Düsseldorf, Universiẗat, Diss., 2003.

Thesis (M.A.)--Georgia State University, 2008. / Title from file title page. Susan Richmond, committee chair; Maria Gindhart , Glenn Gunhouse, committee members. Electronic text (102 p. : col. ill.) : digital, PDF file. Description based on contents viewed July 24, 2008. Includes bibliographical references (p. 100-102).

Stuttgart, FH, Diplomarb., 2003.

L'imaginaire de la fin évolue et s'actualise sans cesse, au gré du temps. Chez Douglas Coupland et Chuck Palahniuk, il se conjugue au singulier. La fin est intime, personnelle, elle ne concerne que le sujet, et lui seul. Néanmoins, elle interpelle les mêmes traits intrinsèques à tout imaginaire de la fin. La fin est transitive, elle est achèvement d'une chose et commencement d'une autre. Le temps de la fin, quant à lui, est toujours aussi harassant à négocier: passé, présent, futur cohabitent difficilement. Enfin, devant tant de désordres, la langue et l'imaginaire sont à leur tour happés par la confusion. À ces trois constantes s'en ajoute une quatrième, à l'œuvre autant dans Generation X que dans Choke: une sursollicitation de l'imaginaire qui provoque un brouillage important dans la perception du réel. Récits de la fin, Generation X et Choke sont aussi des romans du renouveau. S'ils disent que le monde menace l'individualité du sujet et qu'il est responsable des graves dysfonctionnements qu'il connaît, les romans de Coupland et Palahniuk nous disent aussi que l'homme peut être sauvé, s'il le désire. Il n'en tient qu'à lui. Résultat d'une clairvoyance du monde, d'une amère déception, puis façon de fabriquer du sens, la fin chez eux ne renvoie non pas à une fin du monde, à sa clôture, mais bien à son renouvellement, subjectif. Réaction, elle permet la survie, objet de pensée, elle incite à la perdition. Car si l'homme peut renaître, son monde et son imaginaire, eux, sont voués au désordre. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Coupland, Palahniuk, Fin, Imaginaire, Temps.

This thesis considers four novels written by Douglas Coupland: Generation X (1991), Shampoo Planet (1992), Microserfs (1995), and Girlfriend in a Coma (1998), and demonstrates how each of these novels provides a discursive space in which Coupland examines the members of Generation X: those born between 1965 and 1980. Frederic Jameson's theories about postmodernism, which he equates with the concept of late capitalism, offer a theoretical lens through which this demographic can be interpreted because Coupland's characters struggle to find meaning and sincerity in a realm where advertising and consumerism are omnipresent and nearly all aspects of life are commodified. The ultimate consequence of the alienation and apathy that result from such rampant materialism is the emergence of an idiom that privileges irony. For Coupland, the prevalence of this irony is the most problematic aspect of postmodern society. Consequently, in portraying how the members of Generation X cope with late capitalism and its concomitant irony, Coupland's first four novels function as a trajectory that demonstrate how he and his characters grapple with and eventually repudiate it.

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Ma Chun-Lung. / Thesis (M.Phil.)--Chinese University of Hong Kong, 2004. / Includes bibliographical references (leaves 121-127). / Abstracts in English and Chinese. / Abstract --- p.i / 論文提要 --- p.iii / Acknowledgements --- p.iv / Introduction --- p.1 / Chapter Chapter One: --- J.D. Salinger's The Catcher in the Rye --- p.22 / Chapter Chapter Two: --- Ken Kesey's One Flew Over the Cuckoo's Nest --- p.49 / Chapter Chapter Three: --- Douglas Coupland's Generation X --- p.80 / Final Remarks --- p.110 / Selected Bibliography --- p.121

Texte remanié de: Diss.--Hannover--Universität, 2005. / Notes bibliogr. Bibliogr. p. 435-459.

Thesis (Ph.D.)--University of Edinburgh, 2001.

Proefschrift Universiteit Maastricht. / Met lit. opg. - Met samenvatting in het Engels.