• Refine Query
  • Source
  • Publication year
  • to
  • Language
  • 3
  • Tagged with
  • 3
  • 3
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 1
  • 1
  • 1
  • 1
  • 1
  • 1
  • 1
  • 1
  • About
  • The Global ETD Search service is a free service for researchers to find electronic theses and dissertations. This service is provided by the Networked Digital Library of Theses and Dissertations.
    Our metadata is collected from universities around the world. If you manage a university/consortium/country archive and want to be added, details can be found on the NDLTD website.
1

Le corps comique. Représentations et perceptions du corps dans la comédie grecque ancienne et moyenne (étude littéraire et iconographique) / The Comic Body. Representations and Perceptions of the Body in Old and Middle Comedy (Literary and Iconographic Study)

Piqueux, Alexa 14 November 2009 (has links)
L’étude du corps offre un angle d’approche privilégié pour appréhender les représentations théâtrales comiques de l’époque classique à Athènes et en Grande Grèce. Seule une analyse croisée des sources textuelles et iconographiques permet de faire toute la lumière sur la manière dont le corps comique était mis en scène, perçu et imaginé. Les conclusions de la thèse reposent en particulier sur la confrontation des comédies grecques du Ve et du IVe siècle av. J.-C. et de la céramique italiote à sujet comique, entre lesquelles elle établit un lien étroit. Le premier chapitre est consacré à la présentation des corpus et à leur mise en relation. Le deuxième décrit les aspects matériels du costume comique. Les troisième et quatrième portent sur la sémiologie du costume : sont d’abord étudiés les codes propres au genre, puis les éléments qui concourent à la caractérisation sociale et morale du personnage. Le cinquième et dernier chapitre traite de la fonction dramatique du geste comique. / Analysis of the body provides an effective means of capturing comic performances in classical Athens and Magna Graecia. Textual and iconographic sources ought to be considered together to shed light upon the staging of the comic body as it was perceived and imagined. In particular, the conclusions of this work are based upon the comparison of Greek comedies from the 5th and 4th centuries B.C. and South-Italian vase-paintings of comic subjects. The first chapter presents the two corpuses and the questions raised by their comparison. Chapter two describes the material characteristics of the comic costume. The third and fourth chapters focus on the semiotics of the costume ; the signs of the genre are treated first, followed by a discussion of the social and moral characterization of the personages. The final chapter pertains to the dramatic function of the comic gesture.
2

Étude et contextualisation des ateliers à figures rouges du "Lucanien récent" (2ème moitié du IVè siècle av. J.-C.) : le cas du Peintre du Primato / The Case of the Primato Painter in Late Lucanian vase production : new contestualisations

Attia, Alexandra 01 December 2018 (has links)
La céramique du « Lucanien récent » - désignant la céramique à figures rouges produite en Lucanie à partir des années 360-340 av. J.-C jusqu'à ce qu' A.D. Trendall appelle la «barbarisation» du style, vraisemblablement dans les dernières décennies du IVe siècle av. J .-C. -, n'a fait l'objet d'aucune étude approfondie depuis la classification stylistique proposée par le savant néo-zélandais en 1967. Les zones d'ombres persistantes quant à la localisation et l'articulation de ces ateliers de production, que la seule orientation stylistique ne permet pas d'éclairer, et le grand nombre de vases exhumés récemment en Basilicate et dans la région des Pouilles, nécessitaient la mise en œuvre d'une nouvelle étude. Ce travail de recherche, mené à partir du corpus stylistique initial attribué au Peintre du Primato, dresse un état des lieux et en propose une nouvelle lecture basée sur la pluridisciplinarité des approches, de l'archéologie contextuelle à l'archéologie de la production. Le matériel est envisagé dans ses aspects formel, iconographique, stylistique et technologique, et interprété à la lumière de nouveaux contextes comme réponse à la demande d'une clientèle indigène : de Basilicate. La prise en considération de réalités productives contemporaines, celle du Peintre de Naples 1959 et de ses collaborateurs autour desquels semble s'articuler la fin de la production lucanienne, et celle du Peintre de Lycurgue, peintre apulien avec lequel il a entretenu des liens privilégiés, contribuent à mettre en évidence la spécificité de son langage autant que les réseaux de contacts et d'influences accompagnant la création d'une culture d'atelier. / Since 1967 and New Zealander's A.D. Trendall 's stylistic classification of Late Lucanian vases -designating South-italian red-figure vases produced in Lucania around the second half of the 4th century B.C. until its so-called «barbarization» presumably occuring in the last decades of that same century -this field of research has not expanded. To overcome persistent shadows regarding the location and articulation of these workshops' production and in the face of numerous recent archeological finds in Basilicata and Puglia, this research offers a new awaited methodological study. Multidisciplinary, it encompasses the initial stylistic corpus, an updated inventory, and new approaches informed by contextual archeology and archeology of production. Focusing on late Lucanian vases attributed to the Primato Painter and his colleagues, considered in their formal, iconographic, stylistic, and technological aspects, the scope interprets the established new contexts while responding to a local demand, from italic people of ancient Lucania. The analysis of contemporary productions both Lucanian, with the Painter of Naples 1959 and his followers in an era of decline of Lucanian wares, and Apulian, with the Lycurgus painter from whom the Primato sourced his main inspiration, contributes to highlight the specificities of his “language”, as well as his networks of contacts and influences that accompanied the emerging of a workshop culture.
3

La réception de la figure d’Achille en Italie et à Rome du IVème siècle avant JC au Ier siècle de notre ère / The reception of Achille’s figure in Italy and Rome in IVth century BC to Ist century AD

Perez, Isabelle 15 December 2015 (has links)
De la céramique italiote du IVe siècle av. J.-C., qui reprend et adapte certains épisodes du cycle d’Achille particulièrement liés à l’univers funéraire (Néréides apportant les armes d’Achille, mort de Troïlos, mort de Penthésilée etc…), en insérant dans les scènes figurées des éléments de la culture locale, au mobilier funéraire étrusque (Tombe François, urnes, sarcophages peints et sculptés), en passant par les miroirs et les cistes prénestines des périodes classiques et hellénistiques, l’existence d’une codification et d’une transmission des schémas iconographiques est clairement visible entre les différentes cultures. Au Ier siècle av. J.-C. et au Ier siècle ap. J.-C., certains épisodes du cycle d’Achille continuent à peupler le répertoire figuré, d’autres disparaissent ne correspondant plus aux nouvelles aspirations des commanditaires et d’autres apparaissent, incarnant des valeurs propres à la culture romaine. A Rome, les sources écrites nous informent sur la présence d’Achille dans la sphère publique (temple de Neptune et Saepta Julia). L’usage de la copie et de la diffusion d’un chef-d’œuvre tel le groupe d’Achille et Chiron, s’insèrent dans une volonté d’imiter l’Urbs, centre du monde méditerranéen. Les peintres renouvellent le répertoire iconographique du cycle d’Achille en créant deux épisodes : la Découverte d’Achille à Skyros et Thétis dans les forges d’Héphaïstos. Ces deux épisodes trouvent un grand succès à Rome (Domus Aurea) et sur les parois des demeures pompéiennes et permettent à la figure d’Achille de se détacher du cycle troyen. Ainsi, le héros grec devient grâce aux adaptations stylistiques et techniques des peintres romains le symbole de la paideia tout en conservant son caractère héroïque / The italiote ceramic the fourth century B. C., which incorporates and adapts some episodes cycle Achilles particularly related to posthumous glorification (Nereids bringing the arms of Achilles, Troïlus death, death of Penthesilea, etc…) by inserting the figurative scenes elements of the local culture, in Etruscan funerary (François Tomb, urns, sarcophagi carved and painted) through mirrors an prenestines cysts, Classical and Hellenistic periods, the existence of a consolidation and a transmission of iconographic patterns with clearly visible between different cultures. The first century B. C., and the first century A. D., some episodes of Achilles cycle continue to populate the figurative repertory, others dissapear no longer corresponded to the new aspirations sleeping partners while others appear embodying specific Roman culture values. In Rome, written sources inform us about the presence of Achilles in the public sphere (Temple of Neptune and Saepta Julia). The use of copy and distribution of a masterpiece such as Achilles and Chiron group, are part of a desire to imitate the Urbs, the center Mediterranean world. Painters renew the iconography of Achilles cycle by creating two episodes: The Discovery of Achilles in Skyros and Thetis in the forges of Hephaestus. These two episodes are a big success in Rome (The Golden House) and on the walls of Pompeian houses and allow the figure of Achilles to detach from the Trojan cyle. Thus the Greek hero becomes through stylistic and technical adaptations of Roman painters symbol paideia while maintaining his heroic character.

Page generated in 0.0519 seconds