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Hur framställs kvinnor i diaspora på film? : En etnisk analytisk jämförelse av Persepolis och ExilsMorberg, Louise January 2012 (has links)
Denna uppsats avser studera hur kvinnor i diaspora framställs på film. Undersökningen är utförd på filmerna Persepolis (Marjane Satrapi, 2004) och Exils (Tony Gatlif, 2007). De teoretiska utgångspunkter som uppsatsens analysdel grundar sig på är: postkolonialism, hybriditet och postkolonial feminism. Analysen är utförd efter mina egna frågeställningar, tolkningar och reflektioner, med hermeneutiken som metod. Slutsatsen visar att kvinnorna i diaspora framställs som starka och självständiga. De visar motstånd mot auktoriteter. Dock finns det i framställningen även spår av koloniala stereotyper. Samtidigt framställs också kvinnorna med hybrida identiteter. De känner tillhörighet och utanförskap både i sina hemländer och i västvärlden, och de båda ger sig ut på var sin resa undan samhälleligt och patriarkalt förtryck för att nå personlig frihet.
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Exils, langues et générations : psychopathologie des inventions subjectives, pour une clinique du lien social contemporain / Exiles, languages and generations : a psychopathology of subjective inventions, standing for a clinical approach of the social linkEl-Khattabi, Saloua 07 January 2012 (has links)
Les perspectives dites des « cliniques de l’exil » se présentent souvent, dans la littérature psychopathologique et clinique, comme une clinique de ce qui a été perdu, dont le sujet se voit séparé de force. Une clinique de l’objet perdu donc, perçu comme manque ; cette perte est le plus souvent posée comme douloureuse et pensée comme détermination d’un état mélancolique. Or la clinique freudienne de l’objet perdu insiste sur sa construction, son avènement comme toujours déjà perdu et invite à saisir l’exil comme modalité de la séparation d’avec le Wohl primordial. C’est une séparation nécessaire pour advenir comme sujet de l’énonciation. Lacan pointe pour sa part une logique des exils au pluriel. Nos patients d’origine « étrangère » indiquent comment l’exil et le recours à une langue étrangère sont élevés au rang de symptôme et donc à accueillir et soutenir en clinique. Cette clinique « de la vie quotidienne » enseigne que l’exil implique la question de la filiation. Se pose ainsi la question du père. De la tuchè du père, quel automaton ou quelles inventions subjectives pour trouver une place dans le monde ? Cette clinique nous ouvre à des considérations qui nous font relire la littérature de manière renouvelée et repenser la « clinique de l’exil » en « clinique de l’exilé ». / « Exile » is presented in literature as an awful experience where the subject cries desperately after the lost object. Freudian psycho-analysis shows how important it is for the infant to get exiled from the primordial Wohl. The Lacanian definition of « exile » suggests to talk about « exiles », a plural, i.e as a structural disharmony. We have, therefore, wanted to examine the relationship between « exile », foreign langage » and their function for a foreign patient. The other side of our work is to examine the effects of exile upon the next generations. Actually, the main question is in what way both exile and foreign langage are symptoms when the father’s function is inefficient. We have based our everyday work with foreign patients upon a clinical approach which respects the psychic structure, the symptom and the various solutions or subjective inventions looking for a place in this world among men.Key words
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La Palestine sur scène. Une approche géocritique du théâtre palestinien (2006-2016) / Palestine on stage. A geocriticism of Palestinian Theatre (2006-2016)Nakhlé-Cerruti, Najla 30 November 2017 (has links)
À partir d’un corpus de six pièces de théâtre produites entre 2006 et 2016 par des Palestiniens, ce travail étudie l’élaboration de la spatialité dans les textes et ses interactions avec l’espace réel dans lequel ils se déploient. En raison des fortes contraintes imposées aux Palestiniens dans leurs mobilités, la pratique du territoire représente d’abord une expérience identitaire quimarque les conditions de création et les choix dramaturgiques. Le théâtre offre un espace pour raconter cette expérience et c’est le témoignage qui occupe la scène, dans diverses formes d’autobiographie scénique. Le texte, support de mémoire devient un objet littéraire où le récit de soi monologué permet aux Palestiniens d’exprimer l’exil qu’ils vivent, dans sa doublenature : géographique et psychologique. Dans ces récits scéniques, les personnages finissent par se confondre avec l’espace qu’ils décrivent ; s’élaborent alors des figures littéraires spécifiques à ce rapport à l’espace. Ainsi, l’image de l’enfermement manifeste les liens entre le texte et la réalité vécue et décrite. Cette poétique de l’espace participe aussi à la remise enquestion du mythe de la Palestine qui occupe les textes de cette décennie, et fournit ainsi un angle privilégié pour analyser les dynamiques identitaires des Palestiniens. / This work studies how the spatial dimension is elaborated in six theatre plays produced between 2006 and 2016 by Palestinians and how these texts interact with the real space within which they unfold. Because of the strong constraints imposed on Palestinians’ mobility, the practice of territory embodies an experience. This alters the conditions and choices of production and theatre offers a space to tell this experience. In this body of texts, testimony takes center stage in the form of staged autobiography. The text therefore becomes a literary object, rather than a medium for memory. Self-narrative allows Palestinians to express their exiles in both geographic and psychological terms, by using the form of the monologue. In their stories, the characters are so affected by this experience of territory that they end up being conflated with the space they describe. The spatial dimension in the texts is elaborated from literary figures. The image of imprisonment expresses in a direct manner the links between text and reality. It participates in the questioning of the myth of Palestine that fills the texts of this decade. It is indeed in real and textual space that the identity dynamics of Palestinians are being built.
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Exils, langues et générations : psychopathologie des inventions subjectives, pour une clinique du lien social contemporainEl-Khattabi, Séloua 07 January 2012 (has links) (PDF)
Les perspectives dites des " cliniques de l'exil " se présentent souvent, dans la littérature psychopathologique et clinique, comme une clinique de ce qui a été perdu, dont le sujet se voit séparé de force. Une clinique de l'objet perdu donc, perçu comme manque ; cette perte est le plus souvent posée comme douloureuse et pensée comme détermination d'un état mélancolique. Or la clinique freudienne de l'objet perdu insiste sur sa construction, son avènement comme toujours déjà perdu et invite à saisir l'exil comme modalité de la séparation d'avec le Wohl primordial. C'est une séparation nécessaire pour advenir comme sujet de l'énonciation. Lacan pointe pour sa part une logique des exils au pluriel. Nos patients d'origine " étrangère " indiquent comment l'exil et le recours à une langue étrangère sont élevés au rang de symptôme et donc à accueillir et soutenir en clinique. Cette clinique " de la vie quotidienne " enseigne que l'exil implique la question de la filiation. Se pose ainsi la question du père. De la tuchè du père, quel automaton ou quelles inventions subjectives pour trouver une place dans le monde ? Cette clinique nous ouvre à des considérations qui nous font relire la littérature de manière renouvelée et repenser la " clinique de l'exil " en " clinique de l'exilé ".
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