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Attractivité du Canada : l'investissement direct étranger et dynamique de la croissanceEl Aoumari, Zineb January 2009 (has links) (PDF)
La décision d'investir dans un pays peut être motivée par plusieurs déterminants. Dans l'analyse de l'attractivité des firmes transnationales pour les investissements directs étrangers, ces déterminants revêtent une importance cruciale.
En fait, de nombreux déterminants des investissements directs étrangers ont été recensés dans la littérature économique comme le capital humain, le degré d'ouverture économique, l'inflation, l'infrastructure, etc. Dans le cadre de cette étude, la question soulevée est de savoir si les investissements directs étrangers des firmes transnationales implantées au Canada, par l'intermédiaire ces déterminants, ont un effet sur sa croissance économique. En effet, nous tentons au cours de ce travail de réaliser une analyse empirique pour mettre en exergue l'impact à long terme de ces déterminants sur la croissance économique du Canada. En appliquant, dans un premier temps le test de racine unitaire pour chacune des variables retenues, on passe par la suite à l'étude de la relation de long terme entre les différentes variables et le PIB en appliquant le test de cointégration et enfin, on va tester la causalité des variables. Les résultats montrent que l'impact des investissements directs étrangers sur la croissance économique du Canada dépend étroitement du degré d'ouverture ainsi que du taux de change. La présente étude est organisée comme suit: Le premier chapitre est consacré à la présentation de la répartition géographique et sectorielle de l'investissement direct étranger au Canada. Le chapitre suivant donne lieu à une brève discussion de la littérature existante sur les investissements directs étrangers et sur la croissance économique. Le modèle utilisé au cours de cette étude, ainsi que les résultats empiriques sont décrites dans le dernier chapitre. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Investissement direct étranger, Firme transnationale, Croissance.
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The determinants and the forms of foreign direct investment : the case of lebanese banking sectorMansour, Charbel 11 1900 (has links) (PDF)
Dans mon étude, j'ai visé la question concernant les déterminants de l'investissement Direct à l'étranger, dans le secteur bancaire libanais couvrant la période d'après-guerre. Pourquoi le secteur bancaire libanais? Il faut savoir que l'activité bancaire au Liban a vu son essor depuis l'indépendance (les années 40 du siècle dernier) quand tous les mouvements des capitaux et les opérations d'échanges furent légalisés. La promulgation de la loi du secret bancaire en 1956 avait souligné un évènement de la plus haute importance, ce qui se répercuta positivement sur l'évolution du secteur bancaire libanais. Le Liban est alors devenu un asile sûr pour les capitaux qui affluèrent du monde arabe, en l'an 1965 une centaine de banques libanaises et étrangères étaient en activité dans le pays des cèdres. Dans l'étude des documents, j'ai identifié un groupe de variables qui ont leur effet sur l'(IDE). Ces variables sont classifiées en trois groupes ; la motivation du pays hôte, les risques du pays hôte, et les déterminants des firmes de l'(IDE). En se basant sur l'étude des documents, j'ai développé un cadre conceptuel qui consiste à étudier les effets de certaines variables sur l'acte de percevoir le risque, selon les investisseurs étrangers, durant la procédure de la décision prise pour l'investissement en la comparant avec la perception du risque que les investisseurs possèdent au temps présent. Ces variables furent classifiées selon quatre groupes: les spécificités de la firme-mère, le contexte social et économique du pays, les risques politiques, les sources financières locales. Puis j'ai développé onze hypothèses pour l'utilisation d'un questionnaire-test. Tandis que pour l'enquête, j'ai sélectionné trente et une banques actuelles, choisies de la liste des banques commerciales actives, donnée par la banque centrale. Parmi ces banques il existe des banques commerciales étrangères (arabes et non arabes), et les banques commerciales libanaises sous un contrôle étranger (arabe, et non arabe). Le questionnaire fut dirigé vers des individus ayant des postes de cadre supérieur dans les banques, et jouent le rôle majeur dans les décisions radicales de prise de position dans l'investissement. Dans l'analyse, j'ai utilisé des procédures d'univariante et de bivariante pour tester l'hypothèse, ceci me laissa conclure les résultats suivants:
-Les banques arabes sont toujours en tête de liste des banques étrangères, car le secteur bancaire dériva vers Beyrouth la majorité des capitaux arabes provenant du Crelfe.
-Le Liban possède heureusement une culture vivace d'entrepreneur, innée et naturelle.
-La loi du secret bancaire, consiste un facteur essentiel dans les décisions d'investissement dans le secteur bancaire libanais, cette loi est devenue la pierre angulaire dans l'attraction d'un grand nombre de capitaux étrangers.
-La plupart des banques étrangères a clairement souligné son mécontentement de la lenteur de la procédure administrative libanaise, pour obtenir des permis des autorités étatiques.
-La force ouvrière libanaise hautement éduqués constitue un facteur important dans l'attraction des (IDE), elle continue son training continuel, et son éducation de mise à jour.
-Le secteur bancaire utilise le Hi-tec intensivement et s'améliore progressivement.
-La majorité des banques étrangères adoptent le système de « la subsidiaire possédante en majorité » comme mode de travail en tant que : implication première.
Ceci réduit en premier lieu le risque de perdre le contrôle, et en second lieu ce système donne à la banque une gérance serrée des opérations qui se font dans des pays différents.
-Le pays d'origine et la densité de la firme-mère n'ont aucun effet signifiant sur l'(IDE) dans le secteur bancaire libanais.
-L'expérience internationale de la firme-mère a un effet positif sur l'(IDE).
-La taille du marché et la croissance sont positivement en relation avec le niveau du (IDE).
-Les conditions économiques ne possèdent aucun effet sur (IDE) dans le secteur bancaire libanais.
-Les risques politiques ont un effet négatif sur (IDE).
-Les qualités et le niveau d'éducation chez les employés de ce secteur, influent le volume des revenus de (IDE).
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Les choix stratégiques des firmes multinationales et la relation entre les exportations et les IDE : application d'un modèle Probit bi-varié, et d'un modèle de gravité dynamique aux pays MéditerranéensSabra, Mahmoud 06 July 2011 (has links) (PDF)
Dans cette thèse, nous discutons la relation entre les exportations et l'IDE, et tentons de trouver une relation de long terme entre ces variables. Dans cette analyse, nous étudierons tout d'abord de manière empirique les déterminants des exportations et des l'IDE, à la fois au niveau micro et macro. Ceci nous permettra par la suite de détecter plus précisément la relation entre ces deux variables. Plus précisément, cette thèse comporte les points suivant : Au niveau micro (niveau de la firme), les multinationales sont susceptibles de mettre en œuvre les deux activités (exportations et IDE) pour servir les marchés étrangers, mais les choix stratégiques des multinationales permettent aussi de choisir entre exportations et IDE. Sur ce point, la productivité des entreprises multinationales ainsi que leurs autres caractéristiques ont un rôle crucial pour éclairer le mécanisme de choix entre les stratégies et la relation entre exportations et investissements. Ceci fera l'objet de la première partie qui proposera une application au cas français. Dans cette partie, nous distinguerons également les décisions stratégiques en fonction de la taille de l'entreprise (très grandes ou grandes entreprises françaises). Au niveau macro, nous chercherons à identifier les déterminants simultanés des exportations et des IDE. Pour se faire, un système gravitaire dynamique bivarié sera estimé afin d'éclairer le rôle de ces déterminants et la relation entre exportations et IDE. Ceci fera l'objet de la seconde partie, qui sera appliquée aux échanges entre la France et dix partenaires euro-méditerranéens. Le choix de ces pays s'appuie sur l'importance qu'ils revêtent dans les échanges français. Par ailleurs, l'absence de littérature appliquée à ces pays dans ce domaine constitue une motivation supplémentaire.
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Les stratégies des entreprises chinoises en Afrique : quels objectifs, quelle coopération ? / Strategies of Chinese firms in Africa : what targets, which cooperation?Diaby, Fodé Siré 24 June 2014 (has links)
Au cours de ces trois dernières décennies l’économie chinoise a multiplié son PIB par 15. Pour soutenir une forte croissance interne et assurer ses approvisionnements en matière première et énergétique, la Chine s’est tournée vers l’Afrique en y augmentant rapidement et fortement ses investissements directs étrangers lors des dix dernières années. Deuxième partenaire commercial africain, investisseur stratégique, allié au développement et pourvoyeur financier, ce pays bouleverse les rapports de force qui s’étaient instaurés depuis les indépendances sur le continent. L’objet de ce travail est d’évaluer l’impact des IDE chinois sur le taux de croissance de 38 pays africains partenaire de la Chine entre 2003 et 2011. Nous avons articulé notre réflexion sur la question suivante : la coopération sino-africaine permet-elle aux pays africains de lutter contre la pauvreté, le chômage dans leur pays et surtout d’entamer un véritable processus de développement économique ? Pour répondre, nous avons analysé le mode de croissance chinois, les fondements de la politique africaine de la Chine, les raisons qui poussent les entreprises chinoises à aller investir en Afrique, les impacts politiques et économiques de la Chine en Afrique et enfin nous avons réalisé une étude empirique mesurant les effets des IDE chinois en Afrique. Nos résultats économétriques montrent que les IDE chinois n’ont pas d’effet significatif sur le PIB par tête de ces 38 pays africains, notamment à cause de la politique des entreprises chinoises en Afrique qui encourage les investissements dans les secteurs qui créent moins d’emploi local et qui ne permettent pas de vrai transfert de technologie. / For the last three decades, the Chinese economy has multiplied it GDP by 15. In order to maintain a strong home economical growth and insure a constant supply of raw material and energy, China turned towards the African continent by quickly and firmly multiplying its foreign direct investments during the last ten years. By becoming the second largest business partner of Africa, as well as a strategic investor, a financial supplier and associated for the development; China has now overturned the balance of powers which had been established since the decolonization of Africa. The purpose of this study is to estimate the impact of the Chinese FDI on the growth rate of 38 African countries between 2003 and 2011. We have centred our reflection on the following questions: What are the impacts of the economical cooperation between China and African countries on poverty, unemployment and; does this cooperation encourage the possibility to start a real process of economic development in Africa? In order to come to a conclusion on this matter, we have analyzed the way through which China achieves economical growth, the foundations of China’s African Policy, as well as the reasons for Chinese companies to invest in Africa and the political and economical impacts of China’s Policy in Africa. Finally, we led an empirical study measuring the effects of the Chinese FDI in Africa. Thanks to our econometric study, we came to the conclusion that the Chinese FDI has no significant effect on the GDP per capita of these 38 African countries. Because they are invested in sectors which end up creating less local employments and which, eventually do not allow a real transfer of technologies …
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Les choix stratégiques des firmes multinationales et la relation entre les exportations et les IDE : application d’un modèle Probit bi-varié, et d’un modèle de gravité dynamique aux pays Méditerranéens / The strategic choice of the multinational firms and the relationship between exports and FDI : application of bivariate probit model, and dynamic gravity model in the Mediterranean areaSabra, Mahmoud 07 July 2011 (has links)
Dans cette thèse, nous discutons la relation entre les exportations et l’IDE, et tentons de trouver une relation de long terme entre ces variables. Dans cette analyse, nous étudierons tout d’abord de manière empirique les déterminants des exportations et des l’IDE, à la fois au niveau micro et macro. Ceci nous permettra par la suite de détecter plus précisément la relation entre ces deux variables. Plus précisément, cette thèse comporte les points suivant : Au niveau micro (niveau de la firme), les multinationales sont susceptibles de mettre en œuvre les deux activités (exportations et IDE) pour servir les marchés étrangers, mais les choix stratégiques des multinationales permettent aussi de choisir entre exportations et IDE. Sur ce point, la productivité des entreprises multinationales ainsi que leurs autres caractéristiques ont un rôle crucial pour éclairer le mécanisme de choix entre les stratégies et la relation entre exportations et investissements. Ceci fera l’objet de la première partie qui proposera une application au cas français. Dans cette partie, nous distinguerons également les décisions stratégiques en fonction de la taille de l’entreprise (très grandes ou grandes entreprises françaises). Au niveau macro, nous chercherons à identifier les déterminants simultanés des exportations et des IDE. Pour se faire, un système gravitaire dynamique bivarié sera estimé afin d’éclairer le rôle de ces déterminants et la relation entre exportations et IDE. Ceci fera l’objet de la seconde partie, qui sera appliquée aux échanges entre la France et dix partenaires euro-méditerranéens. Le choix de ces pays s’appuie sur l’importance qu’ils revêtent dans les échanges français. Par ailleurs, l’absence de littérature appliquée à ces pays dans ce domaine constitue une motivation supplémentaire. / In this thesis, we discuss the relationship between exports and FDI, and we aim to find a long-term relationship between these variables. In the course of the thesis analysis, we study empirically the exports and FDI determinants, at macro and micro analysis. This allows us to detect precisely the relationship between the both variables. In other words, this thesis carry out the following points: at micro level (company level), the multinationals are likely to implement the two activities (exports and FDI) to serve the foreign market, but the multinationals strategic choice can also choose between exports and FDI. On this point, the productivity of the multinational corporations and their other characteristics have a crucial role to clarify the mechanism of the choice between strategies and the relationship between exports and FDI. In fact, this is the first empirical part, which is the first similar application on the French companies. In the part, we also distinguish between strategic decisions based on company on the company size (large, very large and both groups of French enterprises).At the macro level, we will seek to identify the simultaneous determinants of exports and FDI. To do so, a gravity system is estimated bivariate dynamic equations to illuminate the role of these determinants and the relationship between exports and FDI. This is the second empirical part, which is applied on the capital and goods exchange between France and ten Mediterranean partners. The choice of these countries based on their importance in French trade. Moreover, the lack of the literature applied to these countries in this area is extra motivation.
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Institution et investissement : impact de l’environnement institutionnel sur l’entrée d’IDE au Cambodge / Institution and investment : impact of the institutional environment on FDI inflow in CambodiaChan, Narith 17 May 2011 (has links)
Dans le cadre de la Nouvelle Economie Institutionnelle, Douglass C. North a développé une nouvelle approche théorique des institutions pour donner une nouvelle explication au développement économique. L’une des explications est celle du déterminant institutionnel des IDE. En prenant le Cambodge comme champ d’étude, cette thèse a pour objectif de participer à la vérification empirique de la relation entre institution et IDE, en montrant que l’environnement institutionnel relativement peu solide du Cambodge décourage les investisseurs. Actuellement, le Cambodge demeure une option pour les entreprises qui cherchent une localisation pour s’implanter, mais les risques associés à ces investissements liés à son encadrement légal et règlementaire perçus par les firmes étrangères restent parmi les inquiétudes. Les réformes institutionnelles n’ont alors pas seulement pour buts de rendre à la société un ordre public juste et des services publics appropriés et efficace, mais aussi de favoriser les investissements directs étrangers dont le rôle dans le développement est déjà confirmé. / As part of the New Institutional Economics, Douglass C. North, has developed a theory of institutions as a new approach to the economic development study in which institutions play a key role. According to this theory, the presence of a strong institutional environment accelerates the development process; among the explanation, the determinant role of the institutional environment for FDI. Taking Cambodia as field of study, this dissertation tends to provide more evidence of this institution-FDI relation by showing that the relatively weak institutional environment in Cambodia discourage foreign investors. With its advantages, the kingdom is perceived by foreign firms as an attractive option for investment, but the investment risks resulting from the country’s legal and regulatory framework perceived by foreign firms, are among the concerns. Thus, the institutional reforms are not only used to give to society the public order, the adequate and effective public services with rule of law but also to promote foreign direct investments whose role in development has already confirmed.
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La politique de promotion et d'attraction de l'investissement en Algérie / The policy of promoting and attracting of foreign direct investment in AlgeriaOuguenoune, Hind 14 December 2014 (has links)
L’attractivité des pays est aujourd’hui une composante importante de la politique économique ; elle est au centre des politiques de promotion, d’aménagement et de développement. Avec la mondialisation de l’économie où la réduction des coûts de transport et de télécommunications a anéanti les distances, les firmes désireuses de s’implanter à l’étranger font monter les enchères quant à leur sélection et choix d’implantation ; les pays se retrouvent en situation de concurrence et mettent tout en œuvre, non seulement pour attirer les investissements mais aussi pour les retenir. Les Etats deviennent ainsi les promoteurs de leurs propres territoires afin de séduire les firmes multinationales dans un contexte de surenchère puisque les projets d’investissement sont en nombre limité et que la liste des territoires candidats à leur accueil ne cesse de s’allonger.De par la signature de l’Accord d’association avec l’Union Européenne et des négociations en vue de son adhésion à l’Organisation Mondiale du Commerce (OMC), l’Algérie vise la libéralisation de son économie et son ancrage dans l’économie internationale. Dans cette libéralisation interviennent les investissements directs étrangers (IDE). L’intérêt de l’Algérie est dans les retombées tant managériales, économiques que sociales sur son économie. Pour cela, l’Algérie a prévu un certain nombre de textes et de lois régissant les fondements de sa politique d’investissement qui donne des garanties et des avantages certains aux investisseurs. Dans son processus de transition d’une économie centralisée à une économie de marché déclenché des la fin de l’année 1988, le gouvernement algérien s’est imposé une politique de réformes structurelles qui a permis de rétablir les équilibres macro-économiques, la libéralisation de l'économie, sa dotation en infrastructures modernes et la diminution du risque-pays. Ces réformes ont permis l’accroissement des flux d’IDE vers l’Algérie. Cependant, ces résultats restent en deçà du potentiel d'investissement du pays : l’Algérie n’attire pas suffisamment de firmes étrangères comparativement aux pays voisins. Bien que l'Algérie ait enregistré des résultats positifs dans certains secteurs tels que les hydrocarbures, les télécommunications, la sidérurgie et la pharmacie ; les réformes introduites depuis les années 90 se sont révélées insuffisantes. Et la politique de promotion et d’attraction des IDE menée n’a pas réalisé les objectifs escomptés. De même, les recettes des exportations d’hydrocarbures n’ont pas permis de créer un tissu industriel compétitif et de permettre à l’investissement productif de jouer un rôle plus important dans l’économie du pays. L’essentiel de l’effort productif privé est orienté vers l’économie spéculative au détriment d’une économie productive. Les IDE que l’ouverture de l’économie algérienne et son important potentiel devaient attirer, demeurent faibles. Pourtant, le dispositif juridique mis en place en Algérie donne des avantages et des garanties certains aux investisseurs étrangers. / The attractiveness of the country is now an important component of economic policy; it is the center of political promotion, planning and development. With the globalization of the economy where cost reduction of transport and telecommunications annihilated distance, firms wishing to establish themselves abroad are upping the ante on their selection and choice of location , the country found in competition and make every effort not only to attract investment but also to retain them. And states become promoters of their own territories to attract multinational firms in the context of escalation as investment projects are limited and that the list of candidates to their home territories continues to grow. By the signing of the Association Agreement with the European Union and negotiations for its accession to the World Trade Organization (WTO ), Algeria aims to liberalize its economy and its roots in the international economy. Involved in the liberalization of foreign direct investment (FDI). The interest of Algeria in both managerial benefits, economic and social impact on its economy. To do this, Algeria has provided a number of texts and laws governing foundations of its investment policy that guarantees and advantages to investors.It is around the elements of the problem mentioned above that will focus our research in attempting to answer the following key questions : What determines the choice of multinational firms in the location of their investment, in other words what are the ex ante determinants of FDI ? What are the main instruments of economic and financial policy or the means used by governments to encourage and attract foreign investment ? What are the effects of these policies on FDI flows ?What about Algeria and its policy of promoting investment ? What are the effects of this policy, including the legal framework set up on FDI in Algeria? This device is sufficient to attract foreign investors?In its transition from a centralized to a market economy triggered the end of the 1988 economy , the Algerian government has imposed a policy of structural reforms that helped restore macroeconomic balances , liberalization economy, its modern infrastructure and staffing reduction of country risk . These reforms have increased FDI flows to Algeria. However, these results remain below the investment potential of the country: Algeria does not attract enough foreign firms compared to neighboring countries. Although Algeria has recorded positive results in certain sectors such as hydrocarbons , telecommunications, steel and pharmacy reforms introduced since the 90s have proved insufficient . And policy promotion and attraction of FDI led has not achieved the desired objectives. Similarly, revenues from hydrocarbon exports have failed to create a competitive industrial structure and allow for productive investment to play a more important role in the economy. Most of the private productive effort is directed toward the speculative economy at the expense of a productive economy . FDI that the opening of the Algerian economy and its great potential would attract, remain weak. However, the legal framework set up in Algeria provides some benefits and guarantees to foreign investors.
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Le NEPAD comme tentative d'appropriation du développement : quel espoir pour les populations africaines?Turcotte, Hélène January 2007 (has links) (PDF)
Le Nouveau Partenariat pour le Développement de l'Afrique (NEPAD) est un plan ambitieux qui propose une solution au sous-développement du continent africain. Par un partenariat avec le monde développé et une responsabilisation accrue des pays africains, les chefs d'État africains qui ont créé cette initiative espèrent construire une meilleure gouvernance politique et économique. Pour y arriver, l'Afrique doit compter d'abord sur ses propres forces, mais devra s'ouvrir au reste du monde pour mobiliser les ressources financières nécessaires au développement. Or, la façon dont ces ressources sont mobilisées est conditionnelle à une réforme des politiques qui laisse peu de place quant aux choix de développement que les pays prendront. Ainsi, l'appropriation que l'initiative tente de mettre en oeuvre est paralysée par la nature des politiques que la stratégie encourage.
Nous observerons les conditions de l'apport des ressources publiques, d'une part, puis des ressources privées, d'autre part. L'aide publique au développement autant que la dette sont des mécanismes assortis de conditionnalités qui ont servi davantage les pays donneurs que les pays receveurs. Puis, les stratégies de réduction de la dette sont venues légitimer des politiques semblables aux programmes d'ajustement structurel. La mobilisation des ressources privées prévue par le NEPAD vise à favoriser l'amélioration du climat des affaires afin d'attirer davantage les investissements directs étrangers. Par contre, les secteurs visés sont les plus lucratifs et profitent plus aux investisseurs qu'aux populations. L'exploitation des ressources naturelles comme le pétrole ou les mines s'est approfondi et la réforme des codes visant une plus grande libéralisation a encouragé le pillage des ressources. Quant au secteur secondaire, l'augmentation des investissements directs étrangers dans le secteur des vêtements a été motivée davantage par le contexte économique international et la grande quantité de main d'oeuvre bon marché que par le développement d'une économie locale à long terme. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : NEPAD, Politiques de développement, Appropriation, Aide, Dette, Pétrole africain, Exploitation minière, Textile, Investissements directs étrangers.
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Les retombées de l'investissement direct étranger : analyse à partir de l'expérience de libéralisation du secteur minier au PérouLaforce, Myriam January 2006 (has links) (PDF)
Au cours des quinze dernières années, dans la vague d'ouverture et d'intégration rapide des pays du Sud à l'économie mondiale, l'investissement direct étranger (IDE) a acquis un rôle prépondérant dans les stratégies de développement privilégiées au niveau national. On a en effet assisté depuis, au sein des pays dits «en développement» (PVD), à une libéralisation massive des régimes légaux et réglementaires concernant cette forme spécifique d'apport financier et visant essentiellement à faciliter son entrée. Ce mémoire s'inscrit dans les débats portant sur la contribution de l'IDE au développement des pays hôtes et aborde cette question à partir d'une étude empirique ayant pour objectif de faire la lumière sur l'apport offert par l'IDE concentré dans le secteur des mines au développement du Pérou. En conférant à cette industrie un rôle stratégique dans la relance économique du pays au cours des années 1990, le gouvernement péruvien a ouvert la porte à une entrée massive d'investissements miniers étrangers sur le territoire national, investissements qui ont largement contribué à la croissance et à la réinsertion de cette économie dans les marchés internationaux. Au-delà de ce bilan favorable, cette analyse attire l'attention sur les processus politiques et institutionnels mis en oeuvre dans le but d'attirer l'IDE minier et d'assurer une certaine gestion de ses retombées, positives comme négatives. Au Pérou, l'orientation de tels processus a notamment été déterminée par le programme d'ajustement et les réformes structurelles implantés à la même période, qui ont participé à une restructuration importante du rôle et des responsabilités désormais assumés par l'État péruvien à l'égard du secteur minier et de l'économie en général. Ce faisant, ces réformes ont également sensiblement redéfini les relations que les acteurs concernés entretiennent entre eux, remettant en cause la possible intégration de l'IDE dans une stratégie intégrée de développement national. Ainsi, ce mémoire démontre qu'étant donné les circonstances particulières entourant la croissance fulgurante des entrées d'IDE dans l'industrie minière, celle-là a eu tendance à se traduire par des bénéfices mitigés et des coûts croissants pour le pays et pourrait bien en ce sens contribuer à plus long terme à une instabilité politique aux conséquences importantes pour les perspectives de développement du Pérou. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Investissement direct étranger (IDE), Développement, Pérou, Secteur minier, Programmes d'ajustement structurel, Réformes institutionnelles, Fujimori, Conflits socioenvironnementaux.
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Essais sur l'investissement direct étranger, le transfert technologique et le commerce international : approches ricardiennes et analyses empiriquesSaadi, Mohamed 19 October 2010 (has links) (PDF)
Ricardo est célébré pour ses théories- sa théorie de croissance qui nous enseigne le concept de la trappe à stagnation industrielle et sa théorie de l'avantage comparatif selon laquelle les différences de technologie déterminent la direction de l'échange international. Quel rôle les théories ricardiennes ont a-t-elles consacré à l'investissement direct étranger (IDE) demeure une question peu explorée. Il s'avère ainsi approprié d'étudier les implications de l'IDE et du transfert technologique vis-à-vis de ces théories. Cette thèse met l'accent sur les approches ricardiennes de croissance et de commerce international pour traiter l'IDE, le transfert technologique et le commerce international, construit et développe de nouvelles approches théoriques et prédictions ricardiennes. Des analyses économétriques sont ensuite effectuées pour tester ces prédictions.Cette thèse se compose de quatre chapitres. Deux parties qui contiennent chacune deux chapitres sont présentées. La première partie propose une revisitation et une reformulation des approches macroéconomiques de l'IDE suivant une approche ricardienne. La deuxième partie traite les relations entre l'IDE, le transfert technologique, la sophistication des exportations et les termes de l'échange des pays en développement et fournit des analyses empiriques à l'appui pour tester les prédictions ricardiennes.Le premier chapitre réexamine et généralise l'approche de l'IDE par la théorie ricardienne de croissance. Ce chapitre prolonge l'analyse d'Ozawa, met l'accent sur " les goulots d'étranglement ricardiens " et le risque de trappe à stagnation industrielle à la Ricardo-Hicks et examine les facteurs " push " expliquant l'investissement direct sortant. Les prédictions de cette approche sont ensuite testées sur un panel de pays émergents et en transition. Les résultats économétriques portant sur un panel de pays émergents et en transition confirment les prédictions théoriques de l'approche macroéconomique d'Ozawa en matière d'IDE sortant.Le second chapitre développe un modèle ricardien classique en introduisant l'IDE Nord Sud. Nous reformulons " le principe de correspondance " développé par Kojima. Nous montrons que la correspondance entre les taux de profits absolus et les avantages comparatifs explique l'émergence de l'IDE originaire des secteurs comparativement désavantagés dans les pays développés et destinés aux secteurs comparativement avantagés dans les pays en développement.Le troisième chapitre, dans sa première section, développe un modèle ricardien Nord-Sud avec transfert de technologie. Notre contribution consiste à examiner le rôle de l'élasticité de substitution entre les biens dans les conséquences du transfert technologique sur les termes de l'échange et le bien-être des pays. Les conditions d'une baisse des termes de l'échange pour le pays en développement sont explicitées, et finalement sont précisées les conditions dans lesquelles le bien être du pays en développement peut baisser à la suite de ce transfert de technologie. La seconde section prolonge l'analyse aux cas du transfert technologique via l'IDE et les licenses. Les tests empiriques montrent que les IDE entrants et le versement de royalties s'accompagnent d'une baisse des termes de l'échange pour les pays en développement.Le quatrième chapitre associe le modèle ricardien avec un continuum de biens aux travaux empiriques de Hausmann, Hwang et Rodrick (2007) et de Rodrik (2006) sur la sophistication des exportations. Un modèle empirique est développé afin d'établir les liens qui existent entre la présence des firmes étrangères et la sophistication des exportations des pays en développement. Ensuite, la question des termes de l'échange des pays en développement est mise en évidence. Les tests empiriques sur un panel de pays en développement montrent que l'augmentation de la sophistication des exportations des pays en développement s'accompagne d'une baisse de leurs termes de l'échange.
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