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Histoire des relations entre Paris et ses canaux : formes, usages et représentations, 1818-1876 / History of the relations between Paris and its canals : forms, uses and representations, on 1818-1876

Guével, Solenn 27 January 2017 (has links)
La recherche propose d’interroger ce qui lie et qui a pu un jour lier Paris à ses canaux, afin d’alimenter et d’élargir les réflexions actuelles sur les problématiques urbaines et sur la définition des modes et temps de constitution de la ville, soit de comprendre les liens entre ville et infrastructure.À travers l’étude de la forme du paysage et du tissu rural et urbain, des projets, des acteurs privés et publics, des activités et des usages et, enfin, des représentations, le rôle et la place tenus par les canaux parisiens, destinés au transport de marchandises et à l’adduction d’eau, sont appréhendés, permettant ainsi de saisir, dans le temps, la complexité des processus de constitution et d’évolution de l’espace urbain à Paris, révélant, à l’échelle locale et à l’échelle territoriale, au gré des questions posées, les relations entre ville et canal au XIXème siècle.Dans un premier temps, pourquoi la capitale a-t-elle besoin de canaux ? Quelles sont les conditions de leurs implantations ? Quelles sont les spécificités de cette infrastructure ? Quel est son tracé ? Comment les canaux se sont-ils surimposés aux territoires ? Quels paysages ont-ils fabriqués ? Sont-ils un embellissement et un monument pour le territoire et/ou une coupure dans les tissus existants ? Par rapport à ces questions, nous essayons de comprendre comment les canaux parisiens se sont inscrits dans le territoire.Dans un second temps, pourquoi des entrepôts sont-ils construits le long des voies d’eau ? De quels types sont-ils ? Y-a-t-il une distinction entre ceux établis à Paris et ceux réalisés à La Villette ? Quelles transformations engendrent-ils ? Quelle place tiennent-ils dans le développement industriel et commercial de la capitale ? De plus, comment le territoire s’urbanise-t-il aux abords des infrastructures ? Par rapport à ces questions, nous tentons de montrer comment la ville s’est adaptée aux canaux parisiens.Dans un troisième temps, pourquoi est-il décidé de couvrir une partie du canal Saint-Martin sous le Second Empire ? Quels sont les impacts de cette couverture sur le transport de marchandises et l’activité industrielle bordant la voie d’eau ? Comment les trames viaire et parcellaire évoluent-elles ? Des projets, liés au service de l’infrastructure et/ou de la ville, apparaissent-ils ? Alors qu’une partie du canal Saint-Martin est recouvert et que la commune de La Villette est rattachée à la capitale, pourquoi des travaux de modernisation des canaux de l’Ourcq et Saint-Denis sont-ils entrepris ? Quels aménagements sont réalisés ? Comment le territoire traversé par l’infrastructure évolue-t-il ? Par rapport à ces questions, nous essayons de mesurer comment les canaux parisiens se sont intégrés à la ville.Nous tentons donc de comprendre comment les canaux parisiens, grands ouvrages à vocation industrielle, se sont inscrits dans le territoire ; comment la ville s’est adaptée à cette infrastructure et comment cette dernière s’est intégrée à Paris. Nous essayons de montrer que de leur création à la fin du XIXème siècle (1818-1876), qu’ils servent au transport de marchandises ou à l’adduction d’eau, qu’ils soient à l’air libre ou recouverts, les canaux ont exercé une influence forte sur la formation de la ville qu’ils traversent ; ils peuvent ainsi être considérés comme des éléments fondateurs de l’espace urbain à leurs abords.Visant à construire un objet historique, en analysant la pluralité des relations entre Paris et ses canaux au cours du XIXème siècle, la thèse souhaite mener une enquête à partir de questionnements divers qui empruntent à plusieurs disciplines, s’attachant aux questions des formes, des usages et des représentations. Outil de réflexion visant à une meilleure compréhension des liens entre ville et infrastructure, elle souhaite apporter des pistes de réflexions face aux interrogations actuelles sur les possibilités de tirer profit de leur présence et sur la manière dont peuvent ou pourraient se reconstituer leurs abords / This research proposes to investigate the comprehensive set of past and present relations between Paris and its canals, in order to fuel and expand the current reflection on urban issues and the definition of the specific modes and temporalities at stake in the formation of the city, allowing one to understand the links between city and infrastructure.Through the study of a broad scope of themes, from landscape to the form of urban or rural fabric; to projects, private and public actors, acjavascript:nouvelleZone('abstract');_ajtAbstract('abstract');tivities and uses; to their representation; this study seeks to understand the role played by the canals and their place in Paris, as a means for both the transportation of merchandise and the supply of water, in order to grasp the complexity of the evolution and processes of formation of Parisian urban spaces over time, thus revealing at both local and territorial scale the relations between city and canal during the XIXth century.Firstly, we will focus on the need for canals in Paris, capital of France. What are the conditions governing their position? What is specific about this infrastructure and its layout? How are the waterways superimposed upon the urban territory, and what landscape do they generate? Are they a form of territorial embellishment and monument, and/or an incision in the existing urban fabric? With regard to these questions, we will try to understand how Parisian waterways are inscribed in this territory.Secondly, why are the warehouses built along the waterways? Of what type are they? Is there any differentiation between those established in Paris and those in La Villette? What kind of transformation are they generating? What is their place in the industrial and commercial development of the capital? Furthermore, how are the adjacent areas to the waterways urbanized? In relation to these issues, we will try to demonstrate how the city has adapted to the Parisian canals.Thirdly, why has the decision been made to cover a segment of Canal Saint-Martin during the Second Empire? How does this covering impact freight transportation and industrial activity along the waterway? How does the street systems and lot configurations evolve? Are any projects linked to this infrastructure and/or the city, coming up? Why are modernization projects for both canals of Ourcq and Saint-Denis undertaken while a length of the Saint-Martin canal is covered and the town of La Villette is annexed to Paris? What was the scope of work for these projects? How does the territory traversed by the infrastructure evolve? In this regard, we will attempt to measure how the Parisian canals were integrated to the city.We will try to understand how the Parisian canals, as large works of civil and industrial engineering, are inscribed within its territory, how the city adapts to this infrastructure and, inversely, how it adapts to the city. We will try demonstrate that, since their creation at the end of the XIXth century (1818-1876), canals have strongly influenced the urban formation of the cities from which they were excavated, whether used for the transportation of merchandise or water supply, whether open-air or covered. These canals can thus be considered as founding elements for their surrounding urban spaces.Through an analysis of the plurality of relations between Paris and its canals along the XIXth century, this thesis aims to construct an historical object. As an investigation starting from various issues borrowing from multiple disciplines, it focuses on the questions of form, use and representation. As a tool of reflexion intended to foster a greater understanding of the links between city and infrastructure, it seeks to bring new perspectives to the current issues of existing infrastructure and develop strategies, which exploit their presence within urban fabric, and the ways in which their edges and surroundings could be reconstituted
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Le tanji coréen-modèles et métamorphoses d'un défi urbain / The korean tanji-models and transformations of the urban challenge

Kwon, Haeju 10 March 2017 (has links)
Le tanji est d'abord construit sur des terrains vagues, pour ensuite servir au réaménagement du territoire : il remplace brutalement le modèle de l’habitation basse. La structure urbaine existante perd ainsi l’occasion d’évoluer de façon séquentielle et logique et finit par disparaître. Développés comme outils de modernisation du logement, les tanji interrompent ainsi la modernisation de la structure urbaine.Or, cette étude essaye de réévaluer la structure urbaine des quartiers d’habitations basses et de trouver le moyen d’y intégrer le tanji. Cela suppose que ce dernier change, et ce changement a sans doute déjà commencé, car on voit apparaître de petits tanji parmi les habitations basses. L’échelle de ce nouveau modèle correspond mieux à la structure existante. Cependant, le petit tanji fonctionne lui aussi comme un système fermé, et le problème de la circulation entre les deux types de logements existants persiste. Dans un tel contexte, le golmok, une ruelle piétonne encore présente dans le tissu urbain existant, apparait comme un espace intermédiaire susceptible d’améliorer le flux urbain.Ainsi, dans la première partie, la question principale est de comprendre comment le tanji est devenu un modèle de logement représentatif de la classe moyenne. Celle-ci a quitté les quartiers d’habitations basses pour les tanji, y laissant les classes populaires et défavorisées, et causant une ségrégation sociale manifeste. Dans les quartiers d’habitations basses, faute de capital, les petites maisons particulières sont transformées illégalement en petits logements collectifs de rapport ; l’infrastructure n’y est pas non plus réaménagée. En parallèle, le modèle de l’habitation basse n'évolue pas de manière spontanée pour autant.La deuxième partie cherche à déterminer comment faire évoluer la structure urbaine et quelle est la potentialité du tissu urbain d’habitations basses face au tanji. En fait, depuis le début du 20e siècle, la modernisation du tissu urbain a été réalisée selon l’ancien modèle japonais de composition des îlots, et répond difficilement aux enjeux de la ville actuelle : les rues sont très étroites, les parcelles très réduites, et les logements petits et modestes. Il en résulte une dépréciation naturelle de leur valeur immobilière et un frein à leur évolution spontanée. Dans cet environnement, le golmok représente un espace potentiel grâce auquel ces habitations basses possèdent encore certaine valeur.Dans la troisième partie, la question est de définir si le tanji peut s’intégrer dans la structure urbaine. L’insertion de petits tanji au milieu des habitations basses présente de vraies possibilités de communiquer avec le voisinage et d’ouvrir le tanji. En fait, le grand tanji est considéré comme un plan d’urbanisme qui aménage le quartier et même la ville. Mais, le petit tanji peut devenir un simple modèle de logements, libérant les barres et les tours enfermées dans le tanji et les réintégrant dans la ville. Si, par ailleurs, le tanji ouvert bénéficie du flux des golmok, le tissu urbain évoluera vers un modèle d’îlot ouvert à la coréenne.Finalement, plus la ville est dense, plus il faut l’ouvrir. Pour une véritable urbanisation, il est nécessaire de dégager plus d’espaces intermédiaires, ce qui conduit à la problématique centrale de cette thèse : comment restructurer le tanji ? / During urbanization, it is essential to develop a model of collective housing that adapts to the urban structure. Such a model can be applied easily and abundantly, and can thus respond to population growth. However, today in Seoul one can find a refutation: a large apartment complex called tanji. Although it is a heterogeneous element in the urban structure, it is considered successful: thus it is extensively applied in the city. Despite being isolated from its neighborhood, it works by creating its own independent environment. At the perimeter of the tanji, a sudden urban discontinuity appears. Concerning the evolution of the urban structure, it is not a successful model. Moreover, it has standardized the life of the individual, making Seoul’s urban landscape monotonous.At first, the tanji is built in vacant land, and subsequently it is utilized for the redevelopment of all other problematic urban fabrics. The urban structure thus cannot evolve sequentially and logically, and finally disappears. This process is also brutal, ignoring the lives of original inhabitants. Nonetheless, this process is repeated because there is no multiple dwelling-house model that corresponds well to low-rise housing. In other words, there is no motor for the spontaneous evolution of this urban fabric. Thus, the success of the tanji is partially due to the defects of the existing urban structure. Indeed, as a tool for modernizing housing, tanjis finally interrupt the modernization of the urban structure.Thus, this study reassesses the urban structure of low dwellings, and seeks a way to integrate the tanji into this. Change is now beginning: small tanjis appear in the low-rise residential area. But since tanjis belongs to a closed system, there is no real flow between the areas: in the existing urban fabric, pedestrian alleys (golmoks) act as intermediate space.Thus, the first part asks “How can the tanji become a successful model?” As the principal housing of the middle class, it will separate them from the underprivileged, who remain in lower housing. If capital is not invested, small houses are transformed illegally into small collective housing for rent. Nor is the infrastructure being redesigned. Thus, the low dwellings cannot evolve spontaneously.The second part asks, “Is it possible to develop logically the urban structure instead of the simple replacement by tanji?” and “What is the potentiality of the urban fabric of low dwellings as an alternative to the tanji?” In fact, the modernization of the urban fabric continued throughout the 20th century, influenced by the old Japanese model for urban blocks, which cannot meet today's demands, thus causing declining real estate values. Spontaneous evolution is thus difficult, yet the golmok is a potential space that gives these low dwellings a certain value.The third part asks, “Can the tanji fit into the urban structure?” This begins with the appearance of small tanjis, so that those among lower housing can communicate better with their neighborhood. In fact, big tanjis are considered rather as town plans that develop the neighborhood and even the city. Small tanjis can become a simple type of housing, as apartment blocks enclosed in the tanji can be freed and reintegrated into the city. In addition, open tanji can bring the flow of golmoks, thus evolving toward Korean-style open blocks.Eventually, intensive urbanization requires more intermediate space. Finally, the central problem is now how to respatialize the tanji.Keywords : History and formation of city – Seoul Metropolitan – Urban morphology and urban tissue – Urban landscape – Collective housing : Tanji – Gated community – Intermediate space

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