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Réalisme et lyrisme dans la poésie de la Résistance d'Aragon

Welch, Philippa J. January 1998 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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The production of White Space : adventure as spatial practice in Cooper, Richardson, and Boldrewood

Ivison, Douglas January 1999 (has links)
Thèse numérisée par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Métatextualité et idée du romanesque dans les œuvres de Patrick Chamoiseau, Ken Bugul et Marie NDiaye

Faulkner, Morgan 20 April 2018 (has links)
En nous fondant sur six romans de Patrick Chamoiseau, Ken Bugul et Marie NDiaye, cette thèse examine la profondeur de la pratique métatextuelle qui alimente les textes. De ces œuvres et auteurs d’une grande diversité, la constante repose sur une réflexion sur l’art du roman au sein de la fiction : pourquoi et comment le commentaire critique s’articule-t-il ? Quel est son statut dans la fiction ? Quels enjeux pour ces romans qui se regardent fonctionner ? Cette recherche aborde ces questions à travers l’analyse de romans dont la double réflexion sur la société et la littérature est dense. Ces auteurs martiniquais, sénégalais et français nous amènent à réfléchir sur l’essence de la fiction, les jeux et enjeux de discours et les implications sociales de leur prise de parole. Le métatexte interroge donc la complexité et le fonctionnement de l’œuvre et médite sur les aspects principaux de sa littérarité. Toutefois, la critique du roman et du regard de l’auteur pratiquée dans ces textes contient des visions précises et singulières de l’apport de la fiction à l’examen de la société. Les quatre chapitres de la thèse sont guidés par des théories de la sociologie institutionnelle et de l’analyse discursive. Ce cadre méthodologique permet d’observer l’articulation entre le contexte socio-historique extérieur aux romans et les procédés discursifs à l’intérieur de leurs pages. Des visions du genre romanesque entrent en concurrence dans les champs littéraires antillais, africain et français dans lesquels Chamoiseau, Bugul et NDiaye participent. De même, ces auteurs développent une idée du roman au sein de leurs œuvres de fiction. Cette articulation, rendue possible par une pratique autoréflexive du roman, montre la prépondérance dans leurs œuvres de l’hybridité générique, de la pluralité (de discours, de savoirs et de points de vue), de l’opacité, de l’ambivalence et de la conscience critique du texte et de ses procédés. Cette thèse montre en quoi, pour Chamoiseau, Bugul et NDiaye, l’histoire du roman est inséparable d’une enquête sur l’auteur, l’écriture, le langage, le référent et le monde des lettres. / This thesis examines metatextual practices in novels by Patrick Chamoiseau, Ken Bugul and Marie NDiaye. Among the great diversity of their works, a major constant is the reflection on writing and the novel. Why and how is a critical commentary expressed in the novels? What is its status in a work of fiction? What is at stake in these novels that observe their own functions and practices? These questions are answered through the analysis of novels containing a rich reflection on both society and literature. These authors from Martinique, Senegal and France bring the reader to reflect on the essence of fiction, the consequences of discourse and the social implications of their writing. The novel’s metatext therefore interrogates the complexity and the functioning of the work, as well as the principle aspects of what makes it literature. Furthermore, the critique of the novel and of the author’s gaze practiced in these texts contains precise and singular visions on the advantages of fiction in the analysis of society. The four chapters of this thesis are guided by theories on institutional sociology and discourse analysis. This methodological framework allows for the observation of the links between the novel’s socio-historical context and its discursive practices. While competing visions of the novel as a genre populate the Caribbean, African and French literary landscapes, the authors also develop an idea of the novel in their works of fiction. This research examines how the expression of an “idea of the novel” is made possible through self-reflexive practices. It also looks at the preponderance in the texts of generic hybridity, plurality (of discourses, types of knowledge and viewpoints), the opaque, ambivalence and a critical consciousness of the novel and its practices. This thesis demonstrates how, for Chamoiseau, Bugul et NDiaye, the novel’s story is inseparable from an inquiry into language, writing, the author, the referent and the literary world.
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Investir l'histoire : le temps chez Saint-Denys Garneau

Larose, Karim January 1998 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Le rêve et la création littéraire chez Marcel Proust

Pelletier, Pierre January 1999 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Écrire la concomitance dans les littératures francophones du Canada. L'œuvre poétique de J.R. Léveillé, Andrée Christensen, Serge Patrice Thibodeau et Suzanne Jacob

Hains, Julia, Hains, Julia 21 February 2023 (has links)
La critique des littératures francophones du Canada s'est longtemps nourrie de paradoxes. Se fondant d'abord sur les concepts de « littérature mineure » (Gilles Deleuze et Félix Guattari, Kafka. Pour une littérature mineure, 1975) et, dans une plus large mesure, de « littératures de l'exiguïté » (François Paré, Les littératures de l'exiguïté, 1992), elle s'est employée, à partir de la fin des années 1980 et du début des années 1990, à fonder un discours qui structurera essentiellement le champ des littératures francophones minoritaires autour de la notion d'identité. Cette littérature tournée vers sa spécificité vient toutefois occulter une partie importante de la production littéraire issue des francophonies du Canada qui est davantage orientée vers l'universalité. Cette thèse s'intéresse à l'interstice, à l'espace qui rend possible la conjugaison entre les réalités binaires qui caractérisent souvent les littératures francophones du Canada, à savoir leur appartenance à une exiguïté socioculturelle constitutive, d'une part, et leur aspiration à l'universalité érigée par la pratique de l'écriture, d'autre part. Pour rendre compte de l'articulation entre la conscience et l'oubli, entre le particularisme et l'universalisme à l'œuvre dans ces littératures, nous introduisons ici la notion de concomitance, qui apparaît comme une voie de lecture qui ambitionne de concilier les différences plutôt qu'une approche théorique à proprement parler. La concomitance se manifeste de différentes façons dans la production littéraire francophone du Canada, mais sa présence est particulièrement éloquente dans l'œuvre de certains auteurs, dont J. R. Léveillé (littératures francophones de l'Ouest canadien), Andrée Christensen (littérature franco-ontarienne), Serge Patrice Thibodeau (littérature acadienne) et Suzanne Jacob (littérature québécoise). C'est notamment à travers l'étude des stratégies discursives, des procédés et des mécanismes déployés dans la poésie de ces auteurs -poésie qui constitue « le langage même des marginalités », selon une expression de François Paré - que se révéleront les différentes expressions de la concomitance dans les littératures francophones du Canada.
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Lecturas de Carpentier y Cortázar bajo la perspective de la estética de la recepción

Bilodeau, Joanne 04 December 2019 (has links)
Depuis la conférence de Hans Robert Jauss intitulée L’histoire littéraire comme provocation à la science littéraire tenue à l’Université de Constance en 1967, de nombreuses études ont été publiées sur la relation communicative entre le texte et ses lecteurs et l’évolution de la critique littéraire. L’herméneutique, base philosophique de l’esthétique de la réception, a été remise à l’ordre du jour au cours des dernières décennies, tandis que l’esthétique de la réception s’est taillée une place non négligeable parmi une panoplie de thèses littéraires. L’objectif général du présent mémoire est d’étayer les thèses fondamentales de l’École de Constance représentée principalement par Hans Robert Jauss et Wolfgang Iser et de tenter de les appliquer à certaines oeuvres de l’auteur cubain Alejo Carpentier et l’écrivain argentin Julio Cortázar, tout en mettant l’accent sur le rôle du lecteur ou récepteur au niveau littéraire et, de façon incidente, historique, artistique et sociologique. Grosso modo, les théoriciens de l’École de Constance prétendent questionner les paradigmes qui concentrent leur attention sur l’écrit sans égard pour le rôle du lecteur dans le processus d’interprétation d’une oeuvre littéraire. Dans un premier temps, il importe de réfléchir sur le contexte académique, théorique et social dans lequel sont apparues les sept thèses de Jauss, soit la crise des conceptions de l’autonomie du texte et de la neutralité idéologique du chercheur en sciences humaines, de même que le contexte social des années soixante et les contestations massives contre la guerre du Vietnam. Ensuite, il convient d’analyser lesdites thèses relatives au rôle actif du lecteur dans le processus de lecture ou de réception qui ont mené les théoriciens de l’École de Constance à la conclusion qu’il n’existe pas d’interprétation définitive d’un texte puisqu’une oeuvre littéraire est non seulement une création ouverte à la critique, mais elle se construit à travers la critique.
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La somme de toutes ces parts : les collages dans l'image fixe et l'image animée

Breton, Samuel January 2013 (has links)
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Les dépossessions romanesques : lecture de la négativité dans le roman moderne québécois (Anne Hébert, Gabrielle Roy, Réjean Ducharme)

Noël, Alex 26 April 2021 (has links)
Cette thèse de doctorat propose de relire par le biais de la dépossession la façon dont certains romans modernes québécois expriment leur négativité. Notre recherche part du constat que le roman qui s’est écrit au Québec a souvent détenu un statut problématique aux yeux de la critique, comme si, pour être pleinement romanesque, il lui manquait sans cesse une composante essentielle du genre, que ce soit l’amour (Michel van Schendel), la maturité (Gilles Marcotte) ou encore l’aventure (Isabelle Daunais). Malgré leur diversité, certaines des critiques adressées au roman québécois auraient en commun d’avancer qu’au contraire de ce que l’on observe dans le roman européen, la transformation serait absente du corpus. Pour notre part, nous nous sommes demandé si la transformation du personnage, qui est souvent annoncée, mais que les oeuvres évitent effectivement, serait liée à autre chose qu’à l’ascension sociale propre au roman réaliste, à partir duquel on a beaucoup lu le roman écrit au Québec. L’hypothèse principale de cette étude est que si le personnage de certains romans ne se transforme pas entre le début et la fin des oeuvres, c’est parce que sa transformation n’est pas présentée comme un idéal à atteindre, mais qu’elle incarnerait plutôt une étape dans le processus de dépossession qui est le sien et que, dès lors, l’enjeu des oeuvres serait justement de raconter sa résistance. La thèse entend montrer que la situation existentielle explorée par le roman moderne québécois est presque toujours celle de la dépossession comme condition humaine, que c’est une question que le roman travaille de façon ontologique plutôt que sociohistorique. Après avoir passé en revue quelques romans canadiens-français d’avant 1945, l’analyse se concentre sur trois romanciers de la modernité québécoise : Anne Hébert, Gabrielle Roy et Réjean Ducharme, dont les oeuvres problématisent différents aspects de la question sous l’angle existentiel. Dans les romans autodiégétiques de Hébert, les narrateurs luttent contre la dépossession en prenant la parole, dans le but de se réapproprier leur histoire, mais ils se butent au dialogisme du roman : leur récit est toujours contaminé, envahi par la voix du dépossesseur, même lorsque ce dernier s’est retiré de l’histoire. Chez Roy, c’est le réalisme de la vie ordinaire, associé au temps, qui dépossède les héros moins de ce qu’ils sont que de ce qu’ils auraient pu être. Face à ce processus, les personnages cherchent à se ménager des espaces qui seraient épargnés, en ce sens que ces espaces enchantés où ils projettent leurs rêves et leurs souvenirs sont les seuls éléments qui échappent au processus de dépossession qui les affecte. Dans les romans de Ducharme, c’est le passage de l’enfance au conformisme du monde adulte qui menace de déposséder les personnages de leur identité, et les héros y résistent en élaborant des utopies négatives, par lesquelles ils défendent leur unicité face au roman qui cherche à faire d’eux des « types ». Enfin, l’analyse de la dépossession par le biais de l’ontologie romanesque aura aussi permis de constater que dans les oeuvres à l’étude la question se double d’une dimension formelle : la dépossession se rejoue constamment entre l’oeuvre et ses personnages, lesquels sont en lutte contre les romans, qui inscrivent ainsi cette négativité au coeur de leur poétique pour en faire une dépossession romanesque. / This doctoral dissertation seeks to revisit, through the lens of dispossession, the ways in which certain modern novels by Quebec authors express negativity. This research stems from the observation that novels written in Quebec have often been viewed as problematic by critics, who tend to deem them lacking in an essential element to be truly novelistic—be it love (Michel van Schendel), maturity (Gilles Marcotte), or adventure (Isabelle Daunais). Though diverse, some of the criticisms aimed at the Quebec novel seem to share a common thread: they all suggest that contrary to what can be observed in the European novel, the corpus is devoid of the concept of transformation. This thesis, on the other hand, wishes to examine whether character transformation—often impending but indeed ultimately skirted in these works—could be found elsewhere than in the social climb that is central to realist novels, which have long served as a reference against which novels written in Quebec are read. The central argument of this study is that the reason why the protagonists of several novels fail to transform between the beginning and the ending is that transformation isn’t an ideal they covet, but rather a stage in their journey towards dispossession. From this perspective, it becomes apparent that the fundamental issue underlying these works is the protagonist’s resistance itself. This thesis aims to show that the existential predicament investigated by the modern Quebec novel—from an ontological rather than a sociohistorical point of view—is almost always that of dispossession as a human condition. After surveying several French-Canadian novels published before 1945, three modern Quebec novelists will be examined more closely: Anne Hébert, Gabrielle Roy, and Réjean Ducharme, whose works bring into play various aspects of the question from an existential standpoint. In Hébert’s autodiegetic novels, the narrators struggle against dispossession by speaking up, in the hopes of reclaiming their narrative, but they are undermined by the novel’s dialogic nature: their account is constantly tainted by the voice of the dispossessor, even one who has withdrawn from the story. In Roy’s work, the realism of everyday life and its relation to time is what dispossesses theprotagonists, not so much of what they are, but of what they might have been. Faced with this threat,the characters attempt to create spaces that will be spared. The enchanted spaces where they project their dreams and memories are the only ones that will remain sheltered from the dispossession that falls upon them. In the novels of Ducharme, the transition from childhood to the conformity of adult life is what threatens to dispossess the characters of their identity. His protagonists resist this by developing negative utopias where they defend their singularity against the novel, which attempts to reduce them to “types.” This analysis of dispossession through the lens of novelistic ontology leads to the observation that in the studied works, the issue pertains to literary form: dispossession is constantly reiterated between the work and its characters, who struggle against the novel itself, thus placing this negativity at the very heart of the genre and making it a specifically novelistic dispossession.
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L'énonciation de l'exil et de la mémoire dans le roman féminin francophone : Anne Hébert, Aminata Sow Fall, Marguerite Duras

Diouf, Mbaye 16 April 2018 (has links)
Peut-on envisager une analyse des productions littéraires des femmes au lendemain des années 60 affranchie de la tutelle féministe? Quelles (ré)flexions des problématiques de l'exil et de la ·mémoire·dans le roman féminin francophone? Quels lieux de rencontre entre le texte africain et le texte occidental? Ces questions ont toute leur pertinence dans la perspective d'un travail qui associe dans une même étude des auteures aussi différentes de style, de parcours, d'objets et de cultures que Anne Hébert, Aminata Sow Fall et Marguerite Duras, et provenant de pays aussi éloignés et différents que le Québec, le Sénégal et la France. Questions pertinentes, mais édulcorées par des aspects communs aux trois auteures tels que la langue d'écriture, les liens coloniaux avec la France, une vague de changements sociaux à partir des années 60 et, surtout, une pratique littéraire inscrite dans un contexte de modernité historique et esthétique. S'appuyant sur une approche sociopragmatique, cette recherche démontre qu'un certain nombre de romans d'Anne Hébert, d'Aminata Sow Fall et de Marguerite Duras, publiés à partir des années 70, interrogent une condition humaine déterminée par l'exil intérieur de l'être, et réécrivent des discours sociaux dominants de l'époque et.encrés dans la mémoire commune. L'approche sociopragmatique, qui inspire les trois parties de la thèse, réunit la sociologie institutionnelle et des théories du discours, et établit une interrelation dynamique entre le texte et son contexte de production. La première partie retrace la trajectoire sociale des trois auteures en termes de dispositions, de positions et de prises de positions. Elle met à jour les éléments majeurs de leurs habitus, notamment la jouissance d'un capital social et symbolique élevé, un décentrement prudent vis-à-vis des pôles dominants et un investissement esthétique total. La Deuxième partie analyse le fonctionnement narratif et énonciatif de l'exil intérieur dans les romans. Les personnages sont d'abord des sujets clivés, intérieurement divisés et socialement décalés. Les indices de leur exil sont perceptibles dans les discours autoréférentiels (ou prodomiques), les incipits et les monologues intérieurs. Ils dévoilent une écriture auto graphique qui dégénère dans une polyphonie énonciative, obscurcie la fonction onomastique et défait les bases du roman. La Troisième Partie étudie les figurations du "discours social" tel que défini par Marc Angenot. Ayant partie liée avec les faits de mémoire, le discours social se spécifie par ses caractères "polysémique", "polémique" et "dialogique", et emploie des relais médiatiques et institutionnels réels à travers lequels il occupe la sphère sociale pendant un temps donné. Cependant, la mise en texte des discours de la charité musulmane et de l'immigration (Sow Fall), de la Shoa (Duras) et de l'aliénation identitaire (Hébert) s' effectue de "manière spécifique". Elle dévoile tour à tour une refiguration intertextuelle, une resémantisation ironique et une déstructuration narrativeé En conclusion, la recherche prouve qu'une analyse comparée des productions littéraires francophones est possible, à condition qu'elle transcende tout préjugé lié au genre ou à l'essence. Pour se faire, la romancière francophone et son roman appellent à être considérés pour ce qu'ils sont d'abord: une écrivaine et un texte littéraire.

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