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L'ordre à Louisbourg : mesures de contrôle dans une société coloniale française, 1713-1758

Johnston, A. J. B 24 April 2018 (has links)
Between 1713 and 1758, there was a major French colonizing venture on Cape Breton Island. The colony was known as Ile Royale and its principal settlement and administrative centre was Louisbourg. A multitude of controlling measures were introduced throughout the lifespan of the colony so as to make the society as ordered as possible. Most initiatives arose in and were directed at the capital, Louisbourg. The outport settlements were left largely to their own, informal means when it came to questions of order and control. The impetus to make Louisbourg an ordered society was deeply rooted in colonial officials, and to a lesser extent in the colonists themselves. Virtually every sphere of public life, and some aspects of private life, were touched by controlling measures. Some of the more prominent controls were in the following areas: town planning and the organization of space within the intra muros at Louisbourg; public celebrations, especially those which promoted the monarchy and the hierarchical values underpinning it; ordinances and practices aimed at discouraging certain types of behaviour; and the use of exemplary punishments in a formal justice system. The efforts to create an ordered society at Louisbourg were in keeping with patterns found in contemporary France and New France. Yet the distinctive economic, social and demographic situations in the capital of He Royale posed special challenges. There was a prolonged imbalance in the sexes, a population mix which was more diverse than was usually the case in New France, and there were a large number of transients in port throughout the shipping season. Moreover, the military presence at Louisbourg was so large, between one quarter and one-half of the population, that there were many possibilities for friction between the civil and military spheres of colonial society. The defensive needs of the place were such that military requirements had a considerable impact on life in the town: from how the grid took shape to how and when people were allowed to enter and exit the town to the use of sentries and patrols to keep order. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2013
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La tournée africaine du général De Gaulle, du 20 au 27 août 1958, considérée comme une relance de la politique coloniale française en Afrique noire, vue à travers le Monde, le Figaro, l'Aurore, l'Humanité

Ndjoyi, Lucien Blaise 25 April 2018 (has links)
La tournée africaine du général de Gaulle, effectuée du 20 au 27 août 1958, la veille du référendum constitutionnel de septembre qui était tenu dans la Métropole et dans les colonies, n'avait jusqu'ici fait l'objet d’aucune étude systématique. Plusieurs historiens, politiciens ou administrateurs des colonies et autres, ont évoqué ce voyage, mais toujours dans le cadre d'une étude générale qui porte le grand titre ambigu" de "décolonisation de l'Afrique noire". Mais aucun n'a fait ressortir le but réel de cette tournée, qui, loin de revêtir un aspect émancipateur comme on l'a toujours pensé, va plutôt permettre à de Gaulle et aux gouvernants français, grâce â une domestication en apparence librement consentie, de perpétuer le pacte colonial aux seules colonies qui restaient a la France en 1958: celles de l'Afrique noire. Cette année (1958) est une période très troublée en France à cause de la crise franco-algérienne qui est à son paroxysme et d'une manière indirecte va influencer la "nouvelle" politique française en Afrique noire. Cette crise algérienne marque aussi le grand tournant de la f i n de la IVe république et donne naissance à la Ve avec le retour de de Gaulle. La suite logique des crises coloniales étant devenue un tourment aux yeux des gouvernants français, la probabilité de voir l'Afrique noire, dernière chance de la survie du colonialisme français, prendre la relève de l'Algérie dans ces conflits coloniaux, était déjà perçue dès 1957. L'utilisation de la presse, constituée ici par le Monde, le Figaro, l'Aurore et l'Humanité, comme source de base était primordiale. En effet les quotidiens sont les documents les plus adéquats pour étudier la perception d'un événement par l’opinion publique, surtout que cette presse sélectionnée présente l'opinion des diverses couches socio-politiques impliquées ou qui subissent ces événements. Plus encore ces mêmes quotidiens ont permis à de Gaulle et son groupe de manipuler l'opinion publique française, africaine et même internationale, ceci pour atteindre leur but qui est en fait la relance du colonialisme français, synonyme de grandeur de la France. Une grandeur qui, pour les gouvernants français, est inéluctablement liée à l'existence de colonies françaises. Ainsi soula couverture d'une mission "civilisatrice" non périmée, les gouvernants français s'adressant aux Africains, vont p~6ner une politique dite de renouveau, dont la toile de fond reste cependant la même: la conservation des colonies africaines dans le giron français. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2013
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L'épée et la plume : Amérindiens et soldats des troupes de la Marine en Louisiane et au Pays d'en Haut (1683-1763)

Balvay, Arnaud 11 April 2018 (has links)
Québec Université Laval, Bibliothèque 2014
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Le réseau du Canada : étude du mode migratoire de la France vers la Nouvelle-France, (1628-1662)

Carpin, Gervais 25 April 2018 (has links)
Nous avons cherché à comprendre et à expliquer comment et pourquoi, entre 1628 et 1662, des Français traversèrent l'Atlantique pour travailler ou s'installer en Nouvelle-France. Comprendre exigeait de s'arrêter sur ceux qui furent mandatés pour peupler la colonie car elle n'était pas accessible au tout venant. Pourquoi une compagnie fut-elle créée dans ce but ? Qui furent les émigrants contactés ? Comment furent-ils mis en contact ? Comme une des particularités du peuplement fut la lenteur et la faiblesse, le but était, par l'analyse des acteurs du peuplement et des facteurs de contrainte ou de support, de faire apparaître les causes de ses limites. L'historiographie est riche de plusieurs études sur les organismes recruteurs et sur les colons. De cette connaissance, il ressort que nous pouvions envisager comme postulat l'existence d'un réseau, constitué d'appareils formels et de groupes informels. Nous avons examiné les composants du réseau en mettant au jour leurs relations, les différents nœuds, leur densité. À partir d'une analyse des sources traditionnelle, nous avons recomposé les groupes humains, leurs moyens pour parvenir à mettre en oeuvre leur mandat pour les uns et pour parvenir à partir pour les autres, et nous avons aussi intégré les moyens de communication comme les informations qui circulaient ou les chemins qui devaient être pris. Nous avons constaté l'existence d'une volonté politique de l'État qui s'est donné un outil pour créer une colonie: la Compagnie de la Nouvelle France, formée d'individus sous son contrôle. Ils administrèrent la colonie au nom des besoins de l'État et la financèrent de leur argent. La faiblesse des revenus coloniaux à laquelle s'ajouta l'adversité aurait imposé un soutien appuyé de l'État. À sa place, paradoxalement, elle eut droit à l'indifférence d'abord et à l'hostilité ensuite. La faiblesse financière fut totalement déterminante sur la poursuite du peuplement. La Compagnie générale délégua beaucoup à des organismes aussi pauvres qu'elle. Il en résulta un recrutement minimum, organisé dans les ports d'embarquement, auprès d'une population locale ou préalablement migrante, à la recherche d'un emploi. Quelques recruteurs travaillèrent dans leur lieu d'origine auprès d'une population à laquelle ils étaient rattachés par des liens sociaux ou familiaux. Enfin, certains émigrants partirent de leur propre chef, le plus souvent en famille, avec la permission des organismes autorisés du réseau. La décision d'analyser sous une forme réseau les parties en cause dans le peuplement de la colonie de la Nouvelle-France a révélé une série de phénomènes de cause à effet qui expliquent effectivement un certain nombre de limites qui déterminèrent le mode migratoire vers la colonie, fait d'un appel à une population en attente de travail, pour combler de faibles besoins coloniaux. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2013
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La liberté d'errer et de vaquer : les Hurons de Lorette et l'occupation du territoire, XVIIe-XIXe siècles / Hurons de Lorette et l'occupation du territoire, XVIIe-XIXe siècles

Tanguay, Jean 24 April 2018 (has links)
La présente étude questionne, une fois de plus, la nature des relations qui se sont développées entre les puissances coloniales européennes et les nations indiennes habitant la vallée du Saint-Laurent. En abordant plus précisément l'histoire des Hurons de Lorette et des rapports qu'ils ont entretenus depuis le XVIIe siècle avec leurs alliés, nous chercherons à évaluer s'il existe le maintien d'un ordre politique et juridique amérindien, relativement indépendant de l'administration coloniale française et anglaise. Pour ce faire, nous traiterons de l'occupation territoriale des Indiens de Lorette en analysant les ententes intervenues avec d'autres nations sur le partage et la gestion commune du territoire. Il nous importe également de questionner la juridiction française et anglaise en ce qui concerne les droits de chasse et de pêche des nations «domiciliées». Nous voulons ainsi apporter notre humble contribution à la problématique contemporaine des droits politiques, juridiques et territoriaux de la nation huronne-wendate. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2013

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