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Histoire des travailleurs québécois : la CSN et la FTQ de 1939 à 1970

Boucher, Jean 09 August 2021 (has links)
Québec : Université Laval, Bibliothèque, 2019.
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L'action syndicale et la mondialisation : la FTQ et la libéralisation des échanges

Martin, Olivier 18 April 2018 (has links)
La mondialisation constitue un phénomène complexe, porteur de nombreux changements économiques. Ces changements se répercutent directement sur le monde du travail et ses acteurs. Dans ce contexte, comment les syndicats défendent-ils les intérêts des travailleurs? Ce mémoire vise à identifier et analyser la composition du répertoire des actions syndicales en lien avec la libéralisation des échanges commerciaux ainsi que leur mise en oeuvre dans les arènes politique, juridique, médiatique, syndicale et des conflits sociaux. 16 accords de libre-échange canadiens sont à l'étude et l'acteur retenu est la Fédération des travailleurs et travailleuses du Québec (FTQ). Les documents écrits relatant les activités de la FTQ ont été recueillis afin de reconstituer la trame des actions entreprises par cette dernière depuis 1985; année de lancement des pourparlers du premier accord de libre-échange canadien. Les actions syndicales sur la libéralisation des échanges concernent presque exclusivement les trois traités de l'ALÉ, de l'ALENA et de la ZLÉA. Le répertoire d'actions de la FTQ sur le libre-échange compte 35 modalités. Celles-ci se déploient principalement dans l'arène syndicale et des conflits sociaux. Les modalités d'actions répertoriées entre 1985 et 2008 se répartissent en 10 catégories-types. L'analyse de la mise en oeuvre des modalités montre que celles du type informatif-expressif représentent la moitié des 833 actions répertoriées. À travers le temps, la FTQ enrichit son répertoire en menant des formes d'actions novatrices quoique rarement reproduites. Parallèlement, l'éventail de modalités menées fréquemment et reconduites sur divers accords se contracte depuis l'ALÉ jusqu'à la ZLÉA. Au cours de la période étudiée, une transition s'observe. La FTQ passe d'actions sur des traités à des actions sur le thème général de la mondialisation.
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L'action syndicale territoriale pour l'emploi et le développement (ASTED) : la construction de l'action collective territoriale : le cas de la CSN et de la FTQ au Québec de 1980 à 2010

Van Schendel, Vincent 20 April 2018 (has links)
La thèse porte sur la construction de l’action collective et des collectifs d’action, à partir du cas de l’action syndicale territoriale pour l’emploi au Québec. Le territoire est ici considéré comme un lieu pertinent de la relation d’emploi dans lequel se discutent et tendent à se régler les questions liées à la dynamique du système d’emploi (transition entre emploi, restructuration, diversification industrielle, création d’emploi) et dans lequel interviennent également les autres dimensions du développement (aménagement du territoire, services publics, etc.) Les organisations syndicales sont de ce fait appelées à agir sur le plan de l’emploi et du développement au niveau territorial. Celui-ci apparaît comme un espace de conflit et de négociation, bien que celle-ci ne soit pas formalisée. À travers cette action, les acteurs syndicaux expérimentent de nouvelles formes d’action et poursuivent plus globalement un objectif de démocratisation de l’économie. Ces nouvelles formes et ces nouveaux terrains d’action sont appelés à se développer, ce qui pose à la fois le défi de l’arrimage avec les autres groupes régionaux et la nécessité d’un positionnement autonome des acteurs syndicaux. À travers ce processus, on assiste à un élargissement de la relation d’emploi qui se manifeste ici au plan territorial. La question posée est donc : comment se construit cette action syndicale territoriale, quel est son objet et quelles en sont les conditions de développement? La première ambition de cette thèse était de construire un cadre d’analyse unifié d’inspiration pragmatiste, opérationnalisable, unifiant la perspective institutionnaliste de John R. Commons, l’analyse du cadrage d’Erving Goffman et les travaux de John Dewey, pour comprendre la construction de l’action collective au plan territorial. De façon générale, l’action collective est définie ici, à la façon de Commons, comme l’ensemble des actions individuelles contrôlées, libérées et étendues par les règles opérantes de conduite dans une société ou un collectif. L’action collective ainsi analysée a trois composantes, fortement imbriquées : a- un collectif humain (Going concern), avec sa vie interne (transactions, langage, expériences, capacités, rituels, symboles, rôles, etc.), sa mise en scène de l’action et son public, b- des institutions (règles, coutumes, temporalité et spatialité) et c- un cadrage de l’action (valeurs, vision, définition de situation, perspectives, évaluation, légitimité). L’action collective ainsi construite s’accompagne d’une logique d’action qui diffère selon les mondes économiques : publics, privés ou associatifs. Comprendre la construction et l’évolution de l’action collective demande dès lors d’observer et d’analyser l’ensemble de ces dimensions et les logiques d’action à l’œuvre. La deuxième ambition de cette thèse était de comprendre comment se déployait l’ASTED, et de reconstruire sa cohérence. Les règles et coutumes en vigueur, le cadrage général sont ceux qui découlent essentiellement de l’appartenance à des organisations structurées nationalement, sectoriellement, régionalement et localement. Un répertoire d’actions spécifiques a cependant été construit au fil des années. Celui-ci s’articule autour d’une dimension « politique » d’interpellation des pouvoirs publics et d’une dimension « développement », axée sur la participation à différentes instances de concertation, la gestion de fonds de développement et une implication – limitée – dans le développement de l’économie sociale. Ces actions s’appuient sur des mobilisations et des alliances. L’ASTED fait face à plusieurs défis, parmi lesquels la coexistence avec d’autres actions collectives territoriales – et donc, la confrontation sur qui définit les règles, les situations ou les perspectives ; la construction de capacités d’action et l’élaboration et la diffusion d’un discours public sur les enjeux territoriaux. Notre question de recherche peut donc être formulée comme suit : L’ASTED est-elle une action collective au sens de John R. Commons? Est-elle une action collective spécifique, par rapport aux autres actions collectives syndicales? Au terme d’une discussion théorique et d’un terrain de recherche en trois volets, nous répondons par l’affirmative à cette question. Nous avons effectué cette recherche sous le mode collaboratif. Les organisations syndicales CSN et FTQ, de même que le Fonds de solidarité et le Fondaction, ont été associés à la définition et à la réalisation du projet. Cette collaboration a permis de construire ensemble le problème de façon à répondre en même temps aux besoins d’action sur le terrain et aux objectifs de compréhension scientifique. Elle s’est réalisée en grande partie sous la forme d’une recherche-action-formation, accompagnant les organisations syndicales dans leurs tournées de formation à travers le Québec.

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