Spelling suggestions: "subject:"canaries"" "subject:"panaries""
1 |
Les îles Canaries, terres d'Europe au large de l'Afrique /Odouard, Albert. January 1995 (has links)
Texte remanié de: Th. État--Géogr.--Clermont-Ferrand, 1992. / Bibliogr. p. 489-498.
|
2 |
Ab initio : 1342-1969 : análisis historiográfico y arqueológico del primitivo poblamiento de Canarias /Farrujia de la Rosa, Augusto José. January 2004 (has links)
Tesis--Departamento de prehistoria, antropología e historia antigua--Universidad de La Laguna, 2003. / Bibliogr. p. 525-579.
|
3 |
Course of infection, host response and chemotherapy of certain protozoal infectionsHughes, Francis William, January 1954 (has links)
Thesis (Ph. D.)--University of Wisconsin--Madison, 1954. / Typescript. eContent provider-neutral record in process. Description based on print version record. Includes bibliographical references (leaves [67]-[72]).
|
4 |
La situación política y social en las Canarias orientales durante la etapa isabelina /Pérez García, José Miguel. January 1989 (has links)
Texte remanié de: Tesis doct.--Historia contemporánea--Universidad de La Laguna, 1987.
|
5 |
Epizootiological factors in three outbreaks of pseudotuberculosis in British Columbia canariesStovell, Peter Lawrence January 1963 (has links)
Three naturally-occurring epizootics of Paeteurella pseudotuberculosis in canaries were studied. Cultural details and gross histopathological lesions were described for birds from two of the aviaries. Epizootiological observations were made in all three cases following visits to the premises and recovery of data on management, first clinical signs, and mortalities.
A reasonably complete study was made of early and current literature concerning pseudotuberculosis infections and incidence in birds and mammals, both feral and domesticated. Although this disease has been commonly reported in canaries in Europe from 1884 onwards, the epizootics herein reported are, as far as the author is aware, the first bacteriologically confirmed canary Infections to be reported on the North American Continent.
Because of the high mortalities encountered, and because of the known potential of the causative organism to produce human disease, the epizootiological considerations were extended to Include experimental studies on the faecal excretion rate of viable Pasteurella pseudotuberculosis by naturally and artificially Infected canaries.
With the evolution of suitable culturing techniques, the recovery of viable organisms of the inoculation strain from experimentally infected canaries was performed with ease. This allowed counts to be carried out on total daily faecal samples from twenty inoculated and four control birds for a three-week period following oral inoculation. It was found that in the group of twenty inoculated birds which suffered five (20%) mortalities, some sixteen (80%), including those birds that died, excreted organisms for periods ranging from three up to nineteen days. Peak amplitudes for the estimated faecal counts of Pasteurella pseudotuberculosis per day varied from Log 4.3 up to Log 8.1. The four dead birds showed gross lesions typical of naturally-occurring pseudotuberculosis, and yielded recovery cultures from various organs. The remaining twelve shedder birds all ceased shedding viable P. pseudotuberculosis by the twentieth day following -the conclusion of oral Inoculations (24th experimental day), and although none yielded a positive culture from various organs, there were slight-to-marked splenic lesions in all but two when they were autopsied on the twenty-fifth experimental day. Four birds which never shed detectable numbers of viable P. pseudotuberculosis were found to have no visible gross lesions when sacrificed and autopsied. Four non-inoculated control birds also failed to shed detectable numbers of viable P. pseudotuberculosis.
Attempts were made in the laboratory to allow naturally and experimentally infected canaries to transmit the infection to healthy contact birds. These attempts were unsuccessful, and it was concluded from this and from direct observations on the natural epizootics that predisposing factors other than the presence of the organism (such as climatic or poor-management stress, or gastro-intestlnal irritation) are required at times for the disease to become epizootic in canaries. From the faecal excretion rates of viable pseudotuberouloeis measured in experimentally infected birds, and from epizootiological observations, it was concluded that canaries infect each other (rather than the infection coming from a common source) and that they are potential spreaders of infection (or of the infecting organism) to other species in contact, including man. Gross and histopathological observations of experimentally Infected birds correlated with their faecal counts, and gross pathological observations on naturally-Infected birds, indicate that lesions in the bowel wall, in particular caecal abscesses, are the lesions which when present predispose to a high potential of infectivity in the shed faeces. / Science, Faculty of / Zoology, Department of / Graduate
|
6 |
Humanistas canarios de los siglos XVI a XIX /Salas Salgado, Francisco. Maestre Maestre, José María, January 1999 (has links)
Texte remanié de--Departemento de filología clásica--La Laguna--Universidad de La Laguna, 1990.
|
7 |
I.A study of the mechanism of relapse in avian malaria II. Chemotherapy of avian malaria infections /Gajewski, John Edmund, January 1944 (has links)
Thesis (Ph. D.)--University of Wisconsin--Madison, 1944. / Typescript. Vita. eContent provider-neutral record in process. Description based on print version record. Includes bibliographical references (leaves [31-32]).
|
8 |
Rythmes de construction et de destruction des édifices volcaniques de point chaud : l'exemple des Iles Canaries (Espagne)Paris, Raphael 18 December 2002 (has links) (PDF)
Les alignements d'îles nées d'un point chaud sont le dispositif idéal pour étudier l'évolution d'un relief volcanique sur le long-terme et suivant des stades caractéristiques (Hawaï, Société). Notre travail aborde cette problématique sous l'angle des rythmes de construction et de destruction. Le site des Iles Canaries est privilégié car la lenteur de déplacement de la plaque africaine et un point chaud composite prolongent les effets du volcanisme dans le temps (20-25 Ma), multipliant ainsi les repères chronologiques et morphologiques. Corrélés à ces particularités géodynamiques, les rythmes de construction volcanique sont estimés en couplant les datations K-Ar et les mesures du paléomagnétisme rémanent. Lors des premiers stades de construction (stade bouclier), la destruction se manifeste surtout par des déstabilisations instantanées et massives, impliquant plusieurs dizaines de km³. Ces évènements ont des conséquences directes (cicatrices, avalanches de débris, tsunamis), mais conditionnent aussi en partie l'évolution volcanique et morphologique ultérieure des îles. Nous avons élaboré une base de données morphométrique de 122 barrancos et amphithéâtres d'érosion. Les vitesses d'érosion sur le long-terme (vitesses d'incision linéaire et vitesses de recul des versants des barrancos), particulièrement importantes lors des phases de régénérescence volcanique, et les taux de sédimentation sous-marine sont principalement dépendants des rythmes, de la répartition spatiale et des dynamismes de construction volcanique, et de la récurrence des déstabilisations massives. La méthodologie développée ici aux Iles Canaries est applicable aux autres archipels de point chaud.
|
9 |
Passer et quitter la frontière ? : les migrants africains "clandestins" à la frontière sud espagnoleCarnet, Pauline 20 September 2011 (has links) (PDF)
Cette thèse porte sur les conditions de passage clandestin des migrants africains à la frontière sud espagnole ainsi que sur leurs logiques d'insertion dans la province andalouse d'Almeria et au-delà, dans l'espace européen. Interrogeant le rapport de force entre migrants et État, cette thèse insiste sur les capacités des migrants à la mobilité et met en lumière l'ambivalence des institutions gouvernementales, en partie liée à la fonction économique des migrants clandestins. Les articulations entre les stratégies des migrants clandestins et les logiques des institutions et des acteurs locaux y sont analysées à partir de la description des interactions, des transactions et des conflits, entre les migrants nouveaux venus, ceux anciennement installés, les ONG, les patrons, les forces de police, etc. L'approche compréhensive de l'expérience des migrants avant et après le passage de la frontière a révélé l'importance des réseaux sociaux dans l'entrée en Europe et dans la recherche d'un logement, d'un emploi et de papiers ; tout en soulignant la fonction du milieu associatif espagnol pour les migrants les plus vulnérables. D'un côté, les institutions gouvernementales oscillent entre contrôle et tolérance ; de l'autre, les migrants évoluent entre contraintes et stratégies, régularités et irrégularités. Leur migration, construite par étape, constitue alors un véritable " jeu de l'oie ". Almeria représente ainsi une étape où chercher des papiers. Cette province spécialisée dans l'agriculture possède une économie souterraine " à découvert " : elle est connue de tous et bénéficie de la complicité des autorités. Almeria centralise ainsi les migrants africains en situation précaire récemment arrivés ou déjà présents en Europe. Cette thèse propose donc de qualifier les mobilités de ces migrants clandestins " d'errance maîtrisée ", maîtrise qui se fait essentiellement à travers les relations sociales et la constitution de réseaux sociaux. L'attention portée aux modalités de construction du projet migratoire après le passage de la frontière a également permis de faire émerger la notion d' " instance zéro ". Il s'agit d'un espace-temps " autre ", d'une instance intermédiaire entre le passage de la frontière et l'insertion dans l'espace européen ; un temps plus ou moins long caractérisé par la répétition de situations élémentaires de survie qui autorisent l'exploitation maximale du migrant, lequel cherche alors les moyens d'éviter cette répétition ou d'en sortir.
|
10 |
Historical eruptions of Lanzarote, Canary Islands : Inference of magma source and melt generation from olivine and its melt inclusions / Les éruptions historiques de Lanzarote, Iles Canaries : contribution des inclusions vitreuses à la compréhension de la formation des liquides primitives et leur sourcesGomez-Ulla Rubira, Alejandra 25 September 2018 (has links)
L’étude des basaltes des îles océaniques (OIB) révèle la complexité du manteau terrestre, dont la composition chimique est hautement variable. Décrypter l’implication des lithologies des roches sources et des processus à l’origine des OIB est complexe car les magmas sont transformés lors de leur ascension jusqu’à la surface. Ceci est particulièrement critique dans le cas des îles Canaries, où la lithosphère est considérée comme particulièrement épaisse (>110 km Fullea et al., 2015). Afin de mieux contraindre la composition chimique des magmas primitifs et les lithologies mantelliques plausiblement impliquées, deux éruptions historiques de l’île de Lanzarote, les éruptions de Timanfaya (1730-1736) et celles de 1824, ont été étudiées. En effet, ces deux éruptions offrent une opportunité unique d’étudier les mécanismes de génération des magmas et leurs compositions dans un contexte où le manteau est hétérogène. L’éruption de historique de Timanfaya (1730-1736) a émis des magmas qui ont évolué de basanites à basaltes alcalins, pour atteindre des compositions tholeitiques à la fin de l’éruption. La dernière éruption de l’île, en 1824, a produit des basanites extrêmement riches en volatils. L’hétérogénéité du manteau est démontrée à l’extrême à Lanzarote où une seule éruption présente une variation de compositions chimiques équivalente à la diversité de celles des OIB dans le monde. L’extrême hétérogénéité est systématique pour les compositions des roches totales et des téphras à l’échelle d’une éruption, mais est encore amplifiée à l’échelle du minéral et des inclusions magmatiques contenus dans un même échantillon de téphra.Les concentrations des éléments traces et leurs rapports dans l’olivine (e.g. Ni, Mn et Ca) sont de précieux marqueurs des lithologies mantelliques à l’origine des magmas. En effet, les rapports Ni x (FeO/MgO), corrigé du fractionnement, et Fe/Mn sont des indicateurs de lithologies avec ou sans olivines. Il est considéré qu’ils peuvent montrer, dans la plupart des cas, l’ajout d’un liquide magmatique dérivé d’une pyroxénite dans les magmas primaires. La mesure des compositions des éléments traces des olivines des éruptions de 1730-1736 et de 1824 montrent les implications variables de plusieurs lithologies mantelliques au cours du temps. Lors de la fusion d’une lithologie ne contenant pas d’olivines, comme la pyroxénite, de hautes teneurs en Ni et de faibles teneurs en Mn et Ca sont attendues. Les basanites de Lanzarote présentent les plus grandes variations géochimiques, couvrant le champ compositionnel des olivines des MORB et des OIB du monde entier, tandis que les produits plus tardifs, c’est-à-dire les basaltes alcalins et les tholéites, ont des teneurs typiques de liquides magmatiques dérivés de pyroxénites. Les teneurs en forstérite (Fo) des olivines diminuent systématiquement avec le temps durant l’éruption de 1730-1736 et la proportion de liquide primaire saturé en silice augmente dans les mélanges de magmas primitifs avec le temps. A la fin de l’éruption, les magmas tholéitiques cristallisent des olivines dont la teneur en Fo est faible, alors que les concentrations en Mn et Ca augmentent simultanément avec le rapport Ca/Al pour des rapports Fe/Mn et Ni x (FeO/MgO) relativement constants. Ces observations sont expliquées par une augmentation de la fusion par décompression à température légèrement plus faible. D’autre part, les basanites de l’éruption de 1824 possèdent les olivines ayant les teneurs en Fo les plus élevées, et des teneurs en éléments traces dépassant la variabilité des basanites de l’éruption de Timanfaya. Le fait que les basanites de Lanzarote contiennent des olivines dont les compositions en éléments traces recouvrant le champ des MORB et des liquides pyroxènitiques est expliqué par la fusion d’une source contenant des lithologies hétérogènes, induite par un flux de CO2, générant ainsi des magmas aux compositions diverses. (...) / The study of oceanic island basalts (OIB) reveals the complexity of the mantle, which composition is highly variable. Deciphering the source lithologies and processes involved in the OIB formation is challenging since the magmas are transformed on their way to the surface. This is especially critical at Canary Islands where the lithosphere is thought to be remarkably thick (>110 km Fullea et al., 2015). In order to better constrain the composition of primitive magmas and the plausible mantle lithologies involved, two historical eruptions recorded at Lanzarote island, Timanfaya 1730-1736 and 1824 eruptions have been investigated. Indeed, these two eruptions offer a unique opportunity to investigate the mechanisms of magma generation and composition in the context of mantle heterogeneity. The Timanfaya, 1730-1736 historical eruption emitted magmas that evolved from basanites through alkali basalts, finally reaching tholeiitic compositions at the end of the eruption. In 1824 the last eruption on the island produced extremely volatile-rich basanite. The heterogeneity of the mantle is demonstrated to the extreme in Lanzarote where a single eruption exhibits compositional variations similar to the span of the OIB worldwide. The extreme heterogeneity is systematic from whole rock lava and tephra at eruption scale but amplified at mineral and melt inclusion scale within a single tephra sample of the eruption.The use of trace element concentrations and ratios of olivine (e.g. Ni, Mn, and Ca) are valuable indicators of the mantle source lithology, namely, the fractionation-corrected Ni x (FeO/MgO) and Fe/Mn as probes of olivine absent or present lithologies, often taken as pyroxenite-derived component in mixtures of primary melts. The measured trace element concentrations in olivine from the 1730-1736 and 1824 eruptions reveal variable mantle lithologies involved in the magma generation with time. Higher Ni and lower Mn and Ca contents are expected when melting Ol-free source, such as pyroxenite lithologies. The basanites exhibit the largest variation covering the range of olivine in MORB and OIB worldwide whereas later produced alkali-basalts and tholeites have values typically expected from pyroxenite derived melts. The Fo content decreases systematically with time during the 1730-36 eruption and the proportion of silica-saturated primary melt increased in the parental magma mixture with time. At the end of the eruption, tholeiite magmas crystallized olivine with lower Fo content, whereas those concentrations of Mn and Ca increased together with Ca/Al at relatively uniform Ni x (FeO/MgO) and Fe/Mn, all of which is readily explained by increased decompression melting at slightly lower temperature. The basanite from the eruption that took place in 1824 has olivine with the highest Fo content and trace element variability expanding the range of the Timanfaya basanite. The fact that Lanzarote basanites contain olivine with trace element systematic spanning that of MORB and pyroxenite melt is explained by CO2-flux melting of a lithologically heterogeneous source, generating the diverse compositions. In addition, early reactive porous flow through the depleted oceanic lithosphere and equilibration with harzburgite restite caused Ni depletion of the earliest percolating pyroxenite melt from which olivine crystallized and probably leaving dunite channels. After the channel formation mantle nodules could be brought to the surface. The fact that olivine compositions and basanite magma were reproduced approximately a century later may reflect episodic carbonatic fluxing in the slowly uprising Canarian mantle plume. (...)
|
Page generated in 0.0462 seconds