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Le Conseil central des syndicats nationaux de Montréal (CSN) à l'heure de la radicalisation syndicale : 1968-1980

Poirier, Stéphanie January 2005 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Experts on the union staff : the evolution of a role in the confessional labour movement of Quebec (La Confédération des travailleurs catholiques du Canada - La Confédération des syndicats nationaux

Goldenberg, Shirley B. January 1966 (has links)
Social scientists have concerned themselves with the role of the career trade unionist since Sidney and Beatrice Webb first foresaw the development of a "civil service" in the labour movement. The staff expert role has been treated by scholars in the context of trade union development and maturation and from the broad sociological perspective of organizational life in general. [...]
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Experts on the union staff : the evolution of a role in the confessional labour movement of Quebec (La Confédération des travailleurs catholiques du Canada - La Confédération des syndicats nationaux

Goldenberg, Shirley B. January 1966 (has links)
No description available.
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The Confédération des syndicats nationaux, the idea of independence, and the sovereigntist movement, 1960-1980 /

Güntzel, Ralph Peter January 1991 (has links)
During most of the 1960s, the CSN was both an advocate of provincial autonomy and a defender of federalism. In the late 1960s and early 1970s, however, a majority of its leaders and militants came to favour separatism. Many of them saw independence as a precondition for the creation of a socialist Quebec. In 1972, the CSN rejected capitalism, endorsed socialism, and envisaged an internal referendum on the independence issue. The internal debate, however, took place only after the Parti quebecois was elected to power in 1976. Fearing internal divisions and disaffiliations, the CSN did not endorse separatism. Being disappointed with the Parti quebecois' governmental record, the CSN was content to give a critical support to a yes vote in the referendum in 1980.
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The Confédération des syndicats nationaux, the idea of independence, and the sovereigntist movement, 1960-1980 /

Güntzel, Ralph Peter January 1991 (has links)
No description available.
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Histoire des travailleurs québécois : la CSN et la FTQ de 1939 à 1970

Boucher, Jean 09 August 2021 (has links)
Québec : Université Laval, Bibliothèque, 2019.
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Les petites unités d'accréditation et la démocratie syndicale : le cas du syndicat des professionnèles des CLSC-CHSLD de Québec et de Chaudière-Appalaches CSN / Les petites unités d'accréditation et la démocratie syndicale

Bouchard, Olivier 11 April 2018 (has links)
Le présent mémoire vise à établir des bases, des critères de mesure de la démocratie syndicale, phénomène étonnamment peu étudié à travers les époques. Particulièrement, cette recherche s'intéresse à la démocratie syndicale perçue dans une petite unité d'accréditation, puisque la démocratie est avant tout la gouverne de la majorité. Ainsi, comment s'en tire une petite unité syndicale dans le concert des syndicats d'une centrale ? Plus précisément, nous tenons à étudier, d'une part, le degré de présence perçu de la démocratie syndicale auprès du Syndicat des professionnèles des CLSC-CHSLD de Québec et de Chaudière-Appalaches CSN (SPCLSC-CHSLD) et, d'autre part, de connaître la perception de ce syndicat de la démocratie syndicale présente dans certaines autres instances décisionnelles de la Confédération des syndicats nationaux (CSN). Notre hypothèse principale veut que le degré de présence perçu de la démocratie syndicale soit fort, c'est-à-dire que les quatre dimensions du modèle conceptuel développé se retrouvent au sein du SPCLSC-CHSLD lors de l'analyse. Le devis de recherche est double, puisque l'analyse porte sur trois niveaux distincts qui ne commandent pas et ne permettent pas une même expectative de conclusions et d'extrapolations. La méthodologie utilisée est quantitative et l'analyse s'est faite à l'aide de tests de statistiques déductives, appliqués à un questionnaire de sondage administré à un échantillon de membres du SPCLSC-CHSLD. Bien que l'analyse soit pragmatique et que le sujet abordé ait été grandement éclaté, il est constaté, d'une part, un haut taux de non-réponse aux questions à même les répondants et, d'autre part, une invalidation de l'hypothèse de la recherche. En effet, de façon très surprenante, une des dimensions du modèle conceptuel ne se retrouve pas être perçue comme présente de manière suffisamment forte pour prétendre à la présence complète - et forte - de la démocratie syndicale. Le second objectif de recherche, soit de connaître la perception des répondants de la démocratie syndicale présente aux autres instances décisionnelles de la centrale, permet d'orienter le futur propos de recherches ultérieures pouvant s'intéresser à la démocratie syndicale aux instances supérieures d'une centrale, puisque plusieurs constituantes inhérentes de la démocratie syndicale sont perçues comme étant absentes aux plus hauts niveaux décisionnels. / The present thesis aims at setting bases or criteria for the measurement of union democracy, amazingly enough a poorly studied phenomenon over time. This study focuses primarily on union democracy as perceived in a small accreditation unit, since democracy is the prerogative of those who are part of the majority. How does a small union get by among a chorus of unions in a confederation? On the one hand, we want to study more precisely the degree of perception of the existence of union democracy within the Syndicat des professionnèles of the CLSC-CHSLD of Québec and Chaudière-Appalaches CSN (SPCLSC-CHSLD). On the other hand, we want to study the perception of union democracy by this specific union within other decision-making structures of the Confédération des syndicats nationaux (CSN). Our main assumption is that the degree of perception of the existence of union democracy is high. In other words, the analysis shows that the four dimensions of the conceptual model developed are found within the SPCLSCCHSLD. Therefore, the mandate of this research is twofold, because the analysis is directed toward three different levels that do not require or allow the same conclusions and extrapolations expectancy. We used a quantitative methodology and the analysis was carried out with inferential statistics tests applied to a survey questionnaire completed by a sample of SPCLSC-CHSLD members. Although the analysis is pragmatic and the subject broached greatly fragmented, we noticed a high rate of non-response to the questions among respondents and an invalidation of the research hypothesis. Surprisingly, one of the dimensions of the conceptual model is not perceived as being strong enough to inspire a complete and influential presence of union democracy. The second objective of the study is to learn about respondents' perception of union democracy in other decision-making structures of the confederation. It allows orientation of future research subjects regarding union democracy in a confederation’s higher authority, given that several constituents inherent in union democracy are perceived as absent in higher levels of authority.
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L'action syndicale territoriale pour l'emploi et le développement (ASTED) : la construction de l'action collective territoriale : le cas de la CSN et de la FTQ au Québec de 1980 à 2010

Van Schendel, Vincent 20 April 2018 (has links)
La thèse porte sur la construction de l’action collective et des collectifs d’action, à partir du cas de l’action syndicale territoriale pour l’emploi au Québec. Le territoire est ici considéré comme un lieu pertinent de la relation d’emploi dans lequel se discutent et tendent à se régler les questions liées à la dynamique du système d’emploi (transition entre emploi, restructuration, diversification industrielle, création d’emploi) et dans lequel interviennent également les autres dimensions du développement (aménagement du territoire, services publics, etc.) Les organisations syndicales sont de ce fait appelées à agir sur le plan de l’emploi et du développement au niveau territorial. Celui-ci apparaît comme un espace de conflit et de négociation, bien que celle-ci ne soit pas formalisée. À travers cette action, les acteurs syndicaux expérimentent de nouvelles formes d’action et poursuivent plus globalement un objectif de démocratisation de l’économie. Ces nouvelles formes et ces nouveaux terrains d’action sont appelés à se développer, ce qui pose à la fois le défi de l’arrimage avec les autres groupes régionaux et la nécessité d’un positionnement autonome des acteurs syndicaux. À travers ce processus, on assiste à un élargissement de la relation d’emploi qui se manifeste ici au plan territorial. La question posée est donc : comment se construit cette action syndicale territoriale, quel est son objet et quelles en sont les conditions de développement? La première ambition de cette thèse était de construire un cadre d’analyse unifié d’inspiration pragmatiste, opérationnalisable, unifiant la perspective institutionnaliste de John R. Commons, l’analyse du cadrage d’Erving Goffman et les travaux de John Dewey, pour comprendre la construction de l’action collective au plan territorial. De façon générale, l’action collective est définie ici, à la façon de Commons, comme l’ensemble des actions individuelles contrôlées, libérées et étendues par les règles opérantes de conduite dans une société ou un collectif. L’action collective ainsi analysée a trois composantes, fortement imbriquées : a- un collectif humain (Going concern), avec sa vie interne (transactions, langage, expériences, capacités, rituels, symboles, rôles, etc.), sa mise en scène de l’action et son public, b- des institutions (règles, coutumes, temporalité et spatialité) et c- un cadrage de l’action (valeurs, vision, définition de situation, perspectives, évaluation, légitimité). L’action collective ainsi construite s’accompagne d’une logique d’action qui diffère selon les mondes économiques : publics, privés ou associatifs. Comprendre la construction et l’évolution de l’action collective demande dès lors d’observer et d’analyser l’ensemble de ces dimensions et les logiques d’action à l’œuvre. La deuxième ambition de cette thèse était de comprendre comment se déployait l’ASTED, et de reconstruire sa cohérence. Les règles et coutumes en vigueur, le cadrage général sont ceux qui découlent essentiellement de l’appartenance à des organisations structurées nationalement, sectoriellement, régionalement et localement. Un répertoire d’actions spécifiques a cependant été construit au fil des années. Celui-ci s’articule autour d’une dimension « politique » d’interpellation des pouvoirs publics et d’une dimension « développement », axée sur la participation à différentes instances de concertation, la gestion de fonds de développement et une implication – limitée – dans le développement de l’économie sociale. Ces actions s’appuient sur des mobilisations et des alliances. L’ASTED fait face à plusieurs défis, parmi lesquels la coexistence avec d’autres actions collectives territoriales – et donc, la confrontation sur qui définit les règles, les situations ou les perspectives ; la construction de capacités d’action et l’élaboration et la diffusion d’un discours public sur les enjeux territoriaux. Notre question de recherche peut donc être formulée comme suit : L’ASTED est-elle une action collective au sens de John R. Commons? Est-elle une action collective spécifique, par rapport aux autres actions collectives syndicales? Au terme d’une discussion théorique et d’un terrain de recherche en trois volets, nous répondons par l’affirmative à cette question. Nous avons effectué cette recherche sous le mode collaboratif. Les organisations syndicales CSN et FTQ, de même que le Fonds de solidarité et le Fondaction, ont été associés à la définition et à la réalisation du projet. Cette collaboration a permis de construire ensemble le problème de façon à répondre en même temps aux besoins d’action sur le terrain et aux objectifs de compréhension scientifique. Elle s’est réalisée en grande partie sous la forme d’une recherche-action-formation, accompagnant les organisations syndicales dans leurs tournées de formation à travers le Québec.

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