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The freres Goncourt : ecrivains non-en-gages.

Richardson, Barbara Ann January 1963 (has links)
Dans cette étude il s'agit d'examiner les points de We exprimés dans le Journal des Goneourt, d'abord à propos du dix-neuvième siècle, ensuite des écrivains qu'ils connaissaient et finalement à propos de la religion et de l'amour. Le texte intégral du Journal, qui fut commencé par E'dmond et Jules de Goncourt en 1851 et qu'Edmond continua jusqu'à sa mort en 1896, ne parut qu'en 1956, quoique d'autres éditions incomplètes aient été déjà publiées, dont la première en 1887. II est évident que le dix-neuvième siècle ne plut point aux Goncourt, et leurs études historiques leur prouvèrent que c'était le dix-neuvième siecle qui leur aurait convenu, surtout à cause de son élégance et de l'importance attachée à ce moment-là aux oeuvres artistiques. La politique leur était indifférente, car au dix-neuvième siècle elle était en faveur de la bourgeoisie et même du peuple, pour qui ils avaient un mépris d'aristocrates. De même les écrivains qu'ils connaissaient ne gagnèrent que rarement leur suffrage, car ce n'était pas, à leur avis, de vrais artistes prêts à se donner complètement à leur art. Ecrivains et historiens, les Goncourt étaient aussi critiques d'art et collectionneurs, et ils étaient toujours déçus par l'indifférence de leurs collègues aux objets d'art. Dans leur Journal ils dénigraient Flaubert et Zola à cet égard. Ainsi se développa chez les Goncourt une certaine idée de leur supériorité qui leur rendait difficile l’occasion de se former de vraies amitiés. En plus il exista une telle intimité entre les deux frères que, jusqu'à la mort de Jules en 1870, ils pouvaient sans difficulté rester à l'écart des autres, et Edmond ne devait jamais trouver personne qui pût remplacer son frère. Les Goncourt se croyaient trop intelligents pour avouer une foi religieuse. La religion était, selon eux, pour les races primitives et les femmes. Leur propre religion c'était l'art, et l'Académie Goncourt, dont ils préparèrent la fondation, était leur monument à leur propre carrière littéraire. Envers les femmes et l'amour aussi ils avaient une attitude égoïste. Ils avaient des maitresses, mais c'était pour des raisons plutot hygiéniques, et ni l'un ni l'autre ne fut jamais amoureux. Leur égoïsme les empêcha de se sacrifier aux autres, et leur temps à eux était trop précieux pour le perdre dans la vie de familie. Ainsi peut-on justifier l'épithète "non-engagés" pour qualifier leur attitude sociale et religieuse, en observant le détachement des Goncourt envers tout ce qui entourait leur vie. / Arts, Faculty of / French, Hispanic, and Italian Studies, Department of / Graduate
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Le réalisme dans les romans des fréres Goncourt.

Bensabath, Charles. January 1966 (has links)
Entre 1860 et 1869, Edmond et Jules de Goncourt publient six romans : Charles Demailly (1860), Soeur Philomène (1861), Renée Mauperin (1864), Germinie Lacerteux (1865), Manette Salomon (1867), Madame Gervaisais (1869). C'est la totalité de la production romanesque des deux frères.Ces volumes forment un ensemble bien groupé dans le temps, où se retrouve une évidente unité d'intention, de ton, d'écriture. Les historiens de la littérature sont aujourd'hui d'accord pour classer ces oeuvres sous la rubrique "Romans réalistes". Mais ils diffèrent dans leur analyse et leur appréciation du "réalisme" de ces ouvrages. A quoi tient réellement ce "réalisme" ? Telle est, présentée de la façon la plus sommaire, la question à quoi le présent mémoire se propose de répondre. [...]
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Le réalisme dans les romans des fréres Goncourt.

Bensabath, Charles. January 1966 (has links)
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Portrait du clown en personnage de roman : A partir de Gavroche (Les misérables), Kenwell et Cox (Le train 17) et les frères Zemganno (Les frères Zemganno)

Gagnon, Evelyne. January 2008 (has links)
Among the various studies written on the voluminous artistic production relating to the clownish figure in the XIXth century, more specifically on its melancholic form in the second half of the century, very few have carried interest to the novel. The objective of this master's thesis is to study the clown as a novel character, through Gavroche (Victor Hugo, Les Miserables ), Kenwell and Cox (Jules Claretie, Le Train 17) and the brothers Zemganno (Edmond de Goncourt, Les Freres Zemganno ). We will focus on the way those hyperbolic figures spread out their marginality, their laughter and their illusions within the novel, thus providing information on this one. Our analysis of the clown's passage through the novel, which always deploys in three phases (the marginal entrance, the ascension and the fall), demonstrates the incompatibility between the realistic material from the XIXth century and this nevertheless infinitely novelistic being.
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Portrait du clown en personnage de roman : A partir de Gavroche (Les misérables), Kenwell et Cox (Le train 17) et les frères Zemganno (Les frères Zemganno)

Gagnon, Evelyne. January 2008 (has links)
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Les romans de l'écrivain-journaliste d'Illusions perdues à Bel-Ami : continuités et ruptures

Couture, Maude 23 April 2018 (has links)
Nombreux sont les romans du XIXe siècle qui ont pour thème principal le journalisme. Le présent mémoire se donne pour objectif de retracer l’évolution et les transformations du scénario romanesque de l’écrivain-journaliste à travers trois romans majeurs sur la presse soit Illusions perdues (1843) d’Honoré de Balzac, Charles Demailly (publié en 1860 sous le titre Les hommes de lettres) des frères Edmond et Jules de Goncourt ainsi que Bel-Ami (1885) de Guy de Maupassant. Pour ce faire, nous situerons d’abord Illusions perdues comme le modèle matriciel de ce scénario en ce sens que se cristallise dans ce roman l’ensemble des éléments clés propres à ce scénario et nous verrons par la suite en quoi les romans des Goncourt et surtout de Maupassant s’en rapprochent et s’en distancent. Nous avons choisi de convoquer ces œuvres, car elles représentent des repères incontournables dans une étendue temporelle d’un peu plus de quarante ans.

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