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Ships, innovation & social change : aspects of carvel shipbuilding in northern Europe 1450-1850 /

Adams, Jonathan, January 2003 (has links)
Doctoral diss.--Department of archaeology--Stockholm university, 2003. / Bibliogr. p. 209-232.
2

Die wilhelminische Flottenrüstung : 1908-1914 /

Epkenhans, Michael. January 1991 (has links)
Texte remanié de: Diss.--Philosophische Fakultät--Westfälische Wilhelms-Universität Münster, 1989.
3

Det Nordiska skeppet : teknologi och samhällsstrategi i vikingatid och medeltid /

Varenius, Björn, January 1992 (has links)
Akademisk avhandling--Stockholm, 1992. / Bibliogr. Résumé en anglais.
4

Christian IV and his navy : a political and administrative history of the Danish navy, 1596-1648 /

Bellamy, Martin. January 2006 (has links)
Thesis--University of Glasgow, 1997. / Bibliogr. p. 281-289.
5

Le port et l'arsenal de Lorient, de la compagnie des Indes à la marine cuirassée : une reconversion réussie (XVIIIe-XIXe siècles) /

Le Bouëdec, Gérard, January 1994 (has links)
Th. Etat--Hist.--Paris 4, 1993. Titre de soutenance : Les mutations d'une ville maritime du XVIIIe au XIXe siècle, Lorient. / Bibliogr. 813-818 p. Bibliogr. des oeuvres de l'auteur, 1 p. Index.
6

Gaius Samuel Turner of Albert County, a New Brunswick shipbuilder and entrepreneur, 1874-1892

Shoebottom, Bradley Todd January 1999 (has links) (PDF)
No description available.
7

Le plan Tirpitz : 1897-1914 : une flotte de combat allemande contre l'Angleterre /

Brézet, François-Emmanuel. Meyer, Jean, January 1998 (has links)
Th. 3e cycle--Paris 4, 1993. / Bibliogr. p. 549-556. Index.
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Des maîtres entretenus aux ingénieurs : 1819-1971 : formation professionnelle et enseignement technique dans les arsenaux et établissements de la marine /

Berthiau, Jean André. January 1999 (has links)
Th.--Hist.--Paris 4, 1997. / En appendice, choix de documents. Bibliogr. p. 419-422. Index.
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La vie et l'horizon des savoirs artisanaux et traditionnels en construction navale au Québec : rencontres avec des artisans de la Vallée du St-Laurent

Parent, Mathieu 20 April 2018 (has links)
Les modes de vie (et mondes de la vie) où se déployaient les savoirs artisanaux en construction navale sont devenus minoritaires au Québec. Dans la Vallée du St-Laurent, ces savoirs d’exception sont néanmoins encore relancés selon différentes perspectives dont ils sont des constituantes primaires, impliquant des relations et préoccupations qui dépassent l’expression d’intérêts individuels au sens strict. Influencés par l’évolution du système-monde capitaliste et par des choix politiques opérés à divers niveaux, ils ont eu tendance à s’arracher de leurs mondes originaires localement : de plusieurs contextes singuliers de leur appréciation, mise en œuvre et production. Alors qu’ils s’exercent aujourd’hui surtout via les champs du loisir et du sport, plusieurs modalités et horizons anciens propres aux habitudes et aux mondes de références de ces savoirs perdurent. Ils sont même parfois investis en critique comme moyens d’expérimentation et d’affirmation de modes d’existence exprimant des affections politiques et sociales particulières en pratique. J’ai rencontré, sur un mode exploratoire, sept artisans de la Vallée du St-Laurent et procédé, entre autres, avec ceux-ci à une série d’entretiens libres et semi-dirigés afin de traduire la situation de ces savoirs chez les artisans. Dans une perspective territoriale et historique, cette recherche révèle nombre de ruptures, passages et continuités. / The ways of life and worlds in which the forms of knowledge of craftsmen were at one time primordial have become marginal or left behind in Quebec. But they are still, in the St. Laurence Valley, exceptionally incorporated into different perspectives in which they are basic components, which imply relations and attentions that overshadow individual interests. Influenced by the capitalist world system as well as constraining political choices at multiple levels, their experiments have been partially take off their natives worlds locally, as from some of the specific contexts in which they were valued, implemented and assessed. While the craftsman’s knowledge bases are now mostly applied to leisure and sport activities today, they are still valued given to the “old” methods and perspectives embedded in their worlds of reference. In some cases, they are explicitly incorporated within a critical perspective as mediators of experimentation of specific “ways of life”, expressing in practice, social and political particular affections. I met with seven craftsmen in the St. Laurence Valley in this exploratory investigation into their worlds, knowledge and traditions, and carried out “free” conversations and semi-directed interviews with them. From a territorial and historic perspective, this work reveals certain ruptures, progressions and continuities.
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Les 100 premières années de la charpenterie navale à Québec : 1663-1763

Brisson, Réal 25 April 2018 (has links)
L'histoire de la charpenterie navale sous le régime français s'étend sur un siècle exactement: 1663-1763. Les premières activités de construction et de radoub de bâtiments de mer par des artisans charpentiers de navires sont enregistrés à partir de 1663 avec la venue des «charpentiers du roy» de Rochefort et de La Rochelle. Auparavant, seules des relations de voyage de missionnaires ou d'explorateurs font allusion à quelques embarcations de fortune fabriquées à la hâte par des ouvriers non qualifiés pour faire face surtout à des situations d'urgence. Entre 1663 et 1763 (cette dernière date correspondant à la cession de la colonie française aux autorités anglaises), trois phases déterminent le cheminement et l'évolution de l'industrie navale canadienne. La première période marquante débute sous l'intendance de Jean Talon. Plusieurs ouvriers canadiens vont profiter du séjour des maîtres charpentiers français à Québec pour parfaire leur éducation professionnelle maritime souvent amorcée au foyer. S'ensuit dans le dernier quart du XVIIe siècle une activité maritime axée principalement sur la fabrication de petits bâtiments - barque, chaloupe et «bateau plat» - pour répondre aux besoins du commerce domestique et de circulation des denrées et des troupes du roi à l'intérieur du continent. Le tournant du XVIII° siècle entraîne une deuxième étape significative pour l'économie maritime coloniale. La guerre de succession d'Espagne s'est répercutée jusque dans les colonies d'Amérique et commande la construction de frégates et de brigantins pour faire la chasse aux Anglais qui entravent le commerce en haute mer au large des côtes canadiennes. Cette période-tremplin permet aux charpentiers de navires canadiens d'accéder à un plus haut niveau de compétence technique et architectural. Pour la première fois, ils construisent des bâtiments de haute mer sans l'aide des spécialistes français. Forts de ce nouveau savoir acquis progressivement tout au long du conflit intercolonial qui prend fin avec le traité d'Utrecht en 1713, ils se permettent de varier leur production navale par la suite en fournissant, tant aux bailleurs de fonds locaux qu'étrangers, en plus des habituels bâtiments, des goélettes, corvettes et autres navires de trois cents tonneaux et plus pour le grand commerce. Avec l'ouverture prolongée des marchés français et surtout antillais, la colonie canadienne s'arrache à son isolement et conséquemment la construction navale privée connaîtra sa période la plus stimulante. Le dernier jalon déterminant survient au moment de l'implantation des chantiers navals de l'État à la Saint-Charles en 1738 et au Cul-de-Sac en 1747. Les effectifs maritimes locaux sont alors mis au service de la guerre. Pour la construction des flûtes de plus de 500 tonneaux de même que des vaisseaux de troisième ligne, la cinquantaine de charpentiers de navires de Québec seront appuyés, bien que de façon inconsistante, par des maîtres contractuels français plus au fait des dernières méthodes et connaissances navales. Moins de cent ans séparent les artisans pionniers fabriquants de chaloupes du XVII° siècle des maîtres constructeurs de bâtiments de mer du siècle suivant. Période suffisante pourtant pour caractériser les habitudes de travail, les procédés de construction à partir de l'outillage par exemple ou encore certains comportements professionnels et familiaux propres au milieu maritime colonial canadien. Attitudes et mentalités ne cessent d'évoluer et de s'adapter aux nouvelles situations sociales et professionnelles provoquées par les soubresauts conjoncturaux. Le contraste est manifeste entre le charpentier généraliste du XVII° siècle travaillant en solitaire sur une petite grève de Rivière du-Sud ou de l'Ile d'Orléans et le chef de chantier entrepreneur du XVIIIe siècle évoluant au sein d'une équipe multidisciplinaire dans l'un des chantiers de la basse-ville de Québec. Autant de différences dans les contraintes et exigences professionnelles engagent pour chacune des périodes une définition distincte du statut et de l'identité des artisans charpentiers de navires. La nature de la pratique fixe les choix d'un habitat de même que la place que ces derniers vont occuper dans la hiérarchie des travaux et des rôles en milieu de travail. Enfin, la forte hérédité professionnelle peut inciter les jeunes apprentis et compagnons hors caste à s'associer aux grandes familles de la charpenterie navale qui détiennent généralement le monopole des marchés maritimes les plus importants et les plus payants sur l'ensemble du territoire canadien. À cet effet, l'histoire professionnelle de la famille Badeau étalée sur trois générations de charpentiers de navires pratiquants entre 1680 et 1730 peut servir d'exemple. De 1663 à 1763, plus de cent vingt charpentiers de navires canadiens auront laissé suffisamment de traces de leur vécu économique, familial et professionnel pour autoriser une reconstitution conforme et ponctuelle de l'industrie navale tant royale que privée fournissant ainsi un volet indispensable à la compréhension globale de l'économie maritime coloniale canadienne sous le régime français. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2013

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