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Tree-Ring-Derived Precipitation Records From Inner Mongolia, China, Since A.D. 1627

Liu, Yu, Sun, Junyan, Yang, Yinke, Cai, Qiufang, Song, Huiming, Shi, Jiangfeng, An, Zhisheng, Li, Xuxiang 06 1900 (has links)
Two Chinese pine (Pinus tabulaeformis) tree-ring width chronologies up to 375 years long were used to reconstruct rainfall from February to early July for the Wu Dangzhao region and from February to mid-July for the La Madong region, Inner Mongolia, China. The predictor variables account for 44.3% and 42.7% of the variance in precipitation, respectively. Both historical records and two other tree-ring based precipitation reconstructions from the environmentally sensitive zone (the northern Helan Mountain range and Baiyinaobao) confirm our results. After applying a 10-year moving average, the trends of four tree-ring based precipitation reconstructions vary synchronously. Periods with below-normal precipitation occurred during the 1720s–1730s, 1740s–1750s, 1790s, early 1810s, late 1830s–1860s, 1880s–1910s, late 1920s–1930s and after the late 1960s–early 1970s. Periods with above-normal precipitation occurred in the 1760s to early 1770s, 1820s to early 1830s, 1870s–1880s, early 1920s, 1940s to early 1960s, and 1990s. The late 1920s period was the most severe drought over a broad area in north China in the last 375 years. In contrast, the wettest period was in the late 1990s.
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Les carrières de meules du sud de la péninsule ibérique, de la protohistoire à l'époque moderne / Millstone quarries in the south of the Iberian peninsula from Protohistory to Modern Times

Anderson, Timothy J. 11 December 2013 (has links)
Les moulins avec leurs meules en pierre ont été utilisés depuis les débuts de l'agriculture pour moudre de céréales. Au fil du temps, ils ont évolué passant des moulins va-et-vient, aux moulins rotatifs manuels, puis à des moulins à mécanismes complexes entrainés par l'homme, l'animal, l'eau ou le vent. Notre étude porte sur la question de la production de ces meules dans le sud de l'Espagne depuis le troisième millénaire av. J.-C. jusqu'au XXe siècle. Seuls quelques sites étaient signalés au début de notre recherche. Maintenant, plus de 130 meulières sont connues suite à des travaux de terrain, l'étude des textes anciens, des recherches sur l'internet et des études museographiques. Les sources conventionnelles pour identifier les sites sont des archives et des textes historiques, ainsi que des dictionnaires géographiques, notamment du XIXe siècle. La plupart des sites identifiés par ces sources datent de périodes récentes. Des sites plus anciens, datés de l'époque romaine et du moyen âge, ont été identifiés par des études des meules dans les dépôts des musées (ébauches en particulier) combinées avec des recherches sur le terrain. L'internet peut être aussi une source intéressante. De nombreux sites sont signalés le long des sentiers de randonnée ou dans des pages historiques locales. Une partie de ce travail a été consacré à établir une première classification des différents types de meules. En raison de l'absence de corpus publiés, ce travail n'est pas équivalent pour toutes les périodes, en particulier pour le Moyen Age. Toutes les roches n'étaient pas aptes à la fabrication des meules et certaines étaient plus recherchées que d'autres. Ainsi à l'âge du fer c'était le calcaire tuffeau. Alors qu'à l'époque romaine c'était le biocalcarenite de la bordure de la Baie de Cadix, et les roches volcaniques qui ont été importées, parfois sur de longues distances depuis les deux districts volcaniques (Calatrava et Province volcanique du SE). Dans les périodes plus récentes c'est le calcaires blanc qui a été favorisés, peut-être parce qu'il permettait d'obtenir une farine plus blanche. Après avoir décrit des techniques de fabrication, une classification des meulières (MQ) est proposée selon s'il s'agissait d'exploitation de blocs de surface (MQ-1) ou du substrat rocheux (MQ-2). Les meules va-et-vient étaient surtout produites à partir de blocs de surface (MQ-1a), tandis que des modèles de l'âge du fer et romains provenaient de carrières de blocs (MQ- 2b). L'extraction directe (MQ-2a) où des cylindres ont été tirés de la roche laissant des fronts alvéolaires datent d'époque romaine. Des gros blocs de surface (calcaires karstiques, rochers de granit) ont servi également comme meulières (MQ-1b). Les carrières sont décrites sur la base de leur morphologie : en pallier, en poche, en fosse, de bordure, en tranchée, extensive contigües, extensives dispersées et souterraines. Des thèmes liés à l'infrastructure des meulières sont traités, tels que la maintenance des outils, la gestion des déchets, et le transport des meules (courte et à longue distance). Les meuliers sont également étudiés du point de vue de leur degré de spécialité, leur organisation en équipes, leurs gains et leurs risques professionnels (silicose). Quant à la question de la propriété et de leur contrôle, il est démontré que ces sites au moins depuis le Moyen Age étaient sous l'autorité de la classe dirigeante. A l'origine, la production était surtout locale et régionale. Les meules ont commencé à être diffusées à de longues distances à l'époque romaine. Au Moyen Age, avec l'abandon de roches volcaniques, il y a eu un retour aux roches locales et régionales. L'introduction des pierres silicieuse françaises au XIXe siècle fut le début de la fin des meulières en Espagne. Le coup de grâce, cependant, est arrivé avec l'introduction du rouleau en acier industriel, qui non seulement a engendré la fin des meulières, mais aussi de la longue tradition de mouture à la pierre. / Mills with stones were used since the beginnings of agriculture for grinding grains. Over time, they evolved from saddle querns, to rotary querns and mills, to the more sophisticated geared watermills, and windmills. Our study focuses on where and how the hard, abrasive millstones that equipped the different mills were produced in the south of Spain, from the third millennium BC to the 20th century. At the outset of our research, only a few millstone quarries were known. Now, more than 130 have been identified. Different sources were used to identify these sites. Conventional sources included old historical archives and texts, notably 19th-century geographical dictionaries. Most sites recorded in written sources, however, date to recent times. Older quarries, from the Roman period and Middle Ages, however, were identified by millstone analyses in museum depositories (roughouts in particular) combined with fieldwork. An additional source was the internet. Ignored by conventional sources, many sites are recorded along hiking trails or in local historical websites. A large section of this research is dedicated to establishing a first chrono-typological classification of the different types of millstones produced in these quarries. Due to the lack of published millstone assemblages, this work is not balanced, especially regarding the Middle Ages. Not all rocks were apt for grinding and there is evidence that specific rocks were favoured over others. In the Iron Age limestone tufa was preferred. In Roman times, biocalcarenites were the main rock along the Bay of Cádiz, whereas volcanics rocks, dominating the eastern half of our study area, travelled, at times, long distances from the two volcanic districts (Calatrava and SE Spanish volcanics). In more recent periods white limestones were favoured, possibly because they yielded a whiter flour. After describing extraction and fashioning techniques and tools, a classification of these quarries (MQ) is proposed based on whether the exploitation was of surface boulders (MQ-1) or bedrock (MQ-2). Saddle querns were mostly from surface workings (MQ-1a), whereas Iron Age and Roman models were fashioned from detached angular blocks (MQ-2b). True extractive quarries (MQ-2a) where cylinders were cut directly from bedrock yielding circular hollows, date to Roman times. There are also evidence of large surface blocks (karstic limestones, granite boulders) as extractive quarries (MQ-1b). Based on their morphology, the sites are labelled as follows: bench, pocket, pit, edge, trench, extensive contiguous, extensive dispersed and subterranean. In this study we have also examined subjects linked to millstone quarry infrastructure, such as tool maintenance, debris management, and millstone transport (both short and long distance). We have also examined the personel working at these sites from the point of view of their degree of specialty, organisation of crews, earnings and occupational hazards (notably silicosis). As to the subject of quarry ownership and control, there is evidence of vested interest of local authorities at least from the Middle Ages. Millstone production through time was for the most part local and regional. Only in Roman times did millstones travel systematically long distances. In the Middle Ages, with the abandonment of volcanic rocks, there was a return to the local and regional rocks. The introduction of the French silicieuse stones in the 19th century was the beginning of the end of millstone production in Spain. The coup de grâce, however, arrived with the introduction of the industrial steel roller, that not only terminated quarry work but ended the long tradition of milling with stones.
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Les carrières de meules du sud de la péninsule ibérique, de la protohistoire à l'époque moderne

Anderson, Timothy J. 11 December 2013 (has links) (PDF)
Les moulins avec leurs meules en pierre ont été utilisés depuis les débuts de l'agriculture pour moudre de céréales. Au fil du temps, ils ont évolué passant des moulins va-et-vient, aux moulins rotatifs manuels, puis à des moulins à mécanismes complexes entrainés par l'homme, l'animal, l'eau ou le vent. Notre étude porte sur la question de la production de ces meules dans le sud de l'Espagne depuis le troisième millénaire av. J.-C. jusqu'au XXe siècle. Seuls quelques sites étaient signalés au début de notre recherche. Maintenant, plus de 130 meulières sont connues suite à des travaux de terrain, l'étude des textes anciens, des recherches sur l'internet et des études museographiques. Les sources conventionnelles pour identifier les sites sont des archives et des textes historiques, ainsi que des dictionnaires géographiques, notamment du XIXe siècle. La plupart des sites identifiés par ces sources datent de périodes récentes. Des sites plus anciens, datés de l'époque romaine et du moyen âge, ont été identifiés par des études des meules dans les dépôts des musées (ébauches en particulier) combinées avec des recherches sur le terrain. L'internet peut être aussi une source intéressante. De nombreux sites sont signalés le long des sentiers de randonnée ou dans des pages historiques locales. Une partie de ce travail a été consacré à établir une première classification des différents types de meules. En raison de l'absence de corpus publiés, ce travail n'est pas équivalent pour toutes les périodes, en particulier pour le Moyen Age. Toutes les roches n'étaient pas aptes à la fabrication des meules et certaines étaient plus recherchées que d'autres. Ainsi à l'âge du fer c'était le calcaire tuffeau. Alors qu'à l'époque romaine c'était le biocalcarenite de la bordure de la Baie de Cadix, et les roches volcaniques qui ont été importées, parfois sur de longues distances depuis les deux districts volcaniques (Calatrava et Province volcanique du SE). Dans les périodes plus récentes c'est le calcaires blanc qui a été favorisés, peut-être parce qu'il permettait d'obtenir une farine plus blanche. Après avoir décrit des techniques de fabrication, une classification des meulières (MQ) est proposée selon s'il s'agissait d'exploitation de blocs de surface (MQ-1) ou du substrat rocheux (MQ-2). Les meules va-et-vient étaient surtout produites à partir de blocs de surface (MQ-1a), tandis que des modèles de l'âge du fer et romains provenaient de carrières de blocs (MQ- 2b). L'extraction directe (MQ-2a) où des cylindres ont été tirés de la roche laissant des fronts alvéolaires datent d'époque romaine. Des gros blocs de surface (calcaires karstiques, rochers de granit) ont servi également comme meulières (MQ-1b). Les carrières sont décrites sur la base de leur morphologie : en pallier, en poche, en fosse, de bordure, en tranchée, extensive contigües, extensives dispersées et souterraines. Des thèmes liés à l'infrastructure des meulières sont traités, tels que la maintenance des outils, la gestion des déchets, et le transport des meules (courte et à longue distance). Les meuliers sont également étudiés du point de vue de leur degré de spécialité, leur organisation en équipes, leurs gains et leurs risques professionnels (silicose). Quant à la question de la propriété et de leur contrôle, il est démontré que ces sites au moins depuis le Moyen Age étaient sous l'autorité de la classe dirigeante. A l'origine, la production était surtout locale et régionale. Les meules ont commencé à être diffusées à de longues distances à l'époque romaine. Au Moyen Age, avec l'abandon de roches volcaniques, il y a eu un retour aux roches locales et régionales. L'introduction des pierres silicieuse françaises au XIXe siècle fut le début de la fin des meulières en Espagne. Le coup de grâce, cependant, est arrivé avec l'introduction du rouleau en acier industriel, qui non seulement a engendré la fin des meulières, mais aussi de la longue tradition de mouture à la pierre.
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Un'analisi longitudinale del concorso in reato nella criminalità organizzata / A LIFE-COURSE APPROACH TO CO-OFFENDING IN ORGANIZED CRIME

MENEGHINI, CECILIA 26 January 2021 (has links)
Uno degli aspetti più documentati del comportamento deviante è che una porzione considerevole di reati è commessa da più persone che collaborano tra loro, e non da criminali che agiscono in autonomia. Oltre ad analizzare le caratteristiche della compartecipazione nei reati, alcuni studi recenti si sono focalizzati sulla comprensione della sua evoluzione lungo la carriera criminale dell’individuo, e sul suo impatto sulla traiettoria criminale. Il concetto di collaborazione criminale è particolarmente rilevante nel contesto dei gruppi criminali organizzati, per i quali le interazioni tra i membri costituiscono l’essenza del loro funzionamento, e i reati commessi sono spesso logisticamente complessi. Ciononostante, il fenomeno della collaborazione criminale ha ricevuto scarsa attenzione nella ricerca sulla criminalità organizzata, e nessuno studio analizza il suo ruolo nel definire la traiettoria criminale del singolo individuo che entra a fare parte di un'organizzazione criminale. Il presente studio mira a colmare questa lacuna in letteratura analizzando i dati sui 178.427 reati commessi da tutti gli 11.138 individui condannati per associazione mafiosa in Italia tra il 1985 e il 2017. I dati includono informazioni sull’eventuale concorso in reato per ogni crimine commesso. L’analisi condotta si avvale di diverse metodologie quantitative con lo scopo di fornire un quadro descrittivo della collaborazione criminale nella criminalità organizzata; determinare se i membri delle organizzazioni criminali hanno diverse traiettorie longitudinali di collaborazione criminale; comprendere quale sia l’impatto di commettere crimini in collaborazione con altri individui sul comportamento criminale futuro; e studiare come la collaborazione criminale sia correlata con il reclutamento nella criminalità organizzata. I risultati dell’analisi dimostrano che il concorso in reato non è una caratteristica incidentale dei crimini commessi dagli individui che fanno parte dei gruppi criminali organizzati. Alcune delle caratteristiche della collaborazione criminale nel contesto della criminalità organizzata riflettono i risultati principali ottenuti negli studi condotti in altre popolazioni criminali, ma emergono alcune peculiarità. Inoltre, il trend aggregato di compartecipazione nei reati dei mafiosi italiani può essere approssimato da cinque traiettorie che raggruppano individui con caratteristiche specifiche. Infine, la collaborazione criminale appare correlata con dei cambiamenti nei successivi comportamenti criminali degli individui: in particolare, è connessa a una più alta probabilità di commettere reati violenti, e di entrare a far parte dell’organizzazione criminale nel breve periodo. Lo studio discute questi risultati alla luce della letteratura sullo sviluppo dei comportamenti criminali per i membri dei gruppi criminali organizzati, e in relazione alla ricerca esistente sulle cause e conseguenze di commettere reati in collaborazione con altri individui. / One of the most documented findings on delinquent behavior is that many crimes are committed in the company of others rather than by solo offenders. Besides studying the characteristics of co-offending, recent works have focused on understanding its evolution over the individual criminal career, and its impact on the offending trajectory. Co-offending is especially relevant within organized criminal groups, where interactions among participating offenders constitute the core functioning of the criminal organization, and crimes committed are often logistically complex. In spite of this, few studies on co-offending in organized crime exist, and none of them investigates the role that co-offending has on the offending pathway of the single individual. This study addresses this gap in research by analyzing data on all the 178,427 crimes committed by 11,138 offenders convicted for mafia association in Italy between 1985 and 2017. The data set includes information on whether each crime was committed with accomplices. The analysis exploits different quantitative methodologies with the aim to describe the characteristics of co-offenses and co-offenders in organized crime; determine whether organized crime offenders have different longitudinal co-offending trajectories; investigate whether committing crimes with others impacts future offending; and understand how co-offending is related to recruitment into organized crime. Results demonstrate that co-offending is not an incidental feature of crimes committed by organized crime offenders. Some of the characteristics of co-offending in organized crime reflect findings from other offending samples, but some peculiarities emerge. Furthermore, the longitudinal co-offending behavior of Italian organized crime offenders is best approximated by five trajectories that group offenders with distinct characteristics. Finally, co-offending is related to changes in the future offending behavior of organized crime offenders: in particular, it is related to higher chances of engaging in violent forms of delinquency and experiencing organized crime recruitment in the short term. These findings are discussed in relation to both research on the developmental course of offending for members of organized criminal groups, and existing knowledge on the causes and consequences of offending with others.

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