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La forêt d'eucalyptus à Addis Abeba : valorisation, gestion et préservation de la ressource boisée dans une capitale en expansion / Eucalyptus forest in Addis Ababa : environmental management and protection in a changing capital

Ayerbe, Delphine 15 December 2016 (has links)
Cette thèse interroge la place des espaces forestiers dans une capitale africaine en mutation. Introduit à Addis Abeba il y a un peu plus de 100 ans l'eucalyptus a permis de répondre aux demandes des populations en bois d'œuvre et bois énergie. Les plantations constitutives de la forêt urbaine et périurbaine ont été développées au rythme de croissance démographique de la capitale. Mais les orientations nouvelles prises par les aménageurs urbains valorisent l'avancée d'un bâti vertical, qui ne s'accorde plus avec le voisinage de ces espaces verts productifs. De plus, l'espèce est décriée pour ses effets supposés néfastes sur l'environnement. Au cours de cette étude nous cherchons à saisir la dualité qui s'installe entre la volonté de valoriser une image moderne de la capitale éthiopienne et la continuité de pratiques forestières populaires, à l'œuvre dans ces territoires boisés. En nous basant sur des enquêtes qualitatives auprès des décideurs urbains et des acteurs de la filière eucalyptus nous interrogeons les nouvelles pratiques de l'environnement à Addis Abeba. La surreprésentation d'instances internationales joue dans la diffusion d'un discours global qui influence les perceptions de l'arbre par les autorités urbaines. Ces dernières discutent les fonctionnalités à valoriser dans ces territoires boisés tout en contrôlant l'accès à la ressource et les pratiques liées à l'eucalyptus. Les tensions qui animent les choix d'aménagement des acteurs urbains montrent les difficultés à concilier enjeux environnementaux et économiques dans la métropole addissienne. / This thesis explores the evolving place of forest areas in a changing African capital. Eucalyptus has been introduced in Addis Ababa more than 100 years ago in order to meet the locals' demand for timber as well as wood fuel. This urban and suburban forest was planted together with the capital's population growth. Yet, the new planning choices made by local authorities promote the advance of a vertical built environment, which is not anymore consistent with the proximity of those productive green areas. Moreover, this variety is highly criticized for its alleged harmful impacts on the environment. This study seeks to give an account of the duality that arise between the will to provide the Ethiopian capital with a modem image and the continuity of popular forestry practices at work on those forest areas. The analysis is based on a qualitative survey of urban authorities and stakeholders of the "eucalyptus' chain" strategies and explores the new environmental practices in Addis Ababa. The over-representation of international stakeholders in the city is an ideal vector for the promotion of global narratives which influence the local authorities' perceptions of that tree. Indeed, local authorities promote some specific functions for the forest, while controlling the access to the resource and the practices linked to the eucalyptus. The tensions that drive the urban authorities' planning choices highlight the difficulties in reconciling environmental and economic stakes in Addis Ababa.
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Forêts urbaines de loisirs : usages récréatifs et manières d'habiter / urban forests for leisure : Outdoor recreation and ways of living

Lepillé, Romain 11 September 2017 (has links)
Ce travail analyse les recompositions territoriales que produisent l’augmentation et la diversification des usages sportifs des forêts urbaines. La thèse interroge conjointement les demandes et les usages des populations urbaines, la manière dont ils s’ajustent à des choix d’équipement et à des formes de gestion. La thèse rend compte des déterminations réciproques des cultures, des rapports sociaux et des rapports spatiaux à l’échelle d’une métropole, Rouen, dont la ceinture verte est classée « Forêt d’Exception® » et dont la démarche gestionnaire s’avère relativement pionnière. Le corpus comprend 43 entretiens semi-directifs, divers documents (articles de presse, bulletins d’information, rapports d’activités, etc.), ainsi que de nombreuses données obtenues par questionnaire. Ces dernières ont été produites à l’échelle de la métropole (n=5700), des quartiers de lisière (n = 661) et des pratiques (n=334).L’analyse, multiscalaire, révèle le fonctionnement de médiations territoriales originales, qui sont aussi des analyseurs de choix. La diversité des usages dévoile en premier lieu des territoires du quotidien et des manières d’habiter très différenciées. Leur émergence récréative permet également d’observer, à travers des profils de pratiquants, les recompositions des formes sportives de la vie urbaine contemporaine. À l’heure du numérique et au croisement des logiques de la socialisation (traces et images de soi), de l’événementiel (développement des fun runs) et de l’affirmation d’un échelon politique « métropolitain », on analyse enfin comment ces formes et ces logiques de communication affectent la prise en charge de ces espaces naturels, qu’elles tendent à constituer en « stations ». / This work examines territorial recomposition produced by augmentation and diversification of urban forest outdoor recreation. The thesis interrogates jointly claim and practice and residential ‘choices’, choices in terms of cities and space inside cities. We south to elucidate the reciprocal determination of the various cultures, social relationships and spatial relations in Rouen metropolis (France). Rouen green belt is classified “Exceptional Forest ®” and the forest management is relatively pioneer. The corpus contains 43 semi-structured interviews, documents from several sources (departments of urban planning, administrative reports, newspapers articles, etc.) and several surveys collected by the scale of Rouen metropolis (N=5700), forest-fringe residents (N=661) and outdoor recreation practitioners (N=334). A multi-scale approach reveal how territorial mediations operate as a decision analyser. Practice diversity reveals “territories of the everyday” and different ways of living. Outdoor recreation emergence also allows to observe the urban life physical activities restructuration through the description of the type of practitioners. At the crossing of the logic of socialization (tracks, self-images), the logic of event management (fun runs development) and the appearance of a new metropolitain political scale we analysed how communication affects natural landscape and tend to turn them into “resort”.
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Captation des particules fines par les arbres : cas des grands parcs montréalais

Cyr, Dominic 09 1900 (has links)
La matière particulaire est un agent nocif pour la santé humaine et la réduction de sa concentration atmosphérique est nécessaire dans une approche de santé publique. L’atteinte de cet objectif passe par, entre autres, la captation des particules par la végétation. La question que nous nous sommes posés est: quel est le potentiel de captation des arbres publics dans la ville de Montréal. Comme site à l’étude, nous avons choisi les grands parcs, car leur végétation arborescente couvre un pourcentage important de leur surface. Le modèle de captation de la matière particulaire du logiciel i-Tree a été utilisé pour définir la capacité de purification de l’air selon les caractéristiques spécifiques de chaque parc. Ces caractéristiques comprennent l’indice de surface foliaire des arbres (LAI) et l’étendue des canopées, les conditions météorologiques ainsi que les concentrations des particules dans l’air. Plusieurs méthodes et techniques de calcul de ces paramètres ont été testés et les plus appropriées retenues pour le calcul des intrants. Les calculs ont été faits sur une base journalière pour l’ensemble de l’année 2017. Les résultats montrent que le total des particules captées pendant l’année 2017 s’élève à un peu plus que 3.5 tonnes pour les quatorze parcs évalués. Selon nos calculs, la majeure partie de ces particules a été lessivée au sol par les pluies et un faible pourcentage a été remis en circulation. Un test de validation des résultats in situ n’a pas été concluant. Il n’en demeure pas moins que les résultats sont similaires aux résultats des recherches effectuées dans d’autres villes Nord-Américaines avec le modèle d’i-Tree. Ces résultats montrent que le rôle des arbres pour la purification de l’air est important tout au moins localement. Les possibilités d’améliorer les méthodes de calcul des intrants du modèle de captation sont également discutées. / Particulate matter is an agent harmful to human health and reducing its atmospheric concentration is necessary from a public health approach. Achieving this objective requires, among other things, the capture of particles by vegetation. Our research question was what is the potential of public trees in the city of Montreal for capturing such particles. We chose large parks as our study site, because trees cover a significant percentage of their surface. The particulate matter capture model of the i-Tree software was used to define the air purification capacity according to the specific characteristics of each park. These characteristics include tree leaf area index (LAI) and canopy extent, weather conditions, and particulate matter concentrations in the air. Several methods and techniques for calculating these parameters were tested and the most appropriate ones used for the calculation of inputs to the model. Calculations were made on a daily basis for the whole of 2017. The results show that just over 3.5 tonnes of particles were captured for the fourteen parks evaluated over this period. According to our calculations, most of these particles were leached to the ground by rain and a small percentage were put back into circulation. A validation test of the results in situ was inconclusive. The fact remains that the results are similar to those of research carried out in other North American cities with the i-Tree model. These results show that the role of trees for air purification is important at least locally. Possibilities for improving the methods of calculating the inputs for the capture model are also discussed.
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Forêt urbaine, végétation et développement de l’asthme infantile

Duquesne, Louise 12 1900 (has links)
Contexte : L’influence de la végétation urbaine sur le développement de l’asthme infantile est controversée. Il est avancé que les arbres (canopée urbaine) réduisent la pollution atmosphérique, un facteur de risque de l’asthme mais également, que certains peuvent émettre des pollens et des composés organiques volatils biogéniques, tout-autant des facteurs de risque pour le développement de l’asthme chez l’enfant. Cependant, les risques associés à la canopée urbaine ont été étudiés à l’aide de données rudimentaires souvent, sans considération pour la saison. Objectifs : 1) Caractériser l’association entre la végétation urbaine et le développement de l’asthme en distinguant la végétation totale et de la canopée des feuillus et de conifères, en fonction des saisons de production de pollens et de feuilles des arbres. 2) Évaluer l’influence de la canopée d’arbres sur l’association entre les particules fines (PM2.5) et le développement de l’asthme infantile. Méthodes : Nous avons utilisé les données d’une cohorte de naissance ouverte contenant tous les enfants nés sur l’île de Montréal (Canada) entre 2000 et 2015 et suivis jusqu’à leurs 12 ans, créée à partir de données médico-administratives agrégées. L’exposition à la végétation totale a été estimée à l’aide d’une mesure satellitaire appelée l’indice de végétation par différence normalisée (NDVI) et l’exposition à la canopée urbaine, a été estimée à l’aide de données de télédétection laser aéroporté - LiDAR permettant d’estimer l’aire de la canopée des feuillus et des conifères dans un rayon de 250 m autour de la résidence des participants, tout au long du suivi. En dehors des saisons de pollens et de feuilles des arbres, les variables d’expositions ont été fixées à zéro. Des modèles de risque proportionnels de Cox ont été développés pour estimer le risque associé au NDVI et aux canopées d’arbres lors de la saison de pollens et de feuilles des arbres. La non-linéarité a été modélisée à l’aide de catégories et de splines cubiques pour les expositions. Nous avons ensuite évalué l’effet de la canopée urbaine sur l’association entre les particules fines (PM2.5) et le développement de la maladie. Résultats : Parmi les 352 946 enfants inclus dans la cohorte et suivis pour un total de 1,7 millions de personnes-années, 30 816 nouveaux cas d'asthme ont été identifiés pour un taux moyen de nouveaux cas d’asthme était de 17,79 nouveaux cas par 1 000 personnes-années. Le NDVI moyen annuel s’élevait à 0,365 (Écart-type (ET) : 0,106) dans un rayon de 250 m centré sur la résidence des participants. En saison de pollens, le NDVI moyen se réduisait à 0,089 (ET : 0,106) et à 0,15 (ET : 0,185) en saison de feuilles. En moyenne, les enfants étaient exposés à trois fois plus de canopées de feuillus (moyenne = 12,3 (ET : 17,0) ×103 m2) que de conifères en saison de feuilles (moyenne= 4,5 (ET : 4,3) ×103 m2), et sept fois plus en saison de pollens. Nos analyses ont révélé des associations distinctes en fonction des saisons pour le NDVI et la canopée de feuillus. Trop peu de conifères étaient présents pour tirer des conclusions quant à leur effet. Les analyses à l’aide des splines cubiques pour les expositions ont indiqué la présence de relations non-linéaires. La catégorisation des expositions a indiqué que des niveaux moyens de canopée de feuillus en saisons de feuilles avaient un effet protecteur lorsque comparés aux non-exposés (Rapport de Risque (RR): 0,694 ; Intervalle de confiance (IC95%) : 0,680 – 0,708). À l’inverse, pour les journées de pollens, la canopée de feuillus autour de la résidence était associée à l’augmentation du risque (RR =1,082 (IC95% 1,056 – 1,108)). Pour les catégories de NDVI annuel (non subdivisé par saisons), aucune association n’a été détectée. Pour finir, la canopée d’arbres et le NDVI n’ont influencé que très faiblement l’association entre les PM2.5 régionaux et le développement de l’asthme infantile. Cependant, une légère interaction a été observée entre les feuillus en saison de feuilles et les PM2.5. Des niveaux élevés de feuillus autour de la résidence en période de feuilles diminueraient le risque d’asthme associé à l’exposition aux PM2.5. Discussions : Les résultats suggèrent que l’effet de la végétation varie en fonction des saisons. L’effet capté par le NDVI semble être en grande partie attribuable à la canopée de feuillus. L’influence de la végétation sur l’association entre les PM2.5 et le développement de l’asthme est très faible. / Background: The influence of urban vegetation and tree canopy on the development of childhood asthma is controversial. It is argued that trees reduce air pollution, a risk factor for asthma, but at the same time, some species emit pollens and biogenic volatile organic compounds, all of which are risk factors for the development of asthma in children. Yet, the risks associated with the urban canopy have been studied using rudimentary data, often without consideration for the season. Objectives: 1) To characterize the association between urban vegetation and asthma development by distinguishing between total vegetation and deciduous and evergreen tree canopy, according to the pollen and leaf-on seasons. 2) To assess the influence of tree canopy on the association between fine particulate matter (PM2.5) and the development of childhood asthma. Methods: We used data from an open birth cohort containing all children born on the island of Montreal, Canada, between 2000 and 2015 and followed up until their 13th birthday, created from aggregated medico-administrative data. Exposure to total vegetation was estimated using a satellite measure called the normalized difference vegetation index (NDVI). Exposure to the urban canopy was estimated using LiDAR, an airborne remote laser sensing technology that was used to estimate the area of the deciduous and coniferous canopy within a 250 m buffer centered on participants' residential postal codes, updated throughout the follow-up. Outside of the pollen and tree leaf-on seasons, exposure variables were set to zero. Cox proportional hazard models were developed to estimate the risk associated with NDVI and tree canopies for the pollen and tree leaf-on seasons. Nonlinearity was modeled using categories and restricted cubic splines for exposures variables. We then assessed the effect of the urban canopy on the association between fine particulate matter (PM2.5) and asthma development. Results: Among the 352,946 children included in the cohort and followed for a total of 1.7 million person-years, 30,816 new asthma cases were detected, for an average incidence rate of 17.79 new cases per 1,000 person-years. The mean annual NDVI was 0.365 (Standard Deviation (SD): 0.106) within a 250 m buffer centered on participants' residential postal codes. In the pollen season, the mean NDVI was reduced to 0.089 (SD: 0.106) and to 0.15 (SD: 0.185) for the leaf-on season. On average, children were exposed to three times as much deciduous canopy (mean= 12.3 (SD: 17.0) ×103 m2) as coniferous canopy in leaf-on season (mean= 4.5 (SD: 4.3) ×103 m2), and seven times as much in pollen season. Our analyses revealed distinct associations by season for NDVI and deciduous trees. Too few evergreens were present to draw conclusions about their effect. Cubic spline analyses for exposures indicated the presence of nonlinear relationships. Exposure categorization indicated that average levels of deciduous trees canopy in the leaf-on season had a protective effect when compared to unexposed (Hazard Ratio (HR): 0.694; Confidence Interval (CI95%): 0.680 - 0.708). Conversely, for pollen days, the residential deciduous canopy was associated with increased risk (HR =1.082 (CI95% 1.056 - 1.108)). For annual NDVI categories (not subdivided by season), no association was detected. Finally, tree canopy and NDVI only weakly influenced the association between regional PM2.5 and childhood asthma development. However, a slight interaction was observed between leaf-on-season deciduous canopy and PM2.5. High levels of deciduous trees canopy at residential postal codes during the leaf-on season decrease the risk of asthma associated with PM2.5 exposure. Discussion: Our results suggest that the effect of vegetation varies with season. The effect captured by NDVI appears to be largely due to the deciduous canopy. The influence of vegetation on the association between PM2.5 and asthma development appeared to be marginal.

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