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Les gouvernements minoritaires au parlement fédéral canadien, leur historique, leur efficacité législative et l'attitude de la classe politique à leur égard

Migneault, Pier-Luc January 2010 (has links) (PDF)
Ce mémoire de maîtrise s'intéresse à la question des gouvernements minoritaires au Canada et plus précisément à l'efficacité des législatures fédérales lorsqu'elles se caractérisent par une configuration minoritaire. Les gouvernements minoritaires fédéraux connaissent-ils une situation où le Parlement se retrouve dans l'incapacité ou du moins en difficulté pour remplir sa fonction législative? De plus, les circonstances d'apparition des gouvernements minoritaires de même que l'attitude de la classe politique à leur égard sont analysées. Quelle perception ont les politiciens du système de gouvernement minoritaire? Ces derniers démontrent-ils le même enthousiasme à travailler en contexte minoritaire que lorsqu'il y a gouvernement majoritaire? L'hypothèse générale est la suivante: les gouvernements minoritaires au Canada ne sont pas nécessairement synonymes d'inefficacité. Ils peuvent se révéler efficaces en ce qui a trait à leur fonction législative, même s'ils sont toutefois peu considérés dans notre culture politique, notamment par la classe politique. Pour ce faire, une analyse empirique à l'aide de neuf indicateurs a été effectuée en comparant le rendement législatif des législatures en situation minoritaire par rapport à celui des législatures en configuration majoritaire. Pour ce qui est de la question de l'attitude de la classe politique, la manière dont prennent fin les gouvernements minoritaires de même que les propos des politiciens ont été examinés. Essentiellement, chaque gouvernement minoritaire est un cas unique. Mais globalement, ils se sont révélés somme toute efficaces au regard de leur fonction législative. Ainsi, plusieurs des législatures qui ont été en situation de gouvernement minoritaire peuvent très bien supporter la comparaison avec n'importe quelle configuration majoritaire sur la plupart des indicateurs retenus pour l'analyse. En ce qui concerne l'attitude de la classe politique, il semble qu'effectivement le gouvernement minoritaire est peu apprécié des chefs politiques. Ils préfèrent de loin la situation majoritaire. Lorsqu'ils se sont retrouvés minoritaires en chambre, les premiers ministres ont eu historiquement tendance à chercher rapidement à transformer leur minorité en majorité. Du côté des partis d'opposition, dès que l'occasion se présente de pouvoir remplacer le gouvernement, ils n'ont pas hésité à le renverser. Les élites politiques seraient donc peu enclines à vouloir travailler dans un Parlement en situation de gouvernement minoritaire, bien que celui-ci peut tout à fait être efficace, du moins en ce qui concerne sa fonction législative. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Chambre des communes, Culture politique, Efficacité législative, Gouvernement fédéral, Gouvernement minoritaire, Parlement canadien, Pouvoir législatif, Régime parlementaire.
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La politique étrangère iranienne vis-à-vis des arabes shiites : une analyse réaliste néoclassique

Razavi, Sam January 2009 (has links) (PDF)
Cela fait bientôt trois décennies que la population iranienne renversa la monarchie pro-occidentale de Mohammad Reza shah Pahlavi (1979). Une des conséquences inattendues de cette révolution sera la naissance de la République Islamique d'Iran; un État souvent qualifié de "révolutionnaire". Si l'on se fie aux néoconservateurs américains, depuis l'avènement de cette théocratie, les dirigeants iraniens mettent dorénavant de l'avant une politique étrangère réactionnaire "khomeyniste". Des charges facilement attribuables avec les récentes diatribes verbales du président iranien Mahmoud Ahmadinejad. L'objectif de ce mémoire est donc d'analyser la politique étrangère iranienne afin de voir si elle doit être qualifiée de pragmatique ou d'idéologique. Dans notre premier chapitre, nous verrons la théorie réaliste des relations internationales. Ainsi, nous analyserons de plus près les concepts comme l'anarchie du système, l'équilibre des puissances et le pragmatisme des dirigeants. Dans le même chapitre, nous étudierons l'apport des réalistes néoclassiques à ce champ d'étude, en nous concentrant sur un de leur apport: la question de la perception des dirigeants. Par conséquent, notre deuxième chapitre sera consacré à quatre facteurs qui affectent la perception des décideurs iraniens, soient l'histoire impériale de l'Iran, l'Islam shiite, les idéaux de la révolution de 1979 et les souvenirs de la guerre Iran-Irak (1980-1988). Dans notre troisième chapitre, en se concentrant sur six étude de cas, nous verrons comment la République Islamique d'Iran réagit lorsqu'elle est confronté à faire un choix entre sauvegarde de l'intérêt national et respect de l'idéologie officielle. Dans notre dernier chapitre, nous appliquerons le même cadre théorique réaliste néoclassique à la politique étrangère iranienne, mais cette fois-ci vis-à-vis des Arabes shiites du Liban et d'Irak. Nous verrons alors comment Téhéran use de son influence au Liban (à travers le Hezbollah) et en Irak (grâce à la majorité shiite) pour en retirer des avantages stratégiques.
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La Colombie 1970-2006 : violence et modèle de développement

Celis Gonzalez, Leila Iliana January 2008 (has links) (PDF)
Au départ phénomènes indépendants, le narcotrafic et le paramilitarisme ont convergé à partir des années 1980 dans des structures politico-militaires qui ont, depuis lors, marqué profondément la réalité colombienne. Le narco-paramilitarisme a rallié les objectifs antisubversifs de la classe dominante et a brouillé le spectre social du conflit. De plus, il a permis l'apparition d'une classe émergente au service des groupes dominants qui, en s'enrichissant, a obtenu le droit d'entrer dans le cercle exclusif du pouvoir: peu après les élections législatives de 2002, les paramilitaires déclaraient avoir pris le contrôle de 35% du Congrès, alors qu'ils contrôlaient déjà une grande partie du territoire national. Ceci est une illustration de la reconfiguration politique qui s'est encore consolidée par la récente démobilisation de 41 000 paramilitaires (2002 -2006). L'objectif de la présente recherche est de comprendre le modèle violent de développement économique de la Colombie, de caractériser son économie actuelle et d'identifier les rapports sociaux de production prédominants. Afin de dépasser la superficialité et la fragmentation des études conjoncturelles et des récits de la violence, nous étudions comment se forment historiquement les conditions favorables à ce phénomène mafieux. Nous nous pencherons sur la logique sociale qui est à son origine, notamment le contexte de la guerre froide et certains aspects de l'héritage colonial. En nous basant sur l'approche du matérialisme historique et de la sociologie historique, particulièrement sur les concepts de rapports sociaux de production (RSP) et d'accumulation extra-économique, nous analysons l'essor du narco-paramilitarisme et la complexité du conflit dans le modèle de développement colombien. Cette recherche démontre que le mode de production existant en Colombie est imprégné des mécanismes d'accumulation extra-économiques par une articulation des modes de production qui n'est pas temporaire mais stable. Ces mécanismes extra-économiques prennent aujourd'hui la forme de l'économie criminelle, étroitement liée à l'économie capitaliste. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Colombie, Histoire, Économie, Violence, Relations sociales de production et de domination.
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Globalisation, communication et champ du pouvoir. Une socio-économie comparée des structures actionnariales et dirigeantes des groupes de médias et des entreprises dans le domaine des Nouvelles Technologies de l'Information et de la Communication en Europe et aux États-Unis

Geuens, Geoffrey 22 May 2007 (has links)
Les « Nouvelles Technologies de lInformation et de la Communication » (NTIC) font aujourdhui lobjet dune abondante littérature, tant francophone quanglo-saxonne. Lobjectif de la thèse était précisément de soumettre à lanalyse critique cette prolifération de discours le plus souvent clichés associés, pour les uns, à la « société de linformation », pour les autres, à la « mondialisation » de léconomie qui forment presque un discours social à part entière, et dont lun des traits communs est notamment de révoquer en doute, à lexemple des phénomènes examinés sous le point de vue quils adoptent, les principaux référents théoriques dantan. Les « idéologèmes » véhiculés par ce discours social, on la montré, relèvent pour lessentiel de trois grandes catégories particulièrement saillantes, organisées en loccurrence sous la forme de trois binômes largement reçus, qui tendent à fonctionner comme des structures de pensée communes : a)Privatisation/désétatisation. La croyance en lomnipotence des communications de masse a généralement son corollaire dans la mise à mort symbolique de lÉtat. Nés de lautorité publique mais arrivés à maturité, les « nouveaux médias » et les NTIC libéralisés auraient enfin acquis leur autonomie et placeraient nos sociétés à lenseigne du réticulaire marchand. La « nouvelle économie » en réseaux se serait définitivement libérée de la tutelle politique, pour le meilleur (dynamisme, efficacité, compétitivité) comme pour le pire (marchandisation, affaiblissement de lÉtat, soumission du politique), selon le point de vue adopté à légard de ces évolutions données pour inévitables ; b)Mondialisation/déterritorialisation. Linternationalisation des structures de pouvoir des groupes de communication entretient une relation organique avec la dépolitisation du secteur. Cest que lexplication majeure de la disjonction État/médias réside, justement, dans la logique de dissociation croissante entre lespace démocratique national et les réseaux technologiques mondiaux. Les nouveaux conglomérats de linformation sidentifieraient alors à des géants transnationaux apatrides et déterritorialisés. Quant à la « financiarisation » des industries culturelles, elle annoncerait la fin des actionnaires de références nationaux et lavènement parallèle dune nouvelle économie sappuyant sur une multitude de petits porteurs disséminés aux quatre coins de la planète dont les investisseurs institutionnels constituent, en quelque sorte, le modèle le plus abouti ; c)Libéralisation/dérégulation. La « dépolitisation » et la « globalisation » des industries technologiques auraient instauré un marché débarrassé des entraves et des privilèges associés aux anciens opérateurs publics. Décidées au nom du libéralisme économique, les réformes de dérégulation adoptées dès le début des années 80 auraient ainsi abouti à la décomposition des antiques monopoles et à la mise en concurrence dentités industrielles isolées les unes des autres. Quant aux conquérants de la Silicon Valley, Media Moguls et autres Tycoons, ils seraient en quelque sorte les effigies suprêmement individuelles de cette métamorphose du « capitalisme numérique » : autant de managers déracinés, dépeints comme dinfatigables compétiteurs apolitiques, engagés dans une course féroce au gigantisme, nayant pas la moindre solidarité de classe et nayant pour seul moteur que la quête du profit à court terme. Les discours convenus touchant à la « société de linformation » et aux phénomènes de « globalisation », il nous faut en réalité les relativiser, sinon même les infirmer, à la lumière de nos observations et analyses. Cest que la « mondialisation » de léconomie doit en effet compter non seulement avec la permanence de particularismes nationaux dont témoignent les structures de détention et de contrôle des groupes de médias et des NTIC, mais également avec le fait que la très grande majorité des entreprises étudiées sont caractérisées par un rapport entre investisseurs résidents et non-résidents tournant très nettement à lavantage des premiers. On peut ainsi affirmer que les « multinationales » de la communication nexistent pas. Souhaitée par les uns ou redoutée par les autres, mais proclamée par tous, la « financiarisation » des industries culturelles na pas, en effet, débouché sur la trans-nationalisation du capital dont elle se voulait, pourtant, annonciatrice. Le « marché global » de linformation demeure, à ce jour, une vue de lesprit séduisante, mais scientifiquement non fondée, les réseaux technologiques nayant pu transformer les capitalismes en un marché mondial faisant fi des principaux référentiels dantan tels que ceux de « propriété », de « classes sociales » et de « souveraineté nationale ». Quant au pouvoir des grands actionnaires traditionnels (familles, pouvoirs publics, etc.), il na pas non plus cédé face à la pression des fonds dinvestissements anglo-saxons, mais sest au contraire consolidé à cette haute finance ayant permis le lancement dopérations de fusion et acquisition, sans précédent jusque-là, dans le secteur de la communication. La « globalisation » des réseaux informationnels ne sidentifie pas, enfin, à la régénérescence dun libéralisme pur et parfaitement concurrentiel, mais à la réaffirmation de quelques-unes des caractéristiques les plus fondamentales des industries culturelles en régime capitaliste : concentration de la propriété des firmes, centralisation de léconomie nationale, fusion des intérêts bancaires et industriels, consolidation des principaux holdings et, enfin, imbrication des groupes financiers et de lappareil dEtat. On aurait tort cependant de se limiter à une approche strictement financière de ces phénomènes. La situation quasi monopolistique que connaissent certaines compagnies leaders dans le domaine de la presse ou des NTIC ne séclaire, en effet, véritablement quà la lumière de leur très forte centralité au sein des réseaux de pouvoir. La densité des relations que les firmes en question entretiennent avec lappareil dEtat, les principales entreprises industrielles et financières, et les plus influents groupes de pression et autres think tanks constitue à nos yeux la première des conditions garantissant la reproduction des positions dominantes occupées par ces sociétés privées sur leur marché respectif. Cette approche relationnelle du pouvoir économique est illustrée par la multiplicité des positions institutionnelles détenues par les dirigeants des entreprises médiatiques. Représentant autant de formes incarnées de relations sociales génériques entre Economie, Politique et Communication, les grands administrateurs, issus pour la plupart dentre eux du secteur financier ou de la très haute fonction publique, peuvent être légitimement considérés, pour parler le langage un peu oublié dun Gramsci, comme les intellectuels organiques de la fraction hégémonique du bloc au pouvoir. Ce quil faut, au total, rejeter dans la définition des médias en tant que « quatrième pouvoir » ou dans celle des réseaux numériques en tant que « nouveaux pouvoirs », cest limpensé théorique qui sous-tend cette représentation dune industrie de la communication qui « globalisée », « libéralisée » et « dérégulée », se serait simultanément affranchie des territoires nationaux, des gouvernements et de la grande bourgeoisie daffaires. Il nest pas non plus conforme à la vérité des faits et de leur recoupement de penser que la classe dirigeante ne se servirait de la presse que comme vulgaire relais ou instrument de propagande. Tout semble plutôt se passer comme si le champ du pouvoir était invaginé dans le champ médiatique du fait de la circulation ininterrompue de certains agents sociaux privilégiés entre les divers sous-espaces constitutifs du champ du pouvoir (pouvoir économique, pouvoir dEtat, pouvoir idéologique, etc.).

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