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Henri III, roi de France et de Pologne (1574-1589) : la figure, la fonction, le sacré

Oger-Haquet, Isabelle 13 January 2010 (has links)
Monarque qui se veut absolu en pleines guerres de religion, le dernier Valois n’utilise pas les arts mais les images, dans leurs pouvoirs discursif et persuasif. Contrairement à ses prédécesseurs, il ne développe pas de programmes remarquables dignes de l’Ecole de Fontainebleau ; il ne se présente pas non plus en roi de guerre. Toutes ses commandes imagées sont marquées par l’iconographie ou l’exégèse religieuses, y compris son fameux portrait en habit de cour noir. L’analyse de ces œuvres variées a permis de mettre en évidence des détournements par rapport aux normes chrétiennes édictées par Rome, et de révéler le rôle messianique qu’Henri III a cru tenir. Loin d’une traditionnelle assimilation du Roi Très Chrétien à la figure de Jésus-Christ, l’imagerie témoigne d’une mystique complexe, fondée sur des textes anciens hérétiques (gnosticisme de Basilide, IIe siècle) et tendancieux (millénarisme de Joachim de Flore, XIIe siècle). Dès que les premières images ont livré leur clé de lecture, tout le corpus a pris une nouvelle cohérence : Henri III est le nouveau Messie, le Verbe qui va instaurer le royaume de Dieu sur terre. Ses fondations religieuses – l’ordre du Saint-Esprit et les confréries pénitentielles – appartiennent à ce même programme, centré sur la troisième hypostase, et révèlent un fonctionnement sectaire. Inventeur d’une doctrine fantasmagorique et de l’iconographie qui l’expose, le Valois entretient des rapports particuliers avec les artistes. Sous son règne, Jean Decourt puis, vraisemblablement, son fils Charles sont les premiers peintres du roi. Parallèlement, Henri III s’attache un portraitiste officieux, Jean II Rabel, éditeur d’estampes en charge d’une diffusion massive des portraits royaux. Nos recherches ont aussi remis en cause des rapprochements traditionnels : à moins de nouvelles découvertes, l’Académie du Palais n’a joué aucun rôle artistique et François Quesnel n’a pas travaillé pour le roi. / Monarch who aims for Absolutism during religion wars, the last Valois King does not use Arts, but Pictures with all their discursive and persuasive powers. Unlike his predecessors, he does neither enter in massive projects, worth the School of Fontainebleau, nor does he feature himself as a warrior King. Every picture ordered have the footprints of iconography or religious exegesis, including his famous court black dress portrait. The analysis of these various masterpieces has highlighted the distortions with the usual Christian dogmas and describe the Messianic Role, Henry III believed to personify. Far from the traditional presentation of the Christian King into a Jesus Christ look alike, the pictures are the long lasting proofs of a more complex mysticism, based on hold heretic and tendentious texts (Gnosticism of Basilide, II. Century; Millenarianism of Joachim de Flore, XII. century). Once the first pictures’ secrets are unlocked, everything makes sense: Henry III is the new Messiah, the Verb, who is going to establish the kingdom of God on Earth. Its religious roots, the order of Holy Spirit and the penance brotherhoods, belong to the same scheme, based on the third hypostasis and show a sectarianism process. Creator of a shadowy dogma and of the associated Iconography, the Valois King keeps specific relationships with artists. During his reign, Jean Decourt, then likely his son Charles, are the first official King’s painters. At the same time, Henry III employs a un official portraitist, Jean II Rabel, engravings editor, responsible for a massive diffusion of royal portraits. Our studies have also put into question some traditional theories: unless new discoveries are made, the Palace Academy has never played an artistic role, neither Francois Quesnel ever worked for the King.
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L'articulation du comique et du politique dans les pamphlets de la deuxième moitié du XVIème siècle à partir de la collection réunie par Pierre de L'Estoile dans son « Registre-Journal du règne de Henri II » / The representation of the comic and the political in the pamphlets of the second half of the XVIth century from the collection gathered by Pierre de L' Estoile in Registre-Journal du règne de Henri II

Mabrouk, Dorsaf 17 December 2009 (has links)
Utiliser la violence verbale pour ; attaquer, rabaisser, nuire à la réputation d’autrui et diffamer, voilà comment les pamphlétaires envisagent leur prise de parole. Alors, lorsque le politique s’empare de cette force du discours et de son pouvoir de nuisance pour en faire une arme de propagande, le résultat peut parfois se révéler déroutant face à une énonciation pamphlétaire qui échappe au contrôle de ceux-là mêmes qui voulaient l’institutionnaliser et la mettre au service de leurs affrontements partisans. L’utilisation du comique dans les pamphlets des guerres de religion atteste, clairement, de cette évolution sur la voie d’une libération totale du discours de toute forme de respect quelle qu’elle soit. Le passage de la moquerie et de la raillerie plaisante, du drôle au tout simplement méchant, violent, cruel et haineux au point de se demander si nous pouvons encore parler de dimension comique, voici la que! stion qui a motivé notre recherche et c’est dans la collection pamphlétaire de Pierre de L’Estoile insérée dans son Registre-Journal du Règne de Henri III que nous avons expérimenté l’étude de l’énonciation et de la réception des libelles. La dimension propagandiste permet en apparence de donner une crédibilité voire même une légitimité au discours pamphlétaire en l’associant à un objectif politique, mais en réalité, elle ne fait que l’ancrer encore plus dans sa valeur diffamatoire et renforcer sa dimension passionnelle jusqu’à outrance pour manipuler un lecteur contraint d’entrer dans ce jeu diffamatoire. Toute la question est donc de savoir comment la brutalité comique s’exprime dans ces feuilles volantes, d’en définir l’intérêt et surtout les enjeux idéologiques ? / Use verbal violence to attack, belittle, compromise others and slander, this is how satirical tract writers voice their opinions. Thereafter, when politics seize this power of nuisance to make it a propaganda weapon, the result may sometimes seem puzzling to the very people who sought to institutionalize it and put it in the service of their partisan confrontations. The use of the comic in the pamphlets of the religious wars gives clear evidence of this evolution towards a total liberation of the speech of any form of respect whatsoever. What motivated our research was the way taunt and pleasant mockery simply turned into a miserable, violent, cruel and resentful discourse, to the point that we wonder if we can still speak about a funny dimension. It is in the collection of satirical tract writer Pierre de L'Estoile inserted in his Registre-Journal du Règne de Henri III that we studied these statements. The propagandist dimension seemingly ! allows giving credibility, or even legitimacy, to the satirical tract writer by associating him with a political objective – may it be to kill with a nib. In fact, it only anchors it all the more in its slanderous value and strengthens its passionate dimension to the point of extravagance in order to manipulate the reader. The question is thus to determine how does the funny brutality express itself in these loose sheets, to define their interest and above all their ideological stakes ?
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L'articulation du comique et du politique dans les pamphlets de la deuxième moitié du XVIème siècle à partir de la collection réunie par Pierre de L'Estoile dans son " Registre -Journal du règne de Hen

Mabrouk, Dorsaf 17 December 2009 (has links) (PDF)
Utiliser la violence verbale pour ; attaquer, rabaisser, nuire à la réputation d'autrui et diffamer, voilà comment les pamphlétaires envisagent leur prise de parole. Alors, lorsque le politique s'empare de cette force du discours et de son pouvoir de nuisance pour en faire une arme de propagande, le résultat peut parfois se révéler déroutant face à une énonciation pamphlétaire qui échappe au contrôle de ceux-là mêmes qui voulaient l'institutionnaliser et la mettre au service de leurs affrontements partisans. L'utilisation du comique dans les pamphlets des guerres de religion atteste, clairement, de cette évolution sur la voie d'une libération totale du discours de toute forme de respect quelle qu'elle soit. Le passage de la moquerie et de la raillerie plaisante, du drôle au tout simplement méchant, violent, cruel et haineux au point de se demander si nous pouvons encore parler de dimension comique, voici la que! stion qui a motivé notre recherche et c'est dans la collection pamphlétaire de Pierre de L'Estoile insérée dans son Registre-Journal du Règne de Henri III que nous avons expérimenté l'étude de l'énonciation et de la réception des libelles. La dimension propagandiste permet en apparence de donner une crédibilité voire même une légitimité au discours pamphlétaire en l'associant à un objectif politique, mais en réalité, elle ne fait que l'ancrer encore plus dans sa valeur diffamatoire et renforcer sa dimension passionnelle jusqu'à outrance pour manipuler un lecteur contraint d'entrer dans ce jeu diffamatoire. Toute la question est donc de savoir comment la brutalité comique s'exprime dans ces feuilles volantes, d'en définir l'intérêt et surtout les enjeux idéologiques ?
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Pierre Matthieu et l'empire du présent : Clio dans les guerres de Religion françaises

Lafrance, Félix 13 April 2018 (has links)
Dans l'écriture de l'histoire immédiate, la pression et l'expérience de l'actualité, les valeurs, les sentiments et les intérêts personnels d'un historien peuvent le conduire à transformer le passé. L'exemple de l'historien des guerres de Religion françaises Pierre Matthieu montre comment la gestion des vérités passées s'avère délicate lorsque les historiens doivent faire des «choix éditoriaux». L'étude de la représentation qu'il fait des chefs ligueurs, de la Ligue et d'Henri IV dans son Histoire des derniers troubles de France (1594-1606) permet de comprendre le poids du présent sur l'écriture de l'histoire récente et la perception arrangée et significative qui s'en dégage pour le présent. Ce mémoire s'intéresse aux fonctions auxquelles répond cette représentation dans le processus de réconciliation nationale lancé par le premier Bourbon. Il donne un indice de la difficulté séculaire d'être acteur et rédacteur de l'histoire et permet de se demander si le présent est «historicisable».
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La politique anglaise d'Élisabeth I par rapport à la France sous Henri III (1574-1589) : menées secrètes ou diplomatie sincère?

Perrad, Sophie 16 April 2018 (has links)
Ce mémoire porte sur la politique étrangère d’Élisabeth 1ère, reine d’Angleterre (1558-1603), face à la France, durant le règne de Henri III, roi de France de la dynastie des Valois. Le premier objectif fut de déterminer comment Élisabeth 1ère, reine protestante, et ses ambassadeurs ont réagi face aux guerres civiles entre catholiques et protestants en France. Nous avons aussi étudié leurs réactions face à la montée en puissance d’une famille princière ultra catholique, les Guise, et le groupe qu’ils dirigent, la Sainte Ligue. Si Élisabeth a préconisé les menées secrètes avec les rebelles protestants dans un premier temps (1574-1577), elle a adopté une diplomatie sincère avec la couronne française dans un second temps (1584-1589), pour éviter que la France ne tombe aux mains des Guise et de leur allié, le roi d’Espagne Philippe II. / The subject of this thesis is the foreign policy of Elizabeth I, Queen of England (1558-1603), toward France during the reign of Henry III, King of France of the dynasty of Valois. The first purpose was to determinate how Elizabeth I, protestant queen, and her ambassadors, reacted toward the wars of Religion between French Catholics and Protestants. We also study their reactions toward the princely ultra catholic family of Guise and the group they leaded, the Holy League. Elizabeth chose to act secretly with the protestants rebels first (1574-1577) but, she adopted a sincere diplomacy with the crown subsequently (1584-1589) to obviate that France fall into Guise’s and their ally’s hands, Phillip II, King of Spain.

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