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La grâce dans la philosophie de Vladimir Jankélévitch

Desilets-Paquet, Arthur 24 April 2018 (has links)
Ce mémoire a pour objet de décrire l'opération de la grâce dans la pensée de Jankélévitch. Pour y parvenir, notre exposé prendra la forme d'un itinéraire éthique. Nous montrerons d'abord que l'homme peut vouloir de deux manières différentes. Il peut se préférer lui-même, se placer comme finalité de son action ou bien, à l'inverse, choisir l'autre comme point focal. Cette deuxième option ne va pas de soi et nécessite un effort de liberté. Dans un deuxième temps, nous expliquerons que ces deux manières de vouloir impliquent la conscience. Se préférer module la conscience tout comme préférer son prochain. Or, la conscience est animée d'une dynamique propre. L'éthique devra chercher à allier la manière de vouloir à celle-ci. Un bon vouloir en phase avec l'évolution de la conscience mène à l'innocence, le stade ultime de la conscience, aussi appelée l'état de grâce. Cet état de grâce est un point culminant, difficile à atteindre et qui commande un important effort de liberté. Il rend possible l'opération de la grâce, objet de notre troisième chapitre. L'opération de la grâce est un moment de conversion qui place l'homme au-dessus de sa nature biologique et le fait coïncider avec un mouvement métempirique. Lorsque cela se produit, l'agent touche au sommet de la vie morale jankélévitchienne, il devient créateur de valeur, générateur de la morale.
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La doctrine de la grâce irrésistible chez Jean Calvin

Pinard, André 23 February 2022 (has links)
Ce mémoire entend démontrer que la doctrine de la grâce irrésistible se retrouve chez Calvin lui-même. Pour comprendre la portée de cette doctrine, nous commencerons par situer Calvin et son œuvre. L'étude de la doctrine elle-même nous fera voir d'une part que Calvin enseigna l'asservissement au mal de la volonté humaine irrégénérée. L'homme est ainsi dans l'incapacité de se tourner de lui-même vers Dieu pour son salut. L'étude nous montrera d'autre part que Calvin enseigna, de manière correspondante, que la grâce salvifique est irrésistible pour les élus. Cette doctrine trouve sa cohérence dans un univers théologique particulier. Nous observerons d'abord le champ lexical privilégié par Calvin. Nous verrons ensuite que l'irrésistibilité de la grâce, sous son aspect thélématique, concerne principalement la régénération secrète, l'appel intérieur ainsi que l'attraction intérieure. La place de cette doctrine chez Calvin est étudiée finalement sur les plans diachroniques, synchroniques et apologétiques.
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La grâce et la reconnaissance : de l'anthropologie du don de Marcel Hénaff à la théologie sacramentaire de Louis-Marie Chauvet

Bergeron, Patrice 24 April 2018 (has links)
Explorer la grâce à la lumière des pratiques de don étudiées par Marcel Mauss a une pertinence tout à la fois anthropologique et théologique, donc humaine : telle est l’hypothèse qui est à l’origine de cette recherche de théologie systématique. Concrètement, il s’agit de vérifier cette hypothèse à partir d’une lecture analytique des travaux de deux auteurs qui, dans leurs champs disciplinaires respectifs, se sont intéressés à l’«Essai sur le don» de Mauss pour repenser la grâce, et qui ont aussi accordé une attention soutenue à la dimension rituelle des pratiques de don. Du côté de l’anthropologie, Marcel Hénaff rattache explicitement la grâce – pratiques et pensées diverses – à la tradition du «don réciproque cérémoniel» dans les sociétés segmentaires, mais il montre aussi et surtout en quoi elle implique une transformation majeure de cette tradition. Tant du côté du don cérémoniel que de celui de la grâce, il s’agit de reconnaissance publique et de lien social – dit autrement, de symbolisme –, mais il s’agit aussi de formes distinctes. Autant il importe de rattacher ces diverses formes aux contextes et aux types d’organisation sociale qui les portent, autant il importe également de prendre en considération la part «invisible» de la reconnaissance pour bien comprendre ce qui s’y joue, c’est-à-dire la reconnaissance avec les diverses figures de l’invisible – esprits, ancêtres, dieux. De plus, la pensée anthropologique de la reconnaissance de Marcel Hénaff jette un éclairage singulier sur la tradition chrétienne et sur ce qu’elle a fait du don. Du côté de la théologie chrétienne, Louis-Marie Chauvet pense lui aussi la grâce en lien avec les travaux de Mauss sur le don. Bien que sa théorie du «symbolique» soit hétéroclite, le don cérémoniel comme «échange symbolique» y occupe une place de choix. L’échange symbolique va même jusqu’à configurer le champ des questions, et il intervient de manière centrale dans sa théologie de l’alliance chrétienne et de la grâce. Il en va de même pour l’eucharistie, qu’il approche comme un rituel/sacrement de don à partir duquel il interroge l’héritage chrétien de la grâce. À plusieurs égards, les travaux d’Hénaff et de Chauvet s’appellent et se complètent. Le premier est attentif aux rituels dans les sociétés segmentaires et il manifeste une authentique curiosité théologique. Cependant, il en dit peu sur la ritualité chrétienne. Le second, quant à lui, est attentif aux rituels chrétiens et il manifeste une authentique curiosité anthropologique, mais il tend parfois à sous-estimer l’écart entre l’«échange symbolique» dans les sociétés segmentaires et ce qui pourrait être l’«échange symbolique» dans le christianisme. Enfin, tous les deux portent une interrogation de fond sur les sociétés occidentales modernes, sur leurs fécondités, mais aussi sur les défis qu’elles doivent affronter, notamment en ce qui concerne le lien social et les empiétements de l’économique sur l’ensemble des secteurs de vie. À partir des travaux de ces deux auteurs, la présente recherche vise donc à faire entendre certaines des résonnances actuelles de l’alliance chrétienne et de la grâce en ce qui concerne l’avènement du sujet croyant, le lien ecclésial, la vie sacramentaire et la participation des Églises à la société civile et au lien social en contexte de modernité occidentale. / Exploring grace in light of the gift practices studied by Marcel Mauss is relevant from an anthropological standpoint as much as from a theological standpoint: such is the hypothesis explored in this systematic theology research. Precisely, this hypothesis is tested through an analytical reading of the works of two authors who, in their respective fields and with the ambition of rethinking grace, showed a resolute interest in Mauss’s essay on the gift and devoted a special attention to the ritual dimension of gift practices. In his work, Marcel Hénaff considers grace from an anthropological point of view and relates it – with its diverse practices and theories – to the ceremonial gift exchange tradition which can be found in societies without a central state, but he also mainly shows how it implies a major transformation of this tradition. Ceremonial gift exchange and grace are primarily concerned with public recognition and social bonding – in other words, with symbolism – but that recognition is also embodied in very different institutions. In order to understand what is at stake in these different forms of recognition, it is essential not only to relate them to the different types of social organization in which they are found, but also to consider their «invisible» part, that is the relationships with the diverse figures of the invisible – spirits, ancestors, gods. This is how Marcel Hénaff’s anthropology of recognition sheds light on the Christian tradition and on its handling of the gift. In Christian theology, Louis-Marie Chauvet also approaches grace in relation to Mauss’s essay and thinking on gift practices. In Chauvet’s variegated theory of the «symbolic», the ceremonial gift as a «symbolic exchange» stands out. The vocabulary associated with symbolic exchange not only formulates the important questions, it is also central in his theology of Christian covenant and grace. The same applies to the Eucharist, which he addresses as a gift ritual and through which he examines the Christian heritage of grace. In many ways, Hénaff’s and Chauvet’s work complete each other. The former is mindful of the rituals in societies without a central state and shows an authentic theological curiosity. However, he does not say much about Christian rituality. The latter is mindful of Christian rituals and shows an authentic anthropological curiosity, but he tends to underestimate the difference between «symbolic exchange» in societies without a central state and what could be a Christian «symbolic exchange». Finally, both examine and question western and modern societies regarding their possibilities, but also the challenges they are facing concerning social bonding, as well as the overlapping of economic exchanges in every sphere of life. The objective of this research and its analysis of the works of these two authors is to enlighten today’s relevance of covenant and grace in its various aspects: the advent of the subject, the ecclesiological bond, the sacramental life and the participation of Christian Churches in the social life in western modernity.
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Law and Grace in the Work of St. Ilarion, Metropolitan of Kyiv (1051-1054 AD)

Bozyk, Ronald 08 August 2019 (has links)
Protocole d'entente entre l'Université Laval et l'Université de Sherbrooke / La Grande Commission donnée aux Apôtres par le Seigneur Jésus Christ (Mt.28:19- 20) représente la base de la mission chrétienne non seulement à l’ère biblique ou patristique mais pendant toute l’histoire de l’Église du Christ. Chacun des Apôtres et missionnaires est chargé d’expliquer le besoin du Baptême. Pourquoi devenir chrétien? St Paul l’Apôtre explique la nécessité de la Foi et du Baptême en jouant sur le contraste et la comparaison entre la Foi et la Loi, le Baptême et la circoncision, le Christ et Moïse, la Nouvelle Alliance et l’Ancienne. Dans le Prologue de l’Évangile St Jean l’Évangéliste parle de la Nouvelle Alliance établie sur Jésus Christ Dieu-Homme. “Car la Loi fut donnée par Moïse; la grâce et la vérité sont venues par Jésus Christ” (Jn 1:17). St Ilarion de Kyiv en Rous’-Kyivienne du XIe siècle a proclamé le Sermon pascal basé sur ces mots de la péricope de l’Évangile pascale qui sont lus liturgiquement dans l’Église orthodoxe. St Ilarion commence son Sermon sur la Loi et la Grâce en continuant la parole de St Jean: “Sur la loi, donnée par Moïse, sur la Grâce et la Vérité qui le furent par Jésus Christ”. Donc la littérature de la Rous’-Kyivienne commence avec un sermon néo-patristique signifiant le remplacement de la Loi par la Grâce du Christ et aussi manifestant la joie que l’Église de la Nouvelle Alliance a apportée au peuple de la Rous’-Kyivienne. “La vraie Foi se répandit sur toute la terre. Elle parvint aussi jusqu’à notre peuple de la Rous’. Le lac de la Loi s’assécha, tandis que la source de l’Évangile, après s’être gorgée d’eau et avoir recouvert toute la terre, se déversa jusque chez nous.” (Lines 240-243). / The Great Commission given by the Lord Jesus Christ to the Apostles (Mt. 28:19 – 20) is the basis of the Christian mission not only in the Biblical and Patristic eras but throughout the growth of the Christian Church. Every Apostle and Missionary was charged to explain the need for repentance and Baptism. Why be a Christian? St. Paul the Apostle explains the necessity of Faith and Baptism by comparing and contrasting Faith and Law; Baptism and Circumcision; Christ and Moses; the New Covenant and The Old. St. John the Evangelist in his Prologue to his Gospel speaks of the New Covenant based on the Person of Jesus Christ. For the Law was given through Moses; grace and truth came through Jesus Christ. (John 1:17). St. Ilarion of Kyiv in eleventh century Kyivan-Rus’ proclaimed a Paschal Sermon built upon these words of St. John which are the last words of the traditional pericope read at Pascha in the Orthodox Church and began his sermon: Concerning the Law given by Moses, and concerning Grace and Truth which came through Jesus Christ. Thus the literature of Kyivan-Rus’ begins with a neo – patristic sermon expressing the supersedence of the Law of Moses by the Grace of Christ and also the great joy that the New Covenant Church has reached the people of Kyivan-Rus’. Our Good God did not forget any corner of the world, nor us; He desired and saved us and brought us to true understanding. (Lines 258 – 259).
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La notion de grâce irrésistible dans la Response aux calomnies d'Albert Pighius de Jean Calvin / Notion de grâce irrésistible dans la Réponse aux calomnies d'Albert Pighius de Jean Calvin

Pinard, André 11 April 2018 (has links)
La thèse présente la doctrine de la grâce mise de l'avant dans la Response aux calomnies d'Albert Pighius (RCAP), publiée en 1543 par Jean Calvin, afin de savoir si, d'après le réformateur, l'élu peut résister à la grâce de Vinitium fidei. Une autre question consiste à savoir si l'absence d'usage de la racine « irresistibil- » dans les contextes d'emploi du mot « gratia », chez le réformateur, nous oblige à considérer anachronique l'usage - en études calviniennes - du syntagme « grâce irrésistible » popularisé environ un siècle plus tard. Selon nous, la notion de grâce irrésistible constitue, chez Calvin, le corollaire de la notion de serf arbitre. Évolution terminologique ne signifie pas discontinuité. L'approche historique sous-tend notre recherche dont la RCAP, en ses versions française et latine, représente la source principale. Nous avons aussi tenu compte des autres ouvrages calviniens d'importance majeure pour le thème, dont les versions latine (1539) et française (1541) de l'Institution chrétienne, de même que du De libero hominis arbitrio et de gratia divina (DLHA) de Pighius. Deux chapitres de mise en contexte sont suivis de deux autres consacrés à l'analyse de la RCAP, faisant intervenir l'information d'incidence peccatologique et sotériologique. Un dernier chapitre nous a permis d'effectuer la synthèse thématique de l'information recueillie. Les passages les plus pertinents renvoient au De correptione et gratia d'Augustin, dans le cadre duquel sont distinguées la grâce résistible de l'économie adamique prélapsaire et la grâce de l'économie chrétienne - irrésistible - qui assure infailliblement le salut et à laquelle les élus ne peuvent résister. Sont soulignés le caractère irrésistible de l'inspiration secrète, de l'appel intérieur et de l'attrait spirituel, le lien entre l'irrésistibilité de Yinitium fidei et la doctrine de la sanctification, puis son incidence sur la piété chrétienne. La présente étude nous amène à constater que, selon l'enseignement de la RCAP de Jean Calvin, les élus ne peuvent résister à la grâce de l'initium fidei. L'usage du syntagme « grâce irrésistible » n'est donc pas anachronique. En outre, la nécessité d'une traduction plus fidèle du terme « arbitrium » dans les textes théologiques de la Réformation a été mise en lumière

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