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Sensibilité et spécificité du dépistage du cancer du sein par mammographie : mesures directes et indirectes

Théberge, Isabelle. 23 April 2018 (has links)
Introduction : L’évaluation des programmes de dépistage du cancer du sein se fait à l’aide d’indicateurs de performance. Ces indicateurs sont liés directement ou indirectement à la sensibilité ou la spécificité. Les limites de chacun de ces indicateurs ne sont pas toujours explicites et, de plus, les liens existants entre ces indicateurs et la sensibilité ou la spécificité ne sont pas bien connus. Cette étude vise à clarifier ces liens. Méthode : Les liens entre les indicateurs de performance et la sensibilité ou la spécificité ont été étudiés premièrement sur le plan théorique, deuxièmement en utilisant les données du Programme Québécois de Dépistage du Cancer du Sein et, finalement, en utilisant une microsimulation développée à cette fin. Résultats : La sensibilité cumulative augmente tandis que la sensibilité moyenne diminue lorsque le dépistage est plus fréquent. Ces deux sensibilités semblent plus élevées chez les tumeurs à croissance rapide. Deux méthodes (d’incidence et de détection) sont utilisées pour estimer la sensibilité du dépistage. Ces sensibilités estimées sont différentes lors des mammographies initiales, tandis qu’elles sont comparables lors des mammographies subséquentes. Peu importe la méthode d’estimation, les rapports dans ces mesures de sensibilité peuvent s’interpréter non pas comme des rapports de sensibilité, mais bien comme des rapports de sensibilité pour les tumeurs avec un temps de devancement potentiel court, mais à la condition que la structure du programme soit similaire entre les groupes comparés. Les cancers d’intervalle semblent être presque tous déjà présents lors du dépistage précédent. Les rapports dans les mesures indirectes de sensibilité (taux de détection et de cancer d’intervalle) sont plus près des rapports dans les mesures de sensibilité ou de manque de sensibilité respectivement lorsque : seulement les cancers infiltrants sont considérés, le suivi post-dépistage est le plus long possible, la caractéristique à l’étude n’est pas associée à la prévalence de la maladie et un ajustement est fait pour les facteurs associés à cette prévalence. Pour les mammographies subséquentes, les mesures indirectes de sensibilité sont affectées par la sensibilité lors des dépistages précédents. Conclusions : Cette étude permet d’améliorer les approches utilisées pour mieux évaluer les programmes de dépistage.
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Pratiques de dépistage du cancer des femmes non porteuses de mutations familiales des gènes BRCA1/2

Guedaoura, Sonya January 2017 (has links)
Les femmes non porteuses de mutations familiales des gènes BRCA1 ou BRCA2 présentent un risque de cancers du sein et de l'ovaire généralement comparable à celui des femmes de la population générale du même âge. Par conséquent, elles ne sont pas à risque élevé pour ces cancers et devraient suivre les recommandations de dépistage s'adressant aux femmes de la population générale. Toutefois, des études antérieures suggèrent que les pratiques de dépistage du cancer des non-porteuses « excèdent » ces recommandations. Ce projet a pour objectif de décrire les comportements de dépistage des femmes non porteuses indemnes et d'évaluer le rôle des antécédents familiaux sur leurs pratiques de dépistage du cancer. Des données sur les pratiques de dépistage des cancers du sein et de l'ovaire ont été recueillies rétrospectivement auprès de 220 non-porteuses indemnes, sur des périodes allant jusqu'à 10 ans (moyenne = 4,3) depuis la divulgation du résultat de leur test génétique. Les analyses ont porté sur le recours à la mammographie, à l'échographie des seins, à l'imagerie par résonance magnétique (IRM) des seins, à l'échographie transvaginale et/ou pelvienne et au dosage du CA-125. Les résultats indiquent que les pratiques de dépistage des non-porteuses sont dans l'ensemble cohérentes avec les recommandations à l'intention des femmes de la population générale. Lorsque des participantes ont adopté un comportement de dépistage différent de ce qui serait attendu pour des femmes considérées à risque populationnel de cancer, ces pratiques ont été associées dans la plupart des cas à la présence d'antécédents familiaux de cancer du sein ou de l'ovaire. Les connaissances acquises dans ce projet seront utiles pour l'élaboration d'outils visant à répondre aux besoins et aux préoccupations des non-porteuses afin de favoriser une utilisation optimale des mesures de dépistage du cancer conformément à leur profil génétique, leur histoire familiale et leurs préférences.
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Développement d'un algorithme permettant la prédiction des métastases à partir de mutations germinales et celles du clone fondateur chez des patients atteints du cancer

Milanese, Jean-Sébastien 24 April 2018 (has links)
Avec les constantes avancées du séquençage de nouvelle génération (NGS), la quantité de données disponibles devient massive. En parallèle, les méthodes de détection au cancer demeurent très spécifiques et peu efficaces. De plus, le taux de survie des patients est directement relié à la progression tumorale et par conséquent, aux méthodes de détection. Malgré des avancées technologiques très importantes dans les dernières années, le taux de mortalité du cancer ne cesse d’augmenter. L’importance de développer des nouvelles méthodes de détection applicables à tous les types de cancer devient une nécessité. Jusqu’à présent, il n’existe aucun modèle permettant d’utiliser le séquençage de nouvelle génération qui permet la prédiction de caractéristiques cancéreuse (ex : récurrence, résistance, etc.). Les sections suivantes démontrent la création d’un modèle utilisant des mutations somatiques et germinales pour prédire la récurrence et son applicabilité au travers de tous les types de cancers (et même différentes maladies). En utilisant des signatures géniques (combinaisons de gènes) spécifiques à chaque cancer, nous avons été en mesure d’obtenir une précision de 90% (et plus) pour le groupe où le cancer est récurrent. De nos connaissances, ceci est la première tentative de développement de modèle permettant de prédire le pronostic du patient en utilisant le NGS. Ceci amène un nouvel aspect pour la médecine personnalisée et spécialement pour le dépistage du cancer. / With the constant progress in neext generation sequencing, the quantity of data available for investigation becomes massive. In parallel, cancer detection methods and treatments remain very specific and barely accurate. Moreover, the patients survival rate are directly linked with tumoral progression and therefore, to cancer detection methods. Despite continual technological advances in recent years, the global cancer mortality rate keeps rising. The creation of new detection methods accessible to all cancer types becomes a necessity. As of now, there is no model available that using sequencing data to predict cancer traits (ex: recurrence, resistance, etc.). The following sections demonstrate the creation of such model using somatic and germline mutations to predict recurrence and its applicability across all cancer types (and even across different diseases). By using gene signatures specific to each cancer types, we were able to obtain an accuracy of 90% (and more) for the cohort where the cancer was recurrent. To our knowledge, this is the first attempt to develop a model that can predict the patient’s prognosis using genome sequencing data. This will affect future studies and improve personalized medicine as well as cancer detection methods.
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Association entre l'intolérance à l'incertitude et la détresse psychologique chez les femmes ayant un résultat de test génétique BRCA1/2 non concluant

Badaroudine, Fanny 18 April 2018 (has links)
Depuis l'identification des gènes de prédisposition au cancer du sein BRCA1 et BRCA2, les femmes ayant une forte histoire familiale de cancer du sein peuvent avoir recours à un test génétique pour savoir si elles ont un risque accru de développer cette maladie. L'un des principaux motifs des femmes à être testées pour les gènes BRCA1/2 étant de mieux connaître leur risque de cancer, le fait d'obtenir un résultat de test non concluant serait associé à de l'anxiété et à de l'inquiétude. Compte tenu de la nature incertaine d'un résultat non concluant, il est aussi plausible que cette association soit influencée par la capacité des personnes concernées à composer avec cette situation ambiguë et à tolérer l'incertitude qui s'y rattache. Cette étude vise à évaluer l'association entre l'intolérance à l'incertitude et la détresse psychologique de femmes ayant obtenu un résultat de test génétique BRCA1/2 non concluant. Pour ce faire, 142 femmes ayant eu un résultat non concluant ont répondu à des questionnaires auto-administrés évaluant notamment la détresse psychologique au moment du conseil génétique, puis à 1 mois, 1 an et 3 ans après la divulgation du résultat du test BRCA1/2 et l'intolérance à l'incertitude mesurée à 1 mois et à 3 ans. Des analyses de variance à mesures répétées ont été réalisées afin d'évaluer l'effet de l'intolérance à l'incertitude et des antécédents de cancer sur le changement dans les scores de détresse. Pour l'ensemble du groupe, l'évolution de la détresse a été évaluée en fonction de la tolérance à l'incertitude et des antécédents personnels de cancer. Chez les femmes n'ayant jamais eu le cancer, l'évolution de la détresse a été évaluée en fonction de la tolérance à l'incertitude et de la perception de risque. Globalement, les résultats obtenus suggèrent que l'intolérance à l'incertitude n'est pas associée de façon indépendante à la détresse vécue par les femmes ayant un résultat non concluant. Toutefois, les femmes intolérantes à l'incertitude et ayant eu un cancer se démarquent des autres participantes de l'étude par une détresse plus élevée. De plus, pour les femmes non atteintes de cancer, celles étant tolérantes à l'incertitude et ayant une faible perception de risque de cancer démontrent des niveaux de détresse inférieurs aux autres femmes non atteintes. Par ailleurs, on ne remarque dans l'ensemble aucune fluctuation significative des scores de détresse dans le temps. En soi, l'obtention d'un résultat non concluant n'affecte donc ni positivement, ni négativement l'ajustement psychologique des femmes, qu'elles aient un antécédent de cancer ou non. Puisque la majorité des femmes qui sont testées pour les gènes BRCA1/2 reçoivent un résultat non concluant, les résultats de cette étude suggèrent qu'il serait pertinent de tenir compte, dans le cadre du conseil génétique, de la capacité des femmes à tolérer l'incertitude, particulièrement celles ayant déjà fait face à un cancer.
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La qualité des mammographies dans le programme québécois de dépistage du cancer du sein, 2004-2005

Guertin, Marie-Hélène 24 April 2018 (has links)
Objectifs : La présente étude a pour objectif principal d’évaluer la qualité des mammographies effectuées au quotidien dans le Programme québécois de dépistage du cancer du sein (PQDCS). Elle vise également à identifier les caractéristiques des patientes et des technologues qui sont associées à la qualité des mammographies. Un dernier objectif est d’évaluer si la qualité des mammographies est associée au risque de faux positifs. Méthodes : Un échantillon aléatoire de 1278 mammographies a été tiré parmi les 394 190 mammographies effectuées en 2004 et 2005 dans le PQDCS. La qualité des mammographies a été évaluée selon les critères de l’Association canadienne des radiologistes (CAR). Ces critères servent à effectuer une évaluation globale (adéquat/inadéquat) ainsi qu’une évaluation détaillée de la qualité du positionnement, de la compression, de la netteté, du contraste, du niveau d’exposition et des artéfacts. La qualité des mammographies de la totalité de l’échantillon a été évaluée par un radiologiste expérimenté. Un sous-échantillon de 197 mammographies a également été évalué par un deuxième radiologiste, et par un troisième lorsque le résultat des deux premiers n’était pas concordant pour l’évaluation globale ou le positionnement. Les caractéristiques des femmes ont été obtenues à partir du système d’information du Programme. Les caractéristiques des technologues ayant réalisé les mammographies ont été recueillies à partir de questionnaires développés spécifiquement pour le projet de recherche et envoyés par la poste. Pour évaluer les associations entre les caractéristiques des femmes et la qualité des mammographies, des modèles de régression de Poisson avec une estimation robuste de la variance ont été appliqués afin d’obtenir des rapports de proportions. Des modèles similaires ont été appliqués afin d’évaluer la relation entre les caractéristiques des technologues et la qualité du positionnement. Finalement, la relation entre la qualité des mammographies et le risque de faux positifs a également été analysée. Tous les modèles étaient ajustés pour des facteurs potentiellement confondants. Résultats : Dans le sous-échantillon de mammographies évaluées par au moins deux radiologistes, 49,7 % des mammographies étaient inadéquates. De plus, 37,2 % des mammographies présentaient un positionnement inadéquat. La reproductibilité inter-évaluateurs était plutôt faible (kappa de Cohen = 0,17 pour l’évaluation globale, 0,18 pour l’évaluation du positionnement). L’indice de masse corporelle (IMC) était la caractéristique des patientes la plus fortement associée à la qualité des mammographies. Les mammographies étaient inadéquates chez 67,5 % des femmes ayant un IMC ≥ 30 kg/m2 comparativement à 34,9 % des femmes ayant un IMC < 25 kg/m2 (rapport de proportions [RP] : 2,1, IC 95 % : 1,5 – 3,0). Les technologues ayant suivi au moins 15 heures de formation pratique supplémentaire à la formation obligatoire de base en positionnement ont réalisé plus fréquemment des mammographies ayant un bon positionnement (RP = 1,3, IC 95 % : 1,1 – 1,5) comparativement aux technologues n’ayant pas suivi de formation supplémentaire. Les technologues qui donnent de la formation en éducation médicale continue (EMC) réalisaient également plus souvent un bon positionnement (RP = 1,3, IC 95 % : 1,1 – 1,5). Finalement, la présence d’artéfacts sur les mammographies était associée à une augmentation de la proportion de faux positifs (RP = 2,1, IC 95 % : 1,3 – 3,3) comparativement aux mammographies qui n’avaient pas ou peu d’artéfacts. Conclusion : Cette étude est la première à évaluer la qualité des mammographies effectuées au quotidien dans un programme de dépistage canadien. Une proportion élevée de mammographies n’ont pas satisfait les critères de la CAR. Notre étude a noté de faibles niveaux d’accord entre les évaluateurs. Les répercussions d’un tel niveau d’accord peuvent être importantes, ces évaluations étant la raison principale des pertes d’agrément. Le positionnement s’est avéré être la composante de la qualité de la mammographie la plus difficile à réussir et ce, surtout chez les femmes dont l’IMC est élevé. Notre étude a mis en évidence qu’une formation pratique accrue pour les technologues pourrait permettre d’améliorer la qualité des mammographies dans le programme. En plus de l’importance de réévaluer le lien entre la qualité des mammographies et le risque de faux positifs pour la mammographie numérique, il importe d’évaluer si la qualité des mammographies influence la capacité à détecter un cancer (sensibilité). Ces analyses en lien avec la sensibilité sont en cours à l’Institut national de santé publique du Québec. / Objectives: The main objective of the present study is to evaluate mammography quality of mammograms in daily practice of the Quebec breast cancer screening program. This study also aimed at identifying factors associated with mammography quality among characteristics of patients and technologists who perform the mammograms. The last objective was to evaluate if clinical image quality is associated with the false-positive rate. Methods: A random sample of 1,278 mammograms was drawn from all 394 190 mammograms realized in the program in 2004 and 2005. The mammograms were evaluated based on the criteria used by the Canadian Association of Radiologists. These criteria include an overall evaluation (pass/fail) and a detailed evaluation of positioning, compression, sharpness, contrast, exposure level and artifacts. All sampled mammograms were evaluated by an expert radiologist familiar with the CAR criteria. A subsample of 197 mammograms was also evaluated by a second radiologist and a third one when results were discordant. Characteristics of women were obtained from the Quebec breast cancer screening program information system. Technologists’ characteristics were collected by mailed questionnaire developed specifically for the study purposes. To evaluate the association between women characteristics and mammography quality, Poisson regression models with robust estimation of variance were carried out in order to estimate proportion ratios. Technologists’ characteristics were analysed similarly but with positioning quality (higher/lower) as the outcome. Finally, mammography quality was analysed in association with the false-positive proportion using a similar model. All models were adjusted for potential confounders. Results: For the subsample evaluated by at least two radiologists, 49.7% of mammograms failed overall quality and positioning was suboptimal for 37.2% of mammograms. Inter-rater agreement between the two principal radiologists was generally low (Cohen’s kappa = 0.17 for overall quality and 0.18 for positioning). Increasing body mass index (kg/m2) was associated with lower mammography quality. For overall quality, women with a BMI≥30 had a failure proportion of 67.5% compared to 34.9% for women with a BMI< 25 (adjusted ratio = 2.1, 95%CI: 1.5 – 3.0). Technologists who, in addition to mandatory training, followed at least 15 hours of hands-on training in positioning performed higher positioning quality (adjusted ratio = 1.3, 95%CI = 1.1 - 1.5) compared to technologists with no such additional training. Technologists providing at least 15 hours of continued medical education (CME) also performed higher positioning quality (adjusted ratio = 1.3, 95%CI: 1.1 - 1.5) compared to those who provided less than 15 hours of CME. Finally, among mammography quality dimensions evaluated only presence of artifacts was significantly associated with an increase in the proportion of false-positives (adjusted ratio = 2.1, 95%CI: 1.3 – 3.3) compared to mammograms with few or no artifacts. Conclusion: This study is the first to evaluate mammography quality in daily practice of the Quebec breast cancer screening program. Our study also showed low inter-rater agreement for clinical image evaluation. This can have a major impact on screening centres since these evaluations are the main reasons for loss of accreditation. The proportion of mammograms with poor positioning was higher for women with high BMI. Our study results suggest that increasing hands-on training in positioning for technologists could help improve overall positioning quality in the Program. It would also be important to reassess the impact of clinical image quality on the false-positive rate in the context of digital imaging. A next step is also to evaluate if the observed variations in mammography quality are associated with screening sensitivity. The latter analyses are currently ongoing at the Institut national de santé publique du Québec.
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Facteurs associés à l'intention d'adhésion au programme québécois de dépistage du cancer du sein (PQDCS)

Touré, Sounan Charles 17 April 2018 (has links)
Une réduction de la mortalité liée au cancer du sein, la première cause de cancer et la deuxième cause de mortalité par cancer, nécessite l'adhésion des femmes aux mammographies de dépistage répétées qui reste à ce jour la meilleure prévention secondaire. L'objectif de cette étude transversale était de mesurer et d'identifier les facteurs associés à l'intention d'adhésion des femmes aux mammographies de dépistage aux 2 ans du Programme Québécois de Dépistage du Cancer de Sein (PQDCS). Un questionnaire de satisfaction adressé par voie postale à 2 170 femmes de la région 03 (taux de participation de 73%) a permis d'évaluer leur intention d'adhésion. La régression logistique multiple a été utilisée pour identifier les facteurs. Cette étude a mis en évidence le rôle important des recommandations du médecin de famille (RC=0,12; IC à 95%= [0,09-0,17]). Plusieurs facteurs liés à l'organisation du PQDCS (accessibilité, transfert d'information), l'inquiétude des femmes en regard du cancer du sein et de la mammographie influençaient l'intention d'adhésion aux mammographies répétées. Cependant, d'autres études évaluant l'adhésion réelle des participantes du PQDCS permettra de confirmer ces résultats.
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Cancers d'intervalle chez les femmes symptomatiques et asymptomatiques suivant une mammographie de dépistage normale dans le cadre du programme québécois de dépistage du cancer du sein (PQDCS) entre 1998 et 2004

Vachon, Julie 16 April 2018 (has links)
Bien que le dépistage vise les femmes asymptomatiques, plusieurs femmes présentent des signes ou des symptômes aux seins lors du dépistage. L'objectif de cette étude est d'évaluer le lien entre la présence de signes et symptômes lors d'une mammographie de dépistage normale et le diagnostic de cancers d'intervalle chez les femmes ayant participé au PQDCS entre 1998 et 2004. Plus de 665 cancers d'intervalle ont été identifiés dans les 12 mois suivant parmi les 982 604 femmes ayant une mammographie de dépistage normale. Chaque symptôme mentionné est associé à un risque plus élevé de diagnostic de cancer d'intervalle. La masse est le symptôme le plus fortement associé au diagnostic de cancer d'intervalle, suivi de l'écoulement du mamelon, de l'inversion, puis, des autres symptômes incluant la douleur. Nos résultats confirment que les symptômes de masse, d'écoulement et d'inversion du mamelon devraient être rapidement investigués par les médecins traitants même si la mammographie de dépistage s'avère normale.
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Déterminants liés aux variations de la sensibilité, de la spécificité et du rapport de vraisemblance positif du dépistage par mammographie dans le cadre du Programme québécois de dépistage du cancer du sein

Tchuente, Vanina January 2019 (has links)
Dans le Programme québécois de dépistage de cancer du sein (PQDCS), les caractéristiques des femmes, des radiologistes et des centres pourraient influencer la performance du programme. La présente étude a pour objectif d’identifier ces caractéristiques qui influencent la sensibilité, la spécificité et le rapport de vraisemblance positif (RV+) du dépistage. Cette étude est constituée de 3 727 724 mammographies faites dans le PQDCS chez des femmes âgées entre 50 et 69 ans entre janvier 2002 et septembre 2015. Les données de l’étude ont été obtenues par le jumelage de trois bases de données (le système d’information du PQDCS, la RAMQ et MedEcho). Les associations multivariées, entre les caractéristiques et la performance, ont été estimées à l’aide de modèles de Poisson robustes. Parmi les mammographies à l’étude, 368 079 ont été jugées anormales parmi lesquelles 17 867 ont mené à un diagnostic de cancer du sein infiltrant (15 412 cancers détectés et 2 455 cancers d’intervalle). Globalement, la sensibilité brute correspond à 86,3 %, la spécificité brute est de 90,5 % et le RV+ brut est de 9,1. Certaines caractéristiques sont associées à une augmentation de la performance, notamment un âge élevé de la femme, être une femme post-ménopausée et un volume annuel de lecture élevé des radiologistes. D’autres sont associées à sa diminution, notamment avoir un antécédent de ponction ou biopsie, avoir eu une mammographie initiale, avoir un indice de masse corporelle élevé, utiliser de l’hormonothérapie de remplacement, avoir une densité mammaire élevée, être une femme radiologiste et utiliser un mammographe numérique dans un centre de dépistage. L’évaluation de la performance du PQDCS étant importante, il est pertinent de connaître les caractéristiques qui y sont associées afin de mieux comprendre les mécanismes par lesquels cette performance pourrait être améliorée. / In the Quebec Breast Cancer Screening Program (Programme québécois de dépistage du cancer du sein, PQDCS), women, radiologists and facilities characteristics may influence the screening performance. This study aim to identify those characteristics associated with sensitivity, specificity and accuracy (positive likelihood ratio) of screening mammography. This study consists of 3,727,724 mammograms performed on women aged between 50 and 69 in the PQDCS between January 2002 and September 2015. Data on the characteristics were obtained through three databases: the PQDCS information system, RAMQ and MedEcho. The associations of women, radiologists and facilities characteristics to sensitivity, specificity and accuracy was assessed by multivariable Poisson regression with robust error variance. Among the mammograms included, 368,079 were considered as abnormal and 17,867 lead to a diagnosis of invasive cancers (15,412 screen-detected cancers and 2,455 interval cancers). Overall, the sensitivity is 86.3 %, the specificity is 90.5 % and the accuracy is 9.1. Some characteristics are associated with an increase of the screening performance including woman’s age, being post-menopausal and having a high annual volume of mammograms for radiologists. Others are associated with a decrease of the performance, including having a history of breast puncture or biopsy, having an initial mammogram, having a high body mass index, taking a hormone replacement therapy, having a high breast density, being a female radiologist, using a digital mammogram in a screening facility. As the evaluation of the performance of the PQDCS is important, it is relevant to know the characteristics associated with it, in order to understand better the mechanisms by which the program could be improved. / Résumé en espagnol
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Comportements de santé et détresse psychologique des femmes s'engageant dans le processus d'un test génétique de prédisposition au cancer du sein BRCA1/2

Bouchard, Karine 12 April 2018 (has links)
Depuis l'identification des gènes BRCA1/2, les femmes ayant une histoire familiale de cancer du sein peuvent être testées pour savoir si elles ont un risque accru de développer ce cancer. Cette étude vise à comparer certains comportements de santé et la détresse psychologique de femmes qui s'engagent dans le processus d'un test BRCA1/2 (n=640) à ceux de femmes de la population générale (n=9498). Les résultats indiquent que les femmes consultant en oncogénétique sont plus nombreuses à recourir au dépistage, à avoir de saines habitudes de vie et à éprouver de la détresse que les femmes de la population générale. Ces résultats suggèrent que les femmes qui consultent en oncogénétique sont, dans un premier temps, bien informées des recommandations médicales à leur intention et ont, dans un deuxième temps, accès à un dépistage adapté à leur risque. Néanmoins, un soutien psychosocial minimal offert à toutes les femmes s'engageant dans un test BRCA1/2 pourrait être pertinent.
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Perceptions des bénéfices et des risques des tests génétiques de prédisposition au cancer du sein (BRCA1/2) par les femmes ayant recours à ces tests

Jalbert, Lisa-Marie 11 April 2018 (has links)
Cette étude décrit les perceptions des bénéfices, des risques et des limites des tests BRCA1/2 de 650 femmes participant à un programme de recherche clinique intégré incluant des tests de prédisposition génétique au cancer du sein. Ces perceptions sont décrites en fonction de l'âge, du statut marital, du statut parental et des antécédents personnels de cancer des participantes. En général, les femmes testées perçoivent que les bénéfices du test sont plus importants que les risques et les limites. Les résultats indiquent que la principale motivation des femmes testées est le désir de faire progresser la science et le principal risque perçu est la peur que le résultat du test perturbe la famille. Les implications du résultat du test pour la surveillance et la prévention du cancer sont particulièrement importantes pour les femmes plus jeunes et celles n'ayant jamais fait de cancer.

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