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Les instances nationales dans la procédure communautaire en droit de la libre concurrence (règlement 1/2003)Carbonnaux, Camille Bracq, Stéphane January 2005 (has links) (PDF)
Mémoire de master recherche 2e année : Droit communautaire : Lille 2 : 2005. / Bibliogr. f. 86 - 105.
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La souveraineté de l'État et l'Union européenne, l'exemple français : recherches sur la souveraineté de l'État membre /Chaltiel-Terral, Florence. January 2000 (has links)
Texte remanié de: Th. doct.--Droit public--Grenoble 2, 1999. / Bibliogr. p. 507-580. Index.
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Internationale Adoption und Kindeswohl : die Rechtslage von Adoptivkindern aus der Dritten Welt in der Bundesrepublik Deutschland im Vergleich zu anderen europäischen Ländern /Hohnerlein, Eva-Maria. January 1900 (has links)
Texte remanié de: Diss--Rechts- und Wirtschaftswissenschaftlich Fakultät$--Universität des Saarlandes, 1989. / Bibliogr. p. 347-366. Index.
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Étude des rapports entre le droit communautaire et la Constitution en France : l'ordre juridique constitutionnel comme guide au renforcement de l'intégration européenne /Ondoua, Alain. January 2001 (has links)
Texte remanié de: Th. doct.--Droit public--Poitiers, 1999. / Bibliogr. p. 419-465.
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Du caractère public du procès pénal / The public character of the criminal trial processPiot, Philippe 05 October 2012 (has links)
Indisponible / Unavailable
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L'adaptation du droit maritime hellénique et du droit maritime chypriote au droit communautaire /Christodoulou-Varotsi, Iliana. Stephanou, Constantin. January 1999 (has links)
Texte remanié de: Th. doct.--Droit--Paris 1, 1997. / Prix de la Fondation pour la promotion d'études européennes et de l'Association universitaire hellénique d'études européennes (1999). Notes bibliogr. Bibliogr. p. [271]-298. Index.
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Extradition et traitements cruels et inhumains : les solutions possibles pour le CanadaDib, Claudine January 2008 (has links) (PDF)
Compte tenu des engagements internationaux du Canada à l'égard de l'interdiction de la torture et de la peine de mort, il ne peut extrader une personne vers un pays où elle risque d'être soumise à ce genre de traitement. Par ailleurs, en raison de la présomption d'innocence prévue dans la Charte canadienne des droits et libertés, il ne peut maintenir cette personne en détention si elle n'est pas accusée au pays, ce qui ne saurait être le cas si elle a commis son crime à l'étranger puisque le Canada n'a juridiction, sauf exception, que sur les crimes commis sur son territoire. Dans pareil cas, le Canada fait face au problème suivant: quoi faire avec la personne requise par un pays étranger pour un crime qu'elle y aurait commis mais vers lequel le Canada ne peut accepter de la retourner en raison des risques d'atteinte à son intégrité physique et à sa vie? Dans ce contexte, le Canada fait également face à un autre dilemme du fait que d'une part, il ne pourrait lui-même accuser cette personne en raison de son absence de juridiction sur les crimes commis à l'étranger mais d'autre part, il ne souhaiterait pas la laisser impunie pour un crime reconnu sur son territoire ou prendre le risque de mettre en péril la sécurité du pays en laissant en liberté une personne qui pourrait être dangereuse pour la société, surtout lorsqu'il s'agit d'un crime grave. Ce sont les questions que nous avons voulu examiner dans ce travail. Nous présentons au début de ce texte les normes internationales et nationales relatives à l'interdiction de la torture et de la peine de mort afin de bien faire comprendre leur importance et l'engagement du Canada à leur égard. Nous analysons également la jurisprudence afin d'exposer la position des tribunaux canadiens sur cette question ainsi que celle d'instances internationales et de dégager les principes de base qui doivent guider les États dans l'application des conventions internationales en matière de protection contre la torture et les traitements cruels. En deuxième partie, nous abordons les solutions envisageables dans les cas où l'extradition n'est pas possible pour les raisons exposées ci-dessus. Nous examinons d'abord le recours aux assurances diplomatiques afin de garantir que la peine de mort ou la torture ne sera pas pratiquée contre une personne faisant l'objet d'une extradition. Ensuite nous exposons les principes à la base de la souveraineté territoriale en vertu de laquelle le Canada n'a pas autorité pour poursuivre une personne lorsque le crime a été commis à l'étranger. Nous verrons cependant différents exemples en droit canadien où une exception a été prévue à cette règle et comparerons avec la pratique adoptée en France et dans plusieurs conventions internationales dans les mêmes circonstances. Enfin, tout en faisant état des difficultés que peut poser cette solution, nous soumettons la possibilité, dans certaines situations, que le Canada nomme un procureur indépendant pour représenter la personne extradée dans le cadre de son procès dans le pays où elle a été retournée afin de s'assurer du respect de ses droits fondamentaux et du droit international, particulièrement en matière de torture et de peine de mort. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Extradition, Peine de mort, Assurances diplomatiques, Procureur indépendant.
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La systématique des voies de droit communautaires /Berrod, Frédérique, January 2003 (has links)
Texte remanié de: Th. doct.--Droit--Strasbourg 3, 2002. / Bibliogr. p. 1085-1110. Index.
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Recherches sur les compétences de la Communauté européenne /Michel, Valérie, January 2003 (has links)
Texte remanié de: Th. doct.--Droit communautaire--Paris 1, 2000. / Bibliogr. p. 577-678. Index.
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Les parlements européen et français face à la fonction législative communautaire : aspects du déficit démocratique /Blanc, Didier, January 2004 (has links)
Texte remanié de: Th. doct.--Droit public--Paris 2, 1999. / Bibliogr. p. 503-518.
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