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Le photomarquage en fonction de la température du récepteur d'angiotensine II de type 1 mène à une meilleure compréhension du mécanisme d'activation

Arsenault, Jason January 2010 (has links)
Les récepteurs couplés aux protéines G (RCPG) sont réfractaires à l'application efficace des méthodes structurales pour étudier la structure 3D du complexe récepteur-ligands. Nous présentons une nouvelle méthode basée sur l'analyse de l'interaction ligand-RCPG à différentes températures avec le photomarquage par affinité exploitant des ligands contenant le photomarqueur pBenzoyl-L-phénylalanine (Bpa). Cette approche nous a permis de générer un modèle du complexe du récepteur d'angiotensine H de type 1 (hAT [indice inférieur 1] ) avec le [Sar [indice supérieur 1] , Bpa [indice supérieur 8] AngII à plus haute résolution et aussi d'identifier des différences conformationnelles entre la forme active et la forme inactive du récepteur. Notre laboratoire a démontré que la position 8 du [indice supérieur 125] I-[Sar [indice supérieur 1] , Bpa [indice supérieur 8] AngII formait un lien covalent avec le domaine transmembranaire 7 (DTM7) dans hAT [indice inférieur 1] . Le Bpa, qui a une sélectivité réactionnelle pour les méthionines (Met), était ambigue dans son rayon d'action variable. Néanmoins, cette sélectivité a permis d'élaborer l'essai de proximité aux Met (MPA). La température de photomarquage a été subséquemment identifiée comme un facteur important à contrôler dans les études de photomarquage. En étudiant ainsi les mutants Met positifs en MPA du récepteur hAT 1 , nous avons observé des changements importants lors de l'interaction ligand-récepteur en fonction de la température. A basse température, les fluctuations conformationnelles du complexe ligand-récepteur sont minimisées. Inversement, à 37 [degrés Celsius], le complexe démontre une flexibilité structurale très importante.Les analyses de ces résidus photomarqués suivis d'une digestion au CNBr'démontrent que l'accessibilité aux Met augmente proportionnellement avec la température. Ensuite, en photomarquant le mutant constitutivement actif, le N111G-hAT [indice inférieur 1] , nous pouvons comparer les différences entre une forme basale et une forme plus active du récepteur.Les résultats sont quantifiés en un ratio du marquage Met/DTMVII et ceci nous donne un indice d'accessibilité entre le ligand et le résidu muté dans hAT [indice inférieur 1] . Nous avons observé des différences thermodépendantes entre ces ratios d'accessibilités des mutants X[arrow right]Met et N111G/X[arrow right]Met. Ces ratios d'accessibilités ont été transformés en distance et insérés comme contraintes dans la modélisation moléculaire par refondu simulée. Nous voyons dans le récepteur un éloignement du haut du DTMVI, un rapprochement du DTMII et V et un petit déplacement du DTMIII lors de l'activation.Les différences dans les structures sont à la base des mécanismes d'activations d'hAT [indice inférieur 1] et des RCPGs en général.
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Interaction de la position 3 de l'Angiotensine II avec le récepteur hAT[indice inférieur 1] lors de son activation

La Haye-Renaud, Marie-Pier January 2007 (has links)
Suite à l'observation d'une différence de rendement de photomarquage entre le récepteur AT[indice inférieur 1] humain (hAT[indice inférieur 1]) marqué avec un agoniste et un antagoniste, nous avons voulu identifier le point de contact entre le récepteur et la position 3 du ligand en fonction de l'état d'activation du récepteur ou de l'activité intrinsèque du ligand. Pour ce faire, nous avons utilisé deux analogues de l'angiotensine II, le [Sar[indice supérieur 1] Bpa[indice supérieur 3]] Ang II, un agoniste partiel, et le [Sar[indice supérieur 1] Bpa[indice supérieur 3] Ile[indice supérieur 8]] Ang II, un antagoniste et la méthode de photomarquage par affinité. Les analogues ont une forte affinité pour le récepteur hAT[indice inférieur 1]-WT avec des K[indice inférieur d] respectifs de 1,2nM et 0,7nM. De plus, pour travailler avec différents états d'activation du récepteur nous avons utilisé les récepteurs mutants constitutivement actifs hAT[indice inférieur 1]-N111G et hAT[indice inférieur 1]-N111G-I172M produits par mutagenèse dirigée, le récepteur de type sauvage (hAT[indice inférieur 1]-WT) et un récepteur constitutivement inactif hAT[indice inférieur 1]-N111W. À l'aide des analogues monoiodés ([indice supérieur 125]I-[Sar[indice supérieur 1] Bpa[indice supérieur 3]] Ang II et [indice supérieur 125]I-[Sar[indice supérieur 1] Bpa[indice supérieur 3] Ile[indice supérieur 8]] Ang II), nous avons spécifiquement photomarqué le récepteur hAT[indice inférieur 1]-WT et les différents mutants transfectés dans des cellules COS-7. L'étude des rendements de photomarquage a démontré un meilleur rendement avec le ligand [Sar[indice supérieur 1] Bpa[indice supérieur 3] Ile[indice supérieur 8]] Ang II pour le récepteur hAT[indice inférieur 1]-WT. Le récepteur mutant hAT[indice inférieur 1]-N111G ne voyait pas de différence entre les deux ligands et avait un rendement très élevé, il en était de même pour le récepteur mutant hAT[indice inférieur 1]-N111W. Ainsi, l'état d'activation du récepteur ne changerait pas la proximité du résidu 3 et de son contact. Alors le contact serait peut-être réorienté. Pour déterminer cette région, nous avons fait l'analyse des complexes covalents séparés sur gel de polyacrylamide (SDS-PAGE) qui a révélé une bande radioactive de poids similaire pour tous les récepteurs correspondant à la masse relative apparente d'environ 100 kDa. Les complexes marqués ont ensuite subi diverses digestions pour déterminer la région de contact entre la 3[indice supérieur e] position de l'Ang II et les différents récepteurs mutés. Suite à ces digestions nous avons été en mesure de conclure que la région de contact se situait entre N[indice supérieur 168]-E[indice supérieur 173]. Afin de vérifier si la région de contact était la même pour le récepteur hAT[indice inférieur 1]-WT et le récepteur mutant hAT[indice inférieur 1]-N111G nous avons déterminé s'il y avait une monopolisation du marquage, qui est un indice de proximité du point de contact. Ces résultats permettent de conclure que la région de contact entre la position 3 de l'angiotensine II et le récepteur hAT[indice inférieur 1] activé est la même que pour le récepteur inactivé. Ainsi, peu de mouvements seraient observés dans cette région lors de l'activation du récepteur.

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