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Since their composition during the middle to late twelfth century, Chretien's tales of Arthur and his chivalrous knights have fascinated generation upon generation of storytellers and their audiences, as well as literary critics and historians. Originally thought to have sprung from the newly civilized and thoroughly christianized courts of Marie of Champagne, daughter of Eleanor of Aquitaine, eighteenth century literary historians suggested that the legends behind the tales may have originated in the lost mythologies of Celtic Ireland and Wales. The following thesis examines the evolution of the theory of celtic origins of Chretien's Romans de la Table Ronde.

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Certaines réalités socio-culturelles posent problème aux chrétiens africains sur la vie matrimoniale. La dot souvent élevée empêche beaucoup de jeunes à contracter le mariage. La recherche effrénée des enfants dans tout mariage coutumier provoque parfois des difficultés aux conjoints sans enfants. Ce qui, bien entendu, dégénère dans la polygamie. Ce mariage polygamique, en effet, est toléré et non voulu par les coutumes africaines. Toutefois, la première épouse occupe une place prépondérante par rapport aux autres femmes. Mais cela ne reste pas moins vrai qu’une telle conception ternit la conception chrétienne. Car les dispositions canoniques insistent plutôt sur le mariage monogamique et indissoluble. En outre, l’Église considère le consentement comme l’élément essentiel du mariage entre les conjoints. Ce que suggère, sans contredit, la doctrine personnaliste qui met en relief l’aspect individuel dans tout engagement matrimonial. Or en Afrique, la communauté ou le clan joue un rôle non négligeable dans chaque mariage. En privilégiant ainsi les droits communautaires, la conception africaine essaie de protéger la stabilité du foyer sans pour autant supplanter les droits proprement dits des conjoints. Ces pratiques sont dues aux réalités socio-culturelles qui veulent se perpétuer à travers les âges. Voilà pourquoi la présente recherche vise à examiner certaines pratiques majeures: - taire la part, à la lumière de l’Évangile , pour discerner les valeurs authentiques et celles qui contredisent le message évangélique. Tout en purifiant, en élevant et en intégrant les valeurs positives, les Églises d’Afrique pourront alors rendre ce message évangélique accessible aux nombreux chrétiens. Ce qui, à la longue, permettra de les inculturer. Pour ce faire, nous allons analyser la conception du mariage tel que vécu pat les LwelfBalori), une ethnie du Zaïre en Afrique Centrale. Car ils suivent le régime matrilinéaire. De ce point de vue, leurs pratiques rejoignent celles de beaucoup d’ethnies en Afrique. En tant que population-témoin, ils nous éclairont sur les coutumes africaines en la matière. En ce sens, cette étude sera articulée en trois chapitres, du reste, complémentaires. Le premier observera le mariage chez les Lwel (Balori Orientaux). Nous déploierons leurs pratiques en prenant également en compte celles des autres ethnies africaines. Dans le deuxième chapitre, nous aborderons le défi même de l’inculturation à travers sa visée, son projet et son fonctionnement. Cette partie va considérer aussi tous les efforts qui sont présentement déployés en Afrique. Le troisième chapitre situera le fondement théologique du mariage sacramentel dans sa courbe évolutive. Après quoi nous dégagerons un discours théologique qui en découle au regard de la conception africaine du mariage.

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La pratique des « prieurs » n'est pas une nouveauté dans le milieu pentecôtiste au Burkina Faso. Toutefois, il existe une nouvelle dynamique pentecôtiste en son sein. Elle a resurgi au cours de la décennie 1990 à la faveur de la crise politique et socio-économique que traversait ce pays. Des acteurs religieux comme les « prieurs » ont paru aux devants de la scène, mais en marge de la doxa pentecôtiste, avec une nouvelle offre à la lisière entre la religion et la spiritualité. En dépit de l'abondance des recherches sur le pentecôtisme africain, le pentecôtisme burkinabè d'une manière générale et particulièrement la pratique des « prieurs » ne sont pas abordés sur le plan de l'interprétation théologique. C'est pourquoi cette recherche propose de la décrire et de la « théologiser ». Pour ce faire, le modèle transcendantal en théologie contextuelle de Stephen Bevans, la méthode qualitative, plus particulièrement de l'entretien compréhensif et de l'observation directe, et l'analyse inductive générale ont constitué la démarche méthodologique mise en œuvre pour collecter et analyser les données. Elle a abouti à l'élaboration d'un cadre d'analyse de la pratique qui a pris en considération son ancrage dans le transcendant divin, sa liturgie caractérisée par l'oralité, la performance et la performativité, l'influence du contexte, le paradigme de la puissance et la quête incessante de la bénédiction. La proposition théologique a saisi la dimension transcendantale de la pratique à la lumière de la théologie charismatique lucanienne de Roger Stronstad et de la théologie de la rencontre de Keith Warrington. En outre, il a été proposé une lecture de la pratique, d'une part à partir du paradigme de puissance, et d'autre part par l'entremise de la théologie orale de Stuart Foster et de la théologie liturgico-performative de Clayton J. Schmit en ayant en perspective les pratiques liturgiques africaines et pentecôtistes. Ces théologies traduisent le cœur d'une pratique essentiellement tournée vers la rhétorique de la bénédiction. Cet objectif l'expose à faire de sa quête de Dieu un moyen plutôt qu'une fin. En conséquence, une critique théologique a été envisagée de telle manière qu'elle soit consolidée et objectivée comme une missio Dei. / The practice of « pusudba » is not a new phenomenon in the Pentecostal milieu in Burkina Faso. However, there is a new global and local Pentecostal dynamic within it. It reappeared during the 1990s owing to the political and socio-economic crisis through which the country was going. Religious actors such as « pusudba » have appeared on the front of the stage, but on the fringes of the Pentecostal doxa, with a new offer on the border between religion and spirituality. Despite the abundance of research on African Pentecostalism, Burkinabè Pentecostalism in general and particularly the practice of « pusudba » is not approached in terms of theological interpretation. Therefore, this research aims to describe and "theologize" it. For this purpose, Stephen Bevans' transcendental model in contextual theology and the qualitative method, specifically the comprehensive interview and direct observation, and the general inductive method made up the methodological approach implemented to collect and analyze the data. It resulted in the development of a framework for analyzing a practice that considered its anchoring in the divine transcendent, the liturgy characterized by orality, performance, and performativity, the influence of context, the paradigm of power, and the relentless quest for blessing. The theological proposal captured the transcendental dimension of the practice considering Roger Stronstad's Lucanian charismatic theology and Keith Warrington's theology of encounter. In addition, a reading of the practice was put forward, from the paradigm of power on the one hand, and through Stuart's Foster's oral theology and Clayton J. Schmit's liturgical-performative theology on the other hand, with a perspective on African and Pentecostal liturgical practices. These theologies reflect the core of a practice essentially turned towards the rhetoric of blessing. This objective transforms its quest for God into a means rather than an end. Consequently, a theological critique was made in such a way that it could be consolidated and objectified as a missio Dei.

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