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Effets d’une diète hypocalorique contrôlée en protéines lors d’un programme de perte de poids combiné ou non à un entraînement musculaire sur la composition corporelle chez les femmes ménopausées, obèses et sédentaires

Therriault, Audrey January 2015 (has links)
Problématique : La diète hypocalorique est une approche efficace pour traiter les problèmes de surpoids et d’obésité. Toutefois, cette solution est également associée à une diminution de la MM. Des données indiquent qu’une diète avec un apport optimal en protéines aiderait au maintien de la MM. Cependant, l’impact d’une diète riche en protéines en combinaison avec un entraînement en résistance n’a jamais été étudié chez des femmes ménopausées, obèses et sédentaires jusqu’à maintenant. Objectifs : Examiner l’impact d’une diète riche en protéines contenant un minimum de 25 g de protéines d’origine animale, combinée ou non à un entraînement en résistance, sur le poids et la composition corporelle chez des femmes ménopausées, obèses et sédentaires. Méthodes : Quatorze femmes ménopausées et obèses (65,1 ± 2,8 ans; IMC 31,9 ± 2,7 kg/m²) ont été distribuées aléatoirement dans deux groupes (1 : diète riche en protéines contenant un minimum de 25 g de protéines d’origine animale et 2 : diète riche en protéines contenant un minimum de 25 g de protéines d’origine animale + entraînement en résistance) et suivies sur une période de 16 semaines. Variables d’intérêt : masse grasse (MG) et masse maigre (MM) totale (par DXA), et apports alimentaires (journaux alimentaires sur 3 jours). Résultats : Aucune différence significative n’a été observée entre les deux groupes pour les variables d’intérêt au début de l’étude. Pour les deltas de changement du journal alimentaire en valeurs absolues, l’apport énergétique était significativement différent entre les deux groupes. La consommation en grammes de protéines est demeurée similaire au début et à la fin de l’intervention pour les deux groupes. Les analyses ont révélé des diminutions significatives du poids, de l’IMC, de la MG, du % MG et de l’indice de MG (MG/taille m²) pour chacun des groupes (P< 0,05). Le delta de changements de la composition corporelle étaient similaire pour les deux groupes, sauf pour la perte de MG relative [ MG / sur poids initial) x 100] (P< 0,05). Finalement, aucun changement significatif n’a été observé pour la MM et l’indice de MM (MM/taille m²) après l’intervention pour les deux groupes. Conclusion : Les résultats démontrent qu’une diète ayant 1,27 g de protéines par kg de poids par jour (contenant un minimum de 25 g de protéines d’origine animale) permet le maintien de la MM suite à une perte de poids associée à une diète hypocalorique seule chez les femmes ménopausées. L’ajout d’un programme d’entraînement en résistance n’a pas eu d’effet additif sur la composition corporelle dans notre étude.
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Changements dans la captation du glucose suite à une perte de poids induite par une restriction calorique chez des femmes ménopausées obèses : caractéristiques des répondants positifs et négatifs

Myette-Côté, Étienne January 2012 (has links)
Pour les besoins du présent mémoire, nous avons étudié quarante-deux femmes obèses ménopausées (pourcentage de masse grasse initiale: 45 +/- 4%) âgées de 57 +/- 4 ans qui ont suivi une diète hypocalorique sur une période de six mois. À l'aide de la méthode par absorptiométrie biphotonique à rayons X (dual energy X-ray absorptiometry "DXA") et celle de la tomodensitométrie axiale (CT-scan), plusieurs variables telles l'indice de masse corporelle (IMC), la masse maigre (MM), l'indice de MM (IMM), la masse grasse (MG), la graisse viscérale (GV) et la graisse abdominale sous-cutanée (GAS) ont été évaluées. De plus, des prélèvements sanguins nous ont permis d'obtenir un bilan lipidique sanguin complet, les niveaux de hsCRP ainsi que le glucose et l'insuline à jeun. La captation du glucose (mg/kg MM/min et mg/kg/min) quant à elle a été analysée à l'aide d'un clamp hyperinsulinémique-euglycémique. Les participantes ont ensuite été divisées en deux groupes selon leur changement de captation du glucose en réponse à la perte de poids [répondants négatifs : < -1,0 mg/kg MM/min (n= 19) vs. répondants positifs > 1,0 mg/kg MM/min (n= 23)]. Avant le début de l'intervention, nous avons observé une différence significative entre nos deux groupes pour l'IMM (17,5 +/- 2,6 vs 15,9 +/- 1,5 kg/m² ; P < 0,05) et les niveaux de hsCRP (5,04 +/- 3,67 vs 2,36 +/- 1,75 mg/L; P < 0,01); lesquels étaient plus élevés chez les répondants positifs. De plus, la disposition relative du glucose était moins importante chez les répondants positifs (P < 0,001). L'ANOVA à mesure répétée a révélé une diminution significative de l'IMC (-7,4%), du %MG (-6,1%), de la MG (-12,2%), de la GV (-15,7%), de la GAS (-11,4%) et de l'insuline à jeun (-13,6%) pour l'ensemble des sujets (p [plus petit ou égal à] 0.005 pour tous les changements). De plus, une interaction (temps x groupe) a révélé que nos deux groupes répondaient différemment au traitement au niveau du poids corporel (P < 0,01), de la protéine C-réactive (P < 0,005) et des mesures de masse maigre (P < 0,001). En effet, les répondants positifs ont vu des diminutions plus importantes que le groupe de répondants négatifs. Au niveau du profil lipidique, malgré une forte tendance au niveau des triglycérides plasmatiques, aucun changement ne fut enregistré. Finalement, les répondants positifs ont significativement augmenté leur captation du glucose suite à la perte de poids, tandis que les répondants négatifs ont plutôt vu cette dernière se détériorer significativement (P < 0,001 dans les deux cas); la différence de changements entre les deux groupes étant significative (P < 0,005). En conclusion, notre étude démontre qu'il existe d'importantes variabilités interindividuelles en ce qui a trait aux changements de la sensibilité à l'insuline en réponse à une perte de poids chez les femmes ménopausées. Les femmes ménopausées obèses présentant des valeurs élevées d' IMM et de hsCRP élevés, ainsi qu'une faible captation du glucose seront celles qui bénéficieraient davantage d'une perte de poids. Il est d'une grande importance d'être en mesure de développer des programmes d'interventions personnalisées au profil métabolique et physiologique de chaque individu.
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Effets de l'entraînement en résistance et d'une diète hypocalorique riche en protéines d'origine animale sur la force musculaire de femmes ménopausées obèses et sédentaires: Projet pilote

Comte, Francis January 2015 (has links)
Non disponible
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Prédicteurs de l’amélioration des facteurs de risques de diabète de type 2 suivant une diète hypocalorique

Provost, Viviane 12 1900 (has links)
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