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Stratégies directes et indirectes d'usage de la langue : l'exemple d'élèves d'école élémentaire en filière franco-allemande / Direct et indirect language usage strategies at a primary school with a german-french profile

Fournier, Léonie 13 February 2015 (has links)
Nous définissons les stratégies d'usage de la langue de la façon suivante : il s’agit de stratégies langagières que les élèves appliquent en résolvant des exercices en langue cible (par exemple de DEL 2). Afin d’analyser ces stratégies langagières, nous menons une étude qualitative auprès de 14 écoliers suivant un cursus franco-allemand à Baden-Baden. Nous demandons aux élèves de résoudre des exercices de français tirés des Évaluations nationales des acquis des élèves. Nous appliquons la méthode de la pensée à voix haute. Les élèves choisissent s'ils verbalisent leurs pensées en langue allemande ou française. L'objectif principal de notre étude est d'analyser et d'éliciter les stratégies d'usage de la langue.Environ 1000 stratégies ont été observées et codées avec le logiciel MAXQDA. Les stratégies cognitives sont les stratégies qui ont été appliquées le plus souvent par les élèves testés - en tout presque 350 fois. La langue de base choisie par les élèves pour les protocoles à voix haute était le français et pas l'allemand. / This thesis reports on an empirical study of 3rd and 4th grade students in a German-French bilingual school. The study consisted of research subjects solving exercises by using the thinkaloud method, after which film and transcription analysis allowed for a detailed examination of the strategies used during the exercises. Such strategies have been termed "language usagestrategies" and have been distinguished from learning and communication strategies. This distinction is important because when students use their L2 in this context, their goal is not to learn the language or to communicate, rather, it is to solve the exercise. The students used and combined many cognitive, compensatory, metacognitive, social and affective strategies during the Think aloud Protocols. Also the individual interviews revealed that the students manifested a large number of language usage strategies, suggesting that they are conscious of strategy usage when using their L2.
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"Une contextualisation du français dans la pluralité sud-africaine, approche sociolinguistique et didactique"

Peigné, Céline 06 May 2010 (has links) (PDF)
Le processus d'évolution démocratique de l'Afrique du Sud, pays désormais doté de onze langues officielles, invite à interroger la position du français et à la mettre en perspective. Au départ de la recherche, cette position semblait fragile, c'est pourquoi il fallait commencer par questionner la pertinence du français dans la reconfiguration sud-africaine (chapitre 1), au delà du cadre d'une « francophonie de diffusion ». Cette recherche, ancrée en sociolinguistique et en didactique, s'est construite à partir d'une approche empirico-inductive qualitative critique, en travaillant avec des acteurs de l'enseignement/ apprentissage du secondaire et du supérieur et en privilégiant l'observation participante et l'entretien compréhensif. Ces observables sont croisés avec l'étude des textes sur les réformes éducatives, linguistiques et universitaires ainsi que des discours politiques et médiatiques produits au sujet des langues et des identités (chapitre 2). La gestion du rapport à l'altérité en Afrique du Sud pouvant apparaître comme « radicale » d'un point de vue en partie extérieur, la notion d'identité/altérité est rapidement devenue une notion nodale de l'interprétation des observables (chapitre 3). Une contextualisation de la pluralité sudafricaine, mobilisant les croisements d'une variété de champs scientifiques, est alors apparue nécessaire, pour permettre d'expliciter les manières dont le français peut s'intégrer aux enjeux et aux projets sud-africains. Dans cet environnement, un certain « laisser-faire » en faveur de l'anglais tend à présenter la promotion du plurilinguisme comme se superposant à la seule reconnaissance du multilinguisme, révélant une position paradoxale de cette langue. En effet, la diversité des modes d'appropriation identitaire de l'anglais est un marqueur sociolinguistique d'une certaine démocratisation sociale. Dans le même temps, cette langue peut être considérée comme contribuant à occulter les problématiques de la pluralité, allant alors à l'encontre du processus démocratique tourné vers le projet de « l'unité dans la diversité », qui est la devise du pays (chapitre 4). En tant que langue internationale, souvent valorisée aux côtés de l'anglais, l'intérêt de la présence du français est alors aussi questionné sous cet angle. Si la question des langues dites étrangères n'est pas officiellement à l'ordre du jour, les pratiques et les représentations à propos du français évoluent rapidement, notamment à la faveur de l'ouverture du pays à l'Afrique et au reste du monde, qui fait naître d'autres intérêts pour cette langue (chapitre 5). En outre, les populations scolaires et estudiantines se diversifient, amenant en classe la question de la pluralité, qu'il est encore difficile de travailler. Ces bouleversements suscitent désormais le questionnement de l'adéquation des contenus et des cursus universitaires, du devenir de la recherche en français ainsi que des enjeux de ce type de formation dans une Afrique du Sud en plein essor (chapitre 6). L'étude contextualisée de la position du français conduit à élargir ces questionnements. L'Afrique du Sud ne passera pas à la valorisation de la diversité sans avoir questionné et réfléchi la notion de pluralité et la classe de langue est un des espaces privilégiés pour ce faire. Paradoxalement, la visibilité des langues sud-africaines, hors de l'anglais, passe notamment par la promotion des langues étrangères, afin de sortir de la dyade anglais/ langue familiale du répertoire scolaire. Le français apparaît à cet effet comme une langue privilégiée par les témoins, ouvrant sur une pluralité valorisée, illustrée par la diversité de la francophonie. Cette représentation rejoint une des valeurs de la Francophonie, dégageant ainsi la possibilité de projets communs avec les langues locales (chapitre 7). La proposition d'un scénario de « plurilinguisme à la carte » permet d'envisager l'organisation de plurilinguismes scolaires malléables et remobilise les langues dans des travaux conjoints en faveur d'une pluralité négociée. Ce travail développe la potentialité des politiques du français si elles s'inscrivent dans une démarche contextualisée de promotion du plurilinguisme en Afrique du Sud et, plus largement, de leur inscription dans le projet démocratique si l'enseignement/ apprentissage de cette langue est accompagné par le développement d'une didactique appropriée, impliquant un travail réflexif explicite sur l'altérité. Cela incite à questionner la catégorisation des francophonies dites minoritaires : mieux identifiées, les spécificités de leurs évolutions pourraient en effet contribuer au renouvellement de la francophonie, tout comme la Francophonie peut concourir au projet démocratique de ces pays. Ces questions se posent dans un contexte où l'équilibre délicat de la construction de la recherche et de l'enseignement supérieur est fragilisé par une tendance mondiale au délaissement des sciences humaines. L'Afrique du Sud, en proie aux urgences pragmatiques liées à son développement, a toutefois plus que jamais besoin que ses langues ne soient pas réduites à leurs fonctions instrumentales.
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L'enseignement et la diffusion du français en Afghanistan : bilan et perspective / Teaching and diffusion of French language in Afghanistan : review and perspective

Hatef, Faheza 09 May 2019 (has links)
Cette thèse se propose d’étudier « l’enseignement et la diffusion du français en Afghanistan : bilan et perspective ». L’enseignement du français s’est développé depuis presque un siècle en Afghanistan. La langue française est enseignée au niveau secondaire, au niveau universitaire, à l’Institut français d’Afghanistan ainsi qu’aux centres privés en Afghanistan. Le présent travail a tenté très modestement de montrer quelles sont les démarches mises en œuvre pour l’enseignement et la diffusion de français en Afghanistan. Tout au long de ce travail, nous nous sommes fixées comme but fondamental d’explorer la situation d’enseignement/apprentissage du français, sa situation, les motivations des étudiants afghans pour l’apprentissage de cette langue, les représentations qu’ont ces étudiants de cette langue ainsi que les soutiens et les dispositifs mises en place pour l’enseignement, la promotion et la diffusion de cette langue en Afghanistan. La méthodologie de ce travail est basée sur des enquêtes menées à Kaboul (entretiens semi-directifs et questionnaires). Nos enquêtes ont été réalisées à l’aide des données recueillies par l’intermédiaire de deux outils de données : des enquêtes par questionnaires réalisées auprès des enseignants et d’apprenants (les élèves et les étudiants) du français et un entretien semi-directif auprès des professeurs du département de français de l’Université de Kaboul. Nos échantillons sont constitués par les étudiants du département de français (les étudiants spécialistes du français), les étudiants hors-département (les étudiants non-spécialistes du français), et les élèves des deux lycées francophones afghans (lycées Istiqlal et Malalaï), ainsi que par les enseignants de ces institutions : département de français et lycées Istiqlal et Malalaï. D’après le résultat de ces enquêtes, les étudiants afghans apprennent le français pour plusieurs raisons : instrumentales et personnelles. Le français est considéré comme une langue importante du point de vue professionnel d’une part et d’autre part, c’est la valeur culturelle et le prestige de cette langue qui donnent la possibilité aux Afghans d’accéder à une culture riche. Il est également perçu, d’après ces étudiants, comme une langue d’ouverture sur le monde, c’est pourquoi le français possède d’un statut privilégié en Afghanistan. Bien que les Afghans n’utilisent pas le français pour écrire, parler et pour la communication quotidienne et professionnelle, la persistance de cette langue est due aux raisons positives et les représentations qu’ont ces étudiants de cette langue. / This thesis proposes to study the "teaching and diffusion of French language in Afghanistan: review and perspective". The teaching of French has been developed for almost a century in Afghanistan; the French language is taught at the secondary level, at the university level, in the French Institute of Afghanistan as well as at in the private centers in Afghanistan. The present research has tried very modestly to show what are the approaches implemented for the teaching and the diffusion of French in Afghanistan. Throughout this work, we have set ourselves the fundamental goal of exploring the teaching and learning situation of French, the motivations of Afghan students for learning this language, the representations these students have of this language as well as the supports put in place for the teaching, the promotion and the diffusion of this language in Afghanistan. The methodology of this work is based on surveys conducted in Kabul (semi-structured interviews and questionnaires). Our surveys were conducted using data collected through two data tools: questionnaire surveys of teachers and students of French and a semi-structured interview with professors of the French Department of Kabul University. Our interviewees are made up of students from the French department (students specializing in French), students learning French as second language, and students from two French-speaking Afghan high schools (Istiqlal and Malalaï), and the French teachers of these institutions: Department of French and Istiqlal and Malalaï high schools. According to the results of these surveys, Afghan students learn French for several reasons: instrumental and personal. French is considered an important language from a professional point of view on the one hand, and on the other hand, it is the cultural value and prestige of this language that gives Afghans access to a rich culture. It is also perceived, according to these students, as a language of openness to the world, which is why French has a privileged status in Afghanistan. Although Afghans do not use French for writing, speaking and for daily and professional communication, the persistence of this language in afghan society is due to the positive reasons and the representations that these students have of this language.

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