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Economie de l'innovation, dépenses publiques productives et croissance économique : une étude empirique pour l'évaluation du rôle des infrastructures technologiques dans les pays de l'OCDE / Innovation economy, productive public expanditures and economic growth : an empirical analysis to evaluate the technological infrastructures role in the OECD Countries

De Oliveira Monteiro, Sara Paulina 06 December 2013 (has links)
Notre étude a pour objet de déterminer l’impact engendré par les infrastructures technologiques sur l’innovation et la croissance économique dans les pays de l’Organisation de Coopération et de Développement Economiques (OCDE). Nous allons nous inspirer de la théorie « Quadruple Helix of Innovation » (QH) pour construire un modèle théorique de croissance économique afin d’évaluer le rôle joué par un ensemble d’infrastructures technologiques, en présence des systèmes ouverts d’innovation et du « Mode 3 » de production des connaissances. Nous avons choisi la récente théorie QH au sein des Systèmes Nationaux d’Innovation (SNI) car elle décrit une nouvelle réalité économique où l’innovation est considérée comme le résultat de la co-création entre les entreprises, les citoyens, les universités et le gouvernement, dans un contexte caractérisé par l'existence de partenariats, de réseaux de collaboration et de relations symbiotiques. Un modèle théorique de croissance économique axé sur la R&D et avec des dépenses publiques productives sera élaboré afin de démontrer l’importance de l’existence des infrastructures technologiques et il sera possible d’apprécier les effets des dépenses publiques productives à travers une étude de « dynamique transitoire » et une analyse empirique fondée sur la nouvelle base de données CANA (2011). / Our study has the aim of defining the impact generated by the technological infrastructure on innovation and economic growth in the countries of the Organization for Economic Cooperation and Development (OECD). We will draw inspiration from the "Quadruple Helix of Innovation" theory (QH) in order to construct a theoretical model of economic growth that will assess the role played by a set of technological infrastructures belonging to different "innovation ecosystems", in the presence of innovation open systems and the "mode 3" of knowledge production. We chose the recent QH theory on National Innovation Systems (NIS) as it describes a new economic reality where innovation is seen as the result of co-creation between businesses, citizens, universities and government, in a context characterized by the existence of partnerships, networks of collaboration and symbiotic relationships. A theoretical model of economic growth based on R & D and on productive public spending will be developed to demonstrate the importance of the existence of technological infrastructure in promoting innovation, and ultimately its contribution to economic growth. This will make it possible to evaluate the effects of productive public spending through a study of "transitional dynamics" and an empirical analysis based on the new database CANA (2011).
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Attractivité du Canada : l'investissement direct étranger et dynamique de la croissance

El Aoumari, Zineb January 2009 (has links) (PDF)
La décision d'investir dans un pays peut être motivée par plusieurs déterminants. Dans l'analyse de l'attractivité des firmes transnationales pour les investissements directs étrangers, ces déterminants revêtent une importance cruciale. En fait, de nombreux déterminants des investissements directs étrangers ont été recensés dans la littérature économique comme le capital humain, le degré d'ouverture économique, l'inflation, l'infrastructure, etc. Dans le cadre de cette étude, la question soulevée est de savoir si les investissements directs étrangers des firmes transnationales implantées au Canada, par l'intermédiaire ces déterminants, ont un effet sur sa croissance économique. En effet, nous tentons au cours de ce travail de réaliser une analyse empirique pour mettre en exergue l'impact à long terme de ces déterminants sur la croissance économique du Canada. En appliquant, dans un premier temps le test de racine unitaire pour chacune des variables retenues, on passe par la suite à l'étude de la relation de long terme entre les différentes variables et le PIB en appliquant le test de cointégration et enfin, on va tester la causalité des variables. Les résultats montrent que l'impact des investissements directs étrangers sur la croissance économique du Canada dépend étroitement du degré d'ouverture ainsi que du taux de change. La présente étude est organisée comme suit: Le premier chapitre est consacré à la présentation de la répartition géographique et sectorielle de l'investissement direct étranger au Canada. Le chapitre suivant donne lieu à une brève discussion de la littérature existante sur les investissements directs étrangers et sur la croissance économique. Le modèle utilisé au cours de cette étude, ainsi que les résultats empiriques sont décrites dans le dernier chapitre. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Investissement direct étranger, Firme transnationale, Croissance.
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Politiques d'ouverture commerciale et développement économique

Niyongabo, Gilbert 10 September 2007 (has links) (PDF)
Depuis plus d'une vingtaine d'années, les pays en développement ont entrepris des réformes économiques afin de rétablir leurs équilibres commerciaux et budgétaires. Ils ont, par la même occasion, ouvert leurs frontières économiques en faisant baisser les barrières au commerce. Dans certains pays d'Asie du Sud-Est, la mise en place des politiques d'ouverture commerciale a provoqué une hausse des taux de croissance économique. Dans d'autres régions du monde, comme en Afrique Sub-Saharienne ou en Amérique Latine, malgré une légère hausse des taux d'ouverture, la croissance économique n'a pas atteint les niveaux attendus.<br />Dans cette thèse, nous proposons de revenir sur les différents effets de l'ouverture commerciale sur le développement économique. Ainsi, nous distinguons l'ouverture « naturelle » qui est déterminée par la structure économique et l'abondance des ressources naturelles des politiques d'ouverture qui sont purgées de ces variables. Ensuite, nous testons les effets des deux variantes de l'ouverture commerciale sur le développement économique. Les résultats de nos estimations économétriques montrent que la croissance économique est plus élevée pour des pays<br />qui ont mis en place des politiques d'ouverture que pour des pays ouverts grâce à leurs ressources<br />naturelles. L'adoption des politiques d'ouverture semble offrir l'avantage de stimuler une hausse<br />des taux d'investissement et de la productivité des facteurs dans un environnement de concurrence internationale. Par ailleurs, nous testons l'effet interactif entre l'adoption des politiques d'ouverture et l'instauration de la bonne gouvernance du début des années 90 dans bon nombre de pays en développement. Nos résultats nous amènent à conclure que la bonne gouvernance et l'adoption des politiques d'ouverture agissent de façon interactive et sont positivement associés à l'augmentation des revenus, à la réduction des inégalités et à<br />l'amortissement des chocs commerciaux. Nous concluons, en fin de compte, que l'adoption des<br />politiques d'ouverture s'accompagne du développement économique.
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Développement financier et croissance économique : la structure financière joue-t-elle un rôle?

Diop, Thiémokho 04 1900 (has links) (PDF)
Ce mémoire est une contribution dans l'analyse de la relation entre développement financier et croissance, plus spécifiquement du lien entre structure financière et croissance économique. Même si la plupart des études ont conclu à l'existence d'une relation positive entre développement financier et croissance, le lien entre structure financière et croissance économique reste ambigu. Les nombreux travaux empiriques réalisés depuis plusieurs années sur la question, ont conclu soit à l'absence de corrélation entre la structure financière et la croissance, soit à un lien différencié selon le niveau de développement. Tous ces auteurs, qui se sont appuyés sur des bases de données assez larges et des méthodes économétriques de plus en plus sophistiquées, n'ont pas jusque-là abordé l'analyse de cette relation en tenant compte des notions "d'institutions appropriées" et de "distance à la frontière". La démarche méthodologique que nous avons adoptée s'est inspirée de cette "lacune" pour spécifier un modèle économétrique qui contribue à la clarification de ce lien. A cet effet, nous avons réalisé, avec Stata, une série de régressions en coupe transversale et sur panel dynamique du taux de croissance de 88 pays sur des variables de structure financière et des variables d'interaction entre celles-ci et la distance à la frontière technologique. Les résultats obtenus ont montré l'existence, dans les données, d'une forte relation négative entre la proximité à frontière et la croissance économique des pays orientés vers les banques et ceux où prédominent les marchés financiers. Qui plus est, l'introduction du concept "d'institutions appropriées" a permis de montrer que les pays orientés vers les intermédiaires financiers font de meilleures performances économiques quand ils se situent loin derrière la frontière technologique, mais que ces pays doivent, pour rester performants, réorienter leur système financier vers les marchés financier lorsqu'ils accèdent à une étape de développement ultérieure. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Développement financier, structure financière, croissance économique, institutions appropriées, distance à la frontière.
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Impact de la libéralisation financière sur la croissance économique du Maroc : essai d'analyse rétrospective / Impact of financial liberalization on Morocco's Economic Growth : try retrospective analysis

Didi, Adil 29 January 2016 (has links)
La relation entre le développement financier et la croissance économique a suscité une attention particulière dans la littérature économique durant ces dernières décennies. Notre recherche tente d’apprécier les effets du processus de libéralisation du système financier au Maroc sur la croissance économique. Les résultats obtenus montrent la nécessité de mettre en place des mécanismes permettant d’optimiser les répercussions positives de la libéralisation financière sur l’économie réelle. Ainsi définie, la libéralisation financière est perçue dans certains pays développés au cours de la décennie 70, tantôt comme une stratégie idéologiquement élaborée par les autorités concernées, tantôt comme une contrainte imposée par le marché. Son évolution ne s’est étendue à la quasi-totalité des pays en développement que durant la décennie 80, avec l’institution des Programmes d’Ajustement Structurel et le déclenchement du processus de mondialisation. Conscient du rôle majeur que peut jouer le secteur financier dans la dynamisation de l’activité économique nationale, les autorités marocaines ont lancé depuis le début des années 90 un processus continu et ininterrompu de réformes à travers notamment la levée des contraintes qui pesaient sur le système bancaire marocain, sur le développement du marché des capitaux et sur la libéralisation du mode de financement du Trésor. La finalité étant de développer la physionomie du secteur financier, pour en faire un instrument efficient de mobilisation de l’épargne, et de sa canalisation vers le financement de l’investissement d’une croissance durable, génératrice de richesse et réductrice de de chômage et de pauvreté. / The relationship between financial development and economic growth has attracted particular attention in the economic literature in recent decades. Our research tries to assess the effects of liberalization of the financial system in Morocco on economic growth. The results show the need to put in place mechanisms to optimize and strengthen the positive impact of financial liberalization on the real economy. Thus defined, financial liberalization is seen in some developed countries during the 70s, sometimes ideologically as a strategy developed by the authorities concerned, sometimes as a constraint imposed by the market. Its evolution has intensified and spread to almost all developing countries during the 80s, with the institution of Structural Adjustment Programmes (SAP) and the outbreak of the globalization process. Recognizing the important role that the financial sector can play in boosting national economic activity, the Moroccan authorities have launched, since the early 90s, a continuous and uninterrupted process of reform, in particular through the lifting of constraints on the Moroccan bank system, on the development of capital market liberalization and the way to finance the Treasury. The aim is to develop and improve the face of the financial sector to make it an efficient instrument of mobilization and development of savings and its channeling towards the financing of investment for strong, sustainable growth, generating wealth and reducing unemployment and poverty.
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Implications of banking regulation for banking sector stability and welfare

Tchana Tchana, Fulbert January 2008 (has links)
Thèse numérisée par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal.
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Pauvreté et croissance : le cas particulier des pays de l’Afrique centrale : Cameroun, Congo et République Centrafricaine / Growth and Poverty : case Study of Central African Countries : Cameroon, Congo and Central African Republic

Gaboua, Solange Patricia 17 December 2012 (has links)
Cette thèse procède à une analyse comparative de l’évolution de la pauvreté monétaire et non monétaire dans trois pays de la Communauté Economique et Monétaire de l’Afrique Centrale (Cameroun, Congo et RCA). Après un rappel des approches théoriques de la pauvreté, les différentes stratégies d’éradication de la pauvreté mises en oeuvre en Afrique subsaharienne, elle aborde quelques faits stylisés concernant la croissance économique et la pauvreté dans les trois pays susmentionnés. Enfin, nous traitons empiriquement la relation entre la croissance économique et la pauvreté non monétaire dans les trois pays en s’inspirant des travaux de Moser et Ichida (2001). Les résultats obtenus montrent que la croissance économique agit positivement sur l’espérance de vie, le taux d’éducation primaire et négativement sur le taux de mortalité infantile. Ces résultats ont des implications directes en termes de politique économique. / This thesis presents a comparative analysis of the evolution of monetary and non-monetary poverty of three countries of the Economic and Monetary Community of Central Africa (Cameroon, Congo, and Central African Republic). After a review of theoretical approaches of poverty and different strategies for poverty eradication implemented in Sub-Saharan Africa this work explores the stylized facts concerning the economic growth on poverty reduction in the three countries. Finally, we empirically examine the relationship between economic growth and non-income poverty using Moser and Ichida (2001) model. We find that an increase in GDP per capita leads to an increase in life expectancy, an increase in the rate of gross primary school enrolment and a decline in infant mortality rates. These results have direct policy implications.
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La croissance en Afrique et les investissements directs étrangers / Economic growth in Africa and foreign direct investment

Koné, Famaria Djibril 15 December 2014 (has links)
Partant du premier constat selon lequel, le continent africain a été et reste encore aujourd’hui, celui dont les habitants sont les plus pauvres du monde, nous nous sommes assigné comme objectif d’essayer d’en identifier les tenants et les aboutissants. A la lumière des avancées en matière de théorie de la croissance, nous avons énumérés les deux principaux mécanismes convoyeurs de croissance économique, à savoir l’accumulation des facteurs de production et le progrès technique. Ensuite comme second constat, nous avons remarqué qu’à la fois le taux d’investissement et le niveau de progrès technique était plus faible sur le continent africain, qu’ailleurs. Conscient également de cet état des choses, les instances dirigeantes de ces pays, ont entrepris d’attirer le plus d’investissements étrangers possible, considérés d’une part comme un moyen de contourner le déficit d’investissements productifs et d’autre part comme un mode d’adoption de nouvelles technologies. C’est pourquoi, l’impact des investissements directs étrangers sur la croissance économique des pays en voie de développement et africains en particuliers, a constitué l’objet de notre étude. Nous avons décelé dans notre étude, comme dans la littérature sur le sujet, un impact des IDE sur l’investissement local en Afrique neutre, soutenant l’hypothèse que ces investissements augmentent au moins le stock de capital physique par tête des pays africains de notre échantillon. Ce faisant, les IDE vont influer sur le revenu par tête des pays de notre échantillon, dans des proportions différentes mais selon le même principe que les investissements dits nationaux. On a constaté que les investissements directs étrangers, ont eu un impact moyen positif supérieur sur le niveau de revenu par tête de long terme (22% de hausse quinquennale moyenne), à celui des investissements domestiques (0,5% de hausse quinquennale moyenne). Cependant, nous n’avons pas enregistré d’effets d’externalités de productivités positives au sein de ces pays, liées à la présence d’entreprise étrangères. Au sein d’un échantillon plus large cette fois-ci, comprenant aussi bien des pays développés, en voie de développement et africains, nous avons trouvé que les IDE deviennent significatifs pour le processus de rattrapage technologique, via des externalités de productivité, quand le ratio de productivité totale des facteurs du pays hôte par rapport à celui des Etats-Unis, est supérieur ou égal à 0,47. Donc, pour bénéficier au maximum de la présence de multinationales sur leur territoire, les pays africains doivent mettre au préalable en place, de bonnes conditions politiques, économiques et sociales, leur permettant d’améliorer leurs capacités d’absorption (écart raisonnable de productivité vis-à-vis des Etats-Unis). / Starting with the first observation that the African continent has been and still is, one whose inhabitants are the poorest in the world, we have assigned a target to try to identify the ins and outs. In light of advances in growth theory, we have listed the two main mechanisms conveyors of economic growth, namely the accumulation of factors of production and technical progress. As second observation, we noticed that both the investment rate and the level of technical progress was lower on the African continent than elsewhere. Also aware of this situation, the governments of these countries have begun to attract more foreign investment as possible, on the one hand considered as a way to circumvent the lack of productive investment and secondly as a mode of adoption of new technologies. Therefore, the impact of FDI on economic growth in developing countries and in Africa in particular, has been the object of our study. We found in our study, as in the literature on the subject, that the impact of FDI on domestic investment in Africa is neutral, supporting the assumption that these investments increase at least the stock of physical capital per head of our African sample. In doing so, the FDI will affect the per capita income of countries in our sample, in different proportions but according to the same principle as the national investments. We found that foreign direct investment, had an average positive upper impact on the long-term level of per capita income (22% average increase every five-year) than domestic investment (0.5% average increase every five-year) . However, we have not registered positives productivity externalities in these countries, due to the presence of foreign business. Within a larger sample this time, including as well developed countries, developing countries and African countries, we found that FDI becomes significant for the process of technological catching-up, by productivity externalities when the ratio of total factor productivity in the host country compared to the United States is greater than or equal to 0.47. So to get the most from the presence of multinationals in their territory, African countries must first establish, good political, economic and social conditions, enabling them to improve their absorptive capacity (reasonable productivity gap vis -à-vis the United States).
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Human capital formation in Europe at the regional level - implications for economic growth / La formation du capital humain en Europe au niveau régional - implications sur la croissance économique

Hippe, Ralph 30 October 2013 (has links)
La thèse traite le sujet de la formation du capital humain en Europe au niveau régional et ses implications sur la croissance économique. Elle est caractérisée par son approche à la fois régionale, à long terme et européenne. A cet effet, je me réfère à la Théorie de la Croissance Unifiée et à la Nouvelle Economie Géographique qui sont les contributions théoriques les plus importantes dans le domaine et je construis une nouvelle grande base de données sur la formation du capital humain et d’autres facteurs à partir de nombreuses sources diverses. Pour les analyses empiriques, des méthodes spatiales et SIG ont été employées en plus des modèles économétriques standards. Ainsi, la thèse explore la formation du capital humain dans les régions du continent européen entre 1790 et 2010. Par ailleurs, elle souligne la relation entre les indicateurs du capital humain ainsi que les déterminants du capital humain et les implications du capital humain sur la croissance économique à long terme. / This thesis highlights the formation of human capital in the European regions and its implications for economic growth. It is characterised by its combined regional, long-term and European approach. To this end, I refer to Unified Growth Theory and New Economic Geography as the most important recent theoretical contributions and construct an unparalleled new and large database on regional human capital and other economic factors from numerous diverse sources. For the empirical analysis, spatial and GIS methods are employed in addition to standard econometric models. In this way, the thesis explores human capital formation in the regions of the European continent between 1790 and 2010. Moreover, it underlines the relationship between human capital proxies, the determinants of human capital and the long-run impact of human capital on economic growth.
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Policy-Mix et croissance économique dans la zone UEMOA / Policy-Mix and economic growth in the WAEMU zone

Wade, Aïda 18 April 2015 (has links)
La zone UEMOA a connu de profonds déséquilibres macroéconomiques au cours de la décennie 1980. Pour y remédier un Pacte de Stabilité a été adopté en décembre 1999. Par la suite des progrès considérables ont été observés, toutefois des limites liées au manque de crédibilité des dispositifs de sanction, au caractère peu incitatif du pacte ainsi que la priorité accordé à la maitrise de l’inflation ont été relatés. Ainsi ce travail de recherche consiste à déterminer les effets du Policy-mix sur la croissance économique dans la zone UEMOA. Les résultats suggèrent d’une part que le choix du solde budgétaire de base n’est pas favorable et d’autre part qu’il faudrait revoir le plafond de la dette après les initiatives d’allègement. Ils révèlent que les politiques budgétaires sont insatisfaisantes et que le fédéralisme budgétaire est la meilleure solution pour faire face aux chocs budgétaires asymétriques affectant la zone. / WAEMU area knew profound macroeconomic imbalance during decade 1980. To remedy it a Stability pact was adopted in December, 1999. Subsequently considerable progress was observed, however limitations of the credibility gap of the devices offenders, to the little incentive character of the pact as well as priority granted to the inflation control were told. So this research addresses the impact of policy mix on the economic growth in the WAEMU area. Results suggest on the one hand that the choice of the budgetary basic balance isn’t favorable and on the other hand that it would be necessary to revise the debt ceiling after debt repayment. They reveal that the budgetary policies are unsatisfactory and fiscal federalism is the best solution to deal with the asymmetric budgetary shocks affecting the area.

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