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Ni fermées, ni ouvertes, les frontières est européennes revues par la mobilité : étude ethnographique aux frontières séparant l’Ukraine de la Pologne et de la Slovaquie

Couture Gagnon, Laurence 01 June 2011 (has links)
L’Union européenne et les accords de Schengen ont mis en place des ententes quant à la libre circulation entre les pays de l’Union européenne dans le cadre des élargissements de 2004, mais ces changements ont aussi été accompagnés de règlements à l’immigration plus sévères aux frontières extérieures. Toutefois, plusieurs stratégies sont élaborées par les personnes en mobilité pour continuer de circuler entre ces frontières. Cette thèse identifient les effets des nouveaux règlements d’immigration appliqués aux frontières de la Pologne et de la Slovaquie depuis 2004 sur les stratégies des individus qui souhaitent traverser de l’Europe de l’Est vers l’Union européenne. J’ai réalisé une étude ethnographique en Europe de l’Est à l’été 2010 et effectué une vingtaine d’entrevues avec des personnes qui traversaient ces frontières pour connaître leurs comportements et décisions. Les règlements ont des effets différents sur ces personnes, des espaces de liberté ont été construites aux frontières terrestres pour les habitants des zones frontalières, leur permettant de traverser sans visa et de poursuivre leurs activités commerciales et visites fréquentes dans le pays voisin de l’Ouest. Par contre, pour les migrants étrangers considérés plus ‘à risque’ selon les autorités européennes, les règlements ont transformé les frontières en forteresse, rendant leur passage pratiquement impossible.
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Ni fermées, ni ouvertes, les frontières est européennes revues par la mobilité : étude ethnographique aux frontières séparant l’Ukraine de la Pologne et de la Slovaquie

Couture Gagnon, Laurence 01 June 2011 (has links)
L’Union européenne et les accords de Schengen ont mis en place des ententes quant à la libre circulation entre les pays de l’Union européenne dans le cadre des élargissements de 2004, mais ces changements ont aussi été accompagnés de règlements à l’immigration plus sévères aux frontières extérieures. Toutefois, plusieurs stratégies sont élaborées par les personnes en mobilité pour continuer de circuler entre ces frontières. Cette thèse identifient les effets des nouveaux règlements d’immigration appliqués aux frontières de la Pologne et de la Slovaquie depuis 2004 sur les stratégies des individus qui souhaitent traverser de l’Europe de l’Est vers l’Union européenne. J’ai réalisé une étude ethnographique en Europe de l’Est à l’été 2010 et effectué une vingtaine d’entrevues avec des personnes qui traversaient ces frontières pour connaître leurs comportements et décisions. Les règlements ont des effets différents sur ces personnes, des espaces de liberté ont été construites aux frontières terrestres pour les habitants des zones frontalières, leur permettant de traverser sans visa et de poursuivre leurs activités commerciales et visites fréquentes dans le pays voisin de l’Ouest. Par contre, pour les migrants étrangers considérés plus ‘à risque’ selon les autorités européennes, les règlements ont transformé les frontières en forteresse, rendant leur passage pratiquement impossible.
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Ni fermées, ni ouvertes, les frontières est européennes revues par la mobilité : étude ethnographique aux frontières séparant l’Ukraine de la Pologne et de la Slovaquie

Couture Gagnon, Laurence 01 June 2011 (has links)
L’Union européenne et les accords de Schengen ont mis en place des ententes quant à la libre circulation entre les pays de l’Union européenne dans le cadre des élargissements de 2004, mais ces changements ont aussi été accompagnés de règlements à l’immigration plus sévères aux frontières extérieures. Toutefois, plusieurs stratégies sont élaborées par les personnes en mobilité pour continuer de circuler entre ces frontières. Cette thèse identifient les effets des nouveaux règlements d’immigration appliqués aux frontières de la Pologne et de la Slovaquie depuis 2004 sur les stratégies des individus qui souhaitent traverser de l’Europe de l’Est vers l’Union européenne. J’ai réalisé une étude ethnographique en Europe de l’Est à l’été 2010 et effectué une vingtaine d’entrevues avec des personnes qui traversaient ces frontières pour connaître leurs comportements et décisions. Les règlements ont des effets différents sur ces personnes, des espaces de liberté ont été construites aux frontières terrestres pour les habitants des zones frontalières, leur permettant de traverser sans visa et de poursuivre leurs activités commerciales et visites fréquentes dans le pays voisin de l’Ouest. Par contre, pour les migrants étrangers considérés plus ‘à risque’ selon les autorités européennes, les règlements ont transformé les frontières en forteresse, rendant leur passage pratiquement impossible.
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Ni fermées, ni ouvertes, les frontières est européennes revues par la mobilité : étude ethnographique aux frontières séparant l’Ukraine de la Pologne et de la Slovaquie

Couture Gagnon, Laurence January 2011 (has links)
L’Union européenne et les accords de Schengen ont mis en place des ententes quant à la libre circulation entre les pays de l’Union européenne dans le cadre des élargissements de 2004, mais ces changements ont aussi été accompagnés de règlements à l’immigration plus sévères aux frontières extérieures. Toutefois, plusieurs stratégies sont élaborées par les personnes en mobilité pour continuer de circuler entre ces frontières. Cette thèse identifient les effets des nouveaux règlements d’immigration appliqués aux frontières de la Pologne et de la Slovaquie depuis 2004 sur les stratégies des individus qui souhaitent traverser de l’Europe de l’Est vers l’Union européenne. J’ai réalisé une étude ethnographique en Europe de l’Est à l’été 2010 et effectué une vingtaine d’entrevues avec des personnes qui traversaient ces frontières pour connaître leurs comportements et décisions. Les règlements ont des effets différents sur ces personnes, des espaces de liberté ont été construites aux frontières terrestres pour les habitants des zones frontalières, leur permettant de traverser sans visa et de poursuivre leurs activités commerciales et visites fréquentes dans le pays voisin de l’Ouest. Par contre, pour les migrants étrangers considérés plus ‘à risque’ selon les autorités européennes, les règlements ont transformé les frontières en forteresse, rendant leur passage pratiquement impossible.
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Faire valoir sa légitimité : radicalité et banalité dans les mouvements des piqueteros en Argentine des années 1990 - 2007

Rius, Pia Valeria 27 September 2010 (has links) (PDF)
Cette thèse porte sur les formes d'engagement et des revendications de légitimité affirmés au tour des organisations de desocupados. Elle compare des militants avec les non militants observés dans leur même milieu social. Elle analyse deux mouvements de travailleurs desocupados (MTD) situés dans les villes de Berisso et Berazategui entre 2003 et 2007. Cette interrogation s'appuis sur une analyse ethnographique des liens établis entre membres et non membres, notamment parmi leurs proches et vecinos. Les parcours sont perméables sur le long terme entre engagement et retrait, division du travail entre familiers pour répartir les responsabilités privées, économiques et publiques. L'analyse porte sur le mouvement piquetero en tant qu'acteur politique, mais aussi, sur le mode de vie, les conceptions de l'activité et de la justice mises en œuvre par l'engagement dans ces organisations. Une première partie montre la manière dont les actions politiques des mouvements de desocupados sont imbriquées dans le vécu quotidien des acteurs. Se dégagent au fils des observations, des moments militants dans les milieux sociaux concernés. La seconde partie analyse la notion de travail et de l'activité étendue, également, à l'activité politique. Le travail demeure au centre des représentations de l'activité légitime, mais recouvre de nouvelles pratiques et de nouvelles formes d'activité radicalement opposées à la seule loi du marché. " Vivre en travaillant " peut devenir " vivre des productivos ". Enfin, le rapport à la parole des membres et non membres au sein du groupe signale une forme de publicité faite d'une confiance mutuelle, provisoire, qui étend la délibération aux lieux de travail.
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L'art de saisir l'État : la défense de la culture de coca au Pérou et en Bolivie

Busnel, Romain 09 1900 (has links)
Thèse réalisée dans le cadre d'une cotutelle entre l'Université de Montréal et l'Université de Lille / En Bolivie et au Pérou, les régions de production de coca, principales cibles des politiques de lutte contre les drogues depuis les années 1970, sont souvent considérées comme en proie à une certaine « faiblesse », « défaillance » ou « absence » de l’État, et « dominées » par le pouvoir de groupes s’adonnant à des activités criminelles. Menée à partir des cas du Tropique de Cochabamba (Bolivie) et de la Vallée des fleuves Apurímac, Ene et Mantaro (VRAEM, Pérou), premiers foyers de production nationaux d’une coca majoritairement destinée aux marchés illicites, cette recherche s’inscrit à rebours de ces analyses, en montrant que non seulement l’État est bien là, mais qu’il aussi est maintenu et saisi par les organisations rurales de défense de la coca. À partir d’une enquête ethnographique, cette thèse analyse par le bas et dans une perspective comparée les intrications entre économie illicite, mobilisations et États. Elle montre comment fédérations agricoles et syndicales s’appuient sur la coca pour construire des pratiques communales de gouvernement, des identités régionales et des cadrages suffisamment mobilisateurs pour obtenir des politiques de développement censées compenser le « narcotrafic » ou le « narcoterrorisme ». Les dirigeants des organisations sociales construisent leur leadership politique dans la lutte et se positionnent ensuite comme intermédiaires auprès de l’État. Occuper des fonctions administratives et électives leur permet alors de diriger davantage de ressources publiques vers leurs régions d’origine, de défendre la coca dans les institutions, voire de retracer les frontières entre activités légales et illégales. Culture de la coca et politiques de développement deviennent alors des ressources constitutives de l’économie morale des cultivateurs. Ces processus se donnent néanmoins à voir différemment. Au Tropique de Cochabamba, il s’agit d’une saisie corporatiste, propre aux liens forts qui unissent les syndicats de cultivateurs de coca, le MAS, parti au pouvoir jusqu’en 2019, et l’État bolivien. Cette modalité a permis aux syndicats d’obtenir des ressources publiques, des droits, de désigner ses intermédiaires en échange d’un soutien au parti et au gouvernement. Au VRAEM, le faible ancrage des partis politiques dans la société péruvienne laisse le champ libre aux dirigeants de la fédération agricole pour saisir l’État selon une logique entrepreneuriale, par laquelle ils font valoir des ressources propres et des relations pour la plupart extérieures à leur région d’origine. Le détour par ces régions éclaire les relations entre secteurs populaires et État et contribue à décloisonner l’étude des mouvements sociaux. La comparaison en miroir offre une palette d’outils pour appréhender « l’art de saisir l’État » à travers une sociologie des organisations, des syndicats et des partis politiques. / The coca growing regions of Bolivia and Peru have been a focal point of drug control policies in these two countries since the 1970s. These regions are often portrayed as being subject to a weak, failed or even absent state, and under the control of criminal groups. Focusing on the Tropic of Cochabamba (Bolivia) and VRAEM (Peru) regions, the main national hotbeds of coca mostly destined for illicit markets, this research challenges this idea by showing that not only is the State present, but that it is also maintained and seized by rural coca-producing organizations. Based on an ethnographic survey, I study from the ground and in a comparative perspective the interplay between the illicit economy, social movements and the State itself. I show how agricultural and trade union federations use coca to build communal government practices, regional identities and frameworks to mobilize and obtain development policies meant to compensate for "narcotrafficking" or "narcoterrorism". The leaders of social organizations build their political leadership from the struggle and then place themselves as intermediaries with the State. Occupying administrative and elective functions allows them to channel more public resources to their native regions, to defend coca in institutions, and even to redraw the boundaries between legal and illegal activities. As such, coca cultivation and development policies become resources that constitute the moral economy of the growers. However, the views behind these political processes differ from one region to the other. In the Tropic of Cochabamba, it is a corporatist seizing process, inherent to the strong ties between the coca growers' unions, the MAS party in power until 2019, and the Bolivian state. This has allowed the unions to obtain public resources, rights, and the appointment of its intermediaries in exchange for support to the party and the government. In the VRAEM, the weak anchoring of political parties in Peruvian society enables agricultural federation leaders to seize the state through an entrepreneurial logic. They assert their own resources and relations, mostly outside their home region. The detour through these regions sheds light on the relations between the informal popular sectors and the State and broadens the scope of the study of social movements. The comparison thus offers a range of tools to apprehend the "art of seizing the state" through a sociology of organizations, unions and political parties. / En Bolivia y en el Perú, las regiones productoras de coca, principales blancos de las políticas de lucha contra las drogas desde los años 70, suelen ser consideradas como zonas afectadas por la "debilidad", el "fracaso" o la "ausencia" del Estado y "dominadas" por el poder de los grupos criminales. Partiendo de los casos del Trópico de Cochabamba (Bolivia) y del VRAEM (Perú), principales focos nacionales de producción de una coca mayormente destinada a los mercados ilícitos, la presente investigación contrasta con esos análisis. Demuestro que no sólo está presente el Estado, sino que también está mantenido y tomado por las organizaciones rurales de defensa de la coca. Sobre la base de un estudio etnográfico, esta tesis analiza desde abajo y con una perspectiva comparativa las interrelaciones entre la economía ilícita, las movilizaciones y los Estados. Muestro como las federaciones agrícolas y sindicales usan la coca para construir prácticas comunales de gobierno, identidades regionales, marcos de acción colectiva para obtener políticas de desarrollo que supuestamente compensan al "narcotráfico" o al “narcoterrorismo". Los líderes de las organizaciones sociales construyen su liderazgo político en la lucha y se posicionan como intermediarios con el Estado. Al ocupar funciones administrativas y electivas, pueden dirigir más recursos públicos a sus regiones de origen, defender la coca en las instituciones e incluso trazar los límites entre las actividades legales e ilegales. De esta forma, el cultivo de la coca y las políticas de desarrollo se convierten en recursos que constituyen la economía moral de los agricultores. Sin embargo, estos procesos se ven de manera distinta. En el Trópico de Cochabamba, se trata de una apropiación del Estado corporativista, caracterizada por los fuertes lazos entre los sindicatos de cocaleros, el MAS, partido en el poder hasta 2019, y el Estado boliviano. Esta modalidad ha permitido a los sindicatos obtener recursos públicos, derechos y la designación de sus intermediarios a cambio de apoyo al partido y al gobierno. En el VRAEM, el escaso asentamiento de los partidos políticos en la sociedad peruana permite a los líderes de las federaciones agrícolas apropiarse del Estado a través de una lógica empresarial. Hacen valer sus propios recursos y relaciones, en su mayoría fuera de su región de origen. El camino por estas regiones aclara las relaciones entre los sectores populares y el Estado y contribuye a ampliar el estudio de los movimientos sociales. Así, la comparación ofrece una gama de herramientas para aprehender el "arte de apropiarse del Estado" a través de una sociología de organizaciones, sindicatos y partidos políticos.

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