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Les enjeux esthétiques et idéologiques de la musique et de la danse chosŏn de Kŭmgangsan Kagŭktan, une compagnie (nord) coréenne du Japon / The aesthetic and ideological negotiations of chosŏn music and dance of Kŭmgangsan Kagŭktan, A (North) Korean Company in Japan

Jeong, Ae-Ran 20 January 2016 (has links)
La compagnie Kŭmgangsan Kagŭktan est une troupe professionnelle coréenne fondée en 1955 à Tokyo, au Japon. La cinquantaine d'artistes qui la composent est répartie dans trois départements spécialisés : danse, musique instrumentale et musique vocale. La compagnie se réfère spécifiquement à l'esthétique de la Corée du Nord avec laquelle elle a développé une relation étroite dès ses débuts. L'entraînement et le processus de création ont été transmis par les maîtres de Pyongyang en Corée du Nord, et les spectacles sont présentés au Japon. Pour comprendre les enjeux esthétiques et idéologiques de la musique et de la danse chosŏn de Kŭmgangsan Kagŭktan, nous nous sommes attachée à rapporter les parcours individuels et la formation des artistes, en lien étroit avec les relations entretenues, tant avec les institutions locales et leur politique, qu'avec les maîtres nord-coréens de Pyongyang, les publics. / The company Kŭmgangsan Kagŭktan is a Korean professional troupe founded 1955 in Tokyo, Japan. About 50 artists of the company are distributed in three specialized departments: dance, instrumental musical and vocal music. The company especially refers to North Korean aesthetics with which it has developed a close relationship since its birth. The training and the creation process were transmitted by the Pyongyang masters in North Korea and the performances were presented in Japan. To understand the aesthetic and ideological negotiations on chosŏn music and dance of Kŭmgangsan Kagŭktan, the research brought together the individual artistic paths and trainings of the company, in context with the company’s close connections maintained through the relationships with local institutions and their political involvement, the transmission practices of North Korean masters in Pyongyang as well as the company spectators.
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La littérature des Coréens du Japon : la construction d’une nouvelle identité littéraire, sa réalisation et sa remise en cause / Literature by Koreans of Japan : construction of new literary identity, its realization and reconsideration

Yoshida, Aki 16 November 2018 (has links)
La littérature des Coréens du Japon ou la littérature des Coréens zainichi (zainichi signifie littéralement « étant au Japon ») obtient une large reconnaissance sur la scène littéraire japonaise à partir de la fin des années 1960, mais l’apparition des premiers écrivains zainichi remonte au lendemain de la Deuxième Guerre mondiale, dans une période marquée par la décolonisation de la Corée et plus tard par la guerre de Corée. Le présent travail consiste à mettre en perspective le processus de construction d’un discours littéraire à caractère identitaire et ce jusqu’à sa mise en question, ainsi qu’à examiner les stratégies esthétiques que mettent en œuvre les écrivains afin de se démarquer de la littérature japonaise. Cette recherche porte principalement sur le travail de trois écrivains majeurs de cette littérature : Kim Tal-su 金達寿(1919-1997), Kim Sŏk-pŏm 金石範(1925-) et Yi Yang-ji李良枝(1955-1992) qui représentent respectivement la période de l’émergence de l’écriture zainichi de 1946 jusqu’au début des années 1950, celle de la reconnaissance d’un statut littéraire spécifique au début des années 1970 et celle du renouvellement tant thématique que narratif des années 1980. Si ces auteurs se distinguent dans leur thématique et dans leur style, ils ont en commun d’inventer une nouvelle écriture dans une situation d’exigence – autrement dit diasporique – où représenter chaque vie et chaque voix singulière peut aussitôt prendre une dimension mémorielle aussi bien que politique. Ainsi, l’évolution de la littérature zainichi est-elle aussi celle de la voix narrative qui se forme et se renouvelle dans cette tension permanente entre le subjectif et le collectif. / Zainichi Korean literature (zainichi literally meaning “to be in Japan”) has met widespread recognition on the Japanese literary scene since the late 1960s. But in fact Korean zainichi writers emerged earlier: in the aftermath of WW2, during the decolonization of Korea and the subsequent Korean War. This dissertation focuses on the construction process of a new literary discourse, intricately linked to the question of identity, but also on the criticism it underwent. Furthermore, this work analyzes the aesthetic strategies used by each author to distance theirs works from Japanese literature. This dissertation focuses on the following three authors: Kim Tal-su (1919-1997), Kim Sŏk-pŏm (1925-) and Yi Yang-ji (1955-1992), who respectively represent a period of development of zainichi literature: the emergence of zainichi writers between 1946 to early 1950, the establishment of a new literary category in the early 1970s, and the thematical and narrative renewal in the 1980s.These authors worked on different themes and wrote in distinct styles, and yet their writings were all born within a complex relationship to their community, as a minority and diaspora. As such, they narrate individual histories, which also carry a memorial and political dimension. Thus, the history of zainichi literature is also a history of individual voices, which emerge from and permanently renew the tension between the subjective and the collective.

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