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Mains agiles, mains d'argile: apprentissage de la poterie au Nord-Cameroun. modes d'acquisition des compôrtements techniques

Wallaert, Hélène January 2000 (has links)
Doctorat en philosophie et lettres / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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L'exercice du métier de potier par les Dion de l'Ancienne-Lorette, de l'artisanat à la manufacture (1850-1915)

Godin, Christine, Godin, Christine 01 May 2024 (has links)
« L'objectif de cette thèse de maîtrise consiste à décrire les différentes formes d'interventions reliées à la réalisation de pièces en terre cuite, telles que pratiquées par les Dion de l'Ancienne-Lorette (Comté de Québec), au tournant du siècle. Un aperçu des principales institutions d'encadrement paroissial sert de cadre contextuel afin de situer la sphère d'activités professionnelles de Jean Dion, artisan-potier. Celui-ci constitue un exemple de petit fabricant autonome issu de parents cultivateurs. Considéré comme un membre émigrant, il a consacré une partie de son adolescence à acquérir les rudiments d'un métier de transformation. Le support familial ne s'est pas limité à favoriser son apprentissage. Grâce à la segmentation de la terre ancestrale, il obtient un emplacement pourvu d'une habitation et de dépendances. Le rôle premier de ce petit producteur consiste à émettre des articles de consommation qui répondent aux exigences quotidiennes des gens de son entourage. La création de marchés locaux vise à soutenir un système d'échanges de biens et de services instauré entre les divers groupes sociaux qui composent une municipalité de paroisse. La population de l'Ancienne-Lorette s'est transformée avec l'expansion de l'industrialisation. Avec l'ouverture des circuits de distribution, l'artisan est confronté à une clientèle plus diversifiée et dispersée. Cette conjoncture favorise la mutation des boutiques en manufactures. Mais le manque de capitaux et de personnel compétent peu coûteux furent les obstacles rencontrés par Jean Dion pour suivre ce mouvement. Vers l'âge de quarante ans Antoine I Dion, menuisier de carrière, se trouve à la tête d'une manufacture de poterie. Il a reçu les encouragements de son frère Jean, qui voyait dans la progéniture de son aîné, cinq garçons et deux filles, la main-d'oeuvre nécessaire pour mettre sur pied un établissement d'envergure. Au moment de l'érection de l'entreprise, les fonctions d'administration et d'exécution étaient divisées entre les membres masculins de l'unité domestique, selon la hiérarchie des pouvoirs en vigueur au sein des familles terriennes. Le patriarche, chef de la lignée et propriétaire des installations matérielles, assurait la direction de l'ensemble des activités de production. Tout en participant activement aux opérations de fabrication de pièces en série, l'aîné secondait son père en rédigeant la comptabilité. Les plus jeunes oeuvraient sous les directives paternelles. Par la suite, la structure de l'atelier a suivi cette évolution: de la société coopérative à l'organisation patron/ouvriers. Sur le plan technologique, la présence de pièces d'équipement mues à la vapeur témoigne d'innovations apportées par la révolution industrielle. Ce signe de modernisme n'a pas entraîné pour autant la disqualification des agents. Une description du processus de fabrication indique que les opérations relatives à la confection des objets, reposent encore sur la compétence et la dextérité des intervenants. »--Pages préliminaires
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Traditions céramiques, identités et peuplement en Sénégambie: ethnographie comparée et essai de reconstitution historique

Sall, Moustapha January 2000 (has links)
Doctorat en philosophie et lettres / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Etude de la céramique du secteur Mazar sur le site de Mahasthangarh au Bangladesh, 4ème siècle avant notre ère-13ème siècle de notre ère: un nouveau regard sur les potiers de l'ancien Bengale / Study of the pottery from Mazar area, Mahasthangarh archaeological site in Bangladesh, 4th c. BCE-13th c. CE: a new glance at the potters of the Ancient Bengal

Lefrancq, Coline 27 May 2015 (has links)
Résumé en français<p>Le sujet de notre thèse de doctorat consiste en l’analyse du corpus céramique issu des fouilles de Mazar, une zone située sur le Rempart Sud du site de Mahasthangarh au Bangladesh, qui se sont déroulées de 2001 à 2011. Toutefois le matériel étudié comprend la poterie découverte de 2006 à 2011. <p>Trois périodes chronologiques ont été individualisées sur base de datations au C14, de structures construites et de monnaies :les niveaux anciens de l’époque Maurya, les niveaux intermédiaires des époques Shunga, Kouchane et Gupta et les niveaux supérieurs de l’époque post-Gupta à la conquête musulmane au début du 13ème siècle, aussi appelée Early Medieval Period. <p>Les objectifs consistaient à établir une chrono-typologie pour chacune des trois périodes de manière à mettre en évidence les variations de productions et de formes d’une époque à l’autre et de comparer les résultats de Mahasthangarh avec ceux d’autres sites de la région du Bengale.<p>Pour atteindre le premier objectif, les critères retenus sont directement liés au principe de la chaîne opératoire qui consiste à identifier, au travers de l’analyse du tesson, les étapes qui ont conduit au résultat final (sélection et préparation de la matière, façonnage, finition et décoration, cuisson). <p>Les résultats de l’analyse relative aux niveaux anciens ont montré que le corpus céramique était composé de divers groupes de Red Wares dont les différences résident dans la finesse de la pâte et le traitement des surfaces, de céramiques grises et de Fine Black Slipped Ware identifiées par les anciens céramologues à de la Northern Black Polished Ware. Au sein de ce dernier groupe, certains tessons de fond et de panse arborent un décor ‘rouletté’. L’assemblage présente des productions et des formes similaires au reste du Bengale. Le matériel des niveaux intermédiaires est trop fragmentaire pour que l’on puisse en tirer des conclusions sur un assemblage typique. Nous retrouvons les mêmes productions que lors des niveaux précédents avec cependant une diminution de la céramique fine. <p>En revanche, les niveaux supérieurs témoignent de l’établissement progressif aux alentours des 6ème et 7ème siècles d’un nouveau faciès céramique composé de céramiques communes (Medium Red, Red-Buff, Grey Wares) dont le répertoire formel est presque identique, et de céramiques à pâte plus fine et avec un engobe de couleur rouge ou gris-brun. L’assemblage évolue très peu au cours de la période et c’est seulement au tournant des 12ème-13ème siècles que nous assistons à une augmentation de la production des céramiques fines engobées. Les niveaux supérieurs ont également livré des tessons de céramique à glaçure turquoise et de la céramique chinoise (céladon des ateliers de Longquan et porcelaine des ateliers de Jingzhen et Dehua) datés de la même période. La comparaison avec les autres sites du Bengale ont démontré que la céramique de l’Early Medieval Period présentait des caractéristiques communes au niveau des techniques de fabrication (assemblages d’éléments façonnés séparément) et de décoration (incision, application, estampage), tout comme pour le répertoire morphologique au sein duquel les mêmes catégories formelles ont été identifiées. Toutefois, certaines différences d’ordre stylistique entre les productions nous permettent d’affirmer que des faciès locaux existaient. /<p>Summary in English<p>The subject of my PhD comprises the analysis of the corpus of pottery discovered during the excavations in Mazar, an area on the southern Rampart Mahasthangarh site in Bangladesh, which took place from 2001 to 2011. However, the studied material includes pottery discovered from 2006 to 2011.<p>Three time periods were individualized based on C14 dates, on the built structures and on the coins: former levels of the Maurya period, the intermediate levels of Shunga, Kushan and Gupta periods and superior levels of the post-Gupta period to the Muslim conquest which took place in the early 13th century, a period also called Early Medieval Period.<p>The goals were to create a chrono-typology for each of three periods in order to highlight the variations of wares and forms from one period to another and to compare the results of Mahasthangarh with other sites in the Bengal region.<p>To achieve the first objective, the criteria are directly related to the principle of the operating chain of identifying, through the analysis of the shard, the steps that led to the final product (selection and preparation of the material, shaping, finishing and decoration, cooking).<p>The results of the analysis relating to former levels (Maurya period) showed that the ceramic corpus was composed of various groups of Red Wares whose differences lie in the fineness of the clay and surface treatment, of Grey Wares and of Fine Black Slipped Ware identified by some ceramologists in the Northern Black Polished Ware. Within this latter group some body-shards and bottom-shards wear a “chattered” decoration. The assemblage includes same kind of wares and shapes than the rest of Bengal. The material of intermediate levels is too fragmented so that we can draw conclusions on a typical assemblage. We find the same pottery as in previous levels but with a reduction in the fine ceramics.<p>On the other hand, superior levels testify to the gradual establishment of a new ceramic facies, around the 6th and 7th centuries, which is composed of common pottery (Medium Red Ware, Red-Buff Ware, Grey Ware) with almost same shapes, and pottery made with finer clay and a red or brown-grey slip. The assemblage changes very little during the period and it is only at the turn of the 12th to 13th centuries that we are seeing an increase in production of fine slipped wares. The higher levels have also delivered turquoise glazed ware and Chinese ceramic shards (celadon from the Longquan workshop and porcelain from Jingzhen and Dehua workshops) dated to the same period. Comparisons with other sites of Bengal have shown that the ceramic of Early Medieval Period had common characteristics in terms of manufacturing techniques (joining of several elements shaped separately) and decoration (incision, application, embossing), as for morphological répertoire in which the same formal categories were identified. However, some differences between the stylistic productions allow us to state that local facies existed. <p> / Doctorat en Histoire, art et archéologie / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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L'alabastre attique: origine, forme et usages / Attic alabastron: origin, shape and uses.

Algrain, Isabelle 22 January 2011 (has links)
L’alabastre attique est une forme de vase à parfum en céramique produite à Athènes entre le milieu du VIe s. av. J.-C. et le début du IVe s. av. J.-C. L’objet de cette thèse est de présenter une étude globale, inexistante à ce jour, sur l’alabastre attique. En plus d’un examen typologique de la forme, généralement mené dans le cadre de ce type de recherche, nous avons voulu proposer une lecture économique, culturelle et sociale de l’alabastre.<p><p>La première partie de cette thèse est consacrée à l’identification de l’origine de l’alabastre et à sa diffusion en Méditerranée orientale. L’alabastre est originaire d'Égypte, où les premiers exemplaires en albâtre se développent à partir du VIIIe s. av. J.-C. Après avoir tracé son évolution morphologique, la thèse met en évidence les diverses régions de la Méditerranée orientale telles que le Levant, la Mésopotamie ou la Perse, où la forme est exportée et copiée, le plus souvent par des ateliers qui produisent des vases en pierre. Cette première partie met également l’accent sur le statut particulier de l’alabastre en pierre en Orient et en Égypte, où il restera longtemps associé au pouvoir royal ou aristocratique. Elle traite enfin de l’apparition de l’alabastre et de son statut dans le monde grec oriental. Ces importations déclenchent une réaction presque immédiate chez les artisans de ces régions qui produisent des alabastres en argent, en verre, en faïence, en ivoire, en bois et en céramique.<p><p>La seconde partie de cette étude aborde la production de l’alabastre attique en céramique qui s’étend du VIe s. av. J.-C. au début du IVe s. av. J.-C. Un premier chapitre est consacré à l’étude de son introduction dans le répertoire formel au milieu du VIe s. av. J.-C. par l’atelier d’Amasis et aux inspirations probables de cet artisan. Cette section s’est également penchée sur le difficile problème des phases de la production et de l’organisation interne des différents ateliers. Pour ce faire, nous avons élaboré une méthode d’analyse basée à la fois sur l’examen minutieux du travail du potier grâce aux variations dans les profils des vases et sur les données obtenues par les études ethno-archéologiques pour tenter de différencier les alabastres produits au sein d’ateliers différents et d’identifier, quand cela s’avérait possible, différents potiers au sein d’un même atelier. Cette étude formelle a distingué trois phases différentes de production qui présentent des caractéristiques typologiques distinctes. L’examen de l’organisation interne des ateliers a également mis en évidence les caractéristiques morphologiques des vases et a identifié les potiers les plus importants. L’examen attentif des pièces céramiques a permis de regrouper au sein d’un même atelier des artisans dont les liens étaient jusqu’alors insoupçonnés. Enfin, la deuxième partie se clôture par une analyse de la carte de distribution des alabastres attiques<p><p>La troisième partie de ce travail porte sur la fonction et les différents usages de l’alabastre sur base des sources littéraires, épigraphiques, iconographiques et archéologiques. Cette section se penche plus particulièrement sur l’identification des utilisateurs privilégiés des alabastres. En effet, de nombreuses études lient, de manière presque systématique, l’alabastre au monde féminin. Ce propos mérite d’être nuancé car, si le vase apparaît à maintes reprises dans des contextes féminins tels que ceux de la toilette et de la parure, il ne constitue pas exclusivement un symbole du monde des femmes. Cette troisième partie met en évidence le fait que l’alabastre est également utilisé dans un grand nombre d’autres contextes, notamment rituels, et représente souvent un symbole de luxe et de raffinement à l’orientale. / Doctorat en Histoire, art et archéologie / info:eu-repo/semantics/nonPublished

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