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Reasons for not finalising child sexual abuse cases in alternative care : social workers' perceptions / Veronica GrunderGrunder, Veronica January 2014 (has links)
Dealing with child sexual abuse cases, is an integral part of the social workers job. Due to the nature of the abuse and the provisions made by the Children’s Act, 38 of 2005, as amended, to safeguard the child victim, many social workers remove children of child sexual abuse cases and place them in alternative care.
The aim of this study is to explore the perceptions of social workers on the reasons why child sexual abuse cases in alternative care is not finalized. Some of the factors that play a role in not finalising these cases are: the high case loads of the courts and social workers, the lack of cooperation from the South African Police Service, the notion that if a child is removed, the child is safe and further intervention is a luxury.
This study reveals that there is a lack in training and adequate knowledge on how to deal with child sexual abuse cases. The study also indicates that a lack of communication between the role players in child sexual abuse cases exists, causing some social workers to lose their drive for these cases. Due to the high amount of cases of the Police, the courts and the social workers, these cases are not always seen as a priority and the fact that the child is not as adequate a witness as he/she needs to be, finalising these cases are not very successful. Another reality made known from this study, is that there is a dire need for forensic social workers in the field and alongside it, there is a lack of funds, prohibiting social workers to make use of the few forensic social workers in private practice.
It was indicated that forum meetings and training be provided to all the stake holders in child sexual abuse cases, as well as to develop a clear protocol, indicating how to deal with these cases and explain each stakeholder’s role and responsibilities. / MSW (Forensic Practice), North-West University, Potchefstroom Campus, 2015
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Reasons for not finalising child sexual abuse cases in alternative care : social workers' perceptions / Veronica GrunderGrunder, Veronica January 2014 (has links)
Dealing with child sexual abuse cases, is an integral part of the social workers job. Due to the nature of the abuse and the provisions made by the Children’s Act, 38 of 2005, as amended, to safeguard the child victim, many social workers remove children of child sexual abuse cases and place them in alternative care.
The aim of this study is to explore the perceptions of social workers on the reasons why child sexual abuse cases in alternative care is not finalized. Some of the factors that play a role in not finalising these cases are: the high case loads of the courts and social workers, the lack of cooperation from the South African Police Service, the notion that if a child is removed, the child is safe and further intervention is a luxury.
This study reveals that there is a lack in training and adequate knowledge on how to deal with child sexual abuse cases. The study also indicates that a lack of communication between the role players in child sexual abuse cases exists, causing some social workers to lose their drive for these cases. Due to the high amount of cases of the Police, the courts and the social workers, these cases are not always seen as a priority and the fact that the child is not as adequate a witness as he/she needs to be, finalising these cases are not very successful. Another reality made known from this study, is that there is a dire need for forensic social workers in the field and alongside it, there is a lack of funds, prohibiting social workers to make use of the few forensic social workers in private practice.
It was indicated that forum meetings and training be provided to all the stake holders in child sexual abuse cases, as well as to develop a clear protocol, indicating how to deal with these cases and explain each stakeholder’s role and responsibilities. / MSW (Forensic Practice), North-West University, Potchefstroom Campus, 2015
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Le pilotage des interfaces organisationnelles. Contribution à l'équilibration des processus d'intégration-différenciation des organisationsSeghier, Sofiane 13 February 2012 (has links) (PDF)
L'interface organisationnelle demeure un objet peu étudié. La recherche se propose de l'explorer et d'en comprendre les dynamiques. La première partie explicite les fondements de la recherche. Après avoir défini l'interface, elle fait apparaître que l'instabilité des interfaces résulte de déséquilibres dans les processus d'intégration-différenciation. Pour mesurer ces phénomènes, la méthodologie fait appel à deux méthodes : l'élaboration et l'analyse d'une base de verbatim, et une recherche-intervention. La deuxième partie est consacrée aux déterminants de l'objet. Elle précise les propriétés et les activités de l'interface, et en propose une modélisation. Une analyse croisée de 14 interfaces est ensuite exposée ; trois déterminants de la régulation à l'interface sont identifiés : le degré d'incertitude, la fréquence des interactions et la répartition du pouvoir. Sur ces bases, une typologie des interfaces est proposée : stratégiques, politiques, de coordination, et sociales. La troisième partie approfondit la recherche par l'observation in vivo et la transformation des interfaces. Elle met en évidence leurs coûts de fonctionnement, le rôle fondamental de leur finalisation, et montre que les processus d'intégration et de différenciation posent la question de leur qualité, en plus de celle de leur intensité. L'hypothèse selon laquelle le pilotage des interfaces organisationnelles améliore l'équilibration de l'intégration-différenciation est discutée puis expérimentée. À partir des premiers résultats d'expérimentation, la recherche identifie des leviers de pilotage des interfaces et formule des implications managériales.
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Le pilotage des interfaces organisationnelles. Contribution à l'équilibration des processus d'intégration-différenciation des organisationsSeghier, Sofiane 13 February 2012 (has links) (PDF)
L'interface organisationnelle demeure un objet peu étudié. La recherche se propose de l'explorer et d'en comprendre les dynamiques. La première partie explicite les fondements de la recherche. Après avoir défini l'interface, elle fait apparaître que l'instabilité des interfaces résulte de déséquilibres dans les processus d'intégration-différenciation. Pour mesurer ces phénomènes, la méthodologie fait appel à deux méthodes : l'élaboration et l'analyse d'une base de verbatim, et une recherche-intervention. La deuxième partie est consacrée aux déterminants de l'objet. Elle précise les propriétés et les activités de l'interface, et en propose une modélisation. Une analyse croisée de 14 interfaces est ensuite exposée ; trois déterminants de la régulation à l'interface sont identifiés : le degré d'incertitude, la fréquence des interactions et la répartition du pouvoir. Sur ces bases, une typologie des interfaces est proposée : stratégiques, politiques, de coordination, et sociales. La troisième partie approfondit la recherche par l'observation in vivo et la transformation des interfaces. Elle met en évidence leurs coûts de fonctionnement, le rôle fondamental de leur finalisation, et montre que les processus d'intégration et de différenciation posent la question de leur qualité, en plus de celle de leur intensité. L'hypothèse selon laquelle le pilotage des interfaces organisationnelles améliore l'équilibration de l'intégration-différenciation est discutée puis expérimentée. À partir des premiers résultats d'expérimentation, la recherche identifie des leviers de pilotage des interfaces et formule des implications managériales.
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Le pilotage des interfaces organisationnelles : Contribution à l’équilibration des processus d’intégration-différenciation des organisations / Piloting of the Organizational Interfaces : Contribution to the Equilibration of the integration-differentiation processes of organizationsSeghier, Sofian 13 February 2012 (has links)
L’interface organisationnelle demeure un objet peu étudié. La recherche se propose de l’explorer et d’en comprendre les dynamiques.La première partie explicite les fondements de la recherche. Après avoir défini l’interface, elle fait apparaître que l’instabilité des interfaces résulte de déséquilibres dans les processus d’intégration-différenciation. Pour mesurer ces phénomènes, la méthodologie fait appel à deux méthodes : l’élaboration et l’analyse d’une base de verbatim, et une recherche-intervention.La deuxième partie est consacrée aux déterminants de l’objet. Elle précise les propriétés et les activités de l’interface, et en propose une modélisation. Une analyse croisée de 14 interfaces est ensuite exposée ; trois déterminants de la régulation à l’interface sont identifiés : le degré d’incertitude, la fréquence des interactions et la répartition du pouvoir. Sur ces bases, une typologie des interfaces est proposée : stratégiques, politiques, de coordination, et sociales.La troisième partie approfondit la recherche par l’observation in vivo et la transformation des interfaces. Elle met en évidence leurs coûts de fonctionnement, le rôle fondamental de leur finalisation, et montre que les processus d’intégration et de différenciation posent la question de leur qualité, en plus de celle de leur intensité. L’hypothèse selon laquelle le pilotage des interfaces organisationnelles améliore l’équilibration de l’intégration-différenciation est discutée puis expérimentée. À partir des premiers résultats d’expérimentation, la recherche identifie des leviers de pilotage des interfaces et formule des implications managériales. / The organizational interface remains a little studied object. The research suggests investigating it and understanding the dynamics.The first part clarifies the foundations of the research. Having defined the interface, il creates that the instability of the interfaces results from imbalance in the processes of integration-differentiation. To measure these phenomena, the methodology appeals to two methods: the elaboration and the analysis of a base of verbatim, and a research-intervention.The second part is dedicated to the determiners of the object. She specifies the properties and the activities of the interface, and proposes a modelling. A crossed analysis of 14 interfaces is then explained; three determiners of the regulation in the interface are identified: the degree of uncertainty, the frequency of the interactions and the distribution of the power. On these bases, a typology of the interfaces is proposed: strategic, political, of coordination, and social.The third part deepens the research by the in vivo observation and the transformation of the interfaces. It brings to light their costs of functioning, the fundamental role of their finalization, and shows that the processes of integration and differentiation ask the question of their quality, besides that of their intensity. The hypothesis according to which the piloting of the organizational interfaces improves the équilibration of the integration-differentiation is discussed then experimented. From the first results of experiment, the research identifies levers of piloting of the interfaces and formula of the managerial implications.
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