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L'exploration de l'image corporelle des femmes âgées entre 65 et 75 ans et vivant en milieu urbainGendreau, Catherine January 2010 (has links) (PDF)
Dans un contexte socioculturel occidental qui met l'accent sur l'apparence et impose des standards de beauté se basant sur la minceur et la jeunesse, plusieurs femmes âgées ne trouvent pas leur place. De son côté, la recherche a peu exploré le concept d'image corporelle chez les femmes âgées. Nos connaissances en la matière sont donc peu étendues. L'objectif de notre recherche est d'explorer l'image corporelle des femmes âgées entre 65 et 75 ans et vivant en milieu urbain. Quels sont les aspects significatifs de l'image corporelle pour ces femmes? Pour le savoir, nous avons opté pour un angle d'approche qualitatif. Nous avons réalisé des entrevues auprès de trois femmes issues de la population visée et avons analysé leur discours. Les intérêts de nos répondantes concernant l'image corporelle peuvent être classés sous deux catégories: l'esthétique et l'identité. Pour la première: nos participantes se montrent ambivalentes quant à l'intérêt qu'elles portent à l'apparence. Pour la seconde: les changements dans l'apparence et au niveau des capacités physiques, associés au regard d'autrui posé sur elles, sont des menaces à leur identité. Ces menaces leur font craindre une mise à l'écart de la société. Finalement, les conséquences physiques du vieillissement et la discrimination sociale envisagée les confrontent à l'idée de la mort et cela les remplit d'effroi. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Image corporelle, Femme, Vieillissement, Qualitatif, Mort.
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Le non-dit comme moteur de création au confluent de la danse et du théâtreHaché, Ginette January 2006 (has links) (PDF)
Avant d'accéder au langage, la pensée se développe et s'élabore dans les lieux multiples et les réseaux complexes du corps. Il s'ensuit des arrêts, des glissements, des fractures de ce qui cherche à se structurer pour devenir langage. Celui-ci peut aussi bien être libération de l'expression que mensonge et détournement de ce qui ne peut être entendu. Ces lieux de tension où le chaos cherche un ordre se retrouvent à la fois au théâtre (rapport au texte et sous-texte) et en danse (langage chorégraphique et intentionnalité). Le non-dit apparaît donc comme une possible passerelle entre les deux arts. Cette passerelle est la préoccupation première qui anime la réflexion théorique qui a nourri, stimulé et orienté le processus de création. La partie création de ce mémoire a été intitulée Les mots de là!. L'intuition, qui demande à être confirmée, est que le non-dit prend les chemins du corps. « La science n'est pas là pour découvrir, mais pour confirmer l'intuition. » (Reeves dans le film Conteur d'étoile de Cadrin-Rossignol, 2002.) Afin de vérifier que c'est bien le corps qui détient le non-dit, il a été primordial de définir le concept du non-dit et il s'est avéré nécessaire de préciser non seulement les bases neurobiologiques du langage, mais aussi les enjeux d'une définition du langage comme espace relationnel. Nous avons cherché à définir la perception du non-dit dans ses dimensions conscientes et inconscientes afin de situer le besoin de dire dans une approche corporelle globale. Le non-dit se définit par rapport au dit et se manifeste dans le corps à notre insu. La juxtaposition du théâtre et de la danse semblait faciliter la perception du non-dit. Un espace scénique où cohabitent le texte dramatique et le mouvement dansé a donc été exploré. La recherche théorique préalable a servi à construire une banque de connaissances qui a alimenté le travail d'exploration et a permis de diriger des acteurs dans un cadre chorégraphique et théâtral où le non-dit est l'enjeu principal de la création. Le phénomène du non-dit y est amplifié par l'entremise de la danse en situation de représentation théâtrale. « Comment réunir sur la même scène le théâtre et la danse à partir du concept du non-dit? » est la question principale de cette recherche. Les sous-questions ont été analysées comme suit: Comment peut-on rendre le non-dit perceptible? En l'exprimant par des mouvements dansés? Comment l'implicite est-il exprimé par la voix et le corps? Comment un comédien peut-il exprimer les tensions, qui sont sous-entendues dans le texte théâtral, par le biais de la danse? Comment le non-dit dansé est-il perçu par le spectateur? Comment manifester des mouvements dansés au théâtre? Quelles sont les transitions les plus efficaces pour passer de la danse au théâtre? Faut-il choisir de travailler avec des danseurs ou des acteurs? Faut-il trouver l'inspiration dans le mouvement dansé ou dans le texte théâtral? La plupart de ces questions ont été explorées dans la partie création. Les difficultés rencontrées dans la démarche de cette recherche résident dans le besoin de trouver des stratégies d'exploration en ateliers, le désir d'innover, le besoin de décrire et d'isoler le non-dit à l'intérieur de situations théâtrales et d'en présenter les convergences et les divergences avec le non-dit en danse afin de voyager du théâtre à la danse.
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Écriture, ventre, maternité : "Le triangle", texte dramatique écrit pendant une grossesseFleury Labelle, Marie-Maude 09 1900 (has links) (PDF)
Le constat de la rareté des œuvres qui abordent le thème de la maternité dans l'espace théâtral actuel, et la quasi-inexistence du rapport entre la création théâtrale et la grossesse suscitent le désir de nous intéresser au lien entre la création et la procréation. Ce présent mémoire poursuit donc l'objectif de l'écriture d'une pièce de théâtre pendant une grossesse, d'une part pour établir un rapport expérimental entre la grossesse et la création théâtrale, et d'autre part pour étayer une réflexion au sujet de l'impact de la maternité sur les capacités artistiques. Des interrogations spécifiques se présentent par cette recherche-création : Quel lien s'établit entre la fécondité et la création artistique? Quel rapport s'installe pour la femme enceinte entre l'enfant et l'objet de la création? Est-ce que la création théâtrale peut s'observer comme un outil de création privilégié pendant la grossesse? Quelle histoire de la parole des femmes la grossesse fait-elle surgir? Nous répondons à ces questions à partir d'un corpus d'artistes et de théoriciens qui s'intéressent aux domaines de la création et de la maternité ainsi que de nos apprentissages de l’expérimentation. Notre hypothèse est que l'impact d'une grossesse sur le processus créateur provoque une implication profonde du corps, et l'émergence d'une part souvent « oubliée » de la parole des femmes. Pour vérifier notre proposition, nous expliquons en premier lieu les assises théoriques de notre réflexion à partir de certains ouvrages de Nancy Huston (Journal de la création) et d'Annie Leclerc (Parole de femme, Épousailles). Nous présentons ensuite notre méthode de création, l'approche de jeu de l'anatomie ludique élaborée par Larry Tremblay, que nous adaptons à l'écriture, ainsi que son application dans le contexte d'une grossesse. Nous partageons également nos observations au sujet de l'impact d'une grossesse lors d'une expérimentation d'écriture dramatique. Nous tentons finalement d'établir des applications possibles pour l’artiste enceinte qui désire nourrir la création d'une écoute particulière de son corps.
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MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Théâtre, écriture, maternité, corps, femme, identité.
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Portrait d'homme ; suivi de, Cet homme blême qu'on porte en nous quand on est de la villeGiasson-Dulude, Gabrielle 09 1900 (has links) (PDF)
Ce mémoire s'articule autour de la question suivante : comment le poème peut-il procéder à l'élaboration d'un langage dont le souffle, la voix et la présence dans l'espace non seulement s'ancrent dans le corps, mais se construisent à partir des arts du corps? Tout au long de mon travail d'écriture, j'approche cette question en la considérant au moyen de la pratique et de la théorie du mime corporel d'Étienne Decroux. En première partie du mémoire, le recueil Portrait d'homme met en scène une voix féminine. Dans un contexte urbain, celle-ci élabore le portrait d'un homme blessé, défait; sujet plus ou moins réduit au silence, et plus ou moins avalé par la ville qui l'englobe. C'est pourtant sur fond de mutisme que se dessine la relation de la femme à l'homme. Ce travail d'approche se lie pour elle et pour lui à l'expérience de la solitude devant l'autre, expérience d'où surgit la nécessité de la voix. Le mime, dans ce contexte, figure pour les sujets la possibilité de réapprendre à s'exprimer à partir de leur corps, tant en relation avec le corps de l'autre qu'avec la pluralité des corps que chacun porte en lui-même. De poème en poème, Portrait d'homme fait ainsi le récit de ce qui, par la souffrance et par l'amour (dévoilés dans leur clarté au travers du mime), rapproche les sujets à la fois de ce qui les constitue et les différencie. L'essai qui suit, intitulé Cet homme blême qu'on porte en nous quand on est de la ville, vise à présenter la trame de fond de mon écriture et la condition de la voix dans des contextes urbains saturés par la technologie, où le corps subit la pression des non-lieux reliés aux habitudes de la société de consommation. Je m'y intéresse avant tout à la perte de soi, et à la réappropriation de soi par le double biais d'une appartenance à la collectivité et d'une éthique du don, en prenant à témoin des œuvres telles l'essai de François Bon sur le travail de Edward Hopper, les livres de Kathy Acker, le travail de l'École de mime de Montréal et l'héritage d'Étienne Decroux. À l'intérieur de cette approche, le poème et le mime dévoilent un corps marqué par sa fragilité et par l'isolement, l'absence à soi-même, le retranchement ou l'effacement auxquels sans cesse on le reconduit. La reconstruction de la parole par l'écriture - recherche de la voix, de sa justesse et de sa subjectivité - conduit à reconnaître pourtant, au sein même de ces conditions difficiles, un lieu d'accueil pour le vivant.
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MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : subjectivité, voix, mime, résistance, silence, mutisme, parole, écriture, engagement, corps.
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L'image du corps dans la peinture toscane (v. 1300-v. 1450) /Dalmasso, Véronique, Russo, Daniel, January 1900 (has links)
Texte remanié de: Thèse de doctorat--Histoire de l'art--Paris 4, 2003. Titre de soutenance : La représentation du corps du Christ dans la peinture toscane du XIVe siècle et du XVe siècle. / Bibliogr. p. 291-301. Notes bibliogr. Index.
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Slave to the body : black bodies, white no-bodies and the regulative dualism of body-politics in the Old South /Schroeder, Lars. January 1900 (has links)
Texte remanié de: Dissertation Ph. D.--History--University of Hamburg, 2001. / Bibliogr.
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Gendered pathologies : the female body and biomedical discourse in the nineteenth-century English novel /Archimedes, Sondra M. January 2005 (has links)
Texte remanié de: Thesis Ph. D.--Santa Cruz, Calif.--University of California, 2003. / Notes bibliogr.
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Verehrte Körper, verführte Körper : die Olympischen Spiele der Neuzeit und die Tradition des Dionysischen /Delbrouck, Mischa. January 2004 (has links)
Diss.--Bochum--Ruhr-Universität, 2002. / Bibliogr. p. 283-293.
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Le corps dans les oeuvres photographiques de Bill Brandt et de Bernard Plossu /Bruneaux, Ludovic. January 2001 (has links)
DEA--Histoire de l'art--Paris 4, 2002. / Bibliogr. p. 90-91.
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Quand on n'a plus que son corps : soin et non-soin en situation de précarité /Dambuyant-Wargny, Gisèle. Vigarello, Georges, January 1900 (has links)
Texte remanié de: Thèse de doctorat--Sociologie--Paris--EHESS, 2000. / Bibliogr. p. 235-236.
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