Immigrants consumed F/V (3.19 ± 1.64/day) more frequently and sugary drinks (0.22 ± 0.39/day) less regularly than Canadian-born individuals (respectively 2.80 ± 1.78 and 0.43 ± 0,88/day). Severe FI was strongly associated with lower frequency of F/V intake. When stratifying by immigrant status, using F/V kiosks was associated with higher frequency of F/V consumption among Canadian-born individuals (β=0.49 times/day, CI= [0.04, 0.94]), and positive perceptions of food access were associated with higher frequency of F/V intake among immigrants. For sugary drinks, moderate FI was associated with higher odds of consuming more frequently sugary drinks among Canadian-born individuals (OR= 4.52; CI= [1.42, 14.35]) and with lower odds among immigrants with severe FI (OR=0.19, CI= [0.05, 0.76]). Conclusion: Social inequalities associated with diet are experienced differently among lowincome populations according to their immigrant status.
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Association entre l’accessibilité géographique aux commerces d’alimentation et le diabète type II chez les adultes québécois : analyse de la banque de données de santé CARTaGENE

Sirpal, Sanjeev 11 1900 (has links)
Contexte. La mise en place d’environnements favorables à une saine alimentation est indispensable pour assurer la santé de la population, puisque celle-ci est considérée comme étant un déterminant de la santé. De ce fait, une corrélation existe entre les habitudes alimentaires, le diabète de type II et la santé cardiovasculaire. Durant de nombreuses années, les facteurs prédisposant au diabète étaient considérés essentiellement comme des choix individuels. Un nombre croissant de recherches démontrent présentement un lien entre les facteurs environnementaux, y compris l’accessibilité géographique à des choix alimentaires sains, et le diabète. Objectif. Cette étude vise à évaluer le lien entre l’environnement alimentaire et le risque de diabète de type II pour les résidents adultes de 6 régions métropolitaines du Québec. Méthodes. Un devis quantitatif comprenant des analyses transversales est utilisé. L’unité d’analyse est l’individu. Un corpus dérivé de la banque de données CARTaGENE est exploité. Pour répondre à l’objectif, un sous-échantillon composé de 8405 adultes habitant les six grandes régions métropolitaines du Québec de la cohorte CARTAGENE est utilisé. Les participants de cet échantillon ont été interrogés sur des sujets liés à leur santé et habitudes de vie. L'exposition aux commerces d’alimentation a été opérationnalisée à partir de zones tampons de 1000 mètres autour des adresses résidentielles et par des calculs de densité et de distance en utilisant les réseaux routiers. Cinq indicateurs de densité ont été calculés : densité des épiceries et des supermarchés, densité des dépanneurs, densité des restaurants-minute, nombre des dépanneurs, et ratio de restaurants-minute et dépanneurs aux supermarchés et épiceries. Trois mesures de proximité ont été calculées : distance au plus proche supermarché ou épicerie, distance au plus proche dépanneur, et distance au plus proche restaurant-minute. Des analyses de régression logistique ont été effectuées pour évaluer les associations entre ces indicateurs et le diabète de type II autodéclaré, en tenant compte des facteurs de confusion potentiels. Résultats. Nos résultats montrent l’absence de relations statistiquement significatives entre la proximité des points de vente d’aliments, les dépanneurs les plus proches et les détaillants de restauration rapide les plus proches (premiers quartiles dans chaque catégorie), et le statut individuel de diabète de type II. En revanche, l’indice de défavorisation matérielle d’un quartier était positivement et significativement associé au risque de diabète de type II. De plus, le fait de résider dans un « désert alimentaire » était le seul indicateur de l’accès géographique qui était statistiquement et significativement associé positivement au risque de diabète de type II, à la fois dans les modèles univariés (RC = 1,42 ; IC à 95 % : 1,05, 1,90) et multivariés (RC = 1,56 ; IC à 95 % : 1,12, 2,18). Conclusion. Nos résultats n’ont montré aucune relation significative entre le statut individuel de diabète de type II et la plupart des facteurs de l’environnement alimentaire. La littérature existante a montré une association significative des indicateurs socio-économiques individuels et d’un quartier avec le risque de maladie cardiométabolique, une relation que nous avons également observée dans notre étude, en ce qui concerne le type individuel de risque de diabète de type II. En outre, le fait de résider dans un « désert alimentaire » augmentait considérablement le risque individuel de diabète de type II. Nos résultats suggèrent que les mesures de santé publique pour freiner le diabète de type II devraient simultanément aborder les facteurs de risque individuels ainsi que les aspects pertinents de l’environnement alimentaire et les indicateurs socioéconomiques du quartier. / Context. Recent studies have explored the link between the accessibility to healthy food choices and population health. Specifically, there is a demonstrated association between nutritional habits and cardiovascular/metabolic disease, especially type II diabetes. Inasmuch as a significant corpus of knowledge has focused on individual factors and diabetes risk, emerging studies demonstrate that the food environment, including geographic accessibility to whole and healthy foods, potentially has an impact on individual and population type II diabetes risk. This study draws on data from CARTaGENE, a large cross-sectional province-wide study with 43,000 participants. Objective. This study aims to evaluate the association between the food environment and type II diabetes risk among adult residents across 6 metropolitan regions of Quebec. Methods. A quantitative research design is employed, whereby cross-sectional analyses are performed. The unit of analysis is the individual. A subsample of 8405 adults living in the six major metropolitan areas of Quebec of the CARTAGENE cohort was used. Participants in this sample answered questionnaires related to their health and lifestyle habits. Exposures to food environments were operationalized using 1000-meter buffer zones around residential addresses and by distance calculations using road networks. Five density indicators were calculated: density of grocery stores and supermarkets, density of convenience stores, density of fast-food restaurants, numbers of convenience stores, and ratio of fast-food restaurants and convenience stores to supermarkets and grocery stores. Three proximity measures were calculated: distance to the nearest supermarket or grocery store, distance to the nearest convenience store and distance to the nearest fast-food restaurants. Logistic regression analyses were performed to assess associations between these indicators and self-reported type II diabetes, considering potential confounders. Results. Our results showed an absence of statistically significant relationships between proximity to food outlets, closest convenient stores, and closest fast-food restaurants (first quartiles in each category), and individual type II diabetes status. In contrast, the material deprivation index of a neighborhood was positively and significantly associated with type II diabetes risk. Furthermore, residing in a “food desert” was the only indicator of geographical access that was statistically significantly positively associated with type II diabetes risk, in both univariate (OR = 1,42 ; 95 % CI : 1,05, 1,90) and multivariate (OR = 1,56 ; 95 % CI : 1,12, 2,18) models. Conclusion. Our results showed no significant relationship between individual type II diabetes status and most food environment factors. Existent literature has shown significant association of individual and neighborhood socioeconomic indicators with cardiometabolic disease risk, a relationship we also observed in our study, insofar as individual type II diabetes risk is concerned. Furthermore, residing in a ‘food desert’ significantly increased individual type II diabetes risk. Our results suggest that public health measures to curb type II diabetes should concomitantly address individual risk factors as well pertinent aspects of the food environment, along with neighborhood socioeconomic indicators.
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Environnement alimentaire de consommation : développement d’un instrument de mesure et évaluation dans quatre quartiers de Montréal

Jalbert-Arsenault, Élise 12 1900 (has links)
Ce projet de recherche a reçu le soutien d’une Bourse d’études supérieures du Canada Frederick Banting et Charles Best, offerte par les Instituts de recherche en santé du Canada (IRSC).
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Attentes et motivations des jeunes relativement aux services alimentaires de la Commission scolaire de Montréal

Fortin, Claudie-Anne 12 1900 (has links)
Problématique: L’obésité infantile est en augmentation partout en occident. La qualité nutritionnelle de l’alimentation des jeunes Canadiens et Québécois est à améliorer. D’après les modèles écologiques, l’environnement alimentaire scolaire figure parmi les déterminants environnementaux de l’alimentation, celui-ci considéré comme étant un milieu prometteur pour des interventions visant à augmenter la consommation de fruits et légumes. La politique- cadre pour une saine alimentation et un mode de vie physiquement active, créée en 2008, est intégrée en 2011 aux services alimentaires scolaires de la Commission scolaire de Montréal (CSDM). Cependant, ses effets ont été peu mesurés. Objectif: L’objectif général est d’analyser les attentes et les motivations alimentaires des élèves du primaire et du secondaire à l’égard des services alimentaires de la CSDM. Méthodologie: En 2014, un sondage électronique rempli par des élèves du primaire et du secondaire de la CSDM intégrait une question ouverte portant sur les aliments attendus au secondaire. S’adressant uniquement aux élèves du secondaire, une question abordait leur(s) motivation(s) à utiliser leur service alimentaire. Suivant une approche inductive, deux grilles de codification furent développées pour l’analyse des données. Résultats : Au total, 1253 jeunes du primaire issus de 65 écoles et 2613 jeunes du secondaire issus de 27 écoles ont complété la question sur leurs attentes. Si une majorité des jeunes a nommé des aliments spécifiques, plusieurs ont aussi précisé leurs réponses avec des éléments suggérant des motivations alimentaires sous-jacentes tels les marques commerciales, la santé, la fraicheur, la variété, le goût, la composition des aliments et le prix. Au total, 2518 jeunes du secondaire ont répondu à la question sur leur motivation à l’utilisation des services. L’offre de certains aliments les motiverait (53%) mais aussi des conditions liées à l’environnement physique (15%) ou social (12%). Discussion : Les jeunes du primaire se démarquent par leurs attentes pour des aliments compatibles avec la politique alimentaire scolaire. Par ailleurs, les jeunes du secondaire recherchent davantage des aliments riches en gras, sucre et sel. Les jeunes du primaire et du secondaire indiquent rechercher des fruits et légumes dans les services alimentaires. Les données probantes sur l’impact d’interventions scolaires misant sur la disponibilité des fruits et légumes rapportent des effets favorables sur les apports alimentaires, ainsi ce type d’intervention aurait de bonnes chances d’avoir un impact positif au Québec. Les dimensions liées à la variété de l’offre alimentaire et aux environnements de services méritent aussi plus d’attention. Conclusion: Les résultats obtenus permettent de mieux identifier les attentes et les motivations alimentaires des jeunes du primaire et du secondaire. Cela pourra permettre à la CSDM d’orienter ses prochaines actions dans la gestion de l’offre dans leurs services alimentaires. / Introduction: Childhood obesity is increasing throughout the Western world. The diets of young Canadians and Quebeckers are lacking in nutritional quality. According to the ecological concept of Story et al. (2002), school food services are an environmental factor affecting food intake. The school lunchroom is a promising place to work on increasing consumption of fruits and vegetables. In 2011, the Commission scolaire de Montréal (CSDM), a school board in Montreal, integrated into its school meal services a policy framework created in 2008 for a healthy diet and a physically active lifestyle, the effects of which have yet to be measured. Objective: To analyze the expectations and motivations of elementary and high school students regarding the food offering from CSDM’s school meal services. Method: In 2014, CSDM elementary and high school students completed an online survey with an open-ended question on their expectations of the food offering in high schools. In another question, high school students only were asked to share their motivation(s) for using their school’s meal service. The researchers developed two coding grids. Frequencies were obtained with SPSS statistical software (version 21.0, SPSS Inc., Chicago, Illinois). Results: 1,253 elementary school students from 65 schools and 2,613 high school students from 27 schools answered questions on their expectations of meal services. While most answers were about specific foods, some contained underlying food motivations, such as trademarks, health, freshness, variety, taste, ingredients and price. In total, 2,518 high school students answered the question about their motivation for using their school’s meal service. The food offering was a motivation for some (53%), but students also cited the conditions related to physical (15%) or social environment (12%). Discussion: Elementary school students are different in that their expectations of the food offering are compatible with the current school food policy. High school students are more drawn to foods that are high in fat, sugar and salt. Both elementary school and high school students expect fruits and vegetables in high school meal services. Literature shows that interventions focusing on fruit and vegetable availability have been successful. An intervention targeting fruit and vegetable availability could have a positive effect on children and youth’s fruit and vegetable intake. Further analysis of dimensions related to variety and meal service environments is also warranted. Conclusion: The results make it possible to more clearly identify the expectations and motivations of elementary and high school students. The CSDM can use this information to guide its future actions in managing the food offering in schools.
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Disparités dans l’accès aux aliments sains : quelle relation avec l’approvisionnement alimentaire et l’alimentation des ménages en situation d’insécurité alimentaire?

Drisdelle, Caroline 04 1900 (has links)
No description available.
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Association entre l’accessibilité géographique aux commerces d’alimentation et la consommation de fruits et légumes chez les adultes québécois : analyse de la banque de données de santé CARTaGENE

Mathieu, Alex-Ane 12 1900 (has links)
Une alimentation malsaine compromet la santé et génère des coûts importants sur les plans individuels et sociaux ainsi qu’en services en santé. L’adoption d’une saine alimentation est tributaire de déterminants individuels et environnementaux liés aux caractéristiques des environnements physique, économique, politique et socioculturel. Cette étude transversale a pour objectif d’évaluer l'effet de l’environnement physique, plus précisément l’effet de l'accessibilité géographique de commerces alimentaires, sur l'alimentation. Pour répondre à cet objectif, un échantillon composé de 7783 adultes âgés de 40 à 70 ans résidant dans quatre villes du Québec (Canada) a été utilisé. Des indicateurs de proximité ainsi que des indicateurs absolus et relatifs de densité de commerces alimentaires, de restaurants-minute et de dépanneurs situés aux alentours du domicile des participants ont été associés à la consommation de fruits et légumes (F&L). Les données des analyses de régressions logistiques univariées suggèrent que la consommation du nombre de portions minimales de F&L (5 portions) était associée de façon significative aux sept mesures de l'environnement alimentaire (RC variant entre 0.76 et 1.27). Cependant, ces relations étaient pour la plupart non significatives lorsque des variables confondantes étaient prises en compte. En multivarié, les variables les plus significativement corrélées à la consommation de F&L étaient des variables individuelles du sexe, du revenu et de l'éducation. Notre modèle de régression n'explique que 12,4 % de la variance de consommation de F&L, même en tenant compte de tous les facteurs confondants significatifs. Ces résultats démontrent que des recherches supplémentaires sont nécessaires pour mieux cerner les facteurs d’influence de la consommation de F&L chez cette population. / Unhealthy eating habits can compromise one’s health and generate significant individual, social and health services costs. The adoption of healthy eating habits depends on individual and environmental determinants related to the characteristics of the physical, economic, political and socio-cultural environments. The objective of this cross-sectional study was to assess the effect of the physical environment, more precisely the effect of food outlet accessibility, on diet. To meet our objective, a subsample of the CARTaGENE database, composed of 7,783 adults aged 40 to 70 years old residing in four cities in Quebec (Canada) was used. Measures of proximity as well as absolute and relative measures of density of retail food outlets, fast-food outlets and convenience stores near participants’ residences were used to analyze fruit and vegetable (F&V) intake. Univariate logistic regression showed that the minimal recommended portions of F&V intake (5 or more portions) was significantly associated with all seven measures of the retail food environment (OR between 0.76 and 1.27). However, these relations were mostly non-significant when confounding variables were considered in the analysis. Variables most significantly correlated to F&V intake were individual-level confounding variables of sex, income and education. Women were 3.13 (CI 2.85 – 3.45) times more likely than men to eat the recommended number of F&V portions. Only 12.4% of the F&V variance was explained by our regression model when considering all significant confounding factors. These results show that more research is needed to understand factors explaining F&V intake in this population.
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Linking foodscapes and dietary behaviours : conceptual insights and empirical explorations in Canadian urban areas

Clary, Christelle 11 1900 (has links)
No description available.
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Des fruits et légumes au métro : évaluation d’une intervention visant à améliorer leur accès dans un quartier défavorisé de l’Est de Montréal

Chaput, Sarah 04 1900 (has links)
No description available.

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