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Les enjeux esthétiques et idéologiques de la musique et de la danse chosŏn de Kŭmgangsan Kagŭktan, une compagnie (nord) coréenne du Japon / The aesthetic and ideological negotiations of chosŏn music and dance of Kŭmgangsan Kagŭktan, A (North) Korean Company in JapanJeong, Ae-Ran 20 January 2016 (has links)
La compagnie Kŭmgangsan Kagŭktan est une troupe professionnelle coréenne fondée en 1955 à Tokyo, au Japon. La cinquantaine d'artistes qui la composent est répartie dans trois départements spécialisés : danse, musique instrumentale et musique vocale. La compagnie se réfère spécifiquement à l'esthétique de la Corée du Nord avec laquelle elle a développé une relation étroite dès ses débuts. L'entraînement et le processus de création ont été transmis par les maîtres de Pyongyang en Corée du Nord, et les spectacles sont présentés au Japon. Pour comprendre les enjeux esthétiques et idéologiques de la musique et de la danse chosŏn de Kŭmgangsan Kagŭktan, nous nous sommes attachée à rapporter les parcours individuels et la formation des artistes, en lien étroit avec les relations entretenues, tant avec les institutions locales et leur politique, qu'avec les maîtres nord-coréens de Pyongyang, les publics. / The company Kŭmgangsan Kagŭktan is a Korean professional troupe founded 1955 in Tokyo, Japan. About 50 artists of the company are distributed in three specialized departments: dance, instrumental musical and vocal music. The company especially refers to North Korean aesthetics with which it has developed a close relationship since its birth. The training and the creation process were transmitted by the Pyongyang masters in North Korea and the performances were presented in Japan. To understand the aesthetic and ideological negotiations on chosŏn music and dance of Kŭmgangsan Kagŭktan, the research brought together the individual artistic paths and trainings of the company, in context with the company’s close connections maintained through the relationships with local institutions and their political involvement, the transmission practices of North Korean masters in Pyongyang as well as the company spectators.
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Chŏng Yagyong 丁若鏞 (1762-1836) et sa critique du Shangshu 尚書 en guwen 古文 / Chŏng Yagyong 丁若鏞 (1762-1836) and his criticism of Shangshu 尚書 in guwen 古文Alhaits, Jee Hyun 25 June 2013 (has links)
La présente étude a pour objectif de comprendre la critique que formule Chŏng Yagyong丁若鏞 (1762-1836) du Shangshu (Livre des Documents) en guwen (graphie ancienne). Lettré-fonctionnaire à la Cour de Chŏngjo (r. 1776-1800), Chŏng Yagyong appartient à l’époque Chosŏn (1392-1897) en Corée, à une ère charnière de l’histoire coréenne qui oscille entre tradition et modernité, entre le néoconfucianisme et la découverte de certains savoirs scientifiques et religieux venus d’Occident. Notre étude vise trois objectifs. Le premier est de découvrir l’immense érudition de l’auteur, dont le penchant encyclopédique caractérise toute l’œuvre, et sa méthode d’investigation très personnelle. Le deuxième est de discerner, dans ses écrits, les influences chinoises et occidentales et les fruits de sa propre réflexion. Le troisième est de percevoir le message politique à travers les lignes de son commentaire qui révèle une partie des motivations de l’auteur. Cette étude se divise en quatre chapitres. Le premier, qui a valeur de chapitre introductif, présente et définit l’étendue de notre sujet ; le deuxième offre une analyse contextuelle du Shangshu en guwen ; le troisième procède à une analyse surtout textuelle du commentaire de Tasan sur ce Classique ; le quatrième porte sur le double examen par Zhu Xi et Tasan des seize caractères des « Conseils de Yu le Grand ». / The objective of this study is to achieve an understanding of the criticism made by Chŏng Yagyong丁若鏞 (1762-1836) of the guwen (old-script) version of the Shangshu (Book of Documents). A scholar-official at the court of Chŏngjo (r. 1776-1800), Chŏng Yagyong lived during the Joseon Dynasty (1392-1897), at a turning point in Korean history, caught between tradition and modernity, Neo-Confucianism and the discovery of scientific and religious knowledge from the West. The study has three objectives. Firstly, to discover the vast erudition of an author whose entire work was characterised by an encyclopaedic tendency, along with his very personal research methods. Secondly, to discern in his writings Chinese and Western influences and the fruits of his own reflection. Thirdly, to perceive, between the lines of his commentary, a political message revealing part of the author’s motivations. The study is divided into four chapters. The first, an introductory chapter, presents and defines the scope of the subject; the second offers a contextual analysis of the guwen version of the Shangshu; the third presents a mostly textual analysis of Tasan’s commentary of this Classic; the fourth concerns Zhu Xi and Tasan’s twofold examination of the sixteen characters of the “Counsels of Yu the Great”.
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The Korean Tattoo Culture : An Historical Overview on the Development and Shift of Perception on Tattoos in Korean Society / Den koreanska tatueringskulturen : En historisk översikt över utveckling och förändring av uppfattningen om tatueringar i det koreanska samhälletGlietsch, Friederike January 2020 (has links)
This study aims to analyze the development and shifts in perception of the tattoo practice. For centuries, the negative image of tattoos has been manifested in Korean society and has only shown visible changes in the past two decades. In recent years, the topic of tattoos in South Korea has become notably more popular and broadly discussed. To give a structured and detailed historical review of the tattoo custom in Korea, two articles in Korean by Kim Hyŏng-jung (2013) and Yi Tong-ch’ŏl (2007) served as main sources. By conducting a semisystematic review with a qualitative approach, the accessed data was examined, compared, and synthesized. The results show that the tattoo practice, although still not fully accepted by all, has gradually developed into its own culture in contemporary South Korean society. / Syftet med denna studie är att analysera utvecklingen och det varierande synsätt på tatueringar. I århundraden har den negativa bilden av tatueringar festats i det koreanska samhället och bara under de senaste två decennierna har en märkbar förändring skett. De senaste åren har tatueringar blivit mer populära och diskuterade. För att ge en strukturerad och detaljerad bild av tatueringar i Sydkorea har två artiklar på koreanska använts som huvudkälla, Kim Hyŏng-jung (2013) och Yi Tong-ch’ŏl (2007). Genom en semi-systematisk översikt med en kvalitativ metod har insamlad data blivit granskad, jämförd och sammankopplad. Resultatet visar att tatueringar fortfarande inte är helt accepterade av alla men att de gradvist har utvecklats till en egen kultur i Sydkoreas samtida samhälle.
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Systém otroctví v tradiční Koreji / System of slavery in traditional KoreaRybáriková, Martina January 2013 (has links)
The main aim of this thesis is to provide a comprehensive account of the development of the institution of slavery in Korea. Slavery was a part of Korean society from its earliest times, and the evidence of this can be found in the penal code of eight provisions enacted by the mythical emperor Kidža, where he for the first time mentioned slavery as a punishment for theft. From this time on it was ceaselessly present in Korean society until its abolition in 1894. The oldest form of slavery as a punishment was gradually supplemented with other ways of how a person could fall into slavery. Individual slavery gradually evolved into hereditary slavery. Despite the fact that slavery was ceaselessly present in Korean society, the character and even the existence of it are still called into question in academic discussions. In the introductory part of my thesis I focused on the very essence of slavery. Afterwards, I gave a brief overview of the characteristics of three typical slave societies i.e. ancient Greece, ancient Rome and the United States of America. Studying the important characteristics of slavery in other slave societies provided the base for a detailed analysis of the connections with the Korean type of slavery. Some of this information confirms the hypothesis that slavery in Korea was...
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Les débuts du cinéma en Corée : entre projection et spectacle vivantKang, Chang Il 10 November 2018 (has links)
Cette recherche est une étude sur les débuts de l'histoire du cinéma en Corée des premières projections de films dans ce pays jusqu'en 1935, année pendant laquelle les Coréens ont commencé à produire des films parlants. Dans la première partie, nous avons étudié l’arrivée du cinéma en Corée, quand et par qui il a été introduit dans ce pays. Puis, quels films ont été vus par le public coréen et quels effets ils ont produits sur ce public.Dès les premiers temps du cinéma, chaque région du monde a essayé de surmonter les manques du film muet. Aussi, la deuxième partie s’intéresse à la particularité de la projection des premiers films muets en Corée. Le mot « spectacle cinématographique » se réfère, d’abord, à la représentation de films dans les premiers temps des débuts du cinéma. Le spectacle cinématographique sous-entend la possibilité d’un accompagnement supplémentaire, surtout sonore. En effet, les premiers films étaient « muets » et le moyen de mettre du son sur la pellicule n’avait pas encore été trouvé. De plus, souvent, il y avait aussi un concert ou un court spectacle secondaire (clown, bonimenteur, etc.) pendant, avant ou même après la projection des films. Cet ensemble autour de la projection de films représentait un véritable « spectacle cinématographique ». Nous avons étudié ce spectacle mixte présenté depuis 1919 à Séoul en Corée, et qui combine concert, projections de films, théâtre occidental moderne et boniment appelé Chosŏn Sinp'a Hwaltong Yŏnswaegŭk ou Chosŏn Kino-drama.Dans la troisième partie, nous avons présenté et analysé les données sur les films muets coréens dont nous avons pu retrouver les traces. / This research is a study of the history of cinema in Korea from the first motion pictures screenings until 1935, the year in which Koreans began making their talking films.In the first part, we study the arrival of cinema in Korea, when and by whom was the motion picture introduced in this country. Then, what films were seen by the Korean public and what effects they had on this audience. From the early times of cinema, the diverse regions of the world have tried to overcome the lack of the silent motion picture. The second part is focused on the specificity of the first silent motion pictures screenings in Korea. The Spectacle cinématographique can refer to the form of the representation of the motion pictures in the early days of cinema. The word Spectacle cinématographique implies the possibility of an additional accompaniment, especially the sound. The first films were "silent" and the way of putting sound on films had not been found yet. At that time, there was a concert or a short secondary show (clown, pitch, etc.) during, before or even after the screening of the films. We study the Spectacle cinématographique called Chosŏn Sinp'a Hwaltong Yŏnswaegŭk or Chosŏn Kino-drama which was presented since 1919 in Korea that combines the pitch, the concert, the modern western theater and the motion pictures screenings.In the third part, we report all the data concerning silent Korean films of which we still found the traces.
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Analyse sémiologique du Vide dans le minhwa (peinture populaire coréenne) : le thème ‘montagne-eau’ / Semiological analysis of Void in Minhwa (Korean folk painting) : the landscape paintings ‘mountain-water’ theme, san-suCho, Min-Ji 28 November 2013 (has links)
Cette thèse a pour objet l’analyse sémiologique du Vide dans l’espace pictural du minhwa, genre artistique populaire coréen, et plus particulièrement dans les peintures ayant pour thème le paysage ‘montagne-eau’ du 18e au 20e siècle de l’ère du Chosŏn. Nous étudions cette notion, qui s’est développée à partir des philosophies traditionnelles telles que le taoisme, le bouddisme et le confucianisme par exemple, en la considérant comme l’un des fondements de la pratique de la peinture et de la culture coréenne. De nos jours, le minhwa est devenu un genre reconnu pour sa valeur artistique propre : l’espace pictural du minhwa est un véritable lieu d’expérimentation pour ses styles innovants et populaires tout en conservant des éléments traditionnels imposés par la philosophie esthétique : le thème, ou l’utilisation de la notion de Vide, par exemple. C’est pourquoi nous avons centré notre attention sur les fonctions de l’espace non peint afin d’étudier l’emploi de la notion du Vide, spécifique au genre du minhwa. Dans cette analyse, nous faisons l’hypothèse que la notion de Vide, sous la forme de surface non peinte, est significative en ce qu’elle exerce des fonctions particulières dans l’espace constitué par la peinture. L’étude de cet espace non peint ainsi que d’autres expressions picturales nécessite l’élaboration d’une grille d’analyse constituée de septs critères : elle s’appuie sur des notions philosophiques traditionnelles, comme la ‘voie’ du tao, mais aussi sur d’autres propres à la philosophie esthétique contemporaine, comme la ‘cinquième dimension’ (Cheng), l’‘entre-deux’ (Buci-Glucksman), ou à l’analyse théorique de l’espace (‘cible/site’ de Vandeloise), afin de pouvoir cerner les fonctions et le sens du Vide dans la symbolique de notre corpus. / The purpose of this thesis is to provide a semiological analysis of Void in the pictural space of Minhwa, a Korean folk art genre, most particularly in the landscape paintings with the theme of the 'mountain-water' from the 18th to the 20th century in the Chosŏn era. We study this notion, which has proceeded from traditional philosophies such as Taoism, Buddhism or Confucianism for example, examining it as one of the fundamental principles of both Korean painting and Korean culture. Nowadays Minhwa has become a genre acknowledged for its intrinsic artistic value: the pictural space of Minhwa is a true experimentation field for innovating and popular style founded on traditional elements imposed on by esthetic philosophy: the theme, the scope of the notion of Emptiness, for instance. Thus we have focused on the roles of unpainted space in order to study the ways of the notion of Void specific to Minhwa genre. The hypothesis of this analysis is that the notion of Void visible as an unpainted place is meaningful in so far as it plays some significant roles within the space created by painting. The study of this unpainted space as well as other pictorial expressions requires to produce an analytic grid based upon seven criteria: it relies on traditional philosophical notions such as the one found in Taoism, the “Way”, or the notion of contemporary esthetic philosophy, the “Fifth dimension” (Cheng), the “Entre-deux” (Buci-Glucksman) and or the notion coming from the theoretical analysis of space, “Trajector / Landmark” (Vandeloise) so as to be able to encompass their roles and their meanings within our corpus.
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