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L'aqueduc de Montréal au tournant du siècle (1890-1914) : l'établissement de la purification de l'eau potableGagnon, Ginette January 1998 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Effets de la spéciation du nickel sur sa bioaccumulation et sur sa toxicité chez le rat : le sulfate de nickelObone Mba, Élisabeth January 1998 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Désordres immunitaires induits par des concentrations subtoxiques de méthyl-mercure sur les lymphocytes T murinsPheng, Say-Ry January 1998 (has links)
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Influence de l'exposition simultanée aux trihalométhanes sur leur profil toxicocinétique chez le ratSilva, Maria Luciene da January 1999 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Évaluation de la liaison des substances organiques volatiles aux protéines du sang chez le ratBéliveau, Martin January 1999 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Exposition au mercure via la chaîne alimentaire au Nunavik : tendances géographiques et temporelles chez les femmes enceintesDe Moraes Pontual, Mariana 27 January 2024 (has links)
En Arctique, les populations autochtones vivent de la consommation de mammifères marins et de poissons et peuvent être exposées à des doses élevées de méthylmercure (MeHg). Par ailleurs, puisque la disponibilité des espèces concernées varie au fil des mois, tout porte à croire que l’exposition au MeHg change aussi d’un mois à l’autre. Il existe encore d’importantes lacunes dans les connaissances quant aux variations géographiques et temporelles de l’exposition au MeHg et quant aux aliments responsables de celles-ci, surtout pour ce qui est de l’exposition chronique et à de plus faibles doses chez les femmes enceintes au Nunavik. Plusieurs résultats de l’Étude sur le développement de l’enfant au Nunavik (EDEN) montrent que la vie fœtale est un moment crucial pour prévenir l’exposition au MeHg afin d’éviter plusieurs effets neurologiques qui se répercutent jusque tard dans l’enfance. En conséquence, en 2011, la Régie régionale de la santé et des services sociaux du Nunavik (RRSSSN) a publié et diffusé un message recommandant aux femmes enceintes et en âge de procréer de réduire leur consommation de viande de béluga. L’objectif de la présente étude était de caractériser les variations géographiques et temporelles de l’exposition au MeHg chez les femmes Inuit durant la grossesse et mieux identifier les aliments traditionnels responsables de ces variations. Cette étude transversale réalisée d’octobre 2016 à mars 2017 visait les femmes enceintes âgées de 16 ans et plus au Nunavik. Les femmes ont été recrutées sur une base volontaire et des échantillons sanguins et de cheveux ont été collectés. Un questionnaire administré lors d’un entretien a été utilisé pour recueillir des informations sur la grossesse, la fréquence de consommation des aliments traditionnels par saison et la sensibilisation aux messages de santé publique. Le Hg total dans le sang a été mesuré par spectrométrie de masse avec plasma à couplage inductif (ICP-MS). Dans les cheveux, le Hg total a été analysé par spectrométrie d’absorption atomique à vapeur froide (CV-AAS), ceci par centimètre (cm) pour évaluer l’exposition mensuelle et rétrospective au mercure (Hg). Des analyses de régressions multiples ont été effectuées afin d’évaluer la variation saisonnière et régionale des niveaux de Hg. Une analyse de classes latentes a été réalisée afin d’identifier les femmes enceintes présentant des trajectoires mensuelles similaires des variations de niveaux de Hg dans les cheveux au fil du temps. Basé sur les concentrations de MeHg dans les aliments traditionnels et la fréquence de consommation de ces aliments, l’apport moyen en MeHg par saison a été estimé. Au final, 97 femmes enceintes de 13 des 14 communautés du Nunavik ont été recrutées. Plus de 23% des participants avaient des concentrations sanguines de Hg supérieures à la recommandation de Santé Canada (≥ 8 µg/L) au moment du recrutement (automne 2016 - hiver 2017). Alors qu’aucune différence régionale des concentrations de Hg dans le sang et dans les cheveux n’a été constatée pendant cette période, les analyses séquentielles de Hg dans les cheveux ont révélé d’importantes variations mensuelles de l’exposition au Hg : les concentrations de Hg étaient plus élevées durant les mois d’été (p < 0.05) et plus basses durant ceux de l’hiver (p < 0.001). Trois classes latentes (groupes) de femmes enceintes avec des trajectoires similaires de variations mensuelles de Hg dans les cheveux ont été identifiées : variation élevée (n = 20; 22%), variation modérée (n = 38; 41%) et faible variation au fil des mois (n = 35; 38%). La viande de béluga était l’aliment traditionnel contribuant globalement à la plus grande proportion de l’apport quotidien en MeHg au sein de chaque groupe de femmes enceintes et durant chaque saison, mais principalement en été. La consommation de viande de béluga était également le seul aliment traditionnel associé au risque d’être classifié dans les groupes de variations mensuelles de Hg modérées et élevées (OR = 1,19 [1,01-1,39] d’être dans le groupe modéré par rapport au faible; OR = 1,25 [1,04 -1,50] d’être dans le groupe élevé par rapport au faible). Un peu plus du tiers (35%) des femmes enceintes avait déjà entendu le message de santé publique recommandant de réduire leur consommation de viande de béluga durant leur grossesse. Notre étude montre une exposition élevée au MeHg chez les femmes enceintes du Nunavik, particulièrement en été, et que la consommation de viande de béluga est la principale source d’exposition au MeHg chez ces femmes. Nos résultats soulignent également l’importance de documenter les variations saisonnières de la consommation d’aliments traditionnels avant de mener des études de biosurveillance pour évaluer de manière plus adéquate l’exposition au MeHg sur une base annuelle. Compte tenu de la prévalence élevée d’insécurité alimentaire au Nunavik et du rôle central que jouent les aliments traditionnels dans la culture et pour le statut nutritionnel des Inuit, une approche plus consolidée avec les professionnels de la santé locaux et des conseils alimentaires ciblés à l’approche de l’été et dans les villages où la viande de béluga est souvent consommée peuvent être des avenues prometteuses pour prévenir l’exposition au MeHg tout en faisant la promotion des aliments traditionnels pour des grossesses et des enfants en santé au Nunavik. / In the Arctic, indigenous populations living off marine mammals and fish consumption may be exposed to high doses of methylmercury (MeHg). Furthermore, since their availability varies over months, there is every reason to believe that exposure to MeHg also varies from month to month. There are still significant knowledge gaps with respect to geographic and temporal variations in MeHg exposure and about country foods responsible for MeHg exposure, particularly for pregnant women in Nunavik. Several findings from the Nunavik Child Development Study highlight that fetal life is a critical moment to prevent MeHg exposure in order to avoid neurodevelopmental outcomes later in childhood. Accordingly, in 2011, the Nunavik Regional Board of Health and Social Services (NRBHSS) released and disseminated a dietary recommendation for pregnant and childbearing age women to reduce their consumption of beluga meat. The aim of the present study was to characterize the geographic and temporal variations in MeHg exposure among Inuit women during pregnancy and to better identify country foods responsible for these variations. This cross-sectional study was carried out with pregnant women aged 16 and over in Nunavik between October 2016 and March 2017. Pregnant women were recruited on a voluntary basis and blood and hair samples were collected. An interview-administered questionnaire was used to gather information on pregnancy, country food frequencies of consumption by season and awareness of public health messages. Blood total Hg was measured using Inductively coupled plasma mass spectrometry (ICP-MS). Hair total Hg was measured by centimeter as a surrogate for monthly exposure using Cold vapor atomic absorption spectrometry (CV-AAS). Multiple regressions analyses were done to assess the seasonal variation and the regional difference of mercury (Hg) levels. A latent class growth analysis was conducted to identify pregnant women with similar monthly trajectories in hair Hg levels over time. Based on the MeHg concentrations in country foods and consumption frequencies, their seasonal daily intake of MeHg was estimated. In total, 97 pregnant women from the 13 of the 14 Nunavik communities were recruited. Up to 23% of participants had blood Hg levels above the Health Canada guideline (≥ 8 µg/L) at the recruitment time (Oct 2016 – March 2017). While no regional difference in hair and blood Hg were observed in this period, sequential Hg hair analyses show important monthly variations in Hg exposure over the past year as Hg hair concentrations were significantly higher in summer (< 0.05) and lower in winter (p < 0.001) Three latent classes (groups) of pregnant women with similar trajectories of Hg hair monthly variations were identified: high variation (n=20, 22%), moderate variation (n=38, 41%) and low variation over time (n=35, 38%). Beluga meat was the country food generally contributing to most of daily MeHg intake within each group of pregnant women for all seasons, but primarily in the summer. Beluga meat intake was also the only country food associated to the odd of being classified into moderate and high hair Hg monthly variations groups (OR = 1.19 [1.01-1.39] for moderate versus low; OR = 1.25 [1.04 -1.50] for high versus low). Only one-third (35%) of pregnant women were aware of the public health message recommending to reduce their consumption of beluga meat. Our study shows a high MeHg exposure among Nunavik pregnant women, particularly in the summer, and that beluga meat consumption was the primary source of exposure to MeHg among these women. This study also highlight the importance of documenting the seasonality in country foods consumption before conducting biomonitoring studies in order to more adequately assess MeHg exposure on an annual basis. Given the high prevalence of food insecurity in Nunavik and the central role that country foods play in the culture and nutritional status of Inuit, a more consolidated approach together with local health professionals and targeted dietary counselling as summer is coming and in villages where beluga meat is often consumed may be promising avenues for preventing MeHg exposure while promoting traditional foods for healthy pregnancies and children in Nunavik.
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Analyse du déplacement du bénéficiaire en assistance totale chez les techniciens ambulanciers-paramédics lors de situations réelles de travailLarouche, Dominique 19 April 2018 (has links)
La prévalence des troubles musculo-squelettiques chez les techniciens ambulanciers paramédics (TAP) est élevée. Le risque de blessures est présent lors de déplacement où le poids du bénéficiaire est complètement pris en charge par les TAP. L’objectif est de décrire la variabilité du déplacement d’assistance totale en situation réelle de travail et de comparer les observations avec les protocoles du document de formation sur les principes de déplacement sécuritaire des bénéficiaires (PDSB-TAP). Cinquante-huit TAP canadiens ont été observés durant leur quart de travail totalisant soixante-quatre déplacements. Une division en neuf familles a été faite selon la hauteur d’assise des bénéficiaires et les équipements utilisés. Les méthodes de travail des TAP varient selon leur positionnement et le positionnement des équipements autour du bénéficiaire. Il y a une faible application des protocoles de déplacement suggérés par le PDSB-TAP. Certaines familles n’apparaissent pas dans le PDSB-TAP et d’autres n’ont pas été observées.
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Prévalence, incidence, persistance et facteurs associés aux infections à virus du papillome humain chez les travailleuses du sexe en Afrique de l'OuestTounkara, Fatoumata Korika 02 February 2024 (has links)
Les travailleuses du sexe (TS) constituent une population fortement à risque d’infections sexuellement transmissibles (IST), incluant le virus de l’immunodéficience humaine (VIH) et le virus du papillome humain (VPH). À notre connaissance, depuis 2009, aucune étude n’a été réalisée sur l’épidémiologie des IST/VIH chez les TS au Mali. Par ailleurs, nous n’avons aucune connaissance d’étude réalisée sur l’épidémiologie des infections à VPH dans cette population clé au Mali et au Bénin. Cette thèse avait pour objectifs de : (1) déterminer la prévalence du VIH et des autres IST ainsi que des facteurs associés à ces infections chez les TS à Bamako, Mali; (2) estimer la prévalence du VPH, la distribution de même que les facteurs associés aux infections à VPH à haut risque chez les TS à Bamako, Mali et à Cotonou, Bénin; et (3) estimer les taux d’incidence et de persistance des infections à VPH chez les TS dans les deux pays ainsi que les facteurs qui leur sont associés. Les objectifs 1 et 2 ont conduit à la réalisation d’études transversales, tandis que l’objectif 3 a nécessité une étude longitudinale d’un an avec trois visites : recrutement initial, visites de suivi à 6 et 12 mois. Les sites d’étude étaient Cotonou (Bénin) et Bamako (Mali). Des variables concernant les caractéristiques sociodémographiques, comportementales et antécédents gynécologiques ont été recueillies. Des statistiques descriptives ont été produites. Des modèles multivariés de régression log-binomiale et de Poisson ont été utilisés pour identifier les facteurs associés aux différentes issues. Au total 353 TS ont été recrutées au Mali, l’âge moyen était de 26,8 ans. Concernant l’objectif 1, la prévalence du VIH était de 20,4%, et 35,1% des TS avaient au moins une IST. Les facteurs significativement associés à l’infection au VIH étaient l’âge plus avancé (test de tendance, p < 0,0001), la durée du travail du sexe ≥ 6 ans, la non-scolarisation ainsi que des infections à gonocoque et à chlamydia (p < 0,05). Par ailleurs, le jeune âge (test de tendance, p = 0,018), le nombre de clients ≥ 10 au cours des sept derniers jours et l’infection au VIH taient significativement associés aux autres IST (p < 0,05). Pour ce qui est de l’objectif 2, les données sur le VPH étaient disponibles pour 659 TS (309 au Bénin et 350 au Mali). La prévalence globale du VPH était de 95,5% au Bénin et de 81,4% au Mali. Les trois types de VPH à haut risque les plus prévalents chez les TS au Bénin étaient les VPH-58, VPH-16 et VPH-52; cet ordre au Mali était VPH-16, VPH-51 et VPH-52. Au Bénin, les principaux facteurs associés aux VPH à haut risque étaient la pratique de la douche vaginale et l’infection gonococcique (p < 0,05), tandis qu’au Mali, la durée du travail du sexe < 1 an et l’infection à VIH étaient les facteurs prédominants (p < 0,05). En lien avec l’objectif 3, le taux de participation à la visite de 12 mois était de 51,6%, mais 68,6% des participantes ont eu au moins une visite de suivi (51 femmes n’ayant pas participé à la visite de suivi de 6 mois sont revenues à 12 mois). Les taux d’incidence les plus élevés ont été observés avec VPH-59, VPH-16 et VPH-35 (≥ 6,3 cas pour 1000 femmes-mois). Les principaux facteurs associés à l’incidence des infections à VPH à haut risque étaient la durée du travail du sexe ≤ 1 an et l’infection par le VIH (p < 0,05). Les taux de persistance à 12 mois les plus élevés ont été observés avec VPH-59, VPH-51/VPH-52 et VPH-35 (≥ 28,6%). Les facteurs de risque de persistance étaient l’âge des TS < 20 ans ou ≥ 50 ans (p < 0,05); les infections à VIH ou à chlamydia ainsi que l’infection avec de multiples types de VPH à l’inclusion (p < 0,05). En conclusion, les TS dans ces pays d’Afrique occidentale sont caractérisées par une prévalence élevée des IST/VIH, des taux élevés de prévalence, d’incidence et de persistance du VPH. Ces données impliquent la nécessité de revoir la conception des programmes de prévention des IST/VIH y compris le VPH chez les TS afin de prévenir le cancer du col utérin chez ces dernières et de briser la chaine de transmission de ces IST vers la population générale de ces pays. / Female sex workers (FWs) represent a high-risk group for sexually transmitted infections (STIs), including the human immunodeficiency virus (HIV), and the human papillomavirus (HPV). To our knowledge, since 2009, no study has been conducted on the epidemiology of HIV/STIs among FSWs in Mali. Also, there are no available data on the epidemiology of HPV infections in this key population in Mali and Benin.The objectives of this thesis were to (1) assess the prevalence of HIV/STIs and associated factors among FSWs in Bamako, Mali; (2) estimate HPV prevalence, distribution and factors associated with high-risk (HR) HPV infections in FSWs in Bamako (Mali) and Cotonou (Benin), and (3) estimate the incidence and persistence rates of HPV infections in FSWs in the two countries as well as factors related to both incidence and persistence of HR-HPV infections. Cross sectional studies were conducted for objectives 1 and 2, where as a longitudinal study with visits at three time points (baseline, follow-up visits at 6 months and at 12 months) were carried out for objective 3. It took place in Cotonou (Benin) and Bamako (Mali). Sociodemographic, behavioral and gynecological history data were collected. Descriptive statistics were computed. Multivariate log-binomial and Poisson regression models were used to identify factors associated with study outcomes. Overall, 353 FSWs were recruited in Mali; the mean age was 26.8 years. Concerning objective 1, HIV prevalence was 20.4% and 35.1% of FSWs had at least one STI. Factors significantly associated with HIV were older age (trend test, p < 0.0001), sex work duration ≥ 6 years, uneducated status, gonococcal and chlamydial infections (p < 0.05). In addition, younger age (trend test, p = 0.018), number of clients ≥10 during the past week, and HIV infection were significantly associated with other STIs (p < 0.05). Regarding objective 2, HPV data were available for 659 FSWs (309 in Benin and 350 in Mali). The overall HPV prevalence rates were 95.5% in Benin and 81.4% in Mali. The three most common HPV types among FSWs in Benin were HPV58, HPV16, and HPV52; this order was HPV16, HPV51, and HPV52 in Mali. In Benin, the main factors associated with HR-HPV infections were vaginal douching and gonococcal infection (p < 0.05), whereas in Mali, these factors were duration of sex work < 1 year and HIV infection (p < 0.05). Concerning objective 3, the 12-month participation rate was 51.6%, but retention for at least one follow-up visit was 68.6% (51 women not attending the 6-month follow-up visit came back at 12 months). The highest incidence rates of HR-HPV over 12 months occurred with HPV59, HPV16 and HPV35 (≥ 6.3 cases per 1000 women-months). Factors associated with HR-HPV incidence were sex work duration ≤ 1 year and HIV infection (p < 0.05). The highest HR-HPV persistence rates were observed for HPV59, HPV51/HPV52 and HPV35 (≥ 28.6%). Risk factors for HR-HPV persistence were age < 20 years or ≥ 50 years (p < 0.05); HIV and chlamydial infections as well as infection with multiple HPV types at baseline (p <0.05). In conclusion, FSWs in these West African countries are characterized by high HIV/STI prevalence, and by high rates of HPV prevalence, incidence and persistence. These data suggest the need to reconsider the conceptual framework of STI/HIV (including HPV) prevention programs aimed at FSWs in order to prevent cervical cancer among them and break the transmission chain of these STIs to the general population.
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Cascades de prévention et de soins du VIH chez les travailleuses du sexe au Bénin, Afrique de l'Ouest.Morin, Laurianne 02 February 2024 (has links)
Contexte: Depuis 1990, le Bénin a implanté des programmes de prévention du VIH visant les travailleuses du sexe (TS). L’utilisation d’antirétroviraux (ARV) a été implantée au Bénin en 2002. Nous avons utilisé des données d’une étude nationale (2017) portant sur les TS afin d’évaluer la cascade de soins et deux cascades de prévention en leur sein. Méthodes: Les TS ont été recrutées par échantillonnage en grappe des sites de travail du sexe. Après consentement, un questionnaire a été administré et un dépistage du VIH a été fait avec un test rapide (les résultats ont été remis aux participants). Les participantes positives au VIH ont fourni quelques gouttes de sang sur papier-buvard pour le dosage d’antirétroviraux et la charge virale (limite de 839copies/mL de sang). Nous rapportons les résultats sous forme de proportions avec un intervalle de confiance exact à 95%. Résultats: L’âge moyen des 1086 travailleuses du sexe était 30 ans. Seulement 35% d’entre elles étaient béninoises et deux femmes sur trois avaient une éducation ne dépassant pas le primaire. 79,1% des TSont déjà été testé pour le VIH, et 84,1% d’entre elles l’ont été dans la dernière année. 90,1% ont assisté à des messages de prévention dans les six derniers mois. Parmi elles, 72,8% ont vu une démonstration du port du condom dans la même période et 92% d’entre elles ont reçu des condoms gratuits dans les3 derniers mois. Les femmes ayant été exposées à des messages de prévention dans les six derniers mois ont rapporté une utilisation consistante du condom plus élevée dans le dernier mois (69,0%),comparativement à celles qui ne l’ont pas été (48,5%, p<0,0001) La prévalence du VIH était de 7,7%.60,0% des travailleuses du sexe VIH positives connaissaient leur statut; parmi celles-ci, 90,5% avaient des ARV dans le sang; et de ces dernières, 81,8% avaient une charge virale indétectable. Conclusion: Malgré les efforts des programmes internationaux, nationaux et locaux, les indicateurs des cascades de prévention demeurent faibles, notamment à cause de la grande mobilité des TS. La liaison vers les soins était bonne, mais la charge virale était sous-optimale et la connaissance du statut tait particulièrement faible. Exposer les femmes aux messages de prévention est nécessaire afin d’améliorer le dépistage du VIH et l’adhésion aux ARVs par les TS. / Background & Objectives: Benin has a long-standing history of HIV prevention programs aimed atfemale sex workers (FSWs). Antiretroviral (ARV) treatment is available in Benin since 2002 and a testand-treat strategy was adopted in 2016. We used data from a national survey among FSWs (2017) toassess the prevention and care cascades in this population. Methods: FSWs were recruited through cluster sampling of sex work sites. After informed consent, a questionnaire was administered, and HIV tested with sequential rapid tests whose results were givenback to participants. After a second consent, HIV-positive participants were asked to provide driedblood spots (DBS). DBS were tested for ARV and viral load. We assessed two prevention cascades(HIV testing and safer sex) and the treatment cascade, using a combination of self-reported andbiological variables for defining HIV-positive status knowledge and being on treatment. Results: Mean age of the 1086 FSWs was 30 years. Only half of them were Beninese and two-thirdshad a primary school education level or less. Almost all FSWs had ever heard of HIV/AIDS. 79.1%had ever been tested, and 84.1% of the latter had been tested in the last year. In the previous sixmonths, 90.1% were exposed to prevention messages. Of those, over two thirds (72.8%) had seen a condom demonstration during the same period and 92% of the latter received free condoms in thelast three months. Women exposed to any HIV prevention message (last six months) reported a higherlevel of consistent condom use in the last month (69.0%) than those who were not (48.5%, p<0.0001).HIV prevalence was 7.7%. Among HIV-positive women, 60.6% knew their status; among those,90.5% were on ARV and 81.8% of the latter had a suppressed viral load.Conclusions: Despite long-standing HIV prevention programs for FSWs, the prevention indicators were often low, likely in relation to high FSW mobility, as half of them were migrants. Linkage to carewas good, viral suppression was sub-optimal, but knowledge of HIV-positive status was very low. Exposing women to prevention messages is necessary, as to increase HIV testing and improveadherence counselling towards FSWs on ARV.
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Validité des entrevues d'histoire professionnelle dans l'industrie du vêtementBrisson, Chantal 08 February 2019 (has links)
En santé au travail plusieurs études épidémiologiques doivent utiliser des informations sur l'histoire professionnelle des travailleurs. Ces informations proviennent généralement des entrevues réalisées auprès des travailleurs. Elles peuvent également être obtenues de registres publics ou de registres tenus par les employeurs ou les syndicats. Cette étude mesure la validité des histoires professionnelles obtenue par entrevue auprès de 84 travailleuses de l'industrie du vêtement et analyse les facteurs affectant cette validité. La validité des employeurs déclarés a été évaluée année par année pour toute la période comprise entre 1955 et 1983. L'information donnée par la travailleuse a été comparée à celle inscrite dans un registre public et dans un registre syndical. Le taux moyen de validité de l'entrevue est de 80.5%. Il est nettement plus élevé pour la période 1972-1983, soit 88.3%, que pour la période 1955-1971, soit 73.7%. La validité de l'entrevue ne varie pas selon l'âge et la scolarité de la répondante. Elle varie significativement selon le nombre d'emplois occupés, le nombre d'années travaillées et l'origine ethnique. Les travailleuses ayant occupé moins d'emplois différents, celles qui ont travaillé un plus grand nombre d'années et les travailleuses non francophones rapportent plus correctement leur histoire professionnelle. Ces variations sont plus importantes pour la période la plus éloignée dans le temps que pour la période récente. / Montréal Trigonix inc. 2018
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