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The place of enterprise social media platforms in today’s enterprises : evaluation of usage and impact on workplace tools / Le rôle des plateformes de média sociaux dans les entreprises : évaluation d'usage et impact sur l'environnement de travail numérique

Alimam, Mayla 06 March 2017 (has links)
De plus en plus, les entreprises incitent aujourd’hui leurs employés à adopter des modes de travail agiles et flexibles. Cette transformation est outillée par de nouvelles plateformes informatiques intitulées "plateformes de média sociaux d’entreprise" (de l’anglais "Enterprise Social Media platforms – ESM platforms"). Ces plateformes portent la promesse d’améliorer la communication des employés dans leur environnement de travail tout en outillant leurs liens sociaux. Néanmoins, le bénéfice de l’usage de ces plateformes par leurs employés demeure vague et peu mesurable pour les entreprises, dont les dirigeants ont pourtant besoin d’évaluer cet usage et de mesurer ainsi tangiblement le succès de leurs investissements. De plus, le fait d’introduire des plateformes ESM dans les environnements de travail impacte la façon dont les outils existants, tels que la messagerie électronique, sont considérées et utilisés. La question qui se pose est alors de savoir si ces nouvelles plateformes pourraient remplacer l’usage des outils existants. Dans ce contexte, cette thèse adresse la problématique de la place des plateformes ESM dans les entreprises d’aujourd’hui. Elle examine l’usage réel de ces plateformes en offrant une analyse quantitative des réseaux sociaux, établie à partir de l’usage actuel de ces plateformes. En s’appuyant sur un modèle de recherche conçu pour caractériser l’activité, la thèse applique des tests d’hypothèse qui permettent de comparer l’usage prévu de ces plateformes à leur usage réel, et ainsi de mesurer le succès du déploiement de ces plateformes. De plus, cette thèse étudie, à travers une approche déductive et expérimentale, la capacité des plateformes ESM à remplacer l’usage des outils existants dans les environnements de travail. Ces plateformes fonctionnent aujourd’hui plutôt en tandem avec d’autres outils tels que la messagerie électronique. Cette thèse propose ainsi d’améliorer la messagerie par une fonctionnalité de tagging social afin que l’utilisateur puisse bénéficier de son réseau social sous-jacent. Ce service de tagging est ensuite testé et validé via un prototype. Pour conclure, cette thèse propose des scenarios pour les futurs systèmes sociaux, englobant la totalité des outils de l’environnement de travail au sein des entreprises / Today’s organizations are increasingly promoting a shift of employees’ ways of working towards more agility and flexibility. This shift is empowered by new IT tools commonly known as “Enterprise Social Media” (ESM). Taking mainly the form of integrated platforms, these tools are deployed with the promise of enhancing employees’ communicative activities at the workplace while capitalizing on their social connections. Yet, it remains unclear for companies how their employees benefit from the use of these new tools (i.e., ESM platforms). Managers are unable to evaluate the use of these platforms and thus, tangibly measure the success of their investments. Moreover, introducing ESM platforms to the workplace impact the way the existing tools, such as email, are regarded and used. This leads to the question of whether these new platforms may be substitutes for the use of the existing tools. This thesis tackles the mentioned polemical questions about the place of ESM platforms in today’s enterprises. Carried out jointly with Orange labs, the thesis assesses the role ESM platforms could play in supporting organizations in reaching their objectives and hence sustaining their businesses in an extreme competitive context. It explores the real use of these platforms by offering a quantitative social network analysis and data mining of an established ESM platform currently in use. While relying on a proposed research model that characterizes the activity, the applied hypothesis tests allow determining the correct use of ESM platforms, which in turn indicates the success of their deployments. Moreover, the thesis argues through a reasoning approach that the ESM platforms are not capable of substituting the use of existing workplace tools. Instead, they work in tandem with certain tools such as email. Based on the latter argument, the email tagging service is introduced as an example of how existing workplace tools may be enriched with social features to derive increased benefit for the workforce. The thesis finally validates the service through implementation and testing. To conclude, it proposes and discusses scenarios of future social systems that involve the overall set of workplace tools in enterprises
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Occupants' quality of life experience with sustainable work environments : using a mixed-methods approach to develop a humane and sustainable framework for assessing the indoor environmental quality in office buildings

Wifi, Mariam 11 1900 (has links)
Cette recherche étudie la perception de la qualité de vie (QV) et de la qualité de l'environnement intérieur (QEI) du point de vue des occupants d’espaces de travail certifiés « durables » selon le système d'énergie et de conception environnementale (LEED) et des occupants des immeubles de bureaux conventionnels. Dans cette étude, la QV est définie en termes de santé perçue, confort, et productivité. La qualité des environnements intérieurs est importante, car les gens passent la majorité de leur vie à l'intérieur des immeubles et, dans notre société contemporaine, plus de ce temps est passé dans des espaces de travail, tels que les espaces de bureaux. Les préoccupations grandissantes pour la durabilité des espaces de vie et la prise de conscience des effets négatifs que des bâtiments peuvent avoir sur les occupants font émerger les constructions dites ‘vertes’ comme étant des alternatives plus durables. LEED est le système d’accréditation le plus populaire de nos jours en Amérique du Nord qui évalue les bâtiments verts en terme de leur performance environnementale. Toutefois, la revue de littérature indique que des occupants des édifices de bureaux certifiés LEED ne sont pas toujours satisfaits avec la QEI. Les bâtiments certifiés LEED sont en effet uniquement évalués selon des critères techniques de performance. Pourtant, il y peut avoir des écarts entre les performances mesurées et celles perçues par les occupants. Cela soulève la question suivante: à quel point les bâtiments construits selon les critères LEED prennent-ils en compte la qualité de vie (QoL) et les facteurs humains dans l’évaluation des espaces de travail ? Cette recherche a donc pour but de proposer un nouveau cadre qui prend en considération non seulement des facteurs durables, mais aussi humains pour évaluer les environnements de travail. Cette recherche utilise une approche mixte – quantitative et qualitative – en trois phases afin d’étudier de manière approfondie la perception de la qualité de vie des occupants de deux bâtiments certifiés LEED et d’un immeuble de bureaux conventionnel. La phase I est dédiée à l’observation des environnements de travail et la documentation des traces d’interaction entre l’utilisateur et l’espace. La phase II est dédiée aux entrevues permettant aux participants de décrire leur expérience de la QV et les facteurs de la QEI qui façonnent leur expérience. Ils nous aident aussi à identifier les éléments constitutifs d'un environnement humain de travail. Parallèlement, des questionnaires aident à comprendre la relation entre la qualité de vie perçue par les occupants et les facteurs de QEI dérivés de la littérature. À l’aide de groupes de discussion, menés lors de la phase III, nous cherchons à valider les résultats préliminaires. Les données sont ensuite analysées séparément en utilisant la ‘triangulation’ afin d’interpréter et corroborer les résultats. Cette étude compare les expériences des espaces de travail « verts » et « conventionnels » et révèle 32 facteurs (30 facteurs QEI et deux autres) qui peuvent affecter de manière significative l'expérience des édifices de bureaux. De plus, des éléments constitutifs d'un environnement de travail humain du point de vue des occupants ont été identifiés. Ceux-ci nous permettent donc de mettre au point un nouveau cadre global, intégrant des critères humains pour évaluer la QEI dans des environnements de travail durables. Ce cadre met en relation la QEI des environnements de travail et la QV des occupants en tant que système environnement-comportement. / This research studies perceived Quality of Life (QoL) and Indoor Environmental Quality (IEQ) of occupants’ in the work environments of sustainable office buildings certified under the Leadership in Energy and Environmental Design (LEED) system (green buildings) and in conventional office buildings. QoL is defined in this research in terms of perceived health, comfort, and productivity. The quality of indoor environments is important because people spend most of their time inside buildings, and in contemporary society, much of the time spent in work environments is in office buildings. In this era of growing concerns about sustainability and the increased awareness of buildings’ negative impacts on occupants, green buildings have been promoted as sustainable solutions to these issues. LEED is the most popular rating system for measuring the performance of green buildings in North America. However, the literature review indicates that there are user complaints about the IEQ of LEED-certified office buildings. LEED-certified buildings are assessed based on technical measures of building performance. This assessment way may create a gap between measured and perceived performance from the user perspective. This raises the question of whether buildings certified with the LEED criteria are humane from the QoL experience of occupants in office buildings. Hence, this research is therefore to propose a new framework that takes into account not only sustainable but also humane factors for evaluating work environments. The study uses a mixed-methods approach – using both quantitative and qualitative methods and proceeds in three phases to comprehensively study occupants’ perceived QoL experience in two LEED and one conventional office building. Phase I uses observations to document the physical work environment and users’ behavioral interactions with the environment. Phase II uses interviews to describe the occupants’ QoL experience, explore the possible IEQ factors shaping their QoL, and to define the constructs of a humane work environment. Questionnaires were distributed concurrently to measure the relationship between occupants’ perceived QoL and IEQ factors that are derived from the literature. Phase III uses focus groups to converge and focus the results of the study. The results are analyzed separately and triangulated using an integrative mixed-methods analysis to interpret, corroborate, conclude, and increase the validation of the findings. The study compared occupants’ perceived QoL in «green» and «conventional» office buildings and revealed 32 quality factors (30 IEQ factors and two others) that influence the QoL experience in office work environments. Also the constructs of what composes a humane work environment based on occupants’ viewpoints have been identified. A new comprehensive, sustainable, and humane framework for assessing IEQ in work environments is developed. This framework guides the relationship between IEQ in work environments and occupants’ QoL as an environment-behavior system.

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